Comment j'ai dompté l'ours de la montagne...
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Comment j'ai dompté l'ours de la montagne...
Comme tous les ans, je vais au sport d'hiver. Quinze jours de vacances bien méritées... si si, je vous le dis!
Cette année là, j'étais avec un couple d'amis hétéro et c'était la première fois qu'ils venaient à la montagne.
J'ai la chance d'avoir des amis à Courchevel, qui me prêtent un petit chalet pour le temps que je veux alors vu les prix pratiqués dans cette station cela fait une belle économie.
On s'est installé dans le chalet, le jeune couple dans une chambre, moi tout seul dans une autre. Ce n'était pas la première fois que l'on passait des vacances ensemble et connaissent tous mes "travers", on en rigole!
La première semaine ils prenaient des cours le matin, je skiais avec eux l'après midi. Tout se passait merveilleusement bien, le temps était de la partie. On déjeunait sur les pistes et un soir sur deux on allait au restaurant, toujours le même, assez chic. On jouait les richards.
Il y avait beaucoup de russes, on voyait bien qu'ils étaient plein de fric, les bouteilles de champagne nous passaient devant le nez. Beaucoup de jeunes femmes blondes, russes bien sûr, qui se trémoussaient dans les bras des russes, ça sentait la pute comme disait mon pote.
J'observais les mecs, que des mecs de 40-50 ans, très snobs mais en même temps faisaient vulgaires. Des mecs plein de fric mais qui ne semblaient pas à leur place dans un tel établissement se croyant tout permis et on ne comprenait rien de ce qui se disait!
Parmi eux, se trouvait un jeune mec, enfin je savais pas s'il était vraiment jeune mais son allure massive, sans être gros, des épaules carrées, blond pire que moi et une barbe bien taillée qui lui mangeait tout le visage, des cheveux courts, des yeux très clairs. J'ai vu plus tard qu'ils étaient bleus translucides. Son regard était gênant mais quand il s'est levé pour aller en direction des toilettes, il devait mesurer deux mètres... putain de barraque! on voyait bien le torse taillé sous la chemise, serré à la taille par son pantalon et ceinturon, de belles fesses étaient mises en valeur. On avait envie d'y mettre des claques, tout de suite j'ai pensé "j'y mettrais bien une fessée". Je l'ai vu s'éloigner, en marchant son cul balançait, j'avais trouvé ça très sensuel et bandant!
J'attendais son retour avec impatience et je n'ai pas été déçu. Le beau pantalon qu'il portait le moulait parfaitement et son sexe apparaissait et il semblait que le morceau devait être assez conséquent. Mais ce qui m'a fait bander, c'est de voir les quelques tâches d'humidité au niveau du sexe et je l'imaginais déjà en train de secouer son monstre devant la pissotière.
Mes yeux ne quittaient pas le moulage qui avançait vers moi, relevant les yeux, j'ai croisé son regard qui m'a glacé! ses yeux, dans la lumière du restau semblait transparent, il a tourné pour rejoindre sa table, s'est assis et m'a regardé.
Je n'osais plus croiser son regard et quand cela arrivait, je voyais de l'interrogation sur son visage. Il était assis entre deux jeunes nanas bien pourvues au niveau poitrine, qui riaient comme des gourdes à ses paroles.
Deux soirs après, ils étaient encore tous là assis à la même place. Il y avait moins de filles.
Nos regards se sont recroisés, j'ai fait mon regard tendre, doux et j'ai incliné légèrement la tête, comme pour lui dire bonjour. Il a détourné la tête rapidement sans me répondre.
Nous avons dîné tranquillement, le surveillant du coin de l'œil et je voyais bien qu'il me regardait aussi à la dérobée et semblait se poser des questions.
Je me suis levé pour aller me laver les mains aux toilettes, passant pas loin de sa table, je l'ai regardé avec un léger sourire, j'ai senti son regard m'accompagner.
Je me suis lavé les mains, j'ai pissé, je me suis relavé les mains... pas de mec!
C'est dans le couloir qui mène à la salle que j'ai vu arriver mon ours! il tenait toute la place. Il s'est adossé à la paroi pour me laisser passer, et bien sûr, j'ai fait exprès de le frôler avec mon épaule, son regarde bleu ciel n'était pas tendre. Il me fixait, arrogant, comme un mec sûr de lui! J'ai juste dit "pardon" en passant, il ne m'a pas répondu.
J'ai rejoins ma place et j'ai attendu son retour, pour avoir le plaisir de voir la belle bête en marche! et bien sûr dans mon imagination, la bosse était encore plus grosse que la dernière fois.
Les échanges de regards se poursuivaient et moi, j'avais envie de ce mec! mais putain comment faire pour l'approcher.
-bonjour monsieur le russe, est ce que vous êtes pédé ? parce que j'ai bien envie de vous mettre dans mon lit!
Je ne sais pas ce que cela aurait pu donner!
Mais je le dis souvent, le dieu des pédés veillent sur nous!
Et, c'est en faisant la queue, l'après midi, pour aller à la Cime Caron, il faut prendre la télécabine et je me suis retrouvé à côté d'un très grand mec que j'ai regardé, ma tête arrivait à son épaule et j'ai reconnu "mon" russe qui était aussi étonné que moi. On s'est regardé à travers nos lunettes de soleil, j'ai enlevé les miennes, il a enlevé les siennes et j'ai vu ses beaux yeux bleus clairs qui me fixaient, pas durement mais on voyait bien qu'il y avait plein de questions. On s'est toisé un moment... il fallait faire quelque chose.
