Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (9)

- Par l'auteur HDS Fandefist34 -
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Récit libertin : Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (9)
Ahmed est re-rentré et m’a dit :
-Tu sais, je ne crois pas qu’on va arriver à les tenir et les obliger tous à mettre une capote. Ça va mal tourner si tu continues comme ça, je ne vais pas être suffisamment fort. Où tu acceptes les sans capotes, où on s’arrête. Il n’y a pas d’autre solution.
- Oui tu as raison, j’ai trop envie et après tout j’en ai assez de protéger la terre entière. Demain j’irai chercher des médocs pour rapports non protégés. Ce soir me baisera qui veux avec et comme il veut, c’est eux qui prennent des risques, qu’ils assument. Est-ce que tu peux demander au cafetier s’il a de la MDMA ?
- T’inquiète il m’en a proposé tout à l’heure et comme un con je lui ai dit que ce n’était pas ton style.
Et voilà comment après avoir pris mon produit, avoir attendu une demi-heure que l’effet arrive, je me suis fait enculer sans compter une bonne partie de la nuit. Je mentirais en disant que je sais le nombre que j’ai pris, je n’ai pas compté. Je me suis pris tous les mecs qui voulaient. Le sperme que je prenais dans le cul, coulait au bout d’un moment le long de mes jambes. Au début je passais des Kleenex pour m’essuyer et ensuite j’en ai eu marre et je l’ai laissé couler. Ça ne rebutait pas les mecs qui me défonçaient. J’ai eu l’impression que plus j’étais dègueu, plus ça les attirait.
J’ai pris des baffes, car certains après m’avoir baisé n’assumaient pas ce qu’il avait fait. De voir ma déchéance, les énervaient. J’ai été insulté dans de nombreuses langues. Je ne vous raconte pas les doubles, deux queues en même temps dans le cul. Je ne vous raconte pas l’acrobatie qu’il faut faire, l’un se met dessous vous et met sa queue en place et l’autre arrive sur votre dos. A croire que les mecs veulent baiser ensemble sans voir que leurs queues se frottent à l’autre et que c’est pas mal homo comme pratique. Je ne vous raconte pas le nombre de sandwich, une queue dans le cul et une autre dans la gorge qui tape au fond et me fait vomir. Les mains dans le cul avec des mecs dont c’est le premier fist et qui sont sidérés de leur audace. Les mecs qui essaient d’emblée avec le poing fermé qui rentrent et sortent sans cesse. Et les mecs qui viennent avec des bouteilles de bière, de coca, qui voyant que ca glisse vraiment rajoutent leur queue pour apprécier la souplesse de mon anus… l’inventivité des mecs est sans limite… Quand j’étais fatigué, que je n’en pouvais plus, j’avais droit à la poudre blanche, ça me donnait un coup de fouet et c’était reparti. De nombreux sont passés plusieurs fois dans mon cul ou ma gorge… Personne n’a essayé de me sucer même quand je bandai, ce qui fut assez rare.
Je ne sais pas comment ça a fini, j’ai le souvenir de moi nu au milieu des gars qui disaient « on n’en peut plus, on va se coucher ». J’ai le souvenir d’Ahmed me jetant une couverture sur les épaules m’amenant au bar pour boire car j’avais dit
- j’ai la gorge sèche.
Je ne sais pas comment j’ai fini la nuit. Le lendemain je me suis réveillé dans une chambre d’hôtel, seul… J’ai pris une longue douche chaude, je ne me rappelai pas des détails de la soirée.
Mais j’avais ma chatte très sensible, voire douloureuse. J’ai regardé avec un miroir, mes lèvres anales étaient gonflées un maximum et l’intérieur était rouge vif. J’ai mis de la pommade à la cortisone
