Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (8)

- Par l'auteur HDS Fandefist34 -
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Récit libertin : Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (8)
Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (8)
J’ai laissé passer le Week-end sans donner signe de vie. Le lundi matin je reçois un long texto. « Tu vas pas laisser tomber une rencontre qui marche si bien. Dimanche je me suis disputé avec le mec qui t’a frappé. Je lui ai dit qu’il avait exagéré. Il m’a dit que tu n’étais pas une vraie femelle. Que tu avais des couilles plus grosses que de nombreux mecs qui se croient des hommes. Il a été surpris de ta résistance. Il a essayé de te casser mais plus ça allait et plus tu résistais. Il est même en admiration devant ce que tu lui as fait ». « Admed, de ton mec je m’en fous, il n’est rien pour moi. C’est toi qui m’as trahi, c’est ça qui est le plus dur. C’est toi qui aurais dû mettre tes couilles sur la table... ». » Tu ne sais pas qui il est, c’est le chef d’une tribu, d’une région entière au Maroc. Il est lié à la famille royale. S’il veut, il peut me faire tuer sans problème. Je ne veux pas me suicider. Toi, il ne te poursuivra pas, tu es un français, un PD, il pensait pouvoir te dominer sans limite. Mais moi je ne pouvais rien faire... ». « Ok, on va laisser passer quelque temps et on verra si j’ai envie de te revoir, mais là je suis trop déçu ». Il change alors de registre « Tu es ma salope, tu m’appartiens, il n’est pas question que tu ne m’obéisses pas. ». Je ne réponds pas car je n’ai rien à dire, je suis vide. Un quart d’heure plus tard il revient à la charge en me menaçant. » Tu sais, je pourrai te corriger , m’organiser avec deux ou trois copains lors de notre prochaine rencontre et te faire danser, te donner une correction dont tu te souviendra toute ta vie. Je pourrais aussi te pourrir, attaquer ta réputation en publiant les nombreuses photos que j’ai de toi. Imagine un peu. Alors tu t’écrases et tu reviens me sucer et m’obéir ».
Mais c’est qu’il y croit le bonhomme, il se croit parvenu, il pense qu’il contrôle sa salope, comme si je n’avais pas accepté tous les actes qu’il m’a imposé. Je ne réponds pas, il ne faut jamais répondre aux menaces, il faut en tenir compte et s’organiser pour y faire face si nécessaire.
Je ne vous raconte pas en détail la succession de textos que je reçois où il me menace avec de nombreuses variantes les plus horribles les unes que les autres. Mais au bout d’une quinzaine les menaces cessent et il cherche à me convaincre que l’on ne peut pas s’arrêter là. Il a envie de moi, il souffre de ne plus pouvoir me baiser. Puis arrivent les excuses.
Moi aussi je commence à évoluer. Faut dire que passer d’une longue période où je me faisais baiser sous toutes les coutures à un passage où je retrouvais mes jouets, ma collection de plugs, de godes, de pinces à seins de cocring, de crèmes a baiser et poppers, ca faisait une sacré différence. Quand les excuses sont arrivées, j’ai commencé à changer de position. Il était trop bon baiseur pour que je n’y retourne pas. J’ai essayé de sortir et aller dans les saunas de la ville voisine mais les plans n’avaient pas de saveur, ceux qui me dominaient ou baisaient ne me poussaient pas au-delà de mes limites. C’était des plans trop convenus. J’ai cherché sur PLAN SM, sur COCO mais sans succès.
Aussi un soir je lui ai envoyé un texto anodin « envie de te revoir, tu as raison c’est trop rare entre nous il faut qu’on se voit ». Il a répondu en quelques minutes en disant « je savais que tu reviendrais ma salope, tu m’as fait souffrir, mais je savais que tu aurais envie d’y regoutter. Ton cul est trop bon, tu m’appartiens et je vais t’en donner à te faire hurler. Mais j’ai compris, je te promets, je te protègerai, et je ne me laisserai plus piéger. On se revoit quand ? Ce soir, en ville, j’ai envie de te baiser dans une cage d’escalier que j’ai repéré. Tranquille, très peu d’habitants, des recoins partout, je suis sûr que ça va te plaire, exib comme tu es. Réponds vite. »
