COMMENT JE SUIS DEVENUE UNE COUGUAR

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COMMENT JE SUIS DEVENUE UNE COUGUAR Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COMMENT JE SUIS DEVENUE UNE COUGUAR
Mon univers a basculé un dimanche en début d’après-midi. Il y a environ deux ans, après un bon repas dominical, je faisais la sieste à côté de mon mari, dans notre lit conjugal. Mon smartphone a bipé, sa batterie était déchargée.

Je me suis levée pour aller recharger mon appareil, mais le chargeur était occupé par le téléphone de mon mari. Celui-ci était chargé à 100%. Je l’ai débranché pour mettre le mien à la place. C’est alors que s’est affiché un message sur l’écran :
«J’aimerais tellement être à sa place dans tes bras, mon amour !»
Ça m’a fait un choc. Je me suis précipitée en hurlant dans la chambre : «C’est quoi, ça ?»
Il ne s’est pas démonté, très à l’aise : «Oh, ça ! C’est une connerie. Une femme avec qui je correspond sur internet. Elle a voulu faire une blague.»
Tu parles d’une blague. J’étais dévastée. La quarantaine bien avancée, jamais je n’aurais pu imaginer une chose pareille. Je savais mon mari dragueur, séducteur, mais je n’avais pas envisagé qu’il puisse me tromper.

Moi non plus, d’ailleurs. Jamais, au grand jamais, je n’aurais pu imaginer être un jour infidèle à mon mari. Depuis l’âge de 13 ans, j’ai été abordée, convoitée, sollicitée par des hommes, des connaissances ou des inconnus, et aussi par quelques femmes. Je n’ai jamais répondu à leurs sollicitations. Je me suis mariée vierge et je suis restée fidèle à mon mari jusqu'à …
Je n’ai pas cherché à savoir qui était cette femme. Je m’en fichais. Ma vie tombait en morceaux, je n’avais plus goût à rien. Au travail, les copines ont remarqué mon air dévasté, ma mine de papier mâché : «Qu’est-ce t’as, t’es malade ?»
Je n’avais pas envie de clamer sur les toits l’infidélité de mon mari, j’ai éludé les questions. Mais après plusieurs jours, à force d’insistance, j’ai fini par craquer et lâcher le morceau. Nous habitons une petite ville de banlieue, je travaille à temps partiel au centre commercial, tout le monde connaît tout le monde, la rumeur s’est répandue, et au bout de quelques jours, celles qui savaient sont venues me parler.

C’est là que j’ai su le fin mot de l’histoire. Lorsque mon beau-père est décédé, la mère de mon mari était déjà âgée. Mon mari a décidé d’installer sa mère dans un établissement spécialisé proche de chez nous. Comme c’était sur son chemin pour rentrer chez nous, tous les soirs il passait faire un bisou à sa maman. Tout le monde trouvait ce fils très gentil, et je me souviens avoir dit à mon propre fils, Arthur :«Quand je serai vieille, j’espère que tu seras comme ton père, et que tu viendras me voir souvent.»
Oui mais voilà, mon mari n’allait pas voir que sa mère. Dans cet établissement, il y avait aussi une jeune personne qui n’était pas insensible au charme de mon mari. Après avoir embrassé sa maman, mon mari passait un moment dans les bras de la jeune femme. Dans ce genre d’établissement, il est facile de trouver une pièce inoccupée pour s’isoler.

Après avoir passé un agréable moment, il rentrait à la maison, l’âme sereine et les couilles vides. Moi, j’avais droit, une fois par semaine, aux attentions de monsieur. Elle, elle passait à la casserole tous les soirs. Et ça durait depuis … ?

J’étais vexée, furieuse, jalouse. J’ai établi mon campement dans la chambre d’amis, avec interdiction à mon mari de pénétrer dans cette chambre et dans mes fesses. Mon fils a bien tenté de nous réconcilier, peine perdue. Je lui en voulais trop.

Comme je dépérissais, la mine triste, hargneuse, au travail une amie m’a prise à part : «Venge-toi ! Moi, depuis que j’ai divorcé, je sors tous les samedis soirs. Une boîte latino, des jeunes hommes, merveilleux danseurs, parfois ils sont tendres, parfois un peu plus. Ça fait du bien, crois-moi. Et puis on s’en fout d’être des couguars, le principal c’est que le corps exulte !»
J’ai dit d’accord, le samedi suivant j’ai raconté à mon mari que j’allais à un loto avec mes copines du boulot, il s’en foutait d’ailleurs, il y avait un match à la télé, pas sûr qu’il ait compris ce que je disais.

