Comment régler sa facture...(suite)
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Comment régler sa facture...(suite)
Je jouissais encore lorsque doucement, Ludo écarta mes cuisses et se pencha sur ma chatte ruisselante.
« Putain, Papa ce que tu as pu décharger comme sperme !!
- Oui répondit Alfred, cela s'appelle de l'hyperspermie due en général à la prostate ou a une longue période d'abstinence !!
- Quoiqu'il en soit, c'est dommage de laisser perdre ce nectar !! Il n'y aurait pas un petit verre à liqueur ? »
Victor se précipita et revint avec un petit verre ciselé sur pied ressemblant à un verre à cognac . Le gros Ludo le plaça à la sortie de mon orifice vaginal et écarta mes lèvres, l'enfonça légèrement, le remonta doucement pour récupérer le sperme mêlé à mon foutre qui s'écoulait.
« Contracte bien ta chatte, elle est encore pleine de sperme, voilà comme ça... regardez, comme ça coule, il doit y avoir plus de 12 ml... Tout à l'heure, elle va se régaler la petite salope... Tourne-toi mets toi sur le dos, que tout le monde en profite bien... »
Il se coucha à côté de moi, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s'insinua, je ne desserrai pas les dents... il grogna, il me saisit le mamelon droit et le pinça fortement, un petit cri de douleur mêlé à du plaisir me fit ouvrir la bouche, sa langue envahie, ma cavité buccale. Sa salive au goût suret coula dans ma bouche. Il avait du sentir que j'aimais son pincement, car il se saisit de mon autre téton et lui fit subir le même sort.
Ma poitrine se tendit vers l'avant comme pour en redemander, et vaincue par le plaisir et la légère douleur qui m'irradiait les seins les faisant se durcir, je lui rendis son baiser avec fougue.
Il écarta les bandes de tissu qui encadraient mes aréoles, faisant bien jaillir les globes mes seins qui se trouvaient légèrement compressés par les lanières de dentelles.
Sa bouche entourée de poils rêches et piquants descendit le long de mon cou, son menton se frotta sur le haut de ma poitrine et ses dents encerclèrent mes bouts en totale érection. Il se mit a me les mordiller assez vigoureusement.
« Ouuuuiiiii, ouuuuuiiiii.... vas-y mords moi bien les tétons, ouuiiiii comme ça !!! Ça m'excite... »
Je sentais son gland triangulaire dur comme un roc se frotter au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frotta doucement sur ma peau nue. Son majeur c'était insinué dans ma chatte et ma vulve commençait à me chatouiller et à devenir à nouveau moite. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs.
Ses yeux sombres ne quittaient pas le spectacle obscène de mon sexe à la fente rose et humide largement ouverte qui palpitait sous son regard et lubrique.
Je lui saisis la tête et plaquais sa bouche sur la chatte en feu, qui n'attendait que la pénétration de son gland décalotté mauve foncé. Il me plaisait beaucoup, il était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, cela m'avait procuré des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors de notre précédent coït. Son prépuce était d'un brun clair, le corps du Membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules aussi gros que des œufs de poule.
Ses lèvres se posèrent sur la peau de ma jambe droite, là où s'arrête le bas. Sa langue remonta le long de l'attache jusqu’à mon mont de venus , redescendit dans l'aine, puis il pressa son visage contre ma vulve ruisselante humant le foutre qui coulait, et sa langue lécha le bord de mes lèvres. Des mouvements lascifs firent tressauter mes hanches. Au fur et à mesure que sa langue s'enfonçait dans mes entrailles mes cuisses s'ouvraient, son pouce titilla mon clitoris, un cri d'extase jaillit de ma gorge.
Alfred aimait regarder mes ébats... mais moi aussi, j'étais friande des sensations que ceux-ci pouvaient provoquer chez mon patron et chez Victor son vieux majordome. Le vieux domestique avait lui aussi une bite hors norme, c'est pour cela qu'Alfred l'avait embauché. Il ne voulait pas l'avouer, mais ce brave Victor était un peu jaloux lorsque je me faisais baiser... et cela augmentait mon plaisir...
Ludo me fit asseoir sur ses cuisses jambes largement ouvertes, face aux trois autres hommes, puis ilse mit à caresser mon corps, malaxant ma poitrine ferme et douce, ce qui me tira un gloussement de plaisir.
Sa queue commença à se frotter le long des lèvres de ma chatte, son érection géante les écartait et son membre glissait du bout de son gland, jusqu'à la base garnie de poils rêches.
Il posa une main sur ma chatte et commença me masturber le clitoris, tandis que l'autre me malaxait un sein et me tirait le mamelon. Doucement, sa langue baveuse me léchait le cou.
Je poussai un gémissement de plaisir et pris une profonde inspiration.
Le gros fermier frottait mon clitoris et fourrait sa queue de haut en bas dans ma fente, la faisant glisser lentement contre ma chatte humide et tremblante, puis sur mon mont de venus jusqu'à la faire passer sous la dentelle de mon porte-jarretelles.
Je sentais des sensations sauvages envahir mon corps, il me semblait que je n'avais jamais ressenti cela et je laissai un long gémissement agréable sortir de ma gorge.