En fin de matinée, je suis allé dans un service hospitalier pour chercher le traitement TPE contre le SIDA. J’ai eu une belle rencontre avec la médecin qui m’a reçu.
-Pouvez-vous me dire comment ça s’est passé et qu’est-ce qui vous fait préjuger que vous pourriez attraper le SIDA ?
-SI je vous raconte vous allez être surprise et même effrayée.
-Vous savez je suis là depuis deux ans et j’en ai entendu beaucoup sur ce type de rencontres et d’occasions. Avant j’étais au service des viols et violences sexuelles.
- Je ne doute pas de votre expérience, mais pour moi c’est assez exceptionnel.
-Dites-moi, ce sera à moi de juger.
-Ben je me suis fait baiser par une trentaine de mecs qui étaient dans un café dans le quartier de la Mosson . J’avais décidé que tous ceux qui voulaient prendre leur plaisir, le pourraient. La plupart n’ont pas mis de capote. J’ai sucé, j’ai écarté les cuisses, j’ai pris des queues dans la gorge, eu plusieurs fist avec comme gel le sperme des autres.
- Ouh là là c’est une horreur votre truc, pourquoi voulez-vous vous détruire ?
-Mais je ne veux pas me détruire, j’aime baiser, me faire baiser et j’adore chercher mes limites.
-Vous avez du plaisir dans ce type de situation ? Ou vous recherchez l’exploit,
- J’aime ça. Il y avait un maitre qui était là pour me protéger, pour me pousser dans mes derniers retranchements, mais ça s’est très bien passé. Bon c’est le nombre qui vous effraie mais faut pas vous en faire, ce n’est pas la première fois.
Elle m’a donné mon traitement TPE pour 28 jours. Une ordonnance « pour les muqueuses », a-t-elle dit et elle a glissé
-Je vous ferai bien une occultation mais j’ai peur d’en rajouter.
J’ai répondu,
-Si vous voulez voir, il n’y a pas de gêne, je veux bien vous montrer. Ce matin j’ai tartiné ma chatte, excusez l’expression, de pommade à la cortisone et je pense que dans quelques jours, il n’y aura plus rien.
Elle m’a montré une table de gynécologie,
-Allez-y installez-vous, si vous voulez
-Elle a tiré un rideau circulaire ce qui a délimitait une petite cabine. Je me suis déshabillai pendant qu’elle enfilait des gants. Le plus compliqué pour moi a été d’enlever les deux feuilles de sopalin qui protégeaient le fond de mon boxer, c’était montrer mes faiblesses. Je me suis installé sur la table les jambes et les genoux bien haut, ma chatte bien exposée. Elle a branché un spot, dirigeait le rayon sur ce qu’elle voulait examiner.
-C’est très très irrité, on le serait à moins. Tout est rouge vif, quasi sanguinolant. C’est très bien d’avoir mis de la cortisone mais je pense que votre pommade et très faiblement dosée. Je vais vous nettoyer et j’en mettrai une plus puissante. Voulez-vous que j’examine votre ampoule anale ?
- Allez-y faites ce que vous voulez.
Ces doigts ont commencé délicatement d’écarter mes lèvres de salope comme je dis. Elle y allait très doucement, avec précaution.
-Vous prenez quoi comme gel ?
- Hier, huile de silicone et gel Bovivet.
- Oui très efficace et très protecteur. Il va falloir que je mette un speculum pour ouvrir, ça va piquer un peu, vous vous en doutez ?
- Vous êtes la première qui me fait un examen quasi gynécologique. Comme en plus j’adore parler de ma « chatte », ça bouscule un peu mes repères. Mais faites ce que vous pensez nécessaire. Je suis à vous.
- N’exagérons pas, vous n’êtes pas en état.
Dit-elle avec un grand sourire. Je plante mon regard dans ses yeux, je baise ma voix, je murmure et je dis
-Faut pas me chercher, je suis capable de vous en remontrer ».
Son visage devient rouge tomate, ses yeux se figent, son sourire vire ironique.