Quatre femmes, la quarantaine trépidante, prêtes à faire des folies. Une boîte de rythmes latinos, ou afro-cubains, on se trémousse, et on se frotte contre tout ce qui est jeune et beau. Les filles m’ont expliquées la règle. Jamais seule, jamais isolée ou séparée des copines, cet endroit est un vrai coupe-gorge, tu te ferais violer en moins de deux. Bon, d’accord, n’empêche que le jeune mec qui danse devant moi, s’il veut me violer, bah je suis d’accord !

J’ai eu beau me trémousser, changer 50 fois de partenaire, je me suis bien amusée d’accord, mais pas d’outrage. Quelques mains baladeuses, quelques bisous, mais rien de plus. Pas déçue, parce qu’on s’est bien amusées, je le referai, c’est sûr, mais pas question ici de me venger en trompant mon mari.

Nous sommes sorties en bande tous les samedis soirs, on s’amusait bien, on draguait et on se faisait draguer, mais ce n’est jamais allé plus loin. M’en fichais, vous auriez vu la tête de mon mari, le samedi après-midi, quand je me pomponnais pour sortir, ça valait toutes les coucheries du monde. Je suis sûre qu’il était convaincu que je le faisais cocu, et je ne faisais rien pour l’en dissuader.

Un mercredi après-midi, un garçon est venu à la maison, voir mon fils, Arthur. Un copain qu’il avait rencontré au permis de conduire. À bientôt 17 ans, mon fils prépare le permis en conduite accompagnée, avec son père. Mais les cours de code, il y va seul.

C’est là qu’il a rencontré Farid, un gamin un peu plus âgé. Ils se sont découverts une passion commune pour un jeu vidéo, et se sont lancés un défi. C’est pour cela que ce gars venait chez nous, sa manette de jeux à la main. Par précaution, je me suis intéressée à lui, savoir ce qu’il faisait dans la vie, ses parents, tout ça …
Je ne suis pas raciste, mais je ne veux pas que mon fils ait de mauvaises fréquentations. Mais avec Farid, pas de problème. D’ailleurs, il était beau garçon, élancé, dynamique, souriant, et un regard … à tomber !

Pendant que les garçons allaient dans la chambre d’Arthur, se mesurer à leur jeu favori, je suis allé dans ma chambre, revêtir une tenue un peu plus seyante que ma robe-tablier de ménage. Pour mieux comprendre, je dois vous expliquer l’aménagement de notre appartement.

Il est divisé en 3 zones. Au centre, le lieu de vie, avec le grand séjour, la cuisine et le cellier. D’un côté, la suite parentale, avec son dressing, sa salle de bain et un petit bureau. De l’autre côté, 2 chambres et une salle d’eau. Et un W.C. dans chaque zone. Et tout cela communique par des couloirs depuis l’entrée. Pratique, pour la discrétion.

Donc, quand je dis que je suis allée me changer dans ma chambre, c’est de la chambre parentale qu’il s’agit. Parce que maintenant, depuis que j’ai découvert l’infidélité de mon mari, je dors dans la chambre contiguë à celle de mon fils. J’ai enfilé une petite robe noire toute simple, mais qui me mets en valeur, et j’ai retouché mon maquillage.

Le matin même, j’avais fait un cake aux pommes et aux fruits secs. J’ai découpé deux grosses parts, j’ai servi deux grands verres de soda, mis le tout sur un plateau, et je me suis dirigée vers la chambre d’Arthur. Dans le couloir, j’ai vu que la porte de sa chambre était entrouverte. Pourquoi me suis-je avancée en catimini ? Pour faire une surprise ?

La surprise, c’est moi qui l’ai eue. En jetant un coup d’œil par l’entrebâillement, j’ai vu les deux garçons, vautrés côte à côte sur le lit. Farid avait baissé son short aux genoux, relevé son T-shirt, il était nu de la taille aux cuisses. Il exhibait fièrement une imposante érection. Penché sur lui, Arthur caressait lentement ce sexe impressionnant.

Pas caresser dans le sens de branler, mais plutôt toucher comme pour s’assurer qu’il ne rêvait pas, et que ce poteau était bien réel. Mais ce qui m’a fait le plus mal, c’est quand j’ai vu Farid caresser la nuque d’Arthur, puis appuyer fermement, pour obliger la bouche de mon fils à s’approcher davantage du sexe en érection.

Horrifiée, je me suis enfuie pour ne pas voir la suite. Il m’a fallu un long moment pour me modérer. Un mélange de répulsion et d’attirance. Je regrettais l’attitude de mon fils, mais j’aurais tellement aimé être à sa place. Un vol de papillons bruissant dans mon ventre, depuis l’entrée du couloir, j’ai crié : «Les garçons, le goûter est servi !»
Farid a remarqué instantanément mon changement de tenue. Son regard a changé. Il n’avait plus ce regard indifférent de tout à l’heure, dans l’entrée, il me regardait à présent comme une proie. Automatiquement, je me suis redressée un peu, bombant le torse, cambrant les reins. J'ai ressenti un désir sexuel très fort. Je me suis agitée autour de lui, rangeant un bibelot, époussetant un autre, comme une femme très occupée par son ménage, en prenant soin de bien montrer mon corps.

Puis, les garçons sont partis, Arthur avait son cours de tennis, suivi d’une heure de code. Quelques minutes après, la sonnette de l’entrée a carillonné. C’était Farid, qui prétendait avoir oublié sa manette de jeux. Je l’ai fait entrer, et je l’ai accompagné dans la chambre d’Arthur pour chercher l’objet.

Penchée sur le lit pour chercher sous les coussins, j’ai senti sa main remonter le long de ma cuisse, sous ma robe. Le cœur battant, je l’ai laissé faire. Arrivé au but, il a pressé ma fesse, gentiment mais fermement. Je me suis redressée, souriante, et je l’ai entraîné dans la chambre voisine, MA chambre.

«Soulève ta robe et montre-moi tes trésors.» Lentement, j’ai obéi en me déhanchant pour faire passer ma robe. En sous-vêtements, il m’a faite tourner sur place pour m’admirer avant de m’embrasser tendrement sur les lèvres. Puis, implacable, il a appuyé sur mes épaules pour m’asseoir sur le lit, et me présenter sa bite qu’il avait sortie.

Mes mains tremblantes de désir se levèrent pour caresser son sexe qui se dressait devant mon regard émerveillé. Ma bouche s’est ouverte aussi large que possible pour gober l'épais gland. Sucer le pénis de ce jeune homme était plus facile à faire que je ne l'avais redouté. Afin d’expérimenter, je léchais et bécotais tout au long de la colonne. Oui, en fait, c'est un jeu amusant. Émoustillée, je suis devenue plus énergique, suçant et frottant sa bite contre ma bouche.

Farid a été très doux, très patient. J’étais impressionnée par la taille de son sexe, j’étais persuadée de ne pas pouvoir le supporter, mais à force de persuasion, gentiment mais fermement, il m’a demandé de le chevaucher afin de contrôler la pénétration tant redoutée.

De cette façon, j’ai pu gérer sans le trac, par paliers successifs, avant de l’enfouir entièrement en moi. Ensuite, d’un prompt coup de rein, il m’a retournée sur le dos et m’a clouée sur le lit comme un insecte sur un présentoir.

Farid a commencé à me fourrer profondément, engouffrant toute sa longueur avant de ressortir presque en totalité, puis replongeant jusqu’à heurter le fond de ma vulve. Le rythme s’accélérait progressivement, j’ai levé mes jambes pour aligner ma chatte, et augmenter mes sensations.

Gémissante, haletante, je ponctuais chaque pénétration de petits cris aigus en oscillant des hanches. Les mains accrochées aux épaules de Farid, mon esprit s’envolait littéralement, tous mes sens concentrés vers la montée de la jouissance qui obscurcissait ma raison.

Me sentant sur le point de jouir, Farid a passé sa main autour de mon cou pour le serrer doucement. Je ne sais pas si c’est à cause du manque d’air, mais j’ai joui instantanément dans des soubresauts, accompagnés d’un long râle rauque.
J’ai passé un merveilleux moment dans les bras de Farid, intensifié par l’idée que je me vengeais de mon mari infidèle.