-On mange dans le même restau certains soirs ? dis je avec mon plus grand sourire.
-oui je crois dit il.
Oh putain d'accent russe! j'avais envie de rire.
-moi c'est Fabrice dis je en tendant la main.
-moi c'est Igor tu es tout seul, tu n'es pas avec tes amis.
-non je veux faire la piste noire et ils ne sont pas très expérimentés.
-moi aussi je fais la noire.
-tu es tout seul ? dis je en regardant les personnes autour de lui.
-oui oui dit il presque en rougissant.
Je voyais des belles lèvres au milieu de sa barbe et sa moustache. Je voyais les poils dans son nez, même en me mettant sur la pointe des pieds, jamais je pourrais atteindre ses lèvres!
Le temps de la montée, on a parlé de choses et d'autres. On a fait la descente assez rapidement, il skiait très bien le russe et on est reparti dans la cabine pour refaire une autre descente en prenant son temps, s'arrêtant pour admirer le si beau paysage, faire des photos. Je l'ai pris en photo disant qu'il était le premier russe que je connaissais alors il ne fallait pas que je l'oublie. Je l'ai vu rougir! il était encore plus beau.
Mais en fait, il m'intimidait. C'était lui qui était le plus timide ça c'est sûr mais c'est moi qui ne savais plus que faire, mais on avait déjà pris contact.
On a fait plusieurs autres pistes. Il avait quand l'air d'être ravi de me connaitre et moi, me connaitre, c'est m'adopter!
Le soir on est allé dîner au restau, j'ai raconté à mes amis que j'avais fait connaissance du russe Igor.
Quand Igor est arrivé avec les autres russes, il m'a fait un petit signe de loin sans plus.
Je suis allé aux toilettes pour me laver les mains, et, en passant près de leur table, regardant Igor, j'ai dit assez fort :
-bon appétit et bonne soirée.
Sans m'arrêter. Il n'est pas venu et en revenant, c'est un des hommes russes qui, me voyant arriver, s'est levé de table, ouvrant ses bras :
-Igor vient de nous dire que tu avais passé l'après midi à skier avec lui!
-oui monsieur dis je poliment.
-je suis son père, alors tu vas venir à notre table.
-mais je suis avec des amis dis je en les montrant.
-mais pas de problème, ils viennent aussi.
Et, sans attendre notre réponse, il appelle le maitre d'hôtel et demande qu'on rajoute des couverts à leur table.
On est un peu embarrassé mais je me retrouve à côté d'Igor et là je suis content.
Le père est intarissable et parle de ses affaires, qu'il gagne énormément d'argent, qu'ils sont installés ici pour un mois etc. etc.
On boit le champagne, impossible de payer quoi que se soit.
-si tu sors de l'argent tu vas vexer mon père Me dit Igor le plus sérieusement du monde.
Pas question de le vexer, et, si en plus il connait Poutine!!!
On est invité pour le lendemain, et moi j'invite Igor à venir skier avec nous. Il finit par accepter car son père insiste!
Pendant trois jours, ce fut le même rituel. On skiait, je l'invitais à boire un verre et le soir on dînait avec sa famille.
J'avais essayé de l'amener dans notre chalet mais il avait refusé!
Ce n'est qu'au bout du cinquième jour que je lui posais la question en disant que l'on dormait dans le chalet qui se trouvait près de la piste où l'on passait.
Il a été étonné qu'on soit si près des pistes.
-tu veux visiter Igor ? c'est un vieux chalet refait par les habitants du coin c'est magnifique.
J'avais le cœur qui battait.
On a déchaussé les skis, il m'a suivi, il ne disait rien.
Je lui ai fait visiter le chalet, il a été émerveillé et posait plein de questions. On avait enlevé nos anoraks. Il paraissait énorme dans le chalet. On s'est assis, et j'ai préparé un bon chocolat chaud qu'on a dégusté en se regardant à la dérobée, comme la première fois. Je voyais bien qu'il était inquiet, qu'il se posait plein de questions.
-je suis content de te connaitre Igor, tu es un garçon très gentil et intéressant.
-intéressant ? dit il en rougissant.
-oui car tu n'es pas dans ton pays et tu as l'air d'aimer beaucoup le mien.
-je ne connais qu'ici et Paris bien sûr, mais c'est tout.
-ça te plairait de connaitre d'autres coins de France ?
-oui dit il timidement.
Je lui expliquais où j'habitais, la Sologne, les bienfaits de cette région. Il m'écoutait sans rien dire.
-mais mon père ne voudra jamais dit Igor le regard triste.
-pourquoi ? dis je en prenant sa main dans les miennes et le fixant de mes beaux yeux tendres et j'y mettais toute la tendresse que j'avais en réserve.
Il a voulu retirer sa main, et, après hésitation l'a laissé. Mes pouces caressaient le dos de sa main. Je l'ai vu rougir. Il baissait les yeux, revenait me fixer. On aurait dit qu'il avait peur de ce qui pouvait se passer.
J'ai approché ma tête de la sienne.
-t'es vraiment un beau garçon Igor et tu me plais énormément, tu me fais penser à un gros nounours russe qui manque de tendresse.
Ses yeux s'étaient attendris et me fixaient toujours.