Que voulez-vous que je fasse devant une telle proposition ? J’ai dit oui, me suis excuser auprès de ma femme pour avoir oublié de lui dire que j’avais une réunion importante. Heureusement comme d’habitude j’étais rasé totalement et je n’avais aucun poil sur mon corps. J’ai rapidement pris mon sac à matos et je suis sorti pour aller retrouver mon maitre. La maison dont j’avais l’adresse était à un quart d’heure de marche. Je n’ai pas marché, j’ai flotté de plaisir, d’envie, j’allai retrouver le maitre qui m’avait donné les plus grandes jouissances de ces derniers mois. Je lévitais, je sentais mon cul plein de désir. Si j’avais été une femme j’aurais sans doute mouillé comme jamais.
J’arrive devant une grande maison dans le centre-ville historique. Je sonne à une des 4 ou 5 adresses et lorsqu’on me répond je bafouille avoir oublié mes clés. Ça s’ouvre et je rentre dans un grand porche avec l’escalier au fond. C’est sans aucun doute un ancien hôtel historique. J’attends un moment pour voir si quelqu’un s’inquiète de la personne qui a demandé une ouverture mais rien ne bouge. Je trouve deux escaliers qui chacun finisse aux étages sur des grands paliers. J’écoute mais je n’entends aucun bruit qui m’indique les appartements occupés. Tout en haut d’un des escaliers se termine sur un mur et une échelle qui permet d’accéder au toit. La porte qui est la doit donner sur un couloir ou il y a des greniers. Ça devrait être assez calme pour nos retrouvailles.
Puis je redescends dans le hall derrière le portail. Je regarde mon tel, il ne devrait pas tarder et il vaut mieux que je lui ouvre plutôt que de resonner au hasard. Je reçois un texto « j’arrive, je te veux à poil, ton collier au cou. Mets un cocring, je prends le risque qu’un des habitants te trouve dans cette tenue, ce serait marrant. »
C’est de nouveau lui qui décide et je m’exécute. On verra bien si quelqu’un nous surprend. A deux on devrait pouvoir gérer. Je plie mes vêtements et je les mets dans mon sac à dos, je prends une goulée de poppers pour me décontracter et oublier le risque. Je mets de l’huile de silicone dans mon cul, mieux vaut que je sois prêt à toute éventualité. Second texto « je suis là, ouvre-moi ma salope ». J’ouvre, il rentre et il me pousse contre le mur. Il est face à moi, nos regards sont rivés l’un face à l’autre. Sa main attrape mes couilles et ma queue et commence à les broyer. J’ai mal mais je reste droit face à lui. Il arrête et dit « A genoux salope, suce ma queue qui va te donner du plaisir ». Je m’agenouille, il sort sa queue et je l’avale bien profond dans ma gorge. Il me donne quelques coups pour atteindra le fond de ma gorge, puis il dit « allez, passe devant, on monte en haut de l’escalier, tu vas mettre ton bâillon car je vais te faire gueuler comme une chienne. » Je me relève, je marche devant lui, mon sac au bout d’un bras, en montant, je mets le bâillon-boule, j’attrape le poppers et je vais en prendre plein dès que nous serons là-haut. Il marche derrière moi en me collant et ses mains me caressent partout. Deux doigts visitent mon cul et il ricane quand il sent que cela rentre comme il veut « salope, tu es prête et chaude comme j’aime ». On arrive rapidement au troisième et je pose mon sac dans un coin. Lui défouraille sa queue et me regarde avec un sourire à se damner. Je prends plusieurs goulées de poppers, je veux qu’il me baise totalement, j’en meurt d’envie. Le poppers explose dans ma tête, je me tourne face au mur, j’écarte les jambes et je m’appuie au mur les bras tendus. Il est derrière moi et sa queue rentre d’un seul coup avec une puissance totale. En deux coups, il est au fond de mon cul et ses coups de reins font décoller mes pieds à chaque ruade. Je gémis derrière mon bâillon, c’est bon, superbe, j’en bande. Ses mains sont sur mes hanches et il me pistonne sans baisser d’intensité. Mon cul s’échauffe, je sens monter ma jouissance et je sens qu’il va m’inonder l’anus. Quand il gicle, je hurle derrière mon bâillon « oui, ouiii oui merci mon maitre, mon salaud, j’adore ». Je me laisse glisser sur les genoux et sa bite sort de mon cul, je me retourne en faisant glisser mon baillon et ma bouche attrape sa queue, je la suce, elle a le gout de son sperme et de l’huile, j’avale ce qu’il reste de sperme, ma main récupère son jus dans mon cul et je le suce avidement. « humm, tu en as beaucoup, tu n’as pas dû t’amuser souvent ces derniers jours ». « Ta gueule salope, tu es trop bonne, tu mériterais une danse mais j’ai trop envie de toi pour perdre du temps à ça. Suce, avales, tu aimes ça, salope ».
