Comment je suis devenu bi
Récit érotique écrit par Pappilou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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Comment je suis devenu bi
L'histoire que je raconte ici est vraie à 100%, même si elle commence à dater et que ma mémoire me joue quelquefois des petits tours à sa façon. Peut-être quelques détails sont-ils enjolivés par le souvenir, mais dans l'ensemble, tout est fidèle à la réalité.
J'avais une petite trentaine lorsqu'après avoir obtenu ma thèse je suis parti, en post-doc comme on dit, dans un laboratoire de recherches à Sanford en Californie. Abandonnant pour un an femme (marié depuis trois ans) et enfants (deux jumeaux en bas âge), me voilà parti à la découverte du nouveau monde et de ses promesses. Au bout de quelques mois de séjour, je m'étais lié d'amitié avec une jeune et jolie collègue indigène du nom de Rachel, qui avait ses racines dans les bayous de Louisianne et parlait un français à couper au couteau.
Le mot amitié est d'ailleurs un peu faible pour désigner l'attirance qu'exerçait sur moi cette fille, qui présentait absolument tout les caractères de mon type de femmes: garçon manqué sur les bords, cheveux courts, poitrine pas trop grosse mais avec juste ce qu'il faut pour y poser les mains, et un postérieur à tomber à genoux, que tous les mecs du labo en perdaient le fil de leurs activités sur son passage. Ajoutez à ça une très légère touche de type indien dans la forme de l'oeil et la noirceur du cheveux.
Le problème (ou ce que je croyais alors être un problème) était que Rachel n'était pas seule. Son mari Aaron travaillait dans un labo voisin. Cela n'avait pourtant pas l'air de trop la perturber car mes manœuvres de séduction, d'abord timides puis de plus en plus appuyées, n'étaient pas découragées. J'ai donc fini par devenir imprudent, ce qui a sonné le glas de mon hétérosexualité jusqu'alors absolue.
Il arrivait à Rachel et Aaron de m'inviter pour le week-end, moi le petit français perdu loin des siens dans la grande Amérique. C'est à l'occasion d'un de ces week-ends que j'ai compris que le couple n'était pas trop regardant sur la fidélité et appréciait la nouveauté apportée par des invités dans leurs ébats intimes. Je fus d'abord admis à participer à des echanges de caresses très softs, puis vint enfin une nuit où, ayant monté en grade, j'eu l'immense plaisir de faire l'amour à Rachel, à plusieurs reprises, sous le regard connaisseur d'Aaron.
C'était la première fois que j'avais des rapports sexuels avec une femme en présence de quelqu'un d'autre, et si le fait que ce quelqu'un était un homme, et de plus son mari, m'a un peu choqué au départ, j'ai fini par trouver cela plutôt excitant, tant qu'il restait en dehors du jeu. Mais Aaron n'est pas resté longtemps en dehors du jeu.
Le prochain week-end où ils m'ont invité à leurs jeux, Aaron s'est vraiment impliqué et, sans que je comprenne comment c'est arrivé, je me suis retrouvé avec le somptueux sexe d'Aaron en bouche pendant que Rachel s'occupait du mien. Encore une première fois, me direz-vous? Oui mais ce n'était pas la fin de la série... Aaron était un homme très organisé et résolu à parvenir à ses fins.
Profitant de ce que j'étais à demi allongé sur Rachel, occupé à lui léchouiller les tétons, j'ai senti qu'il versait du lubrifiant dans la raie de mes fesses et commençait à jouer de ses doigts avec mon anus, d'abord un doigt puis deux. La surprise passée, j'ai commencé à ressentir un certain plaisir dans le bas de mon ventre et, petit à petit, j'ai senti mes muscles se relâcher et au final, j'accompagnais les caresses d'Aaron de petits mouvements de reins pour ne rien perdre de leurs bienfaits, en poussant des petits gémissements de bonheur. C'est alors qu'il me chuchotta à l'oreille "Do you want me to fuck you?" Je me souviens très bien lui avoir répondu "Yes, PLEASE", en insistant fortement sur le "please" pour qu'il comprenne bien que mon appréhension première s'était transformée en un désir ardent. Grâce au jeu patient de ses doigts, ma rondelle avait été bien chauffée et assouplie et c'est presque sans douleur que son sexe est entré tout entier en moi, par petites poussées, ce que je n'aurais jamais cru possible au départ vu ses dimensions "californiennes".