-je peux t'embrasser Igor ? il parait que les russes s'embrassent comme ça.
-comment tu sais comment les russes s'embrassent ? dit il en souriant à travers ses poils.
Je n'ai pas répondu, j'ai fermé les yeux et j'ai approché mes lèvres des siennes, sentir son souffle, effleurer ses poils, ses lèvres chaudes entrouvertes. Il ne bougeait pas, j'ai appuyé et nos lèvres se sont épousées comme si elles se connaissaient déjà. Il a poussé un grand soupir, sa main serrait la mienne quand ma langue est partie en exploration touchant la sienne toujours tapie dans sa bouche, provoquant un cours circuit. Ses bras m'ont enserré me collant contre lui, à m'étouffer et les langues se sont battues un long moment.
On s'arrêtait pour se regarder, se sourire et revenir dans la bataille.
Je passais mes mains partout où je pouvais sur son corps. Un corps dur, ferme et il avait l'air d'apprécier le mien.
J'ai enlevé mon pull, il me regardait en souriant. Il a enlevé le sien, on était en tee-shirt et les poils de sa barbe blonde descendaient sur son torse, j'ai enlevé le tee-shirt pour admirer la toison fournie, blonde comme les blés. Je n'ai jamais vu un blond si poilu.
Je l'ai emmené dans ma chambre et j'ai fini de le déshabiller. Il se laissait faire pour voir cet ours recouvert de poils blonds des pieds à la tête! j'en revenais pas et la chose de coincée dans son boxer semblait être en proportion de la taille de l'ours!
Je me suis mis dans la même tenue. Il m'a regardé, étonné, passant ses mains sur mon torse imberbe. J'ai de suite adoré ses mains douces et chaudes qui m'excitaient encore plus. Il m'a attiré à lui, la tête dans ses poils, c'était doux, chaud. On devait être bien à dormir la dessus!
J'ai trouvé les tétons au milieu de la fourrure, ils pointaient durs. Je les ai touché avec mes doigts, les faisant tourner, puis j'en ai pris un entre mes lèvres, le léchant pour bien le dégager et entendre le premier gémissement d'Igor.
Et, ce ne fut pas le dernier!
Je me suis amusé avec ses tétons, caressant le ventre doux, passant ma main en vitesse sur le boxer pour toucher un gros mandrin. J'avais envie de ça!
Je me suis retrouvé à genoux devant lui, admirant la déformation du boxer. Sa main caressait ma joue tendrement. J'ai pris le renflement dans ma bouche, le mordant lentement tout le long de la hampe et j'ai baissé le boxer qui est tombé à ses pieds pour voir le diable sortir de son écrin et tomber sur mon visage.
Un sexe de blond, c'est beau! et j'en sais quelque chose lol.
L'odeur du russe m'a sauté au visage, ça sentait la bite! mais une odeur que je ne connaissais pas. J'ai pris la hampe dans ma main pour la remettre face à moi, voir la grosse veine qui la parcourait, cette veine foncée sous la peau d'un blond était magnifique. Le gland sorti à moitié, le méat bien ouvert laissant couler un peu de mouille épaisse et deux beaux œufs qui pendaient dessous envelopper dans leur sacoche.
J'avais du boulot face au russe! et il fallait que le petit français soit à la hauteur! Je ne savais pas s'il avait déjà baisé avec un français.
Le match France Russie a commencé!
J'ai bien décalotté doucement son beau gland, bien dessiné. C'est beau un gland humide qui vous regarde et de la pointe de ma langue, j'ai touché le méat, ramenant la mouille dans ma bouche, la goûter et revenir chercher ce qui coulait encore. J'ai tout fait du mieux que je pouvais tenant sa hampe dans ma main, mes doigts peinaient à en faire complètement le tour et mes lèvres se sont emparées du gland, léché, sucé, aspiré. Je voyais ses jambes trembler l'une après l'autre et ses gémissements! adorables! l'entendre était un plaisir.
Quand j'ai avalé sa queue, la faisant glisser sur ma langue, je la tenais par les couilles, le gland frottait mon palais en s'enfonçant doucement, touche la luette, j'éternue, tousse. Il veut se retirer, je le retiens... il se laisse faire et je continue la progression. Et je peux vous dire que ma bouche était bien remplie et comblait bien le fond. Je l'ai sucé avec application, mais lentement, appréciant chaque centimètre de cette belle queue russe, en tenant ses fesses douces et dures.
Ses mains se sont posées sur ma tête et il m'a imposé ses vas et viens. Oh pas violemment, doucement au contraire, je voyais qu'il me regardait et avait l'air d'apprécier ma bouche et mon jeu de langue!
Sans vraiment accélérer il a fini par se bloquer, j'ai senti sa bite se durcir et la première giclée russe est arrivée sur ma luette coulant en moi. J'ai fermé les yeux et les autres giclées se sont succédées. J'ai bien cru qu'il n'allait jamais s'arrêter, le sperme ressortait par ma bouche et tombait au sol. Il grognait, râlait mais les gestes de mon gros nounours étaient toujours aussi doux.
Je n'ai pas eu le temps de lécher sa queue, qu'il me relevait facilement et m'entrainait m'allonger sur le lit, me prendre dans ses bras, collant son ventre au mien, me serrer à m'étouffer et sa langue est venue lécher la mienne en me caressant d'une main le visage.
