Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe

- Par l'auteur HDS Fandefist34 -
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Récit libertin : Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe
Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (5)

Le mardi suivant, après réception du texto, j’attends alongé et immobilisé. Cela fait six fois que je me retrouve immobilisé dans l’attente de mon male. Je ne pense plus être en danger ou disponible pour quelqu’un qui rentrerai dans la chambre par hasard. J’entends la porte s’ouvrir mais rien ne se passe, il ne vient pas s’assoir sur le lit. Puis je devine que quelqu’un d’autre est là. Il n’a pas refermé la porte. Je dis assez bas « qui que vous soyez, laissez-moi, mon mec va arriver et ça peu mal se passer ». La personne vient jusqu’au lit, fait le tour et je sens une main qui se pose sur mes fesses. A priori ce n’est pas Ahmed car la main est moins importante que les siennes. Une seconde main se pose sur mes jambes et les deux me caressent de bas en haut. Ça dure quelques minutes et une autre personne arrive dans la chambre. Ils ne parlent pas. Ils sont assis d’un côté et de l’autre du lit. Ahmed est donc venu avec quelqu’un. « Tu as vu la confiance qu’elle me fait. Rentre un ou deux doigts dans son cul pour voir comme elle est chaude et comment c’est souple ». C’est Ahmed qui parle au second qui s’exécute et me pénètre avec un puis deux doigts. Je ne dis rien mais il est hors de question que le second me baise sans capote. Ahmed a dû le comprendre parce qu’il dit de suite « Si tu veux l’enculer, il te faut mettre une capote, il n’y a que moi qui est le droit de la prendre sans rien ». Mais l’autre ne souhaite pas aller plus loin. Il dit à Ahmed qu’il ne le croyait pas, que ça lui semblait impossible. Il s’en va et Ahmed ferme la porte derrière lui. Il me parle de suite « tu es très courageuse, tu aurais pu crier, pleurer, t’énerver même attaché. Je suis fier de toi. Je vais te donner du plaisir ma salope, tu le mérites. » J’entends qu’il se déshabille il se met à genoux entre mes jambes écartées et commence à me sucer le cul. Il s’applique au moins cinq minutes et il me mouille tout l’intérieur des fesses. Il glisse des doigts dans mon trou, le triture, l’écarte. Il y a d’abord deux doigts de chaque main puis trois. Il étire mon anus. « Tu es vraiment très souple, surprenant même. J’ai vraiment envie de voir jusqu’où tu peux aller ». Je me taie volontairement me contentant de gémir au travail de ses doigts et je suis tout chose face à ce que je viens de vivre. Ahmed veut donc me donner au moins à un autre homme ? Jusqu’où veut-il aller ?. Mais, nu sur moi Ahmed présente sa queue et m’encule. Et comme chaque fois, le plaisir arrive, me submerge. Je suis tellement excité par le travail de ses doigts que je me cambre au maximum, je tends mon Cu vers sa queue, je la veux toute, puissante, et baveuse.
« Enlève ton bandeau », on boit du vin et je m’agenouille devant lui pour sucer et nettoyer sa queue. Ça a une bonne odeur et je ne sens rien du fait qu’il y a quelques minutes elle me travaillait mon trou. Il me regarde avec un sourire resplendissant. Puis on parle. « C’était qui ? » je demande. « Un gars que je connais dans mon village et qui a du mal à se trouver une femme. Il est toujours en train de se plaindre de ne pas pouvoir juter. Je lui ai dit de venir que je connaissais quelqu’un qui aimez ça, qui avait envie et dont il pourrait s’occuper. Mais il est trop jeune et ne sait pas trop ce qu’il veut. Toi tu as été très bien, j’avais un peu peur que tu refuses, que tu gueules. Je t’aurais ballonné mais tu as bien réagi ». Je souris et j’avance dans ma soumission. « J’ai confiance en toi, tu ne m’as jamais déçu, tu me pousses plus loin que là où j’en serai, mais tu n’as jamais dépassé mes limites. Si je refuse, tu t’arrêtes et ça c’est rassurant ». « A quoi bon, inutile de te violer, tu aimes te faire baiser, tu n’en as jamais assez. Il suffit d’attendre. Tu feras tout ce que je veux. Quand tu hésites, que tu recules, c’est juste pour un temps. Si j’insiste, tu y viens. Ça me convient. Au passage ça ne t’aurait pas déçu de te faire prendre par ce mec. Tu aurais accepté, dis-moi ? ». Je baisse les yeux et j’en rajoute, « je suis à toi Ahmed, tu le sais, c’est toi qui commandes. Et merci pour lui avoir demandé de mettre une capote ». Il prend mon visage dans ses deux mains, il me regarde fixement, plante ses yeux dans les miens et ajoute « Tu es à moi, tu m’appartiens, je vais faire de toi ce que je veux. Tu vas devenir ma pute et je suis sûr que tu en redemanderas encore et toujours. Comme tu dis, tu es bien trop salope pour te priver ». Je rougis, je sens mon visage plein de chaleur, je ne sais que dire face à ce programme. Je reprends du vin pour me donner une contenance. Est-ce que je veux devenir sa pute ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce une expression ou veut-il me vendre, m’imposer des « clients » ... ça chavire dans ma tête. Je me raccroche à mes limites. « Il te faut me promettre que jamais tu ne me mettras en danger. Pas de violence, respect de mes paroles, si c’est oui, c’est oui, si c’est non, c’est non. A part toi personne ne me baise sans capote... » Je vais où là, j’accepte déjà qu’il y ait d’autres mecs... Il sourit largement. « Mais oui ma salope, on ne va pas changer nos règles, ne t’inquiètes pas je vais te protéger, je te donnerai du plaisir mais il faudra m’obéir même quand c’est difficile. Mais l’essentiel c’est que tu acceptes, je suis très content, tu vas devenir ma pute et ça va te plaire ».