Après être restés quelques minutes sans bouger, pour nous habituer l'un à l'autre, c'est tout naturellement que nous avons commencé à bouger dans un va-et-vient d'abord lent et limité, puis de plus en plus ample et rapide. J'étais en train de me faire enculer en levrette et je trouvais ça super! Je faisais tout mon possible pour m'ouvrir encore davantage à ce sexe qui m'empalait et je bougeais mes reins pour accompagner ou au contraire contrarier les mouvements d'Aaron et en tirer encore plus de plaisir. Comble d'excitation, Aaron avait les couilles pendant assez bas et à chacune de ses poussées elles venaient taper contre les miennes en faisant "flac, flac" en cadence.
Au bout d'un bon moment nous avons changé de position et Aaron m'a repris de face, mes jambes passées par dessus ses épaules, autour de son cou. La pénétration était encore plus profonde dans cette position et je sentais les frottements de sa bite contre ma prostate. En même temps, des coulées de liquide spermatique s'échappaient de ma queue en demi-érection. Je ne pouvais rien faire d'autre que me caresser le ventre et les tétons pendant qu'il me besognait ainsi à fond et, sans savoir si c'était en rêve ou en réalité, j'ai aperçu Rachel qui immortalisait en photos ma première sodomie.
Peu de temps après, Aaron jouissait bruyamment et quand il s'est retiré j'ai vu que son préservatif était plutôt bien rempli. Rachel s'est immédiatement appliquée à faire remonter mon érection dans sa bouche et il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle déguste mon plaisir enfin libéré. A l'en croire, il y avait aussi la quantité...
Nous sommes restés, Rachel, Aaron et moi, en ces excellents termes jusqu'à la fin de mon post-doc, acceptant parfois quelques nouveaux ou nouvelles venues dans nos rencontres. C'est à cette occasion que j'ai pu faire moi-même l'expérience de la sodomie active sur un autre homme, Aaron n'ayant jamais accepté que je lui rende la monnaie de sa pièce. Quand nous n'étions que tous les trois, un de nos jeux préférés était le sandwich: Aaron en moi et moi dans Rachel, simultanément et j'appréciais par dessus tout d'être pris entre ce mari et cette femme qui jouissaient l'un de l'autre au travers de moi.
Je garde au fond d'un tiroir, bien cachées, ces quelques photos que Rachel m'a données où l'on voit la bite luisante d'Aaron enfoncée à différentes profondeurs dans mon fondement, par derrière et par devant, avec les couilles d'Aaron qui pendent bien bas, et quand je les regarde je crois encore entendre le bruit régulier de leur balancement "flac, flac"...
J'avais une petite trentaine lorsqu'après avoir obtenu ma thèse je suis parti, en post-doc comme on dit, dans un laboratoire de recherches à Sanford en Californie. Abandonnant pour un an femme (marié depuis trois ans) et enfants (deux jumeaux en bas âge), me voilà parti à la découverte du nouveau monde et de ses promesses. Au bout de quelques mois de séjour, je m'étais lié d'amitié avec une jeune et jolie collègue indigène du nom de Rachel, qui avait ses racines dans les bayous de Louisianne et parlait un français à couper au couteau.
Le mot amitié est d'ailleurs un peu faible pour désigner l'attirance qu'exerçait sur moi cette fille, qui présentait absolument tout les caractères de mon type de femmes: garçon manqué sur les bords, cheveux courts, poitrine pas trop grosse mais avec juste ce qu'il faut pour y poser les mains, et un postérieur à tomber à genoux, que tous les mecs du labo en perdaient le fil de leurs activités sur son passage. Ajoutez à ça une très légère touche de type indien dans la forme de l'oeil et la noirceur du cheveux.
Le problème (ou ce que je croyais alors être un problème) était que Rachel n'était pas seule. Son mari Aaron travaillait dans un labo voisin. Cela n'avait pourtant pas l'air de trop la perturber car mes manœuvres de séduction, d'abord timides puis de plus en plus appuyées, n'étaient pas découragées. J'ai donc fini par devenir imprudent, ce qui a sonné le glas de mon hétérosexualité jusqu'alors absolue.
Il arrivait à Rachel et Aaron de m'inviter pour le week-end, moi le petit français perdu loin des siens dans la grande Amérique. C'est à l'occasion d'un de ces week-ends que j'ai compris que le couple n'était pas trop regardant sur la fidélité et appréciait la nouveauté apportée par des invités dans leurs ébats intimes. Je fus d'abord admis à participer à des echanges de caresses très softs, puis vint enfin une nuit où, ayant monté en grade, j'eu l'immense plaisir de faire l'amour à Rachel, à plusieurs reprises, sous le regard connaisseur d'Aaron.
