Comment j'ai trompé mon mari
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Comment j'ai trompé mon mari
Je ne suis pas une femme coureuse. J'aime mon mari, et surtout j'adore baiser avec lui. Je ne sais comment il fait: je jouis toujours avec lui.
Avant lui j'ai eu pas mal d'ami ou d'amie, et oui, j'aime aussi les filles.
Personne ne me faisait jouir autant. Il m'arrive souvent de me branler surtout dans mon bain, quelques fois devant lui, le plus souvent seule: je peux faire durer la masturbation très longtemps. Pour mon anniversaire il m'a acheté un godemiché que j'aime me mettre soit devant, soit le plus souvent derrière, en me caressant le clitoris.
Je suis donc très sensuelle.
Un après-midi je rencontre une de mes ex, accompagnée de son mari. Nous nous embrassons sur les joues. Son mari n'a droit qu'à une poignée de main. Nous décidons de nous voir l'après midi même pour échanger nos souvenirs communs qui ne sont pas que sexuels ce que ne sait pas son époux.
Je l'invite chez moi, boire le thé, quoique pour ma part le thé n'est pas ma boisson favorite.
Je me décris rapidement j'ai 30 ans, assez grande avec des seins normaux (
85 b) une taille assez fine autour de 55 et des hanches qui me dit-on attirent l'oeil: 90. Je suis brune presque noire et mes yeux sont bleus foncé. J'ai de longues jambes et j'ai une démarche déhanchée, ce qui fait tourner la tête des gens qui me voient.
Mon mari, lui est grand: 1 m 85, bien proportionné et muni de ce qu'il faut coté sexe: il est dans la tranche supérieure avec une bite de plus de 19 centimètres. Quand il me la met dans le cul je l'adore quand il me la rentre en entier.
Bref nous formons un couple idéal. Sauf que j'aime toujours la masturbation et les filles. Je sais qu'il ne m'a jamais trompé. Et pourtant, moi qui lui suis fidèle depuis toujours je m'apprête à l'irréparable. J'ai beau résister: il n'empêche qu'il me tarde de revoir mon ex amie.
Enfin elle arrive, très élégante comme souvent, avec peu de bijoux. Toujours aussi sexy et agréable à regarder. Dès son entrée le ton est donné: nous ne nous embrassons pas sur les joues, mais sur la bouche, comme autrefois. le baiser est bref: il me semble qu'il détermine notre relation de ce jour.
Nous sommes au salon, elle assise sur un fauteuil et moi sur l'autre, juste à coté, séparée par une table basse en verre. Je lui demande d'attendre un moment pour que j'aille préparer le thé.
Elle me suit à la cuisine et m'aide à.......... rien: elle m'embrasse dans le cou. Je ne m'attendais pas à cette attaque directe. Pourtant j'apprécie et lève un peu plus la tête pour qu'elle laisse sa bouche, là, sur mon cou sensible: elle ne l'a pas oublié. Je m’appuie sur la table et à mon tour se prend une initiative qu'elle aimait: je lui pends la taille et lentement je l'enlace pour lui caresser les fesses. Elle relève sa tête et me dit:
- Tu n'as pas oublié que j'aime bien que te me passe tes mains sur les fesses.
- Non et toi non plus tu sais toujours que j'aime les bisez dans le cou: ça m'excite.
- Tes mains m'excitent au moins autant que mes bises.
- Sans doute, je suis toute excitée. Veux tu qu'on passe aux choses sérieuses. Tu es bien venu pour ça, non ?
Elle le répond pas et pose ses lèvres sur les miennes pour un baiser très profond. Sa langue retrouve un chemin qu'elle n'a pas oublié. Nous restons longtemps enchaînés par nos lèvres. Je réagis: je la prends par la main et la même à nouveau au salon. Si thé il y a, il se fera seul. Nous revenons vers nos sièges. Mon amie continue ses tentations; elle relève sa jupe pour me montrer que si elle porte un tailleur, elle n'a pas grand chose dessous. Je peux voir son sexe. Elle écarte les pans de sa veste et là aussi il n'y a que ses seins biens dressés.
