Comment régler sa facture...
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment régler sa facture...
Alfred était un adepte fervent du candaulisme. Il m'avait d'ailleurs expliqué lors de mon embauche que c'était une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir sa partenaire exposée aux regards des autres hommes, ou même qu'elle ait des relations sexuelles avec une autre personne.
Il m'avait dit qu'il tirait une grande satisfaction sexuelle, en plus de combler ses désirs de voyeurisme et qu'il était énormément excité de voir sa partenaire faire l’amour avec un autre surtout si celui-ci avait une queue énorme, la cerise sur le gâteau était si c'était un noir.
Mais il fallait qu'il choisisse la personne, qu'il élabore le scénario... Cela m'avait permis de comprendre l'embauche du vieux Victor avec sa grosse bite et la raison pour laquelle il me demandait de porter en permanence une nuisette complètement transparente avec échancrure sur mes mamelons. Elle s'arrêtait au ras de mont de venus, dévoilait mon sexe bien épilé, encadré d'un porte-jarretelles de dentelles noire soutenant des bas noirs. Des hauts talons complétaient, comme il disait ma tenue de parfaite secrétaire.
Il aimait bien me baiser, mais me disait-il, il était fier de « prêter » sa jeune et magnifique Trixie pour quelques heures, ou pour une soirée. Il pouvait ainsi mieux m'observer lorsque j'avais un orgasme. Il m'avait avoué, qu'il avait un léger pincement au creux du ventre lorsque mon partenaire éjaculait en moi, mais il aimait et ça lui permettait de se masturber et de jouir énormément.
Il m'avait demandé, si ce qu'il me faisait faire me posait un problème quelconque... Je lui avis répondu que même si j'en avais eu, mes scrupules auraient été balayés par le montant du salaire qu'il me versait, et les cadeaux qu'il m'offrait. C'est souvent qu'il me mettait à contribution, mais c'est de bonne grâce que je me prêtais à ces petits jeux... Surtout que j'adorais les grosses bites... noires de surcroît.
« Trixie, tu m'as raconté ta première visite chez ton marchand de légume, avec Victor vous m'avez relaté celle que vous avez faite dernièrement... Les deux ont été chaudes, non ? J'aimerais bien connaître ces deux loustics ! Aussi j'ai pris la liberté de leur téléphoner pour qu'ils nous livrent...
Ils ont été enthousiasmés... Ils m'ont précisé que les conditions de paiement étaient toujours les mêmes... J'ai acquiescé... Tu n'y vois pas d'inconvénient... Ils ne devraient d'ailleurs pas tarder à arriver... Mais, décemment tu ne peux pas les recevoir dans cette tenue... Regarde ce que je t'ai acheté, habille toi avant qu'ils n'arrivent ! »
Il me fit mettre nue, ouvrit le paquet. J'enfilais des bas blanc, un porte jarretelles très fin en dentelle. Il me fit revêtir un string blanc transparent, une large ouverture, laissait apparaître ma chatte et mon petit triangle de poils bien épilés. La fente se prolongeait jusqu'à mon anus qu'elle laissait découvert lui aussi. Un soutien gorge ou sur chaque seins deux minces bandes de tissu en dentelle blanche encadrait mes aréoles aux mamelons dressés se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Il me fit passer des gants blancs montant jusqu'aux coudes, et chausser des talons aiguilles blancs. J'étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur.
« Voilà, parfait... Qu'en penses-tu Victor- Très bien Monsieur... Mais il me semble entendre leur camionnette... »
Alfred, s'approcha de moi, écarta les bandes de tissu sur mes seins, pour bien libérer mes mamelons.
Il élargit au maximum la fente du string pour dégager ma chatte.
« Voilà, Trixie tu peux aller leur ouvrir !... »
Un coup de sonnette retenti. J'ouvris la porte, c'était bien les deux paysans en salopette bleue qui se tenaient derrière celle-ci.
« Oh, putain... !!
- Waouhhh... super cette tenue... »
Je les regardais, ils étaient vraiment laids. Le père avait environ soixante douze ans, il était maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux.