C'était la première fois que j'avais des rapports sexuels avec une femme en présence de quelqu'un d'autre, et si le fait que ce quelqu'un était un homme, et de plus son mari, m'a un peu choqué au départ, j'ai fini par trouver cela plutôt excitant, tant qu'il restait en dehors du jeu. Mais Aaron n'est pas resté longtemps en dehors du jeu.
Le prochain week-end où ils m'ont invité à leurs jeux, Aaron s'est vraiment impliqué et, sans que je comprenne comment c'est arrivé, je me suis retrouvé avec le somptueux sexe d'Aaron en bouche pendant que Rachel s'occupait du mien. Encore une première fois, me direz-vous? Oui mais ce n'était pas la fin de la série... Aaron était un homme très organisé et résolu à parvenir à ses fins.
Profitant de ce que j'étais à demi allongé sur Rachel, occupé à lui léchouiller les tétons, j'ai senti qu'il versait du lubrifiant dans la raie de mes fesses et commençait à jouer de ses doigts avec mon anus, d'abord un doigt puis deux. La surprise passée, j'ai commencé à ressentir un certain plaisir dans le bas de mon ventre et, petit à petit, j'ai senti mes muscles se relâcher et au final, j'accompagnais les caresses d'Aaron de petits mouvements de reins pour ne rien perdre de leurs bienfaits, en poussant des petits gémissements de bonheur. C'est alors qu'il me chuchotta à l'oreille "Do you want me to fuck you?" Je me souviens très bien lui avoir répondu "Yes, PLEASE", en insistant fortement sur le "please" pour qu'il comprenne bien que mon appréhension première s'était transformée en un désir ardent. Grâce au jeu patient de ses doigts, ma rondelle avait été bien chauffée et assouplie et c'est presque sans douleur que son sexe est entré tout entier en moi, par petites poussées, ce que je n'aurais jamais cru possible au départ vu ses dimensions "californiennes".
Après être restés quelques minutes sans bouger, pour nous habituer l'un à l'autre, c'est tout naturellement que nous avons commencé à bouger dans un va-et-vient d'abord lent et limité, puis de plus en plus ample et rapide. J'étais en train de me faire enculer en levrette et je trouvais ça super! Je faisais tout mon possible pour m'ouvrir encore davantage à ce sexe qui m'empalait et je bougeais mes reins pour accompagner ou au contraire contrarier les mouvements d'Aaron et en tirer encore plus de plaisir. Comble d'excitation, Aaron avait les couilles pendant assez bas et à chacune de ses poussées elles venaient taper contre les miennes en faisant "flac, flac" en cadence.
Au bout d'un bon moment nous avons changé de position et Aaron m'a repris de face, mes jambes passées par dessus ses épaules, autour de son cou. La pénétration était encore plus profonde dans cette position et je sentais les frottements de sa bite contre ma prostate. En même temps, des coulées de liquide spermatique s'échappaient de ma queue en demi-érection. Je ne pouvais rien faire d'autre que me caresser le ventre et les tétons pendant qu'il me besognait ainsi à fond et, sans savoir si c'était en rêve ou en réalité, j'ai aperçu Rachel qui immortalisait en photos ma première sodomie.
Peu de temps après, Aaron jouissait bruyamment et quand il s'est retiré j'ai vu que son préservatif était plutôt bien rempli. Rachel s'est immédiatement appliquée à faire remonter mon érection dans sa bouche et il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle déguste mon plaisir enfin libéré. A l'en croire, il y avait aussi la quantité...
Nous sommes restés, Rachel, Aaron et moi, en ces excellents termes jusqu'à la fin de mon post-doc, acceptant parfois quelques nouveaux ou nouvelles venues dans nos rencontres. C'est à cette occasion que j'ai pu faire moi-même l'expérience de la sodomie active sur un autre homme, Aaron n'ayant jamais accepté que je lui rende la monnaie de sa pièce. Quand nous n'étions que tous les trois, un de nos jeux préférés était le sandwich: Aaron en moi et moi dans Rachel, simultanément et j'appréciais par dessus tout d'être pris entre ce mari et cette femme qui jouissaient l'un de l'autre au travers de moi.
Je garde au fond d'un tiroir, bien cachées, ces quelques photos que Rachel m'a données où l'on voit la bite luisante d'Aaron enfoncée à différentes profondeurs dans mon fondement, par derrière et par devant, avec les couilles d'Aaron qui pendent bien bas, et quand je les regarde je crois encore entendre le bruit régulier de leur balancement "flac, flac"...
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