Elle demande à voir: je ne suis pas très habillée mais je porte un léger string en dentelle et un t-shirt presque transparent. Je suis humide quand elle vient vers moi pour m'embrasser encore. Je retire sa veste et dégrafe ses boutons pressions de sa jupe qui tombe. Elle est nue: je la revois pratiquement inchangée depuis notre séparation. La nudité lui va bien. Elle me fait lever les bras pour enlever le t-shirt et fait tomber ma simple jupe. Je suis en string devant elle. Elle me fait rasseoir sur mon fauteuil. Je sais déjà ce qu'elle veut me faire: je l'attends depuis qu'elle est là: elle se met à genoux, écarte mon string et pose sa bouche sur mon sexe en entier. Elle l'a pris tout: elle ne cherche pas particulièrement le clitoris: elle ne veut que goûter mon con. Sa langue prend le relais: elle me lèche du cul au clitoris très lentement avec un petit arrêt à l'entrée de ma grotte. J'ai écarté les jambes en posant une cuisse sur chaque accoudoir. Elle a libre accès à ma moule. Je me caresse les seins pendant que sa langue me prend le clitoris. Elle sait bien lécher un con. Je jouis rapidement.
Elle me connait et ne s'arrête que le temps de mon orgasme pour reprendre aussitôt après. Cette fois elle me met un doigt dans le cul: elle se souvient bien de mes besoins en baise.
Pour l'exciter je lui dis comment mon mari me sodomise et lui décrit comme je peux le plaisir qu'il me donne toujours avec mon cul.
Evidemment elle veut que je la suce à mon tour. Je lui propose d'aller nous coucher. Elle préfère rester les jambes écartées sur son fauteuil. Elle s'installe comme moi et écarte les lèvres de son sexe. Je passe ma langue d'abord sur son petit trou où je fais plus que m'attarder: je le lèche tendrement avant d'y mettre le plus possible de ma langue. Elle écarte ses fesses, ne dit rien et prend ma tête entre ses main et y appuie comme pour me dire qu'elle veut que je continue à lui mettre ma langue. Je ne peux pas plus, alors, je vais vers son vagin et je rentre encore ma langue.
Je la baise pratiquement. Elle jouit. Je ne laisse pas seule: je monte encore et recherche son clitoris: je n'ai pas oublié sa forme particulière: il est très long, comme une petite bite et je le prends en entier dans la bouche et le suce comme si je suçais mon homme. Elle jouit encore. Cette fois je l'entraine dans la chambre où elle se couche volontairement la tête au pied.
Cette position veut dire qu'elle veut faire un 69. Avant je lui montre le gode, cadeau de mon mari. Elle le voudrait dans son con immédiatement. Pas question: je tiens trop à un 69 pour lui donner satisfaction: je lui promets de le lui mettre tout à l'heure là où elle voudra. Je l'enjambe et me trouve avec sa moule sur ma bouche. Mon con est vers elle: elle sort sa langue et lèche mon bouton en me mettant deux doigts dans le cul. J'hausse ma tête vers son clitoris et le suce encore. Je veux lui faire une bonne surprise: je prends le gode et le lui pose sur le petit trou. Je le rentre lentement: elle réagit en me léchant plus vite. Elle active aussi ses doigts dans mon cul. Je lui rentre presque en entier le gode et elle en voudrait d'avantage. Je lime un petit moment et je la fais jouir. Je sors l'engin. Elle me le demande pour me le mettre au cul à mon tour. Elle sait bien manier le gode et me fait jouir. Elle le laisse en place: elle voudrait que je me lève avec lui dans mon cul. J’essaye bien, mais il s'échappe: elle ne me l'a pas mit à fond. Je lui dis chiche que tu y arrive: je j'encule avec et elle se lève. Nous sommes surprises: elle arrive même à faire quelques pas. L'inévitable se produit: elle ne jouit encore.