Ludo essaya de glisser trois doigts dans ma chatte humide, mais il ne put les intégrer que jusqu'à sa deuxième phalange ils étaient trop boudinés.
Sa queue engorgée de sang, bandait énormément, il avait ressorti ses doigts trempés de mon foutre les avait léchés avec délice et il me chuchota à l'oreille :
« Petite salope, je vais te mettre ma queue... ! »
A ces mots, je commençais à frotter doucement son énorme bite. Je l 'attrapais avec la main pour la masturber lentement. Mes yeux se s'écarquillèrent de stupéfaction, le monstrueux phallus s'était encore élargi. Je continuais à le branler lentement, et je me penchais en avant pour prendre sa queue dans ma bouche.
Il enfonça sa bite dure et tendue dans ma cavité buccale douce et pulpeuse, je l'avalais et ma langue s'agita autour de ce qui ressemblait à un champignon géant, puis je commençais à sucer toute la longueur.
J'étais obsédée par ce sexe monstrueux et je ne pouvais pas arrêter ma fellation, je n'entendais pas les commentaires des trois autres hommes.
Je sentais un désir profond de vouloir le faire éjaculer dans ma bouche, mais cette fois, je voulais que ce soit différent de ce que je lui avais fait par le passé. Je caressais les couilles géantes de Ludo, les soulevant, les soupesant en soupirant de convoitise, elles étaient comme des sacs géants de sperme bouillonnant, destinés à moi toute seule
« Je ne peux pas croire à quel point ta bite a atteint ce diamètre phénoménal et elle devient encore plus grande... ! »
J’ouvris la bouche aussi large que possible. Je devais insister pour avaler l'énorme mandrin dans ma gorge. J'arrivais à la base lorsque je pu déguster le bouillonnement du liquide pré-éjaculatoire qui commençait à s'écouler régulièrement de la pointe de son gland évasé. Je sortais son membre et posant mes lèvres sur son méat aspirais le liquide séminal, il trembla de satisfaction.
Il poussa vers le bas ma tête, en appuyant derrière. Il sentit que je le suçais comme jamais je ne l'avais fait auparavant. Il haletait à perdre l'esprit... Il avait une énorme envie d'éjaculer...
« Trixie, c'est ce qui arrive à une grosse queue quand elle est prête à aller s'enfoncer à l'intérieur d'une jolie chatte comme le tienne... »
Ludo m'attrapa, autour de la taille et me hissa sans effort sur le lit. Je posais le dos et regardais juste son énorme et gigantesque bite lancinante comme si j'étais en transe. Il m'embrassa, sa langue s'insinua dans ma bouche, son corps nu et velu se frottait sur mes seins, il m'embrassa avec passion me clouant sur le dos.
Nerveusement, j'ai accepté son baiser submergé par le désir. Il épousait mon corps, frottant son énorme bâton contre mon ventre et mes seins.
Je m'assis et repliais mes jambes ensembles, comme pour me protéger, je poussais en arrière, pour l'énerver un peu, son pieu monstrueux
« Non ! Tu ne peux pas me baiser ainsi !! Je ne veux pas tomber enceinte... Je viens de me rappeler que je n'ai pas pris ma pilule... »
Cela réussit, il grimaça de mécontentement et essaya de pousser sa monstrueuse bite entre les plis de ma chatte, mais je renforçais ma position de départ, comme pour le faire entrer dans un état second.
Il me fusilla du regard, se rapprocha de mon visage et en me regardant dans les yeux, il me poussa sur le dos, je m'étalais sur le lit.
Il posa ses mains calleuses à hauteur des attaches de mon porte-jarretelles et écarta fermement mes jambes, je cédais.
«Pour l'instant, je ne vais te mettre que mon gland, juste le bout, nous allons voir ce que nous pouvons te faire ressentir avec mon gros bout dans ta douce chatte, je suis sûr que tu vas adorer, tu vas en redemander…. »
Je retins un soupir de désir et regardais à nouveau avec envie son énorme queue gorgée de sang et palpitante comme douée d'une vie propre, s'approcher de ma chatte trempée qui ne demandait qu'a l’accueillir.
Une partie de moi désirait cette pénétration, mon corps me faisait savoir qu'il en avait envie, mais dans mon cerveau une autre partie de moi refusait cet accouplement avec cet être bestial, et primaire, à la propreté toute relative, tout le contraire d'un apollon, il était vraiment repoussant... Mais c'est mon corps qui prit le dessus..
Ludo se jeta sur moi et enfila rudement sa très grosse queue entre les lèvres de ma chatte, il continua à forcer son chemin dans mon jeune vagin humide, je contractais mes muscles vaginaux pour profiter de cette pénétration ardente.
Il attrapa ma taille au-dessus de mon porte-jarretelles et tira mon corps vers le sien, son gland épanoui en corolle força le passage, je me mordis les lèvres pour ne pas crier de volupté.
Ensuite, je criai de plaisir lorsque je sentis la délicieuse brûlure se propager le long de mon vagin.