Apres l’avoir longuement sucé, il me relève et on dit quelques banalités. « Tu as du temps ce soir, t’es libre jusqu’à quelle heure ? » « On peut aller jusqu’à minuit, tu veux faire quoi ? ». Il sort de son sac des fringues qu’il me tend, ainsi qu’une perruque toute blonde. « Met ça, on va aller dans un bar que j’ai repéré où il y a beaucoup d’arabes qui sont en manque de baise ». J’inspecte les vêtements, il s’agit d’une jupe au tissu extensible et un sweat sans manche. J’enfile le tout la jupe cache juste mon cul et le sweat laisse apparaitre les muscles de mes bras et épaules. Je dois avoir l’air d’un travelo assez âgé. La perruque accentue mon look de pute. Il me regarde et dit trouve un jock pour cacher tes couilles, mais laisse bien ton cul comme il est je suis sûr que ça va plaire ». Je farfouille dans mon sac, je trouve le jock. Je trouve aussi des bas DIM qui tiennent seul sur les muscles de la cuisse. « J’ai des bas, si tu veux ». Oui super met les ». « J’ai aussi le collier de cuir » « Non ca tu le mettras quand on rentre dans le café ».
Je voudrais me voir dans un miroir qui malheureusement n’existe pas dans cette cage d’escalier. Si je sors comme ça dans les rues du centre-ville, vu l’heure qu’il est ça va choquer mais ça peut passer sans grandes difficultés, en soirées les gens sont plus tolérants. Pourvu qu’on ne croise pas des policiers, car là ça pourrait se finir au poste. Je lui dis « et si on croise des policiers ? ». « Tu crois, c’est un vrai risque mais il faut savoir ce que tu veux ma pute, tu veux que je te fasse baiser ou pas ? ». Je ne réponds pas, j’enfile mon sac sur mon dos et je commence à descendre. « Voilà comme je t’aime, décidé et obéissante ».
On ne croise personne dans les escaliers et on sort dans la rue. « On va rue Sarfati, « faut descendre la rue des quatre fers ». On marche côte à côte, on ne croise pas grand monde mais je sens que certains se retourne sur nous et j’entends quelques rires gras. Le plus risqué arrive quand nous croisons une bande de dix jeunes qui non seulement se retournent sur nous mais lâchent aussi des interjections « Ben je ne savais pas qu’on était dans la rue des putes ». Holà, il y en a qui vont se régaler ce soir, faut être gonflé pour se balader comme ça ». « Si vous cherchez des queues on peut vous en fournir Monsieur... ;ou Madame».
Chemin faisant je sens que coule le long de mes cuisses un liquide, c’est le sperme de Ahmed que relâche mon anus. C’est froid, il faudrait que je m’arrête pour essuyer avec un Kleenex mais je n’en ai pas envie, tant qu’a être une salope autant assumer jusqu’au bout.
On marche un petit quart d’heure et on atteint un quartier périphérique plutôt ancien. On arrive devant un café qui a une devanture assez ancienne où on ne voit rien de l’extérieur. On rentre et d’un seul coup je suis sous les regards directs d’une cinquantaine de bonhommes. Tous plus ou moins magrébins, ils me regardent fixement, certains sourient d’autres ferme leurs visages. On s’approche du bar à l’ancienne, une banque couverte de Ahmed parle arabe avec le serveur qui est derrière je sens aux intonations que l’on parle de moi. Au fond de la grande salle il y a une porte fenêtre dont un des battants est fermé. Un panneau indique WC. Il y a d’autres panneaux ou c’est écrit en arabe. Apres une discussion qui dure quelques minutes ...................se retourne vers moi et me dit « il y a des toilettes à coté au fond d’une petite salle. Tu vas y aller. Avant je veux que tu enlèves des fringues ici pour que tout le monde voit la marchandise. Une fois à poil tu assumes, tu regardes les mecs dans les yeux comme si c’était naturel qu’eux soient habillés et toi à poil. Il attrape quelque chose dans un sac qu’il a sur l’épaule et me tend une boite de Manix. ». Tu te démerdes pour qu’ils enfilent leurs capotes mais ça ne va pas être simple. En Général ils n’aiment pas, fait attention, tu peux prendre des baffes et quelques coups. S’ils exagèrent j’interviendrai. « Bien maitre. Est-ce que je peux boire du rhum pour me donner du courage ? » « Oui va y commande, c’est moi qui paye, mais c’est nouveau ça ! »