-Je ne peux durant la permanence, conscience professionnelle, mais je peux vous surprendre professionnellement. Je vais vous faire une inspection de l’ampoule anale puis si vous voulez que je vous montre votre intérieur. J’ai une caméra interne, je peux vous l’insérer et vous verrez votre ampoule anale, votre intestin comme jamais vous n’avez pu le contempler.
-Ah oui, ça c’est original comme proposition. Allez y montrer moi.
-Ne bouger pas.
Aussitôt, elle se lève, enlève les gants, ouvre une porte et disparait. Quand elle revient elle traine deux petits chariots, l’un occupé par un écran et l’autre avec plein d’ustensiles dessus. Elle attrape une très grande seringue qui est pleine d’un liquide orangé.
-Je vais d’abord écarter vos muqueuses, je veux voir l’état interne, puis nous verrons
dit-elle en me donnant une bise sur mes lèvres anales.
Elle rapproche une table ou est installé le matériel d’osculation, elle prend un speculum de moyenne taille et le chauffe un peu avec ses mains. Elle le repose et ses doigts reprennent leur travail d’écartement de mes lèvres. Sans mentir, c’est sensible, je sens que ça ne va pas être simple d’ouvrir, mais je ne dis rien, j’ai envie de voir ce que nous allons pouvoir faire. Elle écarte mes lèvres avec ses doigts, elle a pris du K-Y pour que ça glisse. Elle met en place le speculum et elle l’écarte en vissant. Son regard est fixe, elle regarde ce qu’elle fait et lit sur mon visage, mes réactions à ces actes. Son buste se penche vers mes sexes. Elle relève la tête et me dit :
-C’est très irrité mais il n’y a aucune plaie, vous avez eu de la chance, ou c’est vos muqueuses qui vous ont protégé, vous produisez pas mal de glaires dont l’écoulement doit vous gêner parfois, mais qui là vous ont rendu service.
-Vous avez raison, parfois je dis que je mouille autant qu’une femme avec son vagin, mais finalement j’aime ça mouiller, si je voulais vous provoquer je dirais que ça fait de moi une vrai salope ».
-Ouai, je vous comprends. Il va falloir vous faire un lavement profond car nous serions embêtés par les matières fécales qui campent dans votre gros intestin. Je vais vous insérer un tube souple sur près de deux mètres et on va vous laver. Vous attendez une dizaine de minute et vous irez vous vider dans les toilettes qui sont là
dit-elle en me montrant une porte une signalétique adéquate.
Sitôt dit, sitôt fait, elle retire le speculum et commence à m’enfiler un long tube très souple, d’un diamètre inférieur au centimètre. Elle le pousse par section de 10 cms et très vite il accroche. Elle met un doigt puis deux dans mon cul et elle farfouille. Enfin elle trouve et la progression du tube reprend. Quand il ne reste qu’une trentaine de cms dehors elle raccorde le tube à la grande seringue pleine de liquide.
-Il faut trouver l’entrée de l’intestin et ce n’est pas évident. Mes doigts ne vous ont pas fait mal au moins.
- Non ça va, allez-y.
Elle m’injecte le liquide sans accourt, ça gargouille, mais j’avale tout. Apres deux minutes d’attente elle retire le tube doucement. Elle appuie une compresse contre mon anus. Et elle dit
-Quelques minutes et vous vous levez et allez aux toilettes. Vous allez expulser du liquide en plusieurs jets. Insistez ne vous pressez pas.
Je me lève, et passe aux toilettes et ça se passe comme elle l’a dit. J’évacue l’eau et des matières, je tire la chasse plusieurs fois, ça se calme, et je reviens dans la salle principale. Je me remets en place sur la table gynécologique en disant
-Dans mes plans habituels je suis sûr que l’on m’attacherait pour m’immobiliser »