Nous voulons un moment de tendresse comme seules les femmes entre elles arrivent à faire. Nous sommes blotties et nous parlons de nous, de nos anciennes baisses, de nos amants et nos maris. Je lui dis que le mien est très bien monté et que j'aime baiser avec lui.
Elle me parle du sien qui la comble sexuellement. Il est monté normalement et la fait bien jouir. Si nous nous sommes revues c'est sans doute de la nostalgie. Pour moi, c'est un besoin: les caresses d'une fille me manquent parfois et j'en rêve en ma masturbant. Elle ne se branle pratiquement jamais et toujours en présence de son époux, pour l'exciter et le remettre en érection. Pourtant elle sait bien me branler. Branler une amie n'est pas pareil que se branler: c'est un plaisir que l'on donne.
Nous reprenons encore par une masturbation mutuelle. Elle manœuvre ses doigts avec agilité. Je lui fais comme pour moi. Elle veut encore un 69, mais sans gode. Elle me met dessous elle. Je sens ses seins sur mon ventre pendant qu'elle astique mon clitoris avec sa langue. J'écarte ses lèvres en entier pour pose la longueur de ma langue dans son antre. Elle ne demande pas mieux. Alors je reste dans sa moule en faisant aller et venir ma langue. Ca doit bien lui plaire quoique nous ne l'ayons jamais fait au paravent.
Nous jouissons une dernière fois. Je ne voudrais pas qu'elle parte si tôt.
Il faut qu'elle s'en aille: son mari ne sait pas qu'elle baise avec moi et c'est la première fois qu'elle le trompe surtout avec une autre femme: il ignore ses anciennes amours lesbiennes.
Nous nous séparons: je ne sais quand je pourrais baiser encore une autre femme. Je m'interroge: est ce que je vais en parler à mon mari ? J’ai peur non pas d'une réaction négative mais au contraire d'une demande de participer à une prochaine fois. Je l'aime trop pour le partager et sa queue est à moi seule.
Avant lui j'ai eu pas mal d'ami ou d'amie, et oui, j'aime aussi les filles.
Personne ne me faisait jouir autant. Il m'arrive souvent de me branler surtout dans mon bain, quelques fois devant lui, le plus souvent seule: je peux faire durer la masturbation très longtemps. Pour mon anniversaire il m'a acheté un godemiché que j'aime me mettre soit devant, soit le plus souvent derrière, en me caressant le clitoris.
Je suis donc très sensuelle.
Un après-midi je rencontre une de mes ex, accompagnée de son mari. Nous nous embrassons sur les joues. Son mari n'a droit qu'à une poignée de main. Nous décidons de nous voir l'après midi même pour échanger nos souvenirs communs qui ne sont pas que sexuels ce que ne sait pas son époux.
Je l'invite chez moi, boire le thé, quoique pour ma part le thé n'est pas ma boisson favorite.
Je me décris rapidement j'ai 30 ans, assez grande avec des seins normaux (
85 b) une taille assez fine autour de 55 et des hanches qui me dit-on attirent l'oeil: 90. Je suis brune presque noire et mes yeux sont bleus foncé. J'ai de longues jambes et j'ai une démarche déhanchée, ce qui fait tourner la tête des gens qui me voient.
Mon mari, lui est grand: 1 m 85, bien proportionné et muni de ce qu'il faut coté sexe: il est dans la tranche supérieure avec une bite de plus de 19 centimètres. Quand il me la met dans le cul je l'adore quand il me la rentre en entier.
Bref nous formons un couple idéal. Sauf que j'aime toujours la masturbation et les filles. Je sais qu'il ne m'a jamais trompé. Et pourtant, moi qui lui suis fidèle depuis toujours je m'apprête à l'irréparable. J'ai beau résister: il n'empêche qu'il me tarde de revoir mon ex amie.