Je commence par enlever la jupe, puis le teeshirt. J’avale le verre que le serveur a posé devant moi. Il me fixe dans les yeux et lâche « super, salope, tu vas en prendre un maximum, j’espère que tu aimes ça car une fois commencé ce sera dur de les arrêter ». Je me retourne et je pose mes deux coudes sur le bar. Je regarde les mecs dans la salle. Mon attitude de défi, me fait même un peu bander. Ma queue n’est pas dressée mais elle est à l’horizontale. Ils veulent baiser une salope, mis suis pas sûr que ma queue leur plaise. Il y a beaucoup plus de sourire que de visages fermés ou qui ne me regardent pas. Apres quelques minutes de tension, je commence a bouger et aller vers la petite salle. Admed ne bouge pas, il me laisse quelques mètres d’avance et me suis. Il s’arrête à la porte fenêtre et reste là. Dans la petite salle, il y a trois tables de bistrot et quelques chaises éparpillées. Je dois improviser sur comment je veux que les mecs me baisent. Est-ce que je veux allonger mon ventre sur une table et les baiseurs passeront derrière ? Dois-je m’allonger sur le dos et relever les jambes en laissant mon cul au bord de la table ? Dois je m’agenouiller pour commencer par les sucer ? j’hésite.
Deux mecs passent la porte et se présente, je m’agenouille, pas le temps d’autre chose. Un sort sa queue et se met face à moi. J’avale sa queue qui sent un peu le fauve. J’avale, il pousse un maximum et son gland tape sur ma glotte, ça me fait mal, je hoquette, j’ai envie de rendre, j’ai un stock de salive énorme qui me fait baver, et l’autre continue à pistonner en faisant semblant de ne rien voir. D’un seul coup, il gicle et son sperme ressort par une de mes narines. Je ne peux pas reculer beaucoup ma tête car le bord de la table la coince. Mais en la tournant je peux laisser sa queue ressortir. J’ai des larmes dans les yeux. Mais le mec n’en a rien à foutre. Il me fixe, je ne dois pas être très sexy avec son sperme en morve, mes coulures de salives et mes larmes. Il s’en fout, je suis simplement une pute a qui on peut tout imposer. Le second mec qui est juste à coté est moins insensible. Il a baisé son pantalon, son slip mais il ne se précipite pas pour me donner sa queue. Il cherche dans ses poches qui sont difficile d’accès puisqu’il a baissé celui-ci jusqu’au bas des cuisses, il trouve un mouchoir et me le tend. « Essuie toi et lève toi. Je veux t’enculer ».
Je farfouille dans mes affaires et j’attrape une capote dont je déchire l’emballage. Je le lui tends mais il fait la grimace. « Déconne pas, j’aime pas du tout ça, c’est ton cul que je veux sentir, c’est pas du plastique ». « Ou tu le mets ou je te suce mais je ne veux pas de queue sans capote ». Il s’approche, nos deux visages sont à vingt centimètres. « Déconne pas, tu vas m’obliger à te corriger et je n’aime pas ça ». Nos têtes étaient si proches que j’ai cru que j’allai prendre un coup de boule. Et je n’ai pas vu arriver la baffe qui m’a fait tourner la tête tant elle était violente. Quand j’ai retourné ma tête pour le regarder à nouveau, j’avais mal et le mec que j’avais sucé était passé derrière moi et me tenait les deux mains croisées dans mon dos. C allait être difficile pour mi. Heureusement Admed c’est approché et leur a parlé en arabe. Je pense qu’il leur a dit que je voulais une capote pour mon cul mais je n’en suis pas sur. En tout cas, le mec qui me tenait m’a lâché et le gars face à moi s’est détourné, m’a demandé de m’agenouiller et m’a présenté sa queue pour que je la suce. Il avait fait une croix sur mon cul. Il m’a liteteralement degoncé la gorde en tapant au fond sur ma glote, ce que le premier avait pris sans savoir ce que je souffrais lui me l’a fait en se vengeant de ne pas pouvoir m’enculer. J’ai degeulé de la bave, j’ai pleuré tant sa queue tapé sur ma glotte, quand il a joui j’ai avalé tout ce que j’ai pu mais il y en avait qui était passé dans mon nez... et les deux mecs sont sortis.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Euh,

J’entends que vous y avait prit plaisir ms préservez vous, vos principes. Et encore une fois, votre état mental. Il ne vous mérites pas.

Comportement de sauvage des années 20.

Bonne chance pour ́avenir.

oui je sais c'est pour ca que apres le prochain plan j'ai fait un pose. Mais qu'est ce que c'etait bon les plans ou il m'amenait les souvenirs me font bander et mouiller aussitot

Histoire Erotique
Euh,

Ton maître est trop dangereux : aucun respect ni pour toi, tes principes ry pour votre relation.

Choisis en un autre!



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