Et le mercredi suivant, lorsque Arthur est parti à son cours de tennis, la sonnette de l’entrée a retentit. C’était Farid qui revenait lutiner sa conquête. Bien entendu, je l’ai fait entrer. Bien entendu, nous avons fait l’amour. À plusieurs reprises, divinement, il a été parfait.

Mais une fois l’affaire faite, je lui ai dit que ce n’était pas possible de continuer à le recevoir ici, chez moi, avec les risques de commérages, ou d’être surprise en fâcheuse posture par mon mari, ou mon fils. Alors, il m’a parlé d’une étudiante, une "copine" à lui, qui avait un studio en ville.

Le mercredi suivant, je me suis rendue chez Agathe, la "copine", pour retrouver mon amant, Farid. Je suis arrivée un peu en avance pour faire la connaissance de cette "copine". Ce que Farid ne m’avait pas dit, c’est qu’elle était lesbienne et très persuasive.

Quand Farid est arrivé, nous avions fait connaissance, Agathe et moi. Elle avait sa langue dans ma bouche, et ses doigts dans ma chatte. En me trompant, mon mari m’avait accordé une sorte de laisser-passer, et j’étais prête à tenter toutes les aventures, même les plus improbables.

Bien évidemment, Farid était très content de me trouver "en mains". Il s’est vautré tout de suite sur moi, prenant la place de sa copine qui s’écartait en râlant. Du coup, il m’a basculée sur lui pour que mes fesses soient accessibles. Agenouillée, les jambes repliées, caracolant sur la bite dressée de Farid, j’offrais mon anus à la convoitise d’Agathe.

Elle s’est jetée dessus, de la bouche et des doigts, pour agrandir le passage. D’abord la bouche, pour bien m’exciter, puis avec son doigt elle étale le lubrifiant, tout autour, puis dedans. C’est froid, cette intrusion anale de son doigt recouvert de crème.

Petit à petit, mon sphincter se détend, bien aidé par l’action de Farid qui m’a saisie par les hanches et me fait monter et descendre sur sa verge tendue. Sa bouche tète mes mamelons, ses mains puissantes impriment un mouvement de balancier à mes hanches, Agathe a retiré son doigt pour remettre de la crème.

Cette fois, c’est deux doigts qu’elle introduit puissamment dans mon fondement. La crème gicle, elle me tartine tout autour de ma rosette plissée qui se déplisse. De sa main libre, elle me saisit un sein qu’elle malaxe énergiquement.

Les actions conjuguées de mes deux amants m’entraînent vers une luxure débridée et perverse. Agathe, se retire et se lève pour s’équiper d’un gode-ceinture. Je frémis d’appréhension en comprenant ce qu’elle me prépare. Je suis vierge de ce côté-là, et je redoute le manque de douceur d’Agathe.

Elle s’agenouille derrière moi, contre moi, elle aligne son gode contre mon anus, Farid me maintient en place. Agathe pousse, mon sphincter résiste, elle se recule un peu, comme pour prendre son élan, du bout du doigt elle remet un peu de crème et, d’une poussée brutale, me pénètre.

Aïe ! La salope ! Elle m’a cassé le cul ! Je gueule, je proteste, elle s’en fout, elle commence à me limer en me promettant la félicité éternelle. C’est vrai, rapidement, je m’habitue, je me détends, ce n’est pas si désagréable. Farid a lâché mes hanches, les mouvements d’Agathe m’aident à glisser sur cette queue extraordinaire.

J’embrasse Farid à pleine bouche pendant qu’il me triture les seins, Agathe continue de m’enculer vigoureusement, je sens le plaisir partir du fond de ventre en direction de mes terminaisons nerveuses. Farid perçoit ce qui m’agite, ses mains enserrent ma gorge, me privent d’air, l’orgasme explose en myriades d’étincelles, je perds conscience.

Très vite, je reviens à moi, Agathe continue de m’enculer frénétiquement, Farid se marre : «C’était bon ?»
J’acquiesce et mes hanches reprennent vie en se balançant fougueusement. Je n’ai pas pu leur résister longtemps avant de crier encore une fois mon bonheur. Je baise et je suis baisée. Jamais je ne m’était sentie à la fois aussi forte et aussi soumise.

Cette prise en double m’a révélée, je n’ai pas pu résister à la passion et à la jeunesse de mes deux amants. Je suis devenue une couguar, une salope qui recherche son plaisir dans les bras de partenaires qui ont l’âge d’être ses enfants.

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