Son fils qui nous avait reçu lors de notre dernière visite, était un homme d'environ quarante cinq ans. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Sa salopette dont la fermeture éclair descendue jusqu'à ses poils pubiens dont une touffe noire apparaissait, dévoilait un torse velu, elle était assez poussiéreuse, et sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants.
Mais ils avaient quelque chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur « cette chose ». Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas ventre, je commençais a mouiller en pensant a ce qui allait sûrement suivre.
« En... entrez bredouillais-je... - Bonjour, on peut s'embrasser non ?»
Le petit gros s'approcha de moi, il m'enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, une de ses mains se posa sur un sein et l'autre se plaqua sur ma chatte. Son majeur s'enfonça entre mes lèvres humides. Mentalement je me traitais de salope mais, je lui rendis son baiser. Alfred n'attendait que ça... et moi, leur laideur m'excitait... surtout la grosse bite qui se frottait contre ma cuisse. Une de mes boucles d'oreille se détacha, je la rattrapais...
« Papa, la petite Salope mouille déjà !
- Eh, mais tu pourrais dire bonjour à tous le monde...
- Entrez messieurs, venez me rejoindre au salon. Victor nous a préparé des collations ! Trixie conduit ces messieurs... »
Je me dégageais doucement et passait devant devant eux pour les conduire vers Alfred.
« Putain, dit le vieux fermier, l'envers du string vaut l'endroit... !! »
Je laissais tomber devant moi, ma boucle d'oreille. Les jambes légèrement écartées, je pliais mon tronc pour la ramasser. Mon anus entrouvert se dévoila à leurs regards. Je sentis la main du vieux se poser sur ma fesse, un doigt glisser le long de ma raie et entrer entièrement dans mon trou intime.
« Je vois que vous vous connaissez déjà... moi c'est Alfred, je suis le patron de Trixie »
Alfred leur serra la main. Les deux hommes restaient plantés face a Alfred, au milieu de la pièce comme tétanisés par le spectacle que je leur offrais.
«Alors, vous avez apporté ma commande ? J'ai ouï dire que chez vous tout était démesuré, on m'a fait l'éloge tant de vos légumes que de votre anatomie... J'ai pu apprécier vos grosses courgettes, mais je suis curieux de voir le reste... qui d'après ce que je vois, ne doit rien leur envier tant en longueur qu'en grosseur... Trixie veux-tu bien nous donner un aperçu des ustensiles qui vont leur servir à encaisser leur paiement ! »
Je passais derrière le vieux et très lentement je descendit la fermeture éclair de sa salopette, comme je le pensais il était nu dessous. Ma mai, se faufila à l'intérieur et je sorti son sexe monumental et turgescent, il bandait énormément, je calottais et décalottais deux ou trois fois cela lui tira un gémissement de plaisir, puis je fis glisser sa salopette sur ses épaules dévoilant son torse osseux couvert de poils blancs, puis elle tomba a ses pieds. Son sexe monstrueux de plus de six centimètres de diamètre dépassait largement son nombril. Ses deux grosses testicules s'étalaient sur ses cuisses.
Son fils dont la combinaison était déjà bien ouvert, commença à se déshabiller rapidement, Alfred put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c'est son pénis qui fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules aussi gros que des œufs de poule.
Je regardais une sorte de rictus de dédain, sûrement du a la laideur des deux hommes, déformait sa bouche, mais ses yeux brillaient de convoitise en attendant la suite du spectacle... sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres !!
Ludo, car c'était son nom dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme, me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une légère répulsion, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque me chauffait le bas-ventre, ma chatte était trempée. Je cédais encore une fois à ce désir malsain, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire la libido d'Alfred.
Il s'était extirpé de sa salopette et se tenait gauchement. Je m'approchais cette fois ce fut moi qui l'enlaça, je frottais mes mamelons durcis contre la toison étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je luis saisis la bite et le masturbais doucement, je l'embrassais goulûment, puis ma langue descendit sur ses pectoraux velus et je lui mordillait et suçait les tétons.
Je sentis que l'on prenait la main... Victor m’entraîna sur une sorte de pouf sur pied, Alfred était accroupi a côté. Il ôta mon string et me fit asseoir les jambes largement écartées en face des deux hommes.
Tout en titillant d'une main mes mamelons durcis par le désir, ils écartèrent les grandes lèvres de mon sexe faisant saillir mon clitoris, de la cyprine coulait a flot de ma chatte.
« Regardez comme sa chatte et humide et baveuse... Voyez mon doigt, il est luisant de son foutre, vous allez vous régaler lorsque vous allez passer à l'encaissement... Et toi petite coquine, ton tiroir caisse s'ouvre tout seul... Il est l'heure de donner un acompte à ces messieurs »
Ludo, le petit gros s'approcha. J'étais assise et ma bouche était à hauteur de son sexe. Malgré son odeur aigrelette, j'enserrai sa taille de mes bras. Ma bouche se posa à hauteur de son nombril, je sortis ma langue et elle se faufila lentement vers le bas à travers sa toison pubienne vers la base du sexe que je tenais de ma main droite.
Je le calottais et décalottais plusieurs fois, m'extasiant chaque fois mentalement devant son gland à la forme si particulière... C'est vrai que j'avais vraiment apprécié ses pénétrations lors de notre voyage à leur ferme avec Victor. Je fis pénétrer le bout pointu entre mes lèvres, salivais énormément et aspirais, je le sentir avoir un spasme. Lentement j'enfournais ce gland mauve dans ma bouche et le suçais doucement. Je sentis alors couler du liquide pré-éjaculatoire sur ma langue, il en produisit une assez grande quantité, je tirais la langue en direction d'Alfred puis déglutissait le liquide visqueux et incolore. Je recommençais a enfourner le gland dans ma cavité buccale, et en l'ouvrant démesurément avalais lentement demi centimètre par demi centimètre le membre aussi gros que mon poignet. Je réussi à en faire entrer presque la totalité. Je recommençais trois fois l'opération, lui tirant chaque fois des grognements de plaisir, puis je le masturbais vigoureusement, ne faisant pénétrer que son gland un peu plus loin que sa couronne, ma fellation dut durer une dizaine de minutes, puis je sentis des grands jets de sperme gicler dans ma bouche, je les avalais au fur et à mesure. Avant que sa bite ne redevienne flasque, j'aspirais le sperme qui restait dans son méat... Il hurla de satisfaction.
« Passons dans la chambre, dit Alfred, ce sera mieux pour la suite... »
J'étais étendue sur le dos, les jambes grandes ouvertes pour que Alfred qui se trouvait debout au pied du lit ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre. Le vieux Louis était allongé à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposait sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas . Sa main gauche calleuse aux ongles sales, se posa sur ma cuisse droite et il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte et son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent... Alfred me demanda d'écarter un peu plus le jambes, j'obéis. Le paysan en profitant pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frottais mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémissais de plaisir... Ma chatte écartelée ruisselait, son pouce quitta mon clito et vint s'adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin...
« Putain ce que tu es bonne, petite salope... Tiens lèche ton foutre sur ma main... »
Ma langue essuya sa main... Il se mit à genoux face à Alfred. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Il me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu.
Je lui léchais le pourtour du gland lentement en l'humectant avec ma salive.
« Met la dans ta bouche... »
Ce que je fis, et je commençais a avaler cette immense hampe. Il posa main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge.
« Woouuuaaahhhhhh, c'est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler... Doucement, doucement ne me fais pas éjaculer... pas encore ! »
Malgré ma bonne volonté et les encouragements d'Alfred, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis, me positionna sur le côté, me fit poser le pied droit sur son genou, comme cela Alfred était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien gorge, elles compressèrent mes deux globes et les fit durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa avec de main droite sa monstrueuse bite et présenta le gland à l'entrée de mon orifice vaginal, je frémissais de plaisir attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir.
« Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l'énorme bite du vieux Louis, tiens voilà... tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît... putain ce que tu mouilles... elle entre toute seule... Mais ta chatte commence à la connaître... »
Tout en parlant il enfonça les vingt-neuf centimètres et je senti bientôt ses couilles frotter mon entrejambe. Sa main gauche me triturait le sein droit, griffant mon aréole et pinçant mon mamelon.
« Tu aimes, ma grosse queue... dis le que tu aimes... Tu aimes que je t'enfile mes 29 cm...
- Aaaahhhhh, Aaaaaahhhhhh oui..... ouuuuiiiiiii- Tiens Salope régale toi !! »
Il accéléra sa cadence pénétration, me tirant des cris de plaisir, je regardais Alfred, il semblait aux anges, il était nu et se masturbait doucement.
Louis me fit basculer sue dos, sa bouche se plaqua sur mon sein droit, il aspira mon aréole, suça mon mamelon puis lorsqu'il fut en pleine érection, il le mordit assez cruellement, je poussais un cri de douleur mêlé à de la jouissance...
« Oh oui, oh oui... à.... l'au... tre »
Je me cambrais pour le lui offrir, et essayer de faire pénétrer encore plus profondément la bite qui me pourfendait.
Il avait ralentit sa cadence de pénétration, et s'appliquait à me tirer des cris et des grognements de plaisirs, parfois il cessait complètement, puis d'un seul coup entrait la totalité de son membre.
Je devenais folle de plaisir... je sentais monter mon orgasme, cela devait faire plus de vingt minutes qu'il enfonçait son pieu dans mes entrailles... Je sentais qu'il était lui aussi au bord de l'explosion !
« Eh Papa... dépêche toi... tu n'es pas tout seul... j'ai moi aussi droit à ma part du gâteau...
- Laisse moi tranquille, fiston... cela fait cinquante ans que je suis marié à ta mère, je n'ai jamais réussi à lui enfiler complètement ma bite... Ici c'est le pi.... piiiiiieeeeeeeddddddd …. Ahhhhhhh tiens salope, tiens....Je jouis... Tiens mon sperme... »
Un grand coup de rein enfonça la totalité, de membre colossal et il vida en moi sa semence avec de grands spasmes accompagnés de cris gutturaux, vantant mes mérites... Son éjaculation précipita mon orgasme, à mon tour je hurlais de plaisir en lui entourant la taille avec mes jambes.
Il se retira, me laissant pantelante sur le ventre, je sentais son sperme couler de ma chatte.
« Parfait, parfait dit Alfred... Mais je crois que nous n'avons payé que la moitié de notre dette... »
Je le regardais, il avait fait attention de ne pas éjaculer en se masturbant... Il attendait la suite pour conclure...
Le petit gros, bandant comme un âne s'approcha du lit....
A suivre...
Il m'avait dit qu'il tirait une grande satisfaction sexuelle, en plus de combler ses désirs de voyeurisme et qu'il était énormément excité de voir sa partenaire faire l’amour avec un autre surtout si celui-ci avait une queue énorme, la cerise sur le gâteau était si c'était un noir.
Mais il fallait qu'il choisisse la personne, qu'il élabore le scénario... Cela m'avait permis de comprendre l'embauche du vieux Victor avec sa grosse bite et la raison pour laquelle il me demandait de porter en permanence une nuisette complètement transparente avec échancrure sur mes mamelons. Elle s'arrêtait au ras de mont de venus, dévoilait mon sexe bien épilé, encadré d'un porte-jarretelles de dentelles noire soutenant des bas noirs. Des hauts talons complétaient, comme il disait ma tenue de parfaite secrétaire.
Il aimait bien me baiser, mais me disait-il, il était fier de « prêter » sa jeune et magnifique Trixie pour quelques heures, ou pour une soirée. Il pouvait ainsi mieux m'observer lorsque j'avais un orgasme. Il m'avait avoué, qu'il avait un léger pincement au creux du ventre lorsque mon partenaire éjaculait en moi, mais il aimait et ça lui permettait de se masturber et de jouir énormément.
Il m'avait demandé, si ce qu'il me faisait faire me posait un problème quelconque... Je lui avis répondu que même si j'en avais eu, mes scrupules auraient été balayés par le montant du salaire qu'il me versait, et les cadeaux qu'il m'offrait. C'est souvent qu'il me mettait à contribution, mais c'est de bonne grâce que je me prêtais à ces petits jeux... Surtout que j'adorais les grosses bites... noires de surcroît.
« Trixie, tu m'as raconté ta première visite chez ton marchand de légume, avec Victor vous m'avez relaté celle que vous avez faite dernièrement... Les deux ont été chaudes, non ? J'aimerais bien connaître ces deux loustics ! Aussi j'ai pris la liberté de leur téléphoner pour qu'ils nous livrent...
Ils ont été enthousiasmés... Ils m'ont précisé que les conditions de paiement étaient toujours les mêmes... J'ai acquiescé... Tu n'y vois pas d'inconvénient... Ils ne devraient d'ailleurs pas tarder à arriver... Mais, décemment tu ne peux pas les recevoir dans cette tenue... Regarde ce que je t'ai acheté, habille toi avant qu'ils n'arrivent ! »
Il me fit mettre nue, ouvrit le paquet. J'enfilais des bas blanc, un porte jarretelles très fin en dentelle. Il me fit revêtir un string blanc transparent, une large ouverture, laissait apparaître ma chatte et mon petit triangle de poils bien épilés. La fente se prolongeait jusqu'à mon anus qu'elle laissait découvert lui aussi. Un soutien gorge ou sur chaque seins deux minces bandes de tissu en dentelle blanche encadrait mes aréoles aux mamelons dressés se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Il me fit passer des gants blancs montant jusqu'aux coudes, et chausser des talons aiguilles blancs. J'étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur.
« Voilà, parfait... Qu'en penses-tu Victor- Très bien Monsieur... Mais il me semble entendre leur camionnette... »
Alfred, s'approcha de moi, écarta les bandes de tissu sur mes seins, pour bien libérer mes mamelons.
Il élargit au maximum la fente du string pour dégager ma chatte.
« Voilà, Trixie tu peux aller leur ouvrir !... »
Un coup de sonnette retenti. J'ouvris la porte, c'était bien les deux paysans en salopette bleue qui se tenaient derrière celle-ci.
« Oh, putain... !!
- Waouhhh... super cette tenue... »
Je les regardais, ils étaient vraiment laids. Le père avait environ soixante douze ans, il était maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux.
Son fils qui nous avait reçu lors de notre dernière visite, était un homme d'environ quarante cinq ans. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Sa salopette dont la fermeture éclair descendue jusqu'à ses poils pubiens dont une touffe noire apparaissait, dévoilait un torse velu, elle était assez poussiéreuse, et sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants.
Mais ils avaient quelque chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur « cette chose ». Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas ventre, je commençais a mouiller en pensant a ce qui allait sûrement suivre.
« En... entrez bredouillais-je... - Bonjour, on peut s'embrasser non ?»
Le petit gros s'approcha de moi, il m'enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, une de ses mains se posa sur un sein et l'autre se plaqua sur ma chatte. Son majeur s'enfonça entre mes lèvres humides. Mentalement je me traitais de salope mais, je lui rendis son baiser. Alfred n'attendait que ça... et moi, leur laideur m'excitait... surtout la grosse bite qui se frottait contre ma cuisse. Une de mes boucles d'oreille se détacha, je la rattrapais...
« Papa, la petite Salope mouille déjà !
- Eh, mais tu pourrais dire bonjour à tous le monde...
- Entrez messieurs, venez me rejoindre au salon. Victor nous a préparé des collations ! Trixie conduit ces messieurs... »
Je me dégageais doucement et passait devant devant eux pour les conduire vers Alfred.
« Putain, dit le vieux fermier, l'envers du string vaut l'endroit... !! »
Je laissais tomber devant moi, ma boucle d'oreille. Les jambes légèrement écartées, je pliais mon tronc pour la ramasser. Mon anus entrouvert se dévoila à leurs regards. Je sentis la main du vieux se poser sur ma fesse, un doigt glisser le long de ma raie et entrer entièrement dans mon trou intime.
« Je vois que vous vous connaissez déjà... moi c'est Alfred, je suis le patron de Trixie »
Alfred leur serra la main. Les deux hommes restaient plantés face a Alfred, au milieu de la pièce comme tétanisés par le spectacle que je leur offrais.
«Alors, vous avez apporté ma commande ? J'ai ouï dire que chez vous tout était démesuré, on m'a fait l'éloge tant de vos légumes que de votre anatomie... J'ai pu apprécier vos grosses courgettes, mais je suis curieux de voir le reste... qui d'après ce que je vois, ne doit rien leur envier tant en longueur qu'en grosseur... Trixie veux-tu bien nous donner un aperçu des ustensiles qui vont leur servir à encaisser leur paiement ! »
Je passais derrière le vieux et très lentement je descendit la fermeture éclair de sa salopette, comme je le pensais il était nu dessous. Ma mai, se faufila à l'intérieur et je sorti son sexe monumental et turgescent, il bandait énormément, je calottais et décalottais deux ou trois fois cela lui tira un gémissement de plaisir, puis je fis glisser sa salopette sur ses épaules dévoilant son torse osseux couvert de poils blancs, puis elle tomba a ses pieds. Son sexe monstrueux de plus de six centimètres de diamètre dépassait largement son nombril. Ses deux grosses testicules s'étalaient sur ses cuisses.
Son fils dont la combinaison était déjà bien ouvert, commença à se déshabiller rapidement, Alfred put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c'est son pénis qui fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules aussi gros que des œufs de poule.
Je regardais une sorte de rictus de dédain, sûrement du a la laideur des deux hommes, déformait sa bouche, mais ses yeux brillaient de convoitise en attendant la suite du spectacle... sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres !!
Ludo, car c'était son nom dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme, me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une légère répulsion, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque me chauffait le bas-ventre, ma chatte était trempée. Je cédais encore une fois à ce désir malsain, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire la libido d'Alfred.
Il s'était extirpé de sa salopette et se tenait gauchement. Je m'approchais cette fois ce fut moi qui l'enlaça, je frottais mes mamelons durcis contre la toison étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je luis saisis la bite et le masturbais doucement, je l'embrassais goulûment, puis ma langue descendit sur ses pectoraux velus et je lui mordillait et suçait les tétons.
Je sentis que l'on prenait la main... Victor m’entraîna sur une sorte de pouf sur pied, Alfred était accroupi a côté. Il ôta mon string et me fit asseoir les jambes largement écartées en face des deux hommes.
Tout en titillant d'une main mes mamelons durcis par le désir, ils écartèrent les grandes lèvres de mon sexe faisant saillir mon clitoris, de la cyprine coulait a flot de ma chatte.
« Regardez comme sa chatte et humide et baveuse... Voyez mon doigt, il est luisant de son foutre, vous allez vous régaler lorsque vous allez passer à l'encaissement... Et toi petite coquine, ton tiroir caisse s'ouvre tout seul... Il est l'heure de donner un acompte à ces messieurs »
Ludo, le petit gros s'approcha. J'étais assise et ma bouche était à hauteur de son sexe. Malgré son odeur aigrelette, j'enserrai sa taille de mes bras. Ma bouche se posa à hauteur de son nombril, je sortis ma langue et elle se faufila lentement vers le bas à travers sa toison pubienne vers la base du sexe que je tenais de ma main droite.
Je le calottais et décalottais plusieurs fois, m'extasiant chaque fois mentalement devant son gland à la forme si particulière... C'est vrai que j'avais vraiment apprécié ses pénétrations lors de notre voyage à leur ferme avec Victor. Je fis pénétrer le bout pointu entre mes lèvres, salivais énormément et aspirais, je le sentir avoir un spasme. Lentement j'enfournais ce gland mauve dans ma bouche et le suçais doucement. Je sentis alors couler du liquide pré-éjaculatoire sur ma langue, il en produisit une assez grande quantité, je tirais la langue en direction d'Alfred puis déglutissait le liquide visqueux et incolore. Je recommençais a enfourner le gland dans ma cavité buccale, et en l'ouvrant démesurément avalais lentement demi centimètre par demi centimètre le membre aussi gros que mon poignet. Je réussi à en faire entrer presque la totalité. Je recommençais trois fois l'opération, lui tirant chaque fois des grognements de plaisir, puis je le masturbais vigoureusement, ne faisant pénétrer que son gland un peu plus loin que sa couronne, ma fellation dut durer une dizaine de minutes, puis je sentis des grands jets de sperme gicler dