Comment j’ai découvert le plaisir de la soumission. - histoire érotique

Je vous raconte depuis quelques mois certains passages de ma vie sexuelle avec mes hommes, dans le désordre, selon mon bon plaisir. J’ai réalisée cette nuit seule dans mon grand lit, mon homme s’étant absenté pour quelques jours, que vous ne connaissiez pas mes débuts. Alors voilà, voilà comment j’ai découvert la soumission, les godes, vibros, boules de geïcha, plugs, laisse et collier de chien, menottes, fouet et paddle… le tout en deux jours d’une intensité inoubliable. Voici ma première rencontre avec le sexe, je veux parler bien sûr d’un sexe libéré de tout tabou.
Un après-midi, sur Facebook, une copine poste une photo sympa, que j’aime. Le soir je vais faire la fête chez des amis, je rentre à 3 heures du mat’ totalement bourrée ! Je me connecte sur FB, lis le commentaire d’un mec sur cette photo. Ce n’est pas la première fois que je lis ses commentaires, il me fait rire et je le trouve drôle et brillant. Vu l’état dans lequel je suis, je lui envoie un message perso du genre « T’es trop drôle, je t’aime ». Et je m’endors. Le lendemain matin, réveil mal de tête, je me souviens vaguement avoir envoyé un message à quelqu’un cette nuit… je vérifie et j’ai déjà une réponse me proposant de m’appeler quand je le souhaite… Une heure plus tard, après une douche et un bon café, j’envoie mon 06, moins de trois minutes plus tard, mon téléphone sonne. La discussion commence et immédiatement la connexion se fait… dès ce jour, nous nous parlons entre 3 à 5 heures par jour, je tombe raide dingue de cet homme dont je n’ai vu que des photos… Nous parlons de tout, sans aucun tabou. Au niveau sexuel, je suis plutôt assez classique, relations à deux, pas d’accessoires, pas de jeux de rôle, j’aime faire l’amour et suis satisfaite… Jusque là. Le seul problème entre nous : nous habitons à 600 km l’un de l’autre ! Au bout de 2 mois, n’en pouvant plus, nous organisons un rendez-vous à mi-chemin. Je réserve une chambre d’hôte pour 15 jours plus tard. Nous nous retrouverons sur place, nous nous rencontrerons en chair et en os pour la première fois… 15 jours où la tension monte… et je ne sais plus comment mais nous élaborons petit à petit un scénario très précis pour notre rencontre. Nous ajoutons des détails, négocions chaque geste, chaque mot… nos SMS sont torrides et à chaque SMS reçu, je suis trempée. Je suis dans une excitation permanente.
Jour J. J’arrive deux heures avant lui. J’installe la chambre au mieux, je vire l’horrible dessus de lit à fleur, tire les rideaux pour tamiser la lumière, j’ai amené une bouteille de champagne comme convenu, la range au frigo, demande deux verres à pied… La bonne surprise c’est l’armoire de la chambre… elle est immense et sa porte est un miroir ! Je prends une initiative par rapport au scénario décidé : j’oriente la porte pour que l’on puisse se voir depuis le lit… Je file sous la douche, me prépare soigneusement, j’enfile une robe choisie pour l’occasion, très féminine, cache-cœur, nouée dans le dos, très décolletée devant, rien d’autre. Et j’attends. J’entends une voiture arriver. La voix de mon homme qui bavarde avec la propriétaire. Les marches qui craquent. Je suis assise sagement dans un fauteuil face à la porte de la chambre. Comme convenu. La poignée tourne. Je suis déjà trempée…
Le scénario se déroule comme prévu. Nous avons décidé de ne rien dire, pas un mot, pas avant qu’il soit en moi. Il entre, me sourit, pose son sac, enlève sa veste et la pose tranquillement sur une chaise. Je ne bouge pas. Il me dévore du regard, c’est réciproque. Il sort une boite de son sac, vient s’assoir sur le fauteuil en face de moi, pose la boîte sur la table basse qui nous sépare, l’ouvre et prépare le jeu de backgammon. Pendant ce temps, je nous sers une coupe de champagne, nous la buvons, presque cul sec, les yeux dans les yeux… Je nous ressers. Il jette les dés, et la partie commence. La partie terminée, la bouteille est finie. Je me lève, contourne la table basse, il écarte les jambes, je m’agenouille devant lui, les mains dans le dos, je n’ai pas le droit de le toucher avec les mains. Il déboutonne son jean et sors sa queue que je prends immédiatement en bouche, goulument. Je le suce quelques minutes, un dernier coup de langue sur le gland, je me relève, me dirige vers le lit, m’installe à quatre pattes au bord du lit, toujours avec ma robe. Il se lève, soulève ma robe sur mes reins, sans me toucher, et il enfonce très lentement sa verge dans ma chatte… C’est le signal. Nous avons le droit de parler. Nos premiers mots arrivent ensemble « Oui » « Putain… » Il s’agrippe à mes hanches et me balance quelques coups de rein bien envoyés. Il s’interrompt quelques secondes pour défaire ma robe, il me met à poil, attrape mes seins à pleines mains, s’y accroche et recommence à me baiser jusqu’à ce qu’il jouisse sur mon cul ; une fois qu’il s’est bien vidé les couilles, il étale sa jute sur mes fesses puis il s’assied à coté de moi, me couche en travers de lui et m’envoie une fessée ultra violente qui me coupe le souffle mais quand je commence à crier, il m’ordonne de me taire « si tu cries, je frappe plus fort, tu as le choix » une dizaine de coups plus tard, il finit par une caresse et m’explique « Tu es merveilleuse mais tu as fait une modification du scénario, sans me demander, tu es punie. C’est tout. » « Mais qu’est ce que j’ai fait ? » « Le miroir. Tu ne m’as pas demandé » « Mais, c’était une surprise » « Quand on décide ensemble, tu ne changes rien, compris ? » « Oui… » Il se lève, va prendre une autre bouteille ce champagne, rempli nos coupes, porte la sienne à ses lèvres, je pense qu’il va m’apporter la mienne au lit mais il la pose par terre à l’autre bout de la pièce… Il sourit. Pose sa coupe sur la table, cherche dans son sac et en sort un collier de cuir et une laisse, il me passe ce collier autour du cou, me mets en laisse et me dit « allez, viens boire, à quatre pattes comme une bonne petite chienne »… Je suis stupéfaite mais j’obéis, très excitée… je traverse la chambre en laisse, et lape le champagne comme je peux, il attache la laisse au pied de la table avec un mousqueton et ordonne « tu continue à boire petite salope, reste comme çà, parce que j’aime. Ne bouge pas. J’aime te voir comme ça avec le cul en l’air, ça me donne des idées » Il retourne à son sac, je l’entends fouiller dedans, je n’ose pas me retourner pour voir ce qu’il fait, il revient vers moi, je sens un liquide froid qui coule le long de ma raie du cul, puis un objet froid qui suit la pente et sans précaution aucune, il force cet objet dans ma rondelle serrée et l’enfonce à fond, puis me branle le cul rapidement avec beaucoup de force, je ne peux pas bouger, je ne dis rien « Tu veux dire quelque chose ma chérie ? » « Non, oui… fais de moi ce que tu veux » Il retire le gode et m’empale… Il me sodomise encore et encore, s’accroche à mes hanches et me défonce consciencieusement la rondelle « je vais tellement te défoncer que tu ne pourras plus t’assoir, tu es à moi, tu es ma chose, ma femme, ma chienne, ma salope, ma boîte à foutre, une bonne petite pute, t’es ma petite cochonne bien soumise… » et moi : « Oui, oui, oui….. » Et quand il gicle au plus profond de moi, un orgasme gigantesque m’envahit, des vagues de plaisir comme je n’ai jamais connu. Rien de comparable. Dès cet instant, je lui suis totalement soumise…
La suite du weekend sera pour moi un voyage, allant de découverte en découverte, il m’empale avec un gode géant, me plugue avec un rosebud pendant qu’il me baise la bouche, il me couvre de son foutre, mon cul prendra tour à tour sa queue, un vibro, le manche de son paddle avec lequel il vient de me frapper le clito (à la limite de l’insupportable), il pose des pinces sur mes tétons, tire dessus, me mord, me traîne par les cheveux… et je passe d’orgasme en orgasme, nous finissons par nous endormir après avoir mangé, lui assis à table, moi à ses pieds, assise sur un gode ventouse, les mains menottées dans le dos, il me nourrit avec ses doigts, entre chaque bouchée je dois le sucer, quand j’ai soif, il se branle devant ma bouche et m’abreuve de sa semence…
Au réveil, un nouveau temps, il m’enlace délicatement, m’embrasse avec une douceur incroyable, ses doigts se glissent en moi délicatement, il me fait jouir lentement, tendrement. La matinée se passe entre câlins et amour… Un bain moussant, des massages… une promenade dans la forêt main dans la main… Un autre monde ! Nous parlons littérature, boulot… projets communs… De retour dans notre chambre, je lui propose un échange de rôle qu’il accepte immédiatement. Je le baise donc. Menotté au lit, je m’occupe de lui, d’abord de son cul, un peu de gel et je le plugue, je le chevauche et m’enfonce sur lui, encore et encore, et quand il vient en moi, je me retire et place mon sexe au dessus de sa bouche, il lèche son propre jus, fourre sa langue en moi, je bouge un peu et il adoucit ma rondelle abimée par ses assauts de la veille… Je le détache… je l’embrasse à pleine bouche, je me lève, vais prendre son martinet en cuir, lui tend et me place face au mur, les jambes écartées, les mains à plat sur le mur et attends. Il commence par me caresser avec. Le premier coup claque sur ma cuisse, le deuxième entre les jambes… je gémis de plaisir… « Retourne-toi et lève les bras, garde tes jambes écartées » J’obéis, déjà au bord de la jouissance, et l’alternance des caresses des lanières de cuir et des coups sur mon corps me porte aux nues… très vite il jette le fouet sur la table, et me prend contre le mur…. C’est reparti pour une après-midi folle.
15 jours plus tard, il démissionne et vient s’installer chez moi.
Voilà. C’était le début de tout. Le début de jeux sexuels insatiables. Je l’aimais. Cela a duré plus de deux ans.