Quand il m'a regardé, ses yeux étaient magnifiques, limpides, clairs je me voyais dedans.
Il caressait ma joue en me souriant, me faisant de petits bisous sur les lèvres.
-t'as une bouche merveilleuse Fabrice.
-j'en dit autant de ton sexe Igor et en plus tu es mon premier russe dis je en riant.
-et toi mon premier français et je t'adore!
Il a recommencé à m'embrasser, on se caressait, j'avais la bite en feu quand sérieusement il m'a dit :
-tu sais ce que j'ai envie ?
-non ,enfin si j'ai plusieurs idées dis je en souriant.
-je veux que tu sois ma première bite française dans mon cul!
-s'il n'y a que ça pour te faire plaisir je veux bien être le premier! tu as déjà fait ?
-t'inquiète dit il avec un sourire vicieux même en Russie où les pédés sont très mal vu ça baise quand même!
On a recommencé à s'embrasser, se caresser, roulant sur le lit, sentir ce corps velu sur moi, m'électrisait complètement.
C'est lui qui s'est mis à quatre pattes, ouvrant ses fesses avec ses deux mains. Un beau cul s'ouvrait devant moi, une raie poilue et au centre un bel anus qui palpitait. J'ai passé un doigt, le faisant déjà gémir. J'adore toucher un anus, la peau douce et sensible est agréable au toucher et quand la langue vient s'en mêler apportant la salive, l'écartant pour ouvrir le trou, le forer, entendre le petit cri de surprise et le râle de contentement, voir son travail donner des résultats, l'anus rester ouvert après l'avoir foré de deux ou trois doigts, voir l'intérieur rouge, doux aux caresses qui excitent le mec!
Sentir sa queue durcir, le gland sortir tout seul, couler en abondance, l'amener dans la raie répandre la mouille et se positionner. Prendre l'ours de Russie aux hanches, serrer ce corps chaud qui attend et s'enfoncer lentement en râlant sous les gémissements d'Igor qui tend bien son cul. Quel délice les mecs! mon premier cul russe!
L'entendre gueuler quand le gland est passé et râler tant que ma queue n'est pas arrivée au fond de son beau cul.
On a soupiré tous les deux. Il a écarté encore ses jambes, ouvrant encore ses fesses et j'ai mis le moteur en route! je ne savais pas comment il aimait se faire baiser alors j'ai fait comme moi j'aime! j'ai fait visiter longuement son cul à ma queue qui se sentait à l'aise dans le conduit qui la serrait bien. Mais il s'offrait Igor et quand j'ai accéléré, c'est pour l'entendre râler de plus en plus fort, quand ça coulissait bien, que mon pubis claquait sur ses fesses, ce doux bruit m'excitait encore plus.
J'aurais voulu que ça dure encore plus longtemps mais ce cul russe était si accueillant que je l'ai arrosé de tout le jus que j'avais en réserve depuis une semaine!
A chaque giclée je râlais, il gueulait!
Je me suis écroulé sur son dos, il m'a entrainé sur le lit. On respirait en haletant tous les deux.
Son œil me regardait.
-je savais qu'elle était bonne ta queue le français!
Je l'ai fait bouger encore dans son cul, donnant des coups de reins. Je n'avais pas débandé!
-t'es capable de juter encore une fois dit il d'un air de défi.
-tu sais pas que "impossible n'est pas français" ?
Il a rigolé en tendant ses fesses que j'ai labouré avec force. Il râlait encore et encore, ça claquait avec force! mais il n'a jamais dit arrête!
Et j'ai joui une seconde fois en lui, en lui mordant sa nuque, en penchant sa tête pour me donner encore plus d'accès.
Et ce fut le silence dans la chambre, je me suis retiré de lui m'allongeant à côté pour le voir sourire et se jeter sur ma queue pour la prendre en bouche et la sucer, lécher avec application et revenir m'embrasser en disant.
-j'adore lécher une queue qui sort de mon cul!
On est resté un long moment l'un contre l'autre. Il me faisait souvent des bisous, caressant mon corps.
-ça te dirais de venir dormir avec moi Igor ?
-mais tes amis ? ils vont dire quoi ?
-rien, ils savent que j'aime les garçons alors, mais toi tu peux découcher ? ton père ?
-ben faut pas qu'il sache que j'aime les garçons mais je peux m'arranger tu sais.
-je voudrais pas t'attirer des ennuis.
Les cinq derniers jours, nous les avons passé pratiquement sans se quitter. On dînait tous ensemble le soir, avec son père et ses poufs! et ensuite on disait qu'on allait en boite et il demandait à son père la permission de ne pas rentrer, qu'il dormirait dans notre chalet. Je pense que c'était la présence de mes amis hétéros qui a fait que son père ne s'est jamais douté de quoi que se soit!
Les nuits étaient merveilleuses et torrides. Se réveiller dans les bras d'un ours russe beau comme un dieu je vous le recommande.
J'ai réussi à parler avec son père, disant que j'aimerais bien les accueillir chez moi pour qu'ils visitent la région. Il a fait le mec intéressé puis m'a dit qu'il n'avait pas le temps. Tu parles! il n'avait pas l'air de faire grand chose mais si Igor voulait venir, il n'y avait aucun problème mais qu'il fallait que je fasse attention à lui, qu'il n'avait qu'un fils et qu'il y tenait beaucoup!