- Je ne peux pas faire comme dans vos rêves, ici c’est l’hôpital, encore que je fasse ça par plaisir, pour le vôtre mais aussi pour le mien. Nous sommes en terres perverses.
Une fois installé, je constate qu’elle a mis en place les deux plateaux qu’elle a été chercher. A côté d’elle il y a du matériel qui ressemble au tube de tout à l’heure et un gros cadran avec pas mal de boutons. La tige fine elle aussi semble moins souple que le tube précèdent. Et près de moi, j’ai un écran branché qui est assez sombre où on ne distingue rien. Elle s’installe face a mes jambes, me sourit et repasse un gel sur mon anus. Puis elle présente le tube et l’écran s’anime. On distingue une cavité de chair très rouge. Elle pousse le tube camera et il atteint le fond de l’ampoule, elle manœuvre et la caméra remonte un canal blanc, la caméra avance assez lentement mais je suis fasciné par mon intérieur.
-On est dans l’intestin, vous avez une grosse courbure au fond de l’ampoule anale, ce qui a dû gêner souvent les fisteurs qui voulaient aller plus profond. Ce n’est pas simple d’arriver à passer ce cul de sac. Mais à part l’irritation de l’ampoule anale, je ne vois rien d’inquiétant. On peut aller jusqu’au bout de l’intestin si vous voulez ? Ça vous fait quoi de voir vos entrailles ? ».
-C’est chirurgical, ça m’intéresse mais c’est la visite d’une main qui me ferait plaisir.
-Vous êtes insatiable. Vous voulez que ma main rejoigne la caméra ? Je ne sais pas si je vais oser le faire ?
-Allez-y, faites-moi plaisir, donnez-moi du plaisir, je suis sûr que vous le regretteriez si vous ne le faites pas .
Elle bouge la tête de droit à gauche comme pour dire non. Elle me regarde avec un air plutôt étonné, éberluée.
-Oh et puis vous avez raison, si je ne le fais pas je le regretterai. Mais si vous voulez que je vous baise il me faut endormir votre sexe. Sinon vous aurez trop mal et je n’aime pas faire mal.
Elle se lève, se dirige vers une armoire et cherche. Elle sort un gros tube de couleur verte.
-C’est un anesthésiste local que nous utilisons dans le cas de souffrance gynécologique, ça fait effet rapidement mais ça à un défaut, vous allez perdre de votre sensibilité.
Elle prépare sa main en étendant du KY mélangé à sa pommade. Apres avoir nettoyé mes lèvres elle passe sa pommade, en enfonçant un puis deux doigts dans mon cul. Je lui dis :
- Vous avez fermé la porte ? je ne voudrai pas que vous soyez surprise votre main dans mon cul. Moi, je m’en moque, ça m’amuserait plutôt. Mais vous ? Allez fermer la porte et revenez moi en tenue plus sexy. J’aime bien votre bouse blanche mais je vous préfèrerai plus bandante ».
Elle sourit et répond «
-Vos désirs sont des ordres
Elle file fermer la salle en fermant à double tour. Puis elle revient vers moi et tombe sa blouse qu’elle pose sur une chaise puis elle enlève son pull, ouvre la braguette de son jeans et l’enlève en s’asseyant sur la chaise. Elle a une culotte blanche et un soutien-gorge blanc. Elle les enlève en plantant son regard dans le mien. Son pubis est rasé ou épilé. Elle est belle. Elle a un beau cul, de belles fesses, un dos musclé. Elle rattrape sa blouse, l’enfile et dit :
- Je reste votre médecin.
-Si peu, si peu, venez m’embrasser, vous êtes magnifique avec vos chaussettes blanches, votre bouse qui vous déshabille, magnifique. »
-Et vous vous êtes un ange, un ange tentateur, ou un diable pour ceux qui ont peur du sexe, vous êtes le sexe tentateur…
-Holà n’en jetez plus, c’est vous l’ange, moi je suis vieux, emporté par mes désirs, vous vous avez la beauté de la jeunesse, le courage de succomber à la tentation, vous soignez mais n’hésitez pas à vous donner.