Enfin elle arrive, très élégante comme souvent, avec peu de bijoux. Toujours aussi sexy et agréable à regarder. Dès son entrée le ton est donné: nous ne nous embrassons pas sur les joues, mais sur la bouche, comme autrefois. le baiser est bref: il me semble qu'il détermine notre relation de ce jour.
Nous sommes au salon, elle assise sur un fauteuil et moi sur l'autre, juste à coté, séparée par une table basse en verre. Je lui demande d'attendre un moment pour que j'aille préparer le thé.
Elle me suit à la cuisine et m'aide à.......... rien: elle m'embrasse dans le cou. Je ne m'attendais pas à cette attaque directe. Pourtant j'apprécie et lève un peu plus la tête pour qu'elle laisse sa bouche, là, sur mon cou sensible: elle ne l'a pas oublié. Je m’appuie sur la table et à mon tour se prend une initiative qu'elle aimait: je lui pends la taille et lentement je l'enlace pour lui caresser les fesses. Elle relève sa tête et me dit:
- Tu n'as pas oublié que j'aime bien que te me passe tes mains sur les fesses.
- Non et toi non plus tu sais toujours que j'aime les bisez dans le cou: ça m'excite.
- Tes mains m'excitent au moins autant que mes bises.
- Sans doute, je suis toute excitée. Veux tu qu'on passe aux choses sérieuses. Tu es bien venu pour ça, non ?
Elle le répond pas et pose ses lèvres sur les miennes pour un baiser très profond. Sa langue retrouve un chemin qu'elle n'a pas oublié. Nous restons longtemps enchaînés par nos lèvres. Je réagis: je la prends par la main et la même à nouveau au salon. Si thé il y a, il se fera seul. Nous revenons vers nos sièges. Mon amie continue ses tentations; elle relève sa jupe pour me montrer que si elle porte un tailleur, elle n'a pas grand chose dessous. Je peux voir son sexe. Elle écarte les pans de sa veste et là aussi il n'y a que ses seins biens dressés.
Elle demande à voir: je ne suis pas très habillée mais je porte un léger string en dentelle et un t-shirt presque transparent. Je suis humide quand elle vient vers moi pour m'embrasser encore. Je retire sa veste et dégrafe ses boutons pressions de sa jupe qui tombe. Elle est nue: je la revois pratiquement inchangée depuis notre séparation. La nudité lui va bien. Elle me fait lever les bras pour enlever le t-shirt et fait tomber ma simple jupe. Je suis en string devant elle. Elle me fait rasseoir sur mon fauteuil. Je sais déjà ce qu'elle veut me faire: je l'attends depuis qu'elle est là: elle se met à genoux, écarte mon string et pose sa bouche sur mon sexe en entier. Elle l'a pris tout: elle ne cherche pas particulièrement le clitoris: elle ne veut que goûter mon con. Sa langue prend le relais: elle me lèche du cul au clitoris très lentement avec un petit arrêt à l'entrée de ma grotte. J'ai écarté les jambes en posant une cuisse sur chaque accoudoir. Elle a libre accès à ma moule. Je me caresse les seins pendant que sa langue me prend le clitoris. Elle sait bien lécher un con. Je jouis rapidement.
Elle me connait et ne s'arrête que le temps de mon orgasme pour reprendre aussitôt après. Cette fois elle me met un doigt dans le cul: elle se souvient bien de mes besoins en baise.
Pour l'exciter je lui dis comment mon mari me sodomise et lui décrit comme je peux le plaisir qu'il me donne toujours avec mon cul.
Evidemment elle veut que je la suce à mon tour. Je lui propose d'aller nous coucher. Elle préfère rester les jambes écartées sur son fauteuil. Elle s'installe comme moi et écarte les lèvres de son sexe. Je passe ma langue d'abord sur son petit trou où je fais plus que m'attarder: je le lèche tendrement avant d'y mettre le plus possible de ma langue. Elle écarte ses fesses, ne dit rien et prend ma tête entre ses main et y appuie comme pour me dire qu'elle veut que je continue à lui mettre ma langue. Je ne peux pas plus, alors, je vais vers son vagin et je rentre encore ma langue.
Je la baise pratiquement. Elle jouit. Je ne laisse pas seule: je monte encore et recherche son clitoris: je n'ai pas oublié sa forme particulière: il est très long, comme une petite bite et je le prends en entier dans la bouche et le suce comme si je suçais mon homme. Elle jouit encore. Cette fois je l'entraine dans la chambre où elle se couche volontairement la tête au pied.
Cette position veut dire qu'elle veut faire un 69. Avant je lui montre le gode, cadeau de mon mari. Elle le voudrait dans son con immédiatement. Pas question: je tiens trop à un 69 pour lui donner satisfaction: je lui promets de le lui mettre tout à l'heure là où elle voudra. Je l'enjambe et me trouve avec sa moule sur ma bouche. Mon con est vers elle: elle sort sa langue et lèche mon bouton en me mettant deux doigts dans le cul. J'hausse ma tête vers son clitoris et le suce encore. Je veux lui faire une bonne surprise: je prends le gode et le lui pose sur le petit trou. Je le rentre lentement: elle réagit en me léchant plus vite. Elle active aussi ses doigts dans mon cul. Je lui rentre presque en entier le gode et elle en voudrait d'avantage. Je lime un petit moment et je la fais jouir. Je sors l'engin. Elle me le demande pour me le mettre au cul à mon tour. Elle sait bien manier le gode et me fait jouir. Elle le laisse en place: elle voudrait que je me lève avec lui dans mon cul. J’essaye bien, mais il s'échappe: elle ne me l'a pas mit à fond. Je lui dis chiche que tu y arrive: je j'encule avec et elle se lève. Nous sommes surprises: elle arrive même à faire quelques pas. L'inévitable se produit: elle ne jouit encore.
Nous voulons un moment de tendresse comme seules les femmes entre elles arrivent à faire. Nous sommes blotties et nous parlons de nous, de nos anciennes baisses, de nos amants et nos maris. Je lui dis que le mien est très bien monté et que j'aime baiser avec lui.
Elle me parle du sien qui la comble sexuellement. Il est monté normalement et la fait bien jouir. Si nous nous sommes revues c'est sans doute de la nostalgie. Pour moi, c'est un besoin: les caresses d'une fille me manquent parfois et j'en rêve en ma masturbant. Elle ne se branle pratiquement jamais et toujours en présence de son époux, pour l'exciter et le remettre en érection. Pourtant elle sait bien me branler. Branler une amie n'est pas pareil que se branler: c'est un plaisir que l'on donne.
Nous reprenons encore par une masturbation mutuelle. Elle manœuvre ses doigts avec agilité. Je lui fais comme pour moi. Elle veut encore un 69, mais sans gode. Elle me met dessous elle. Je sens ses seins sur mon ventre pendant qu'elle astique mon clitoris avec sa langue. J'écarte ses lèvres en entier pour pose la longueur de ma langue dans son antre. Elle ne demande pas mieux. Alors je reste dans sa moule en faisant aller et venir ma langue. Ca doit bien lui plaire quoique nous ne l'ayons jamais fait au paravent.
Nous jouissons une dernière fois. Je ne voudrais pas qu'elle parte si tôt.
Il faut qu'elle s'en aille: son mari ne sait pas qu'elle baise avec moi et c'est la première fois qu'elle le trompe surtout avec une autre femme: il ignore ses anciennes amours lesbiennes.
Nous nous séparons: je ne sais quand je pourrais baiser encore une autre femme. Je m'interroge: est ce que je vais en parler à mon mari ? J’ai peur non pas d'une réaction négative mais au contraire d'une demande de participer à une prochaine fois. Je l'aime trop pour le partager et sa queue est à moi seule.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour ma part, c'est la bite de l'époux qui manque, ne soit-il sa présence sans plus, ou se branlant devant les deux femmes. C'est banal, mais souhaitable.