Moi aussi j'y tiens à Igor! t'en fais pas! je vais bien m'en occuper quand il va venir me voir.
Cette année là, j'étais avec un couple d'amis hétéro et c'était la première fois qu'ils venaient à la montagne.
J'ai la chance d'avoir des amis à Courchevel, qui me prêtent un petit chalet pour le temps que je veux alors vu les prix pratiqués dans cette station cela fait une belle économie.
On s'est installé dans le chalet, le jeune couple dans une chambre, moi tout seul dans une autre. Ce n'était pas la première fois que l'on passait des vacances ensemble et connaissent tous mes "travers", on en rigole!
La première semaine ils prenaient des cours le matin, je skiais avec eux l'après midi. Tout se passait merveilleusement bien, le temps était de la partie. On déjeunait sur les pistes et un soir sur deux on allait au restaurant, toujours le même, assez chic. On jouait les richards.
Il y avait beaucoup de russes, on voyait bien qu'ils étaient plein de fric, les bouteilles de champagne nous passaient devant le nez. Beaucoup de jeunes femmes blondes, russes bien sûr, qui se trémoussaient dans les bras des russes, ça sentait la pute comme disait mon pote.
J'observais les mecs, que des mecs de 40-50 ans, très snobs mais en même temps faisaient vulgaires. Des mecs plein de fric mais qui ne semblaient pas à leur place dans un tel établissement se croyant tout permis et on ne comprenait rien de ce qui se disait!
Parmi eux, se trouvait un jeune mec, enfin je savais pas s'il était vraiment jeune mais son allure massive, sans être gros, des épaules carrées, blond pire que moi et une barbe bien taillée qui lui mangeait tout le visage, des cheveux courts, des yeux très clairs. J'ai vu plus tard qu'ils étaient bleus translucides. Son regard était gênant mais quand il s'est levé pour aller en direction des toilettes, il devait mesurer deux mètres... putain de barraque! on voyait bien le torse taillé sous la chemise, serré à la taille par son pantalon et ceinturon, de belles fesses étaient mises en valeur. On avait envie d'y mettre des claques, tout de suite j'ai pensé "j'y mettrais bien une fessée". Je l'ai vu s'éloigner, en marchant son cul balançait, j'avais trouvé ça très sensuel et bandant!
J'attendais son retour avec impatience et je n'ai pas été déçu. Le beau pantalon qu'il portait le moulait parfaitement et son sexe apparaissait et il semblait que le morceau devait être assez conséquent. Mais ce qui m'a fait bander, c'est de voir les quelques tâches d'humidité au niveau du sexe et je l'imaginais déjà en train de secouer son monstre devant la pissotière.
Mes yeux ne quittaient pas le moulage qui avançait vers moi, relevant les yeux, j'ai croisé son regard qui m'a glacé! ses yeux, dans la lumière du restau semblait transparent, il a tourné pour rejoindre sa table, s'est assis et m'a regardé.
Je n'osais plus croiser son regard et quand cela arrivait, je voyais de l'interrogation sur son visage. Il était assis entre deux jeunes nanas bien pourvues au niveau poitrine, qui riaient comme des gourdes à ses paroles.
Deux soirs après, ils étaient encore tous là assis à la même place. Il y avait moins de filles.
Nos regards se sont recroisés, j'ai fait mon regard tendre, doux et j'ai incliné légèrement la tête, comme pour lui dire bonjour. Il a détourné la tête rapidement sans me répondre.
Nous avons dîné tranquillement, le surveillant du coin de l'œil et je voyais bien qu'il me regardait aussi à la dérobée et semblait se poser des questions.
Je me suis levé pour aller me laver les mains aux toilettes, passant pas loin de sa table, je l'ai regardé avec un léger sourire, j'ai senti son regard m'accompagner.
Je me suis lavé les mains, j'ai pissé, je me suis relavé les mains... pas de mec!
C'est dans le couloir qui mène à la salle que j'ai vu arriver mon ours! il tenait toute la place. Il s'est adossé à la paroi pour me laisser passer, et bien sûr, j'ai fait exprès de le frôler avec mon épaule, son regarde bleu ciel n'était pas tendre. Il me fixait, arrogant, comme un mec sûr de lui! J'ai juste dit "pardon" en passant, il ne m'a pas répondu.
J'ai rejoins ma place et j'ai attendu son retour, pour avoir le plaisir de voir la belle bête en marche! et bien sûr dans mon imagination, la bosse était encore plus grosse que la dernière fois.
Les échanges de regards se poursuivaient et moi, j'avais envie de ce mec! mais putain comment faire pour l'approcher.
-bonjour monsieur le russe, est ce que vous êtes pédé ? parce que j'ai bien envie de vous mettre dans mon lit!
Je ne sais pas ce que cela aurait pu donner!
Mais je le dis souvent, le dieu des pédés veillent sur nous!
Et, c'est en faisant la queue, l'après midi, pour aller à la Cime Caron, il faut prendre la télécabine et je me suis retrouvé à côté d'un très grand mec que j'ai regardé, ma tête arrivait à son épaule et j'ai reconnu "mon" russe qui était aussi étonné que moi. On s'est regardé à travers nos lunettes de soleil, j'ai enlevé les miennes, il a enlevé les siennes et j'ai vu ses beaux yeux bleus clairs qui me fixaient, pas durement mais on voyait bien qu'il y avait plein de questions. On s'est toisé un moment... il fallait faire quelque chose.
-On mange dans le même restau certains soirs ? dis je avec mon plus grand sourire.
-oui je crois dit il.
Oh putain d'accent russe! j'avais envie de rire.
-moi c'est Fabrice dis je en tendant la main.
-moi c'est Igor tu es tout seul, tu n'es pas avec tes amis.
-non je veux faire la piste noire et ils ne sont pas très expérimentés.
-moi aussi je fais la noire.
-tu es tout seul ? dis je en regardant les personnes autour de lui.
-oui oui dit il presque en rougissant.
Je voyais des belles lèvres au milieu de sa barbe et sa moustache. Je voyais les poils dans son nez, même en me mettant sur la pointe des pieds, jamais je pourrais atteindre ses lèvres!
Le temps de la montée, on a parlé de choses et d'autres. On a fait la descente assez rapidement, il skiait très bien le russe et on est reparti dans la cabine pour refaire une autre descente en prenant son temps, s'arrêtant pour admirer le si beau paysage, faire des photos. Je l'ai pris en photo disant qu'il était le premier russe que je connaissais alors il ne fallait pas que je l'oublie. Je l'ai vu rougir! il était encore plus beau.
Mais en fait, il m'intimidait. C'était lui qui était le plus timide ça c'est sûr mais c'est moi qui ne savais plus que faire, mais on avait déjà pris contact.
On a fait plusieurs autres pistes. Il avait quand l'air d'être ravi de me connaitre et moi, me connaitre, c'est m'adopter!
Le soir on est allé dîner au restau, j'ai raconté à mes amis que j'avais fait connaissance du russe Igor.
Quand Igor est arrivé avec les autres russes, il m'a fait un petit signe de loin sans plus.
Je suis allé aux toilettes pour me laver les mains, et, en passant près de leur table, regardant Igor, j'ai dit assez fort :
-bon appétit et bonne soirée.
Sans m'arrêter. Il n'est pas venu et en revenant, c'est un des hommes russes qui, me voyant arriver, s'est levé de table, ouvrant ses bras :
-Igor vient de nous dire que tu avais passé l'après midi à skier avec lui!
-oui monsieur dis je poliment.
-je suis son père, alors tu vas venir à notre table.
-mais je suis avec des amis dis je en les montrant.
-mais pas de problème, ils viennent aussi.
Et, sans attendre notre réponse, il appelle le maitre d'hôtel et demande qu'on rajoute des couverts à leur table.
On est un peu embarrassé mais je me retrouve à côté d'Igor et là je suis content.
Le père est intarissable et parle de ses affaires, qu'il gagne énormément d'argent, qu'ils sont installés ici pour un mois etc. etc.
On boit le champagne, impossible de payer quoi que se soit.
-si tu sors de l'argent tu vas vexer mon père Me dit Igor le plus sérieusement du monde.
Pas question de le vexer, et, si en plus il connait Poutine!!!
On est invité pour le lendemain, et moi j'invite Igor à venir skier avec nous. Il finit par accepter car son père insiste!
Pendant trois jours, ce fut le même rituel. On skiait, je l'invitais à boire un verre et le soir on dînait avec sa famille.
J'avais essayé de l'amener dans notre chalet mais il avait refusé!
Ce n'est qu'au bout du cinquième jour que je lui posais la question en disant que l'on dormait dans le chalet qui se trouvait près de la piste où l'on passait.
Il a été étonné qu'on soit si près des pistes.
-tu veux visiter Igor ? c'est un vieux chalet refait par les habitants du coin c'est magnifique.
J'avais le cœur qui battait.
On a déchaussé les skis, il m'a suivi, il ne disait rien.
Je lui ai fait visiter le chalet, il a été émerveillé et posait plein de questions. On avait enlevé nos anoraks. Il paraissait énorme dans le chalet. On s'est assis, et j'ai préparé un bon chocolat chaud qu'on a dégusté en se regardant à la dérobée, comme la première fois. Je voyais bien qu'il était inquiet, qu'il se posait plein de questions.
-je suis content de te connaitre Igor, tu es un garçon très gentil et intéressant.
-intéressant ? dit il en rougissant.
-oui car tu n'es pas dans ton pays et tu as l'air d'aimer beaucoup le mien.
-je ne connais qu'ici et Paris bien sûr, mais c'est tout.
-ça te plairait de connaitre d'autres coins de France ?
-oui dit il timidement.
Je lui expliquais où j'habitais, la Sologne, les bienfaits de cette région. Il m'écoutait sans rien dire.
-mais mon père ne voudra jamais dit Igor le regard triste.
-pourquoi ? dis je en prenant sa main dans les miennes et le fixant de mes beaux yeux tendres et j'y mettais toute la tendresse que j'avais en réserve.
Il a voulu retirer sa main, et, après hésitation l'a laissé. Mes pouces caressaient le dos de sa main. Je l'ai vu rougir. Il baissait les yeux, revenait me fixer. On aurait dit qu'il avait peur de ce qui pouvait se passer.
J'ai approché ma tête de la sienne.
-t'es vraiment un beau garçon Igor et tu me plais énormément, tu me fais penser à un gros nounours russe qui manque de tendresse.
Ses yeux s'étaient attendris et me fixaient toujours.
-je peux t'embrasser Igor ? il parait que les russes s'embrassent comme ça.
-comment tu sais comment les russes s'embrassent ? dit il en souriant à travers ses poils.
Je n'ai pas répondu, j'ai fermé les yeux et j'ai approché mes lèvres des siennes, sentir son souffle, effleurer ses poils, ses lèvres chaudes entrouvertes. Il ne bougeait pas, j'ai appuyé et nos lèvres se sont épousées comme si elles se connaissaient déjà. Il a poussé un grand soupir, sa main serrait la mienne quand ma langue est partie en exploration touchant la sienne toujours tapie dans sa bouche, provoquant un cours circuit. Ses bras m'ont enserré me collant contre lui, à m'étouffer et les langues se sont battues un long moment.
On s'arrêtait pour se regarder, se sourire et revenir dans la bataille.
Je passais mes mains partout où je pouvais sur son corps. Un corps dur, ferme et il avait l'air d'apprécier le mien.
J'ai enlevé mon pull, il me regardait en souriant. Il a enlevé le sien, on était en tee-shirt et les poils de sa barbe blonde descendaient sur son torse, j'ai enlevé le tee-shirt pour admirer la toison fournie, blonde comme les blés. Je n'ai jamais vu un blond si poilu.
Je l'ai emmené dans ma chambre et j'ai fini de le déshabiller. Il se laissait faire pour voir cet ours recouvert de poils blonds des pieds à la tête! j'en revenais pas et la chose de coincée dans son boxer semblait être en proportion de la taille de l'ours!
Je me suis mis dans la même tenue. Il m'a regardé, étonné, passant ses mains sur mon torse imberbe. J'ai de suite adoré ses mains douces et chaudes qui m'excitaient encore plus. Il m'a attiré à lui, la tête dans ses poils, c'était doux, chaud. On devait être bien à dormir la dessus!
J'ai trouvé les tétons au milieu de la fourrure, ils pointaient durs. Je les ai touché avec mes doigts, les faisant tourner, puis j'en ai pris un entre mes lèvres, le léchant pour bien le dégager et entendre le premier gémissement d'Igor.
Et, ce ne fut pas le dernier!
Je me suis amusé avec ses tétons, caressant le ventre doux, passant ma main en vitesse sur le boxer pour toucher un gros mandrin. J'avais envie de ça!
Je me suis retrouvé à genoux devant lui, admirant la déformation du boxer. Sa main caressait ma joue tendrement. J'ai pris le renflement dans ma bouche, le mordant lentement tout le long de la hampe et j'ai baissé le boxer qui est tombé à ses pieds pour voir le diable sortir de son écrin et tomber sur mon visage.
Un sexe de blond, c'est beau! et j'en sais quelque chose lol.
L'odeur du russe m'a sauté au visage, ça sentait la bite! mais une odeur que je ne connaissais pas. J'ai pris la hampe dans ma main pour la remettre face à moi, voir la grosse veine qui la parcourait, cette veine foncée sous la peau d'un blond était magnifique. Le gland sorti à moitié, le méat bien ouvert laissant couler un peu de mouille épaisse et deux beaux œufs qui pendaient dessous envelopper dans leur sacoche.
J'avais du boulot face au russe! et il fallait que le petit français soit à la hauteur! Je ne savais pas s'il avait déjà baisé avec un français.
Le match France Russie a commencé!
J'ai bien décalotté doucement son beau gland, bien dessiné. C'est beau un gland humide qui vous regarde et de la pointe de ma langue, j'ai touché le méat, ramenant la mouille dans ma bouche, la goûter et revenir chercher ce qui coulait encore. J'ai tout fait du mieux que je pouvais tenant sa hampe dans ma main, mes doigts peinaient à en faire complètement le tour et mes lèvres se sont emparées du gland, léché, sucé, aspiré. Je voyais ses jambes trembler l'une après l'autre et ses gémissements! adorables! l'entendre était un plaisir.
Quand j'ai avalé sa queue, la faisant glisser sur ma langue, je la tenais par les couilles, le gland frottait mon palais en s'enfonçant doucement, touche la luette, j'éternue, tousse. Il veut se retirer, je le retiens... il se laisse faire et je continue la progression. Et je peux vous dire que ma bouche était bien remplie et comblait bien le fond. Je l'ai sucé avec application, mais lentement, appréciant chaque centimètre de cette belle queue russe, en tenant ses fesses douces et dures.
Ses mains se sont posées sur ma tête et il m'a imposé ses vas et viens. Oh pas violemment, doucement au contraire, je voyais qu'il me regardait et avait l'air d'apprécier ma bouche et mon jeu de langue!
Sans vraiment accélérer il a fini par se bloquer, j'ai senti sa bite se durcir et la première giclée russe est arrivée sur ma luette coulant en moi. J'ai fermé les yeux et les autres giclées se sont succédées. J'ai bien cru qu'il n'allait jamais s'arrêter, le sperme ressortait par ma bouche et tombait au sol. Il grognait, râlait mais les gestes de mon gros nounours étaient toujours aussi doux.
Je n'ai pas eu le temps de lécher sa queue, qu'il me relevait facilement et m'entrainait m'allonger sur le lit, me prendre dans ses bras, collant son ventre au mien, me serrer à m'étouffer et sa langue est venue lécher la mienne en me caressant d'une main le visage.
Quand il m'a regardé, ses yeux étaient magnifiques, limpides, clairs je me voyais dedans.