Le reste de l’après-midi s’est passé comme les autres. Il m’a baissé, j’ai pris une fessée pour la première fois et qui m’a bien secoué. « Ce n’est pas pour te punir, c’est pour que tu saches ce que je peux faire quand tu ne m’obéis pas ». Il m’a rebaisé face au miroir en me pinçant les seins assez violemment. Une façon de montrer sa force. Et puis, il est parti en disant « A mardi prochain, ma salope, même consigne qu’aujourd’hui ».
Le mardi d’après j’ai eu de nouveau droit à un mec qui est arrivé avant lui alors que j’étais immobilisé sur le lit. Il s’est assis sur le bord du lit m’a caressé en insistant sur mes fesses et l’intérieur des cuisses. J’ai commencé à bander. J’ai entendu qu’il défaisait sa braguette, qu’il déchirait quelque chose et j’ai compris qu’il enfilait une capote. Le mec c’est allongé sur moi et m’a baisé. ¨Plus tard j’ai compris que c’était mon premier client. Il m’a bien enculé pendant quelques minutes avant de se vider dans sa capote avec des petits cris de satisfaction. Il est parti assez vite et mon maitre est arrivé. Le vendredi après-midi j’ai eu droit à deux mecs qui me sont passé dessus, avec capote et comme tout était bien organisé j’ai compris que c’était Ahmed qui organisait les passages. Pourtant les deux jours il n’a rien dit sur les hommes qui étaient passés, pas la moindre remarque. Les deux après-midis ont été magnifique, il m’a baisé plusieurs fois, je l’ai sucé aux ordres et j’ai aimé émoustillé par les baises préalables.
Le Mardi suivant c’est lui qui est arrivé lorsque j’étais attaché. Nous avons baisé, bu, j’ai sucé et il est parti. Après m’être douché et habillé à la fin de la demi-journée, j’ai quitté la chambre et pour rentrer chez moi. Mais en sortant un gars m’attendait derrière le bureau d’accueil qui n’ouvre que le soir et pour les petits déjeuners. Il me dit « je peux vous dire un mot » et m’indique un petit bureau derrière sa banque d’accueil. Je rentre dans le bureau, il repousse la porte. « Que vous louiez votre chambre pour l’après-midi pour baiser ne regarde que vous. A partir du moment où vous êtes discret ça ne me gêne pas. Mais ces derniers jours, vous étiez trois, voire quatre. Je ne peux pas vous laisser aller plus loin. Il n’est pas question que l’hôtel devienne un lieu de passe. Trouvez un autre lieu, je regrette mais c’est comme ça. L’hôtel risque bien trop gros si on vous laisse faire ». « Ok, je vous remercie pour votre discrétion. Comment avez-vous vu un troisième entrer ? » « Ça fait deux fois que je me doute de vos activités, tant que vous étiez deux et discret pas de soucis, mais les autres, je les aie repéré avec la caméra de surveillance. Désolé mais je suis sûr que vous trouverez d’autres lieux ».
J’avais le mistral dans la tête. Je me demandai si j’assumerai, si je ne devenais pas fou...Je l’ai appelé le lendemain pour lui dire que nous devions changer d’hôtel, qu’il faudrait faire attention, qu’il ne pourrait pas faire venir d’autres mecs que lui. Il m’a dit on trouvera une autre solution pour l’instant cherche un autre hôtel.

Le vendredi suivant j’avais un autre hôtel, plus éloigné mais d’une catégorie supérieure. L’ennui c’est qu’il y avait un accueil mais je ne pensai pas que ça poserait problème. Un ennui cependant, la chambre est au deuxième étage et une femme et son chariot avec du matériel est en train de terminer des chambres. Je me dis que si j’entrouvre ma porte elle peut avoir des surprises. Son texto arrive, je réponds qu’il y a une femme de chambre qui fait encore des ménages dans le couloir. Est-ce qu’il exige la porte non verrouillée ? Réponse « M’en fout, veux pas savoir, tu dois obéir ». Je vais voir dans le couloir où en es la femme ? Elle est à 15 mètres et il ne lui reste que quelques chambres à faire. Mais si elle revient sur ses pas elle peut être intriguée par cette porte entrebâillée. Mais les ordres sont clairs. Je me prépare donc comme les fois précédentes : collier, bas, bracelets, sangles, bandeau, bâillon-boule, mousquetons. Je n’en mène pas large, j’écoute tous les bruits et j’ai même un peu peur de choquer cette femme si elle pousse la porte.
Je constate que j’ai oublié de vous parler de son dernier cadeau le bâillon-boule. Désormais lorsque je me déplace pour nos rencontres j’ai un sac à dos qui contient tout le matériel accumulé.
Heureusement rien ne se passe et je reconnais aux pas l’arrivée d’Ahmed. « Tu vois, ça ne sert à rien de t’inquiéter ma salope ». Il s’assied et me caresse longuement et puis il dit « je t’ai amené un nouveau cadeau. Je trouve que ton cul mérite plus que ma queue. Tu es bien plus large et je suis sûr que l’on peut faire mieux. ». Je sens qu’il met une crème un peu froide sur mon anus et je sens la pénétration d’un objet bien plus important que sa queue. C’est soit un gode, soit un plug mais il est assez large parce qu’il ne rentre pas facilement. Il pousse, il retire, il tourne et que croyez-vous qu’il arriva ? Mon Cul s’ouvre assez vite et j’avale l’engin qui se révèle être un plug vu le resserrement une fois la grosse section passée. Il tape dessus le plug ce qui m’envoie des ondes en profondeur. Ce n’est pas le plus gros que j’ai déjà avalé. Il est important mais j’en ai chez moi des plus conséquents. « Tu vas t’agenouiller et me sucer longuement ». Disant cela il défait les mousquetons mais me tient par l’épaule pour me diriger. Il n’est pas question que j’enlève le bandeau. Je m’agenouille à côté du lit, le plug bien coincé. Et je cherche sa queue, qu’il me donne en la mettant face à ma bouche. Je le suce avec ma langue, ma bouche et j’y met toute ma détermination. C’est bon mais je ne jouirai pas de cela., je suce, j’aspire, je pompe et je reçois son jus dans la bouche, j’avale avec plaisir. Il me laisse à genoux et me dit « alors c’est supportable, pas trop gros pour ton Cu ? »
Et là j’ai déconné car j’ai dit « tu sais je crois que je peux prendre plus gros et même autre chose que des plugs ou des godes ». J’ai senti à son intonation que j’avais piqué sa curiosité. « Qu’est-ce que tu veux dire ? » J’en avait trop dit et je ne savais pas comment m’en sortir alors j’ai plongé « on peut travailler un cul avec les doigts, le dilater l’élargir… j’ai failli aller plus loin mais j’ai freiné. Il s’est relevé à pris la bouteille d’huile de silicone et il s’est penché vers mon cul et a mis une longue rasade d’huile sur mon anus. Il a enfilé deux doigts de chaque main et il a commencé à l’étirer. Je lui ai alors dit « avant de forcer il faut lui donner des sensations, le caresser, il faut l’apaiser avant de le forcer ». Apprends-moi m’a-t-il dit je n’ai jamais fait ça ». Je me suis retourné mis sur le dos, j’ai remonté mes jambes, passé mes bras sous mes genoux et lui ait présenté mon cul. J’ai poussé sur mon anus pour qu’il sorte et je lui ai dit. « Glisse trois doigts dans mon Cul et tourne ta main vers la gauche ». Il l’a fait plusieurs fois, sa main était très grosse et je n’étais pas sûr de pouvoir l’avaler. « Ajoute un quatrième doigt et garde ta main en fuseau » et je lui ai montré avec une des miennes. Tourne toujours vers la gauche mais en tournant tu pousses vers l’intérieur. Sent comme ça s’ouvre, comme ça résiste. Tant que tu ne sens pas que ça s’ouvre, que ça continue de s’ouvrir tu ne dois pas pousser, tu dois être puissant mais de façon mesurée, maitrisé ». Il regardait mon cul avec une concentration appliquée. Il a tourné sa main, retourné, ouverts ses doigts à l’intérieur, il a poussé. Mais mon cul résistait devant la grosseur de sa main. J’ai alors dit attends, je vais prendre des poppers. Il a retiré sa main, je me suis trainé jusqu’à mes fringues récupéré ma fiole et revenu m’installer devant lui. J’ai relevé mes jambes, lui ai dit de remettre de l’huile et j’ai commencé à prendre des poppers en sniffant plusieurs fois dans chaque narine. J’ai senti la chaleur monter rapidement et sa main a repris possession de mon anus. Ça c’est ouvert assez vite et je lui ai dit d’ajouter son pouce tout en gardant la main en fuseau. La main a commencé à rentrer, j’ai repris des poppers et elle est rentrée intégralement. Son visage, son regard était fasciné. Je lui ai demandé de ne plus bouger un moment puis de recommencer à tourner lentement, très lentement, je bandais mais aucun de nous n’y a porté attention. « Tu vois ça s’appelle un fist et c’est très agréable. Lui aussi avec sa queue toute dressé. Il fallait la rassurer alors je lui ai dit « retire ta main et encule-moi ». Il a essuyé ses mains avec une serviette et il m’a enfilé. J’ai serré mon anus pour qu’il sente bien qu’il me pénétrait et vogue la galère on est parti à deux vers le bonheur. Même après un fist sa queue ne me faisait pas mal. J’ai gémi, crié, à nouveau. Il m’a bâillonné avec sa main mais lui grogné comme un cochon. Il a joui dans un cri. Là je l’avais mené loin dans mon monde. On n’a plus bougé pendant de longues minutes et quand on a commencé à bouger j’étais inquiet de sa réaction.
« C’est la première fois que je vois ça, je n’imaginai pas cela possible, c’est incroyable… et tu aimes il n’y a qu’à voir ta queue. ». Puis il m’a demandé de voir la fiole de poppers. Je lui ai montré, il a ouvert, il a senti mais il n’a pas voulu aspirer fortement. Il m’a dit alors « toi, tu es tout sauf un débutant. Tu as une grande expérience de la baise. Combien as-tu pris d’hommes jusqu’à aujourd’hui ? » « Je ne peux pas te répondre sur cela, je me fais baiser depuis plus de 25 ans, j’en ai eu beaucoup, mais peu compte réellement ». Il m’a alors demandé « c’est quoi un mec qui compte pour toi ? Combien en as-tu eu qui compte comme tu dis ? » Je lui ai répondu une vingtaine. Ce sont des mecs avec qui j’ai eu des histoires assez longues, des gars qui m’ont appris des choses, des gars qui m’ont dominé et m’ont amené plus loin que ce que je pensais ». « Est-ce que je suis ton maitre aujourd’hui ? le seul ou il y a d’autres mecs avec qui tu baises » « Non, tu es le seul actuellement et oui tu es mon maitre parce que tu me domines ». « Raconte-moi ce que t’ont fait faire les maitres qui comptent, »
J’ai compris que cette discussion allez me mener loin. J’ai un principe quand on me pose une question, je réponds et je dis la vérité. C’est plus simple que d’inventer des histoires. Mais parler de mes anciens maitres avec lui, c’était ouvrir une boite de pandore. J’allai lui donner des clés sur moi pour l’avenir. « C’est compliqué de tout te raconter. Je vais te décrire un plan par maitre. Je vais te raconter ce qu’ils m’ont fait ou fait faire et dont je garde un bon souvenir. Certains sont restés avec moi quelques semaines, d’autres bien plus longtemps, trois plus d’un an ». « OK, raconte ce qu’ils t’on fait faire. On a le temps, détailles moi, je veux tout savoir ».
Et me voilà parti pour faire le récit de quelques plans d’enfer. Comment un premier maitre m’a amené chez des gars qu’il draguait en disant « j’ai un soumis à vous proposer pour une soirée. Ils étaient quatre avec ce maitre et j’ai passé une soirée à me faire enculer d’abord dans la chambre où ils rentraient un après l’autre, puis dans le salon où ils m’avaient dit de venir et où l’un me passait dessus pendant qu’un autre se faisait sucer par moi. Comme je prenais des poppers pour me donner du courage, j’ai fini la soirée totalement cassé. Un deuxième maitre m’a fait découvrir les saunas. Il s’occupait de ma protection imposant capotes avant tout rapport mais j’ai été avec lui la reine d’un soir au sauna. Il m’a d’abord baisé dans une cabine, puis il m’a dit « je suis sûr que tu aimes t’exhiber et il m’a imposé d’aller dans la piscine chaude avec un collier autour du cou. Plusieurs mecs m’ont baisé avec du monde autour qui regardait et plusieurs mecs qui se branlaient et éjaculaient sur ma gueule, ma tête, mes cheveux. A une heure du matin, le gérant du sauna est venu et nous a dit « bon, c’est fini mais vous m’avez vraiment tout dégueulassé. N’y revenais pas ». Un autre m’a amené dans des rencontres de couple échangiste et a dit à la Cantonnade quand je suis rentré dans la villa. » J’amène une salope qui va battre toutes les femmes présentes. Je suis sûr que vous n’avez jamais vu autant d’avidité sexuelle. Je me suis fait enculer, baisé par les deux trous, j’ai sucé des queues, des minous, j’ai fait jouir des femmes avec ma langue pendant qu’on m’enculait. C’est le premier soir où je me suis fait fister en public et c’était une femme qui m’avait enfilé sa main et son poing. Il y avait beaucoup de paires d’yeux pour regarder cela et moi j’ai fermé les yeux tellement c’était bon et jouissif. Un autre maitre m’a amené chez lui un soir de partouze. J’étais attaché bras levés, jambes écartées au milieu du couloir et je barrai le passage. Chaque fois que quelqu’un voulait aller du salon aux chambres, je devais être corrigé avec soit une ceinture, soit une baguette. Cette nuit-là j’ai vraiment souffert et je n’ai pas aimé du tout. Je me suis même séparé de ce maitre après ce plan. Un autre maitre m’a amené sur un parking d’autoroute un samedi soir quand les camions doivent s’arrêter pour respecter l’interdiction de rouler le dimanche. J’ai été la pute d’une dizaine de routiers, ils m’avaient enfermé dans l’arrière d’un camion, ils jouaient entre eux et moi je n’étais jamais seul et jamais sans rien à faire. Ils m’ont baisé toute la nuit et à la fin il y en a deux qui m’ont fisté en public. Gros moment de voir ses mecs regarder le poing rentrer dans mon Cul, des papillons devant un phare. Enfin le dernier plan extraordinaire c’est une nuit ou le même maitre m’a amené dans un bar cuir qui avait une immense backroom au sous-sol du bar. Il m’a fait installer sur un sling attaché par mes bracelets de cuir aux poignets et chevilles. Et j’ai pris onze fist en une nuit. Le maitre distribuait les gants, la crème, me popperisait régulièrement, j’ai même pris un cachet qui m’a spidé. A la fin, je pleurais parce que je voulais que ça s’arrête et le maitre disait à la cantonade. « Onze fist, personne ne veut essayer en plus » et moi je disais « non, non ! Mais je n’ai pas utilisé le mot qui aurait arrêté la soirée. Ce mot, ce soir-là était « Misère je calle ».
Ahmed a très peu parlé durant mes récits. Il m’écoutait, je pourrai dire religieusement. Il posait parfois quelques questions de détail, « poppers tu en prend facilement, ça fait quoi ? Fist plusieurs fois, c’est possible ? Mot de sécurité, c’est quoi ?» A la fin il a dit « j’étais loin de me douter de toutes ses expériences ». Et il a surtout dit une phrase qui m’a ensuite fait réfléchir longtemps. « Et tu as fait tout cela sans te faire payer ? »
Il n’y a pas eu d’autres baise ce jour-là. Je pense que la tension nerveuse du fist avait pompé toute notre énergie.
On s’est appelé plusieurs fois dans les jours qui ont suivis. Inutile de vous dire que bien qu’habitué à être fisté, mon cul avait dégusté compte tenu de la taille de sa main. J’ai traité à la crème anti hémorroïde j’avais mal mais j’étais content.
Quand j’ai commencé à lui parler du mardi suivant, il m’a arrêté. « Mardi prochain, je t’emmène dans un sauna. Je veux voir avec mes yeux si ce que tu m’as raconté est vrai, si tu ne te ventes pas ». J’ai répondu « pas au sauna de notre ville, je tiens à être discret. Il va falloir aller dans le sauna de la ville d’à côté (pour les mêmes raisons je tiens à ne pas localiser réellement les plans décris ici). « Ok va pour ce sauna, prévient simplement ta femme que tu pourrais rentrer tard, inutile de l’affoler ».

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Vous êtes complètement à la ramasse pour glorifier la prostitution. 😡😡



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