Elle vient vers moi et se penche pour m’embrasser, c’est doux, tendre, envahissant, elle donne ses lèvres, sa langue, sa respiration… Puis elle se relève et se remet face à mes sexes, je vois qu’elle touche mes lèvres mais je ne sens presque plus rien. Elle sourit :
-Efficace n’est-ce pas ?
-A ouiii je ne sens presque plus rien.
Je la voie qui manipule le câble de la caméra qui est toujours en place.
-Je vais vous fister, c’est un de mes fantasmes que je n’ai jamais pu satisfaire avec tous ceux avec qui j’ai baisé jusqu’ici. Je veux savoir, connaitre les sensations d’une main qui fouille, d’un poing qui martèle.
-Ne vous gênez pas, faite moi plaisir, prenez-moi, baisez moi madame, je suis à vous.
Et la voilà qui remet sur sa main du K-Y et de la pommade anesthésiante. Elle présente sa main en fuseau devant mes lèvres. Heureusement elle a une main fine, ça rentre sans que je ne sente rien. Sa main est au fond de moi, mes lèvres cerclent son poignet qui fait des rotations de droite à gauche. Les doigts de la deuxième main me caressent le scrotum, les lèvres, avec une légèreté inimaginable. C’est bon, tellement bon que ma queue se réveille, elle gonfle. La main visiteuse fouille doucement et je sens des doigts s’engager au fond dans le resserrement entre l’ampoule anale et l’intestin. Un, puis plusieurs doigts se glissent et remontent. C’est rare chez moi car d’habitude je me ferme de ce côté-là. Le trépan trouve une ouverture et ce n’est plus le poignet que resserrent mes lèvres mais l’avant-bras qui avance et m’empale peu à peu. Le bras progresse jusqu’au coude. Je n’ai pas mal mais j’ai une drôle de sensation, nouvelle et inconnu.
-Dis-moi si c’est la première fois que l’on va si profond en toi ? on le dirait en tout cas ?
- Oui tu es la première à m’envahir aussi loin. C’est drôle, j’ai une drôle de sensation, pas de douleur mais une… bizarre »
-Oui l’intestin est très peu innervé et il faut connaitre toutes les possibilités selon les configurations corporelles des personnes. Je suis contente de te faire découvrir de nouvelles sensations. Tu te souviendras que c’est une femme qui l’a fait
- Femme, Homme, qu’importe pourvu qu’il y ait plaisir, jouissance, relation.
-Et puis puisque tu veux savoir, je suis prêt à prendre rendez-vous pour que tu me fistes avec tes deux mains-poings. Aucun homme n’a réussi mais toi tu devrais pouvoir me défoncer avec tes deux poings. J’adorerai que mon cul devienne des menottes pour tes deux mains. Mais pas aujourd’hui car je suis quand même très irrité
-humm ça peut se faire, mais faudra se revoir pour ça et tu me dois d’abord une bonne séance de jouissance, car moi aussi j’en veux.
-Ok pas de soucis ma belle quand tu veux.

Les avis des lecteurs

visiblement des lecteurs n'aime pas que je quitte ma condition de salope soumis. Le gang bang est véridique même s'il date de plus d'une décennie. Par contre la rencontre avec la médecin est vrai au début et puis fantasmatique.
je vais faire une pose dans mes histoires car je me rend compte qu'elles plaisent a une toute petite minorité. Bises a tous

Histoire Erotique
Gangbang anaux non protégés mais belle scène de fist qui promet une suite excitante

Histoire Erotique
Histoire inventee.. pfff.

Histoire Erotique
complétement nul !
si c'est pour gâcher l'histoire ce n'est pas la peine de faire un prochain chapitre

Histoire Libertine
SIDA et autres MST !!!! 🤦‍♀️😤

Histoire Erotique
N'importe quoi...



Texte coquin : Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (9)
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