Il caressait ma joue en me souriant, me faisant de petits bisous sur les lèvres.
-t'as une bouche merveilleuse Fabrice.
-j'en dit autant de ton sexe Igor et en plus tu es mon premier russe dis je en riant.
-et toi mon premier français et je t'adore!
Il a recommencé à m'embrasser, on se caressait, j'avais la bite en feu quand sérieusement il m'a dit :
-tu sais ce que j'ai envie ?
-non ,enfin si j'ai plusieurs idées dis je en souriant.
-je veux que tu sois ma première bite française dans mon cul!
-s'il n'y a que ça pour te faire plaisir je veux bien être le premier! tu as déjà fait ?
-t'inquiète dit il avec un sourire vicieux même en Russie où les pédés sont très mal vu ça baise quand même!
On a recommencé à s'embrasser, se caresser, roulant sur le lit, sentir ce corps velu sur moi, m'électrisait complètement.
C'est lui qui s'est mis à quatre pattes, ouvrant ses fesses avec ses deux mains. Un beau cul s'ouvrait devant moi, une raie poilue et au centre un bel anus qui palpitait. J'ai passé un doigt, le faisant déjà gémir. J'adore toucher un anus, la peau douce et sensible est agréable au toucher et quand la langue vient s'en mêler apportant la salive, l'écartant pour ouvrir le trou, le forer, entendre le petit cri de surprise et le râle de contentement, voir son travail donner des résultats, l'anus rester ouvert après l'avoir foré de deux ou trois doigts, voir l'intérieur rouge, doux aux caresses qui excitent le mec!
Sentir sa queue durcir, le gland sortir tout seul, couler en abondance, l'amener dans la raie répandre la mouille et se positionner. Prendre l'ours de Russie aux hanches, serrer ce corps chaud qui attend et s'enfoncer lentement en râlant sous les gémissements d'Igor qui tend bien son cul. Quel délice les mecs! mon premier cul russe!
L'entendre gueuler quand le gland est passé et râler tant que ma queue n'est pas arrivée au fond de son beau cul.
On a soupiré tous les deux. Il a écarté encore ses jambes, ouvrant encore ses fesses et j'ai mis le moteur en route! je ne savais pas comment il aimait se faire baiser alors j'ai fait comme moi j'aime! j'ai fait visiter longuement son cul à ma queue qui se sentait à l'aise dans le conduit qui la serrait bien. Mais il s'offrait Igor et quand j'ai accéléré, c'est pour l'entendre râler de plus en plus fort, quand ça coulissait bien, que mon pubis claquait sur ses fesses, ce doux bruit m'excitait encore plus.
J'aurais voulu que ça dure encore plus longtemps mais ce cul russe était si accueillant que je l'ai arrosé de tout le jus que j'avais en réserve depuis une semaine!
A chaque giclée je râlais, il gueulait!
Je me suis écroulé sur son dos, il m'a entrainé sur le lit. On respirait en haletant tous les deux.
Son œil me regardait.
-je savais qu'elle était bonne ta queue le français!
Je l'ai fait bouger encore dans son cul, donnant des coups de reins. Je n'avais pas débandé!
-t'es capable de juter encore une fois dit il d'un air de défi.
-tu sais pas que "impossible n'est pas français" ?
Il a rigolé en tendant ses fesses que j'ai labouré avec force. Il râlait encore et encore, ça claquait avec force! mais il n'a jamais dit arrête!
Et j'ai joui une seconde fois en lui, en lui mordant sa nuque, en penchant sa tête pour me donner encore plus d'accès.
Et ce fut le silence dans la chambre, je me suis retiré de lui m'allongeant à côté pour le voir sourire et se jeter sur ma queue pour la prendre en bouche et la sucer, lécher avec application et revenir m'embrasser en disant.
-j'adore lécher une queue qui sort de mon cul!
On est resté un long moment l'un contre l'autre. Il me faisait souvent des bisous, caressant mon corps.
-ça te dirais de venir dormir avec moi Igor ?
-mais tes amis ? ils vont dire quoi ?
-rien, ils savent que j'aime les garçons alors, mais toi tu peux découcher ? ton père ?
-ben faut pas qu'il sache que j'aime les garçons mais je peux m'arranger tu sais.
-je voudrais pas t'attirer des ennuis.
Les cinq derniers jours, nous les avons passé pratiquement sans se quitter. On dînait tous ensemble le soir, avec son père et ses poufs! et ensuite on disait qu'on allait en boite et il demandait à son père la permission de ne pas rentrer, qu'il dormirait dans notre chalet. Je pense que c'était la présence de mes amis hétéros qui a fait que son père ne s'est jamais douté de quoi que se soit!
Les nuits étaient merveilleuses et torrides. Se réveiller dans les bras d'un ours russe beau comme un dieu je vous le recommande.
J'ai réussi à parler avec son père, disant que j'aimerais bien les accueillir chez moi pour qu'ils visitent la région. Il a fait le mec intéressé puis m'a dit qu'il n'avait pas le temps. Tu parles! il n'avait pas l'air de faire grand chose mais si Igor voulait venir, il n'y avait aucun problème mais qu'il fallait que je fasse attention à lui, qu'il n'avait qu'un fils et qu'il y tenait beaucoup!
Moi aussi j'y tiens à Igor! t'en fais pas! je vais bien m'en occuper quand il va venir me voir.
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