Comment je me suis mise à aimer le sport,
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment je me suis mise à aimer le sport,
Je viens ici conter les déboires de certaines femmes en manque d’amour pendant les périodes sportives, ou par une activité qui empiète largement sur la vie de couple. Forcément à un moment donner le manque de contact physique, le manque d’amour crée une sorte de frustration sexuelle qui aboutit quelques fois à des débordements petits ou grands, tout dépend du contexte bien entendu.
Avant de débuter la première histoire, je poserais simplement une question qui donnera une sorte de tourbillon psychologique, mais que fait votre femme pendant les quatre-vingt-dix minutes d’un match de foot lorsqu’elle est avec ses amies ?
Épisode 1 : Rolland Garros.
Elle s’appelle Martine, une belle femme ayant quarante-cinq ans, et comme chaque année, son époux, Robert, bloque quinze jours de vacances non pas pour profiter des premiers jours de soleil ou du printemps, mais bel et bien pour regarder les matchs de ce fameux tournoi de tennis.
C’est un réel supplice, car chaque année, c’est la même chose. Et puis, il faut l’avouer, les commentateurs sont insupportables sur ces chaînes publiques, on dirait presque des amateurs, c’est dire.
Depuis plusieurs années, elle subit ce comportement d’adolescent et cette année avec une amie, elles ont décidé d’occuper leurs journées de libre, à profiter justement de la liberté. En tout bien tout honneur, elles vont faire du shopping, elles font des visites de musées locaux, elles vont partir sur le bord de mer déguster une glace, bref elles s’occupent comme deux copines célibataires, car son compagnon, qui est aussi un ami de son mari, est fan de tennis, il n’est pas rare de retrouver nos joyeux lurons le soir en train de boire une bière sur le canapé du salon à débattre sur les matchs vu précédemment. Un vrai tue l’amour comme on dit dans le jargon.
Nous sommes vendredi après-midi, Martine et son amie ont décidé d’aller en centre-ville, afin de profiter des terrasses ensoleillées, et d’y boire un coup. Les deux femmes sont vêtues comme des jeunes filles à la mode, c’est-à-dire des robes à fleurs qui dessinent légèrement des courbes très sympathiques. Le point de rendez-vous est un bar très connu, un peu un lieu m’as-tu vu.
Elles s’installent à la terrasse, puis commandent deux demi-fraises. Elles discutent librement, et Béatrice, l’amie de Martine, n’y va pas par quatre-chemins, en parlant de break ou de séparation avec son époux. Elle se trouve en manque d’affection, en manque de câlins, et elle ose même parler d’un manque de sexe. Sa copine tente de la faire changer d’avis, mais rien n’y fait, elle semble convaincu par sa décision.
Après un silence de quelques minutes, les filles reprennent un verre d’alcool. La chaleur est vraiment pesante sur la ville. Le soleil tape dans le dos de Béatrice qui laisse ses bretelles tomber au niveau de ses épaules afin de ne pas avoir de marques de bronzage.
Quand soudain, un groupe de trois jeunes hommes viennent s’asseoir à la table voisine de la terrasse. Dans le lot, il y en a un qui ne manque pas d’attirer l’attention des femmes, un beau brun aux yeux vert, vêtu d’une chemise blanche. Elles semblent hypnotiser par ce garçon qui doit avoir vingt ans, pas plus.
Plus le temps passe, et plus les secondes sont longues, car les deux compagnons de cet homme ont bien vu nos regards insistants. Ils rient entre eux d’ailleurs, en espérant qu’il ne s’agit pas de moqueries, mais bel et bien d’autre chose. Le plus intrépide du groupe, le moins timide, visiblement, vient s’asseoir à la table de nos deux dames qui semblent étonner par tant de courage, puis entame une discussion. On pourrait se croire dans une cour de lycée, les sujets sont divers et variés, on apprend que le beau brun s’appelle Antonio, que le garçon qui est resté avec lui s’appelle Robin, et que celui qui nous parle se nomme Amine, ils ont vingt ans, et sont à la fac de droit.
Ce dernier nous propose d’aller dans un parc de la ville où se situe une fontaine, mais aussi des coins d’herbes, il faut avouer que la chaleur du centre-ville est étouffante et qu’un peu de fraîcheur ne ferait pas de mal.
Comme deux adolescentes amoureuses, elles suivent leurs trois acolytes. Après avoir fait un bon kilomètre de marche, les voilà dans ce lieu de tranquillité. Ils prennent ensuite un chemin à l’abri des regards indiscrets, puis ils s’allongent dans l’herbe humidifiée par l’arroseur automatique.
Cette fois-ci, la barrière est cassée, Béatrice discute tranquillement avec Antonio, tandis que Martine rit aux abois avec Amine et Robin. Les deux jeunes sont assez taquins, voir même enjôleurs, il faut dire qu’avec les premières chaleurs de printemps, les hormones sont à un niveau exceptionnel.
De plus, Martine ne semble pas insensible aux compliments, et aux petites chatouilles.
Amine est passée aux choses sérieuses…
À suivre.
Avant de débuter la première histoire, je poserais simplement une question qui donnera une sorte de tourbillon psychologique, mais que fait votre femme pendant les quatre-vingt-dix minutes d’un match de foot lorsqu’elle est avec ses amies ?
Épisode 1 : Rolland Garros.
Elle s’appelle Martine, une belle femme ayant quarante-cinq ans, et comme chaque année, son époux, Robert, bloque quinze jours de vacances non pas pour profiter des premiers jours de soleil ou du printemps, mais bel et bien pour regarder les matchs de ce fameux tournoi de tennis.
C’est un réel supplice, car chaque année, c’est la même chose. Et puis, il faut l’avouer, les commentateurs sont insupportables sur ces chaînes publiques, on dirait presque des amateurs, c’est dire.
Depuis plusieurs années, elle subit ce comportement d’adolescent et cette année avec une amie, elles ont décidé d’occuper leurs journées de libre, à profiter justement de la liberté. En tout bien tout honneur, elles vont faire du shopping, elles font des visites de musées locaux, elles vont partir sur le bord de mer déguster une glace, bref elles s’occupent comme deux copines célibataires, car son compagnon, qui est aussi un ami de son mari, est fan de tennis, il n’est pas rare de retrouver nos joyeux lurons le soir en train de boire une bière sur le canapé du salon à débattre sur les matchs vu précédemment. Un vrai tue l’amour comme on dit dans le jargon.
Nous sommes vendredi après-midi, Martine et son amie ont décidé d’aller en centre-ville, afin de profiter des terrasses ensoleillées, et d’y boire un coup. Les deux femmes sont vêtues comme des jeunes filles à la mode, c’est-à-dire des robes à fleurs qui dessinent légèrement des courbes très sympathiques. Le point de rendez-vous est un bar très connu, un peu un lieu m’as-tu vu.
Elles s’installent à la terrasse, puis commandent deux demi-fraises. Elles discutent librement, et Béatrice, l’amie de Martine, n’y va pas par quatre-chemins, en parlant de break ou de séparation avec son époux. Elle se trouve en manque d’affection, en manque de câlins, et elle ose même parler d’un manque de sexe. Sa copine tente de la faire changer d’avis, mais rien n’y fait, elle semble convaincu par sa décision.
Après un silence de quelques minutes, les filles reprennent un verre d’alcool. La chaleur est vraiment pesante sur la ville. Le soleil tape dans le dos de Béatrice qui laisse ses bretelles tomber au niveau de ses épaules afin de ne pas avoir de marques de bronzage.
Quand soudain, un groupe de trois jeunes hommes viennent s’asseoir à la table voisine de la terrasse. Dans le lot, il y en a un qui ne manque pas d’attirer l’attention des femmes, un beau brun aux yeux vert, vêtu d’une chemise blanche. Elles semblent hypnotiser par ce garçon qui doit avoir vingt ans, pas plus.
Plus le temps passe, et plus les secondes sont longues, car les deux compagnons de cet homme ont bien vu nos regards insistants. Ils rient entre eux d’ailleurs, en espérant qu’il ne s’agit pas de moqueries, mais bel et bien d’autre chose. Le plus intrépide du groupe, le moins timide, visiblement, vient s’asseoir à la table de nos deux dames qui semblent étonner par tant de courage, puis entame une discussion. On pourrait se croire dans une cour de lycée, les sujets sont divers et variés, on apprend que le beau brun s’appelle Antonio, que le garçon qui est resté avec lui s’appelle Robin, et que celui qui nous parle se nomme Amine, ils ont vingt ans, et sont à la fac de droit.
Ce dernier nous propose d’aller dans un parc de la ville où se situe une fontaine, mais aussi des coins d’herbes, il faut avouer que la chaleur du centre-ville est étouffante et qu’un peu de fraîcheur ne ferait pas de mal.
Comme deux adolescentes amoureuses, elles suivent leurs trois acolytes. Après avoir fait un bon kilomètre de marche, les voilà dans ce lieu de tranquillité. Ils prennent ensuite un chemin à l’abri des regards indiscrets, puis ils s’allongent dans l’herbe humidifiée par l’arroseur automatique.
Cette fois-ci, la barrière est cassée, Béatrice discute tranquillement avec Antonio, tandis que Martine rit aux abois avec Amine et Robin. Les deux jeunes sont assez taquins, voir même enjôleurs, il faut dire qu’avec les premières chaleurs de printemps, les hormones sont à un niveau exceptionnel.
De plus, Martine ne semble pas insensible aux compliments, et aux petites chatouilles.
Amine est passée aux choses sérieuses…
À suivre.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une bien longue introduction pour arriver à pas grand chose, mais attendons la suite elle sera sans doute moins décevante.