Il écarta mes jambes encore plus et son gland monstrueux glissa à l'intérieur de ma chatte humide et trempée. Maladroitement, j'essayais avec mon bassin de suivre ses pénétrations, mais ensuite pressées et écartées par la dure corolle mes parois vaginales se contractaient et se relâchaient comme pour aspirer le piston, voulant qu'il aille plus profond. Je poussais un énorme gémissement de plaisir.
Ludo laissa échapper un grognement puissant et plongea son phallus géant et encore plus profond en moi, s'arrêtant lorsqu'il eut rentré 15 centimètres dans ma chatte écartelée et palpitante.
Je recommençais à crier mon plaisir, lorsqu'il commença de rapides va et vient, la dureté de sa queue la faisait entrer avec puissance dans ma chatte. Il sentait maintenant mon acceptation totale et le resserrement étroit de ma chatte autour de sa longue bite géante, semblait satisfaire son arbre veiné palpitant comme jamais...
Il juste me regarda et sourit comme un démon, il glissa ses bras sous mon dos et saisit mes épaules, me positionna de sorte qu'il puisse tirer mon corps vers lui et enfoncer son membre démesuré au plus profond de moi.
Maintenant, je hoquetais de plaisir, mon vagin était en feu. Il me chevauchait, enfonçant en moi, sa bite démesurée avec une rage lubrique.
D'un coup, il me pénétra plus violemment, plus je criais et plus il aimait poignarder la fente de ma chatte ruisselante et chaude avec sa perche géante.
Il me fouillait de plus en plus fort, il plongeait sans discontinuer sa bite géante en moi, mes cris se transformaient en gémissements de plaisir et je rejetais ma tête en arrière retenant des larmes de joie.
Ludo me baisait sur un rythme soutenu, mais régulier et mes cris de ravissement, intenses et profonds se transformèrent en gémissements de plaisir mélangés à une douleur lancinante et sourde procurée par la grosseur de sa queue qui écartelait mes parois vaginales.
Je sentais la bite monstrueuse de grosseur racler au plus profond de mon vagin et je me suis mis à crier de plaisir.
Il commença à me baiser sauvagement, comme un animal, mes seins rebondissaient, mes mamelons en érection totale, frottaient contre les pectoraux graisseux et velus de Ludo. Je me suis accrochée à lui et j'ai entouré mes bras et mes jambes autour de lui.
Ses coups de boutoir étaient un peu douloureux, mais je me sentais si bien, ma tête tournait alors qu'une lancinante vague de plaisir commençait à sourde a l'intérieur de mes entrailles.
Il avait entré la presque totalité de sa queue géante en moi. Il forçait pour enfoncer en entier les derniers centimètres de sa queue, ma chatte était ouverte au maximum.
Mon corps commença à trembler, mes seins se durcirent, je sentais qu'un puissant orgasme était en train de naître au tréfonds de moi, il déferla :
« ohh, ohh, s'il te plaît vas plus lentement, oui plus profond ... oh chéri ... Je jouiiiiii ... oui plus profond... Pénètre-moi doucement.... Ouuuiiiiiii !!!!! Ta bite est une pure merveille... ooouuuiii !!!!»
Pendant de longues minutes Ludo me tint enlacé étroitement, sa bite bien enfoncée pour bien laisser mon foutre couler sur ses grosses couilles velues, il m' embrassa passionnément.
Alors je sentis dans ma chatte une éjaculation conséquente et profonde qui coula à travers moi, la bite de Ludo se déversait avec de grands spasmes.
Son sperme chaud coula à l'intérieur de ma féminité béante, il haletait et gémissait à chaque foisque ses couilles frappaient mon cul.
Sa queue était encore dure à l'intérieur de ma chatte, et il commença à frotter ses couilles contre mes fesses dures et poussa sa bite aussi profondément qu'il le put en moi. Puis il bascula sur le dos me mettant à califourchon sur ses cuisses. Il ne bougeait plus semblant récupérer. J'essayais de récupérer en respirant lentement, je réalisais qu'il ne fallait pas qu'il me prenne pour sa putain de service !! Je me secouais, Ludo était couché sur le lit caressant ma poitrine et je sentais sa grosse bite encore à moitié et dure, poussant fort entre mes jambes et frôlant à nouveau mon ventre au-dessus de mon porte-jarretelles. Je me suis senti confuse et un sentiment de honte m'envahit. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi et comment ce gros porc, laid comme un pou, avait pu profiter de moi ! Mais je reconnaissais qu'il m'avait donné énormément de plaisir les deux fois qu'il m'avait baisé... Je pensais que j'étais une vraie petite salope, accroc aux énormes bites... Tandis que ces pensées traversaient mon esprit, je regardais la bite de Ludo à nouveau dure comme du bois, venir flageller mes seins.
« Putain, Trixie, tu es vraiment faite pour ma grosse queue... »
Il remit ça en me l'enfilant à nouveau dans la chatte.
Victor complètement nu s'approcha du lit, il se masturbait, il calottait et décalottait sa queue qui avait atteint une érection maximale près de trente centimètres. Je le regardais, lui aussi ne payait pas de mine, il avait 76 ans passés, assez maigre, sa peau était fripée, mais il avait un engin qui était infatigable et dur comme de la pierre. Il l'approcha de ma bouche :
« Suce mon gland petite Salope, je vais te sodomiser... »
Je m'appliquais à lui obéir, Ludo lui avait repris le malaxage de mes seins, mes mamelons commençaient à me faire mal à force d'être triturés, mais je ne détestais pas cette légère douleur qui les tenait en érection permanente.
Victor passa derrière moi et se mit à genoux sur le lit, il me fit pencher en avant, Ludo en profita pour sucer mes tétons, comme s'il voulait en tirer du lait.
La queue de Victor se positionna a l'entrée de mon anus et il poussa lentement, mon ampoule rectale ne résista pas et son gland entra dans mon petit trou. Il me connaissait, il savait que j'appréciais les pénétrations lentes, avec beaucoup de va et vient. Il savait aussi que j'acceptais dans mes entrailles la totalité de sa grande queue, alors il prenait son temps pour me faire savourer chaque centimètre qui entrait en moi.
Avec ses deux énormes bites en moi, Ludo bougeait lui aussi doucement dans mon vagin, je m'envolais vers le paradis de la luxure. Les deux hommes me besognèrent pendant cinq minutes.
« Dis, Victor, je ne pourrais pas la sodomiser... Elle a l'air d'aimer ça !!
- Bien sûr Monsieur, c'est vous l'invité... »
Victor avait répondu poliment, mais d'un air contrit. Le gros fermier, mit sa bite au ras de mon cul, la pointe de son gland y pénétrant légèrement.
« Allez assieds toi dessus, et tu ne t'arrêteras que lorsque tu sentiras mes poils te chatouiller les fesses, puis tu me chevaucheras toute seule, tu m'as épuisé tout à l'heure ! »
Je lui obéis à la lettre, j'entendais Victor soupirer de déception.
« Victor, dit Alfred, vous devriez, en profiter aussi, Trixie doit pouvoir accueillir deux bites, essayez, j'adorerai voir cela !! »
Victor remonta sur le lit se mit à genoux faisant passer mes jambes sur ses cuisses, Ludo les mains sur mes hanches à hauteur de mon porte-jarretelles bloquait mon bassin, puis une fois qu'il sentit le gland de Victor se positionner sur sa bite à l'entrée de mon trou intime, il m'attrapa sous les cuisses et écarta le plus possible mes jambes. Victor s'aidant d'une main poussa lentement. Je sentais petit à petit son gland glisser au dessus de la bite de Ludo. J'étais excitée, mes sphincters étaient détendus juste pour permettre cette énorme intrusion. Il cracha sur son gland, passa deux doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme gluant, qu'il badigeonna sur la tête de sa bite pour bien la lubrifier.Victor procédait lentement, attentif aux expressions de mon visage, il ne voulait pas me faire mal, sitôt que j'ouvrais la bouche, retenant ma respiration, il stoppait sa progression. Il était arrivé à entrer les deux tiers de sa queue, il se retira de 10 cm, puis d'un petit coup de rein sec, il les remit en place, profitant de gagner un peu plus de profondeur, je hoquetais de plaisir. Il recommença l'opération plusieurs fois, Ludo lui pour l'instant ne bougeait pas.
Victor voyant que j'acceptais doucement les deux énormes membres, accéléra sa cadence de pénétration, sa bite était presque entièrement entrée.
Ludo l'avait compris et lui aussi commença a faire des va et vient dans mon conduit anal, démesurément distendu.
Ma bouche était grande ouverte, et je cherchais frénétiquement de l'air, submergée par les puissantes sensations de plaisir, d'avoir deux bites monstrueuses enfoncées profondément dans mon cul.
J’enfouis mon visage dans les poils de la poitrine de Ludo, après quelques minutes de baise anale profonde, je commençais à gémir comme une petite chienne.
Je hurlais avec force, quand ludo accéléra ses pénétrations, Il me sodomisait plus férocement, je pouvais sentir tous les cm de sa bite qui entraient en moi, mes parois anales devenaient plus sensibles.
Victor, attrapa mes fesses et les écarta, il appela Alfred :
« Venez voir Monsieur, vous aurez un point de vue magnifique, sur le cul de Mademoiselle !! Je crois que ne vais pas tarder à éjaculer. Dois je le faire à l'intérieur, ou voulez vous voir gicler mon sperme dans sa raie ?
- Moi aussi je vais jouir, Alfred faite moi passer le petit verre... »
Alfred attrapa le verre à liqueur et le tendit à Ludo, celui-ci avec dextérité y déversa sa semence, tandis que Victor avec de sourds grognements, éjaculait son sperme tiède dans la raie de mes fesses. Alfred lui se masturbait vigoureusement, le spectacle l'avait entièrement comblé et assouvi ses fantasmes, il &tait au bord de l'éjaculation.
« Attendez, Monsieur, mélangez votre sperme au notre dans le petit verre...
- Oui, mais pourquoi ? »
Dit Alfred en s’exécutant. Le verre était plein du sperme du vieux fermier, de son fils et de celui d'Alfred.
« Trixie, approche. Ouvre la bouche, penche la tête en arrière, tire la langue... »
Le gros Ludo versa avec dévotion par petites rasades,les liquides translucides sur ma langue...
« Allez avale.... Tu aimes... Allez montre nous que tu adores... »
J'obtempérais, et déglutis le cocktail de sperme...
A suivre ...
« Putain, Papa ce que tu as pu décharger comme sperme !!
- Oui répondit Alfred, cela s'appelle de l'hyperspermie due en général à la prostate ou a une longue période d'abstinence !!
- Quoiqu'il en soit, c'est dommage de laisser perdre ce nectar !! Il n'y aurait pas un petit verre à liqueur ? »
Victor se précipita et revint avec un petit verre ciselé sur pied ressemblant à un verre à cognac . Le gros Ludo le plaça à la sortie de mon orifice vaginal et écarta mes lèvres, l'enfonça légèrement, le remonta doucement pour récupérer le sperme mêlé à mon foutre qui s'écoulait.
« Contracte bien ta chatte, elle est encore pleine de sperme, voilà comme ça... regardez, comme ça coule, il doit y avoir plus de 12 ml... Tout à l'heure, elle va se régaler la petite salope... Tourne-toi mets toi sur le dos, que tout le monde en profite bien... »
Il se coucha à côté de moi, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s'insinua, je ne desserrai pas les dents... il grogna, il me saisit le mamelon droit et le pinça fortement, un petit cri de douleur mêlé à du plaisir me fit ouvrir la bouche, sa langue envahie, ma cavité buccale. Sa salive au goût suret coula dans ma bouche. Il avait du sentir que j'aimais son pincement, car il se saisit de mon autre téton et lui fit subir le même sort.
Ma poitrine se tendit vers l'avant comme pour en redemander, et vaincue par le plaisir et la légère douleur qui m'irradiait les seins les faisant se durcir, je lui rendis son baiser avec fougue.
Il écarta les bandes de tissu qui encadraient mes aréoles, faisant bien jaillir les globes mes seins qui se trouvaient légèrement compressés par les lanières de dentelles.
Sa bouche entourée de poils rêches et piquants descendit le long de mon cou, son menton se frotta sur le haut de ma poitrine et ses dents encerclèrent mes bouts en totale érection. Il se mit a me les mordiller assez vigoureusement.
« Ouuuuiiiii, ouuuuuiiiii.... vas-y mords moi bien les tétons, ouuiiiii comme ça !!! Ça m'excite... »
Je sentais son gland triangulaire dur comme un roc se frotter au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frotta doucement sur ma peau nue. Son majeur c'était insinué dans ma chatte et ma vulve commençait à me chatouiller et à devenir à nouveau moite. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs.
Ses yeux sombres ne quittaient pas le spectacle obscène de mon sexe à la fente rose et humide largement ouverte qui palpitait sous son regard et lubrique.
Je lui saisis la tête et plaquais sa bouche sur la chatte en feu, qui n'attendait que la pénétration de son gland décalotté mauve foncé. Il me plaisait beaucoup, il était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, cela m'avait procuré des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors de notre précédent coït. Son prépuce était d'un brun clair, le corps du Membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules aussi gros que des œufs de poule.
Ses lèvres se posèrent sur la peau de ma jambe droite, là où s'arrête le bas. Sa langue remonta le long de l'attache jusqu’à mon mont de venus , redescendit dans l'aine, puis il pressa son visage contre ma vulve ruisselante humant le foutre qui coulait, et sa langue lécha le bord de mes lèvres. Des mouvements lascifs firent tressauter mes hanches. Au fur et à mesure que sa langue s'enfonçait dans mes entrailles mes cuisses s'ouvraient, son pouce titilla mon clitoris, un cri d'extase jaillit de ma gorge.
Alfred aimait regarder mes ébats... mais moi aussi, j'étais friande des sensations que ceux-ci pouvaient provoquer chez mon patron et chez Victor son vieux majordome. Le vieux domestique avait lui aussi une bite hors norme, c'est pour cela qu'Alfred l'avait embauché. Il ne voulait pas l'avouer, mais ce brave Victor était un peu jaloux lorsque je me faisais baiser... et cela augmentait mon plaisir...
Ludo me fit asseoir sur ses cuisses jambes largement ouvertes, face aux trois autres hommes, puis ilse mit à caresser mon corps, malaxant ma poitrine ferme et douce, ce qui me tira un gloussement de plaisir.
Sa queue commença à se frotter le long des lèvres de ma chatte, son érection géante les écartait et son membre glissait du bout de son gland, jusqu'à la base garnie de poils rêches.
Il posa une main sur ma chatte et commença me masturber le clitoris, tandis que l'autre me malaxait un sein et me tirait le mamelon. Doucement, sa langue baveuse me léchait le cou.
Je poussai un gémissement de plaisir et pris une profonde inspiration.
Le gros fermier frottait mon clitoris et fourrait sa queue de haut en bas dans ma fente, la faisant glisser lentement contre ma chatte humide et tremblante, puis sur mon mont de venus jusqu'à la faire passer sous la dentelle de mon porte-jarretelles.
Je sentais des sensations sauvages envahir mon corps, il me semblait que je n'avais jamais ressenti cela et je laissai un long gémissement agréable sortir de ma gorge.
Ludo essaya de glisser trois doigts dans ma chatte humide, mais il ne put les intégrer que jusqu'à sa deuxième phalange ils étaient trop boudinés.
Sa queue engorgée de sang, bandait énormément, il avait ressorti ses doigts trempés de mon foutre les avait léchés avec délice et il me chuchota à l'oreille :
« Petite salope, je vais te mettre ma queue... ! »
A ces mots, je commençais à frotter doucement son énorme bite. Je l 'attrapais avec la main pour la masturber lentement. Mes yeux se s'écarquillèrent de stupéfaction, le monstrueux phallus s'était encore élargi. Je continuais à le branler lentement, et je me penchais en avant pour prendre sa queue dans ma bouche.
Il enfonça sa bite dure et tendue dans ma cavité buccale douce et pulpeuse, je l'avalais et ma langue s'agita autour de ce qui ressemblait à un champignon géant, puis je commençais à sucer toute la longueur.
J'étais obsédée par ce sexe monstrueux et je ne pouvais pas arrêter ma fellation, je n'entendais pas les commentaires des trois autres hommes.
Je sentais un désir profond de vouloir le faire éjaculer dans ma bouche, mais cette fois, je voulais que ce soit différent de ce que je lui avais fait par le passé. Je caressais les couilles géantes de Ludo, les soulevant, les soupesant en soupirant de convoitise, elles étaient comme des sacs géants de sperme bouillonnant, destinés à moi toute seule
« Je ne peux pas croire à quel point ta bite a atteint ce diamètre phénoménal et elle devient encore plus grande... ! »
J’ouvris la bouche aussi large que possible. Je devais insister pour avaler l'énorme mandrin dans ma gorge. J'arrivais à la base lorsque je pu déguster le bouillonnement du liquide pré-éjaculatoire qui commençait à s'écouler régulièrement de la pointe de son gland évasé. Je sortais son membre et posant mes lèvres sur son méat aspirais le liquide séminal, il trembla de satisfaction.
Il poussa vers le bas ma tête, en appuyant derrière. Il sentit que je le suçais comme jamais je ne l'avais fait auparavant. Il haletait à perdre l'esprit... Il avait une énorme envie d'éjaculer...
« Trixie, c'est ce qui arrive à une grosse queue quand elle est prête à aller s'enfoncer à l'intérieur d'une jolie chatte comme le tienne... »
Ludo m'attrapa, autour de la taille et me hissa sans effort sur le lit. Je posais le dos et regardais juste son énorme et gigantesque bite lancinante comme si j'étais en transe. Il m'embrassa, sa langue s'insinua dans ma bouche, son corps nu et velu se frottait sur mes seins, il m'embrassa avec passion me clouant sur le dos.
Nerveusement, j'ai accepté son baiser submergé par le désir. Il épousait mon corps, frottant son énorme bâton contre mon ventre et mes seins.
Je m'assis et repliais mes jambes ensembles, comme pour me protéger, je poussais en arrière, pour l'énerver un peu, son pieu monstrueux
« Non ! Tu ne peux pas me baiser ainsi !! Je ne veux pas tomber enceinte... Je viens de me rappeler que je n'ai pas pris ma pilule... »
Cela réussit, il grimaça de mécontentement et essaya de pousser sa monstrueuse bite entre les plis de ma chatte, mais je renforçais ma position de départ, comme pour le faire entrer dans un état second.
Il me fusilla du regard, se rapprocha de mon visage et en me regardant dans les yeux, il me poussa sur le dos, je m'étalais sur le lit.
Il posa ses mains calleuses à hauteur des attaches de mon porte-jarretelles et écarta fermement mes jambes, je cédais.
«Pour l'instant, je ne vais te mettre que mon gland, juste le bout, nous allons voir ce que nous pouvons te faire ressentir avec mon gros bout dans ta douce chatte, je suis sûr que tu vas adorer, tu vas en redemander…. »
Je retins un soupir de désir et regardais à nouveau avec envie son énorme queue gorgée de sang et palpitante comme douée d'une vie propre, s'approcher de ma chatte trempée qui ne demandait qu'a l’accueillir.
Une partie de moi désirait cette pénétration, mon corps me faisait savoir qu'il en avait envie, mais dans mon cerveau une autre partie de moi refusait cet accouplement avec cet être bestial, et primaire, à la propreté toute relative, tout le contraire d'un apollon, il était vraiment repoussant... Mais c'est mon corps qui prit le dessus..
Ludo se jeta sur moi et enfila rudement sa très grosse queue entre les lèvres de ma chatte, il continua à forcer son chemin dans mon jeune vagin humide, je contractais mes muscles vaginaux pour profiter de cette pénétration ardente.
Il attrapa ma taille au-dessus de mon porte-jarretelles et tira mon corps vers le sien, son gland épanoui en corolle força le passage, je me mordis les lèvres pour ne pas crier de volupté.
Ensuite, je criai de plaisir lorsque je sentis la délicieuse brûlure se propager le long de mon vagin.
Il écarta mes jambes encore plus et son gland monstrueux glissa à l'intérieur de ma chatte humide et trempée. Maladroitement, j'essayais avec mon bassin de suivre ses pénétrations, mais ensuite pressées et écartées par la dure corolle mes parois vaginales se contractaient et se relâchaient comme pour aspirer le piston, voulant qu'il aille plus profond. Je poussais un énorme gémissement de plaisir.
Ludo laissa échapper un grognement puissant et plongea son phallus géant et encore plus profond en moi, s'arrêtant lorsqu'il eut rentré 15 centimètres dans ma chatte écartelée et palpitante.
Je recommençais à crier mon plaisir, lorsqu'il commença de rapides va et vient, la dureté de sa queue la faisait entrer avec puissance dans ma chatte. Il sentait maintenant mon acceptation totale et le resserrement étroit de ma chatte autour de sa longue bite géante, semblait satisfaire son arbre veiné palpitant comme jamais...
Il juste me regarda et sourit comme un démon, il glissa ses bras sous mon dos et saisit mes épaules, me positionna de sorte qu'il puisse tirer mon corps vers lui et enfoncer son membre démesuré au plus profond de moi.
Maintenant, je hoquetais de plaisir, mon vagin était en feu. Il me chevauchait, enfonçant en moi, sa bite démesurée avec une rage lubrique.
D'un coup, il me pénétra plus violemment, plus je criais et plus il aimait poignarder la fente de ma chatte ruisselante et chaude avec sa perche géante.
Il me fouillait de plus en plus fort, il plongeait sans discontinuer sa bite géante en moi, mes cris se transformaient en gémissements de plaisir et je rejetais ma tête en arrière retenant des larmes de joie.
Ludo me baisait sur un rythme soutenu, mais régulier et mes cris de ravissement, intenses et profonds se transformèrent en gémissements de plaisir mélangés à une douleur lancinante et sourde procurée par la grosseur de sa queue qui écartelait mes parois vaginales.
Je sentais la bite monstrueuse de grosseur racler au plus profond de mon vagin et je me suis mis à crier de plaisir.
Il commença à me baiser sauvagement, comme un animal, mes seins rebondissaient, mes mamelons en érection totale, frottaient contre les pectoraux graisseux et velus de Ludo. Je me suis accrochée à lui et j'ai entouré mes bras et mes jambes autour de lui.
Ses coups de boutoir étaient un peu douloureux, mais je me sentais si bien, ma tête tournait alors qu'une lancinante vague de plaisir commençait à sourde a l'intérieur de mes entrailles.
Il avait entré la presque totalité de sa queue géante en moi. Il forçait pour enfoncer en entier les derniers centimètres de sa queue, ma chatte était ouverte au maximum.
Mon corps commença à trembler, mes seins se durcirent, je sentais qu'un puissant orgasme était en train de naître au tréfonds de moi, il déferla :
« ohh, ohh, s'il te plaît vas plus lentement, oui plus profond ... oh chéri ... Je jouiiiiii ... oui plus profond... Pénètre-moi doucement.... Ouuuiiiiiii !!!!! Ta bite est une pure merveille... ooouuuiii !!!!»
Pendant de longues minutes Ludo me tint enlacé étroitement, sa bite bien enfoncée pour bien laisser mon foutre couler sur ses grosses couilles velues, il m' embrassa passionnément.
Alors je sentis dans ma chatte une éjaculation conséquente et profonde qui coula à travers moi, la bite de Ludo se déversait avec de grands spasmes.
Son sperme chaud coula à l'intérieur de ma féminité béante, il haletait et gémissait à chaque foisque ses couilles frappaient mon cul.
Sa queue était encore dure à l'intérieur de ma chatte, et il commença à frotter ses couilles contre mes fesses dures et poussa sa bite aussi profondément qu'il le put en moi. Puis il bascula sur le dos me mettant à califourchon sur ses cuisses. Il ne bougeait plus semblant récupérer. J'essayais de récupérer en respirant lentement, je réalisais qu'il ne fallait pas qu'il me prenne pour sa putain de service !! Je me secouais, Ludo était couché sur le lit caressant ma poitrine et je sentais sa grosse bite encore à moitié et dure, poussant fort entre mes jambes et frôlant à nouveau mon ventre au-dessus de mon porte-jarretelles. Je me suis senti confuse et un sentiment de honte m'envahit. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi et comment ce gros porc, laid comme un pou, avait pu profiter de moi ! Mais je reconnaissais qu'il m'avait donné énormément de plaisir les deux fois qu'il m'avait baisé... Je pensais que j'étais une vraie petite salope, accroc aux énormes bites... Tandis que ces pensées traversaient mon esprit, je regardais la bite de Ludo à nouveau dure comme du bois, venir flageller mes seins.
« Putain, Trixie, tu es vraiment faite pour ma grosse queue... »
Il remit ça en me l'enfilant à nouveau dans la chatte.
Victor complètement nu s'approcha du lit, il se masturbait, il calottait et décalottait sa queue qui avait atteint une érection maximale près de trente centimètres. Je le regardais, lui aussi ne payait pas de mine, il avait 76 ans passés, assez maigre, sa peau était fripée, mais il avait un engin qui était infatigable et dur comme de la pierre. Il l'approcha de ma bouche :
« Suce mon gland petite Salope, je vais te sodomiser... »
Je m'appliquais à lui obéir, Ludo lui avait repris le malaxage de mes seins, mes mamelons commençaient à me faire mal à force d'être triturés, mais je ne détestais pas cette légère douleur qui les tenait en érection permanente.
Victor passa derrière moi et se mit à genoux sur le lit, il me fit pencher en avant, Ludo en profita pour sucer mes tétons, comme s'il voulait en tirer du lait.
La queue de Victor se positionna a l'entrée de mon anus et il poussa lentement, mon ampoule rectale ne résista pas et son gland entra dans mon petit trou. Il me connaissait, il savait que j'appréciais les pénétrations lentes, avec beaucoup de va et vient. Il savait aussi que j'acceptais dans mes entrailles la totalité de sa grande queue, alors il prenait son temps pour me faire savourer chaque centimètre qui entrait en moi.
Avec ses deux énormes bites en moi, Ludo bougeait lui aussi doucement dans mon vagin, je m'envolais vers le paradis de la luxure. Les deux hommes me besognèrent pendant cinq minutes.
« Dis, Victor, je ne pourrais pas la sodomiser... Elle a l'air d'aimer ça !!
- Bien sûr Monsieur, c'est vous l'invité... »
Victor avait répondu poliment, mais d'un air contrit. Le gros fermier, mit sa bite au ras de mon cul, la pointe de son gland y pénétrant légèrement.
« Allez assieds toi dessus, et tu ne t'arrêteras que lorsque tu sentiras mes poils te chatouiller les fesses, puis tu me chevaucheras toute seule, tu m'as épuisé tout à l'heure ! »
Je lui obéis à la lettre, j'entendais Victor soupirer de déception.
« Victor, dit Alfred, vous devriez, en profiter aussi, Trixie doit pouvoir accueillir deux bites, essayez, j'adorerai voir cela !! »
Victor remonta sur le lit se mit à genoux faisant passer mes jambes sur ses cuisses, Ludo les mains sur mes hanches à hauteur de mon porte-jarretelles bloquait mon bassin, puis une fois qu'il sentit le gland de Victor se positionner sur sa bite à l'entrée de mon trou intime, il m'attrapa sous les cuisses et écarta le plus possible mes jambes. Victor s'aidant d'une main poussa lentement. Je sentais petit à petit son gland glisser au dessus de la bite de Ludo. J'étais excitée, mes sphincters étaient détendus juste pour permettre cette énorme intrusion. Il cracha sur son gland, passa deux doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme gluant, qu'il badigeonna sur la tête de sa bite pour bien la lubrifier.Victor procédait lentement, attentif aux expressions de mon visage, il ne voulait pas me faire mal, sitôt que j'ouvrais la bouche, retenant ma respiration, il stoppait sa progression. Il était arrivé à entrer les deux tiers de sa queue, il se retira de 10 cm, puis d'un petit coup de rein sec, il les remit en place, profitant de gagner un peu plus de profondeur, je hoquetais de plaisir. Il recommença l'opération plusieurs fois, Ludo lui pour l'instant ne bougeait pas.
Victor voyant que j'acceptais doucement les deux énormes membres, accéléra sa cadence de pénétration, sa bite était presque entièrement entrée.
Ludo l'avait compris et lui aussi commença a faire des va et vient dans mon conduit anal, démesurément distendu.
Ma bouche était grande ouverte, et je cherchais frénétiquement de l'air, submergée par les puissantes sensations de plaisir, d'avoir deux bites monstrueuses enfoncées profondément dans mon cul.
J’enfouis mon visage dans les poils de la poitrine de Ludo, après quelques minutes de baise anale profonde, je commençais à gémir comme une petite chienne.
Je hurlais avec force, quand ludo accéléra ses pénétrations, Il me sodomisait plus férocement, je pouvais sentir tous les cm de sa bite qui entraient en moi, mes parois anales devenaient plus sensibles.
Victor, attrapa mes fesses et les écarta, il appela Alfred :
« Venez voir Monsieur, vous aurez un point de vue magnifique, sur le cul de Mademoiselle !! Je crois que ne vais pas tarder à éjaculer. Dois je le faire à l'intérieur, ou voulez vous voir gicler mon sperme dans sa raie ?
- Moi aussi je vais jouir, Alfred faite moi passer le petit verre... »
Alfred attrapa le verre à liqueur et le tendit à Ludo, celui-ci avec dextérité y déversa sa semence, tandis que Victor avec de sourds grognements, éjaculait son sperme tiède dans la raie de mes fesses. Alfred lui se masturbait vigoureusement, le spectacle l'avait entièrement comblé et assouvi ses fantasmes, il &tait au bord de l'éjaculation.
« Attendez, Monsieur, mélangez votre sperme au notre dans le petit verre...
- Oui, mais pourquoi ? »
Dit Alfred en s’exécutant. Le verre était plein du sperme du vieux fermier, de son fils et de celui d'Alfred.
« Trixie, approche. Ouvre la bouche, penche la tête en arrière, tire la langue... »
Le gros Ludo versa avec dévotion par petites rasades,les liquides translucides sur ma langue...
« Allez avale.... Tu aimes... Allez montre nous que tu adores... »
J'obtempérais, et déglutis le cocktail de sperme...
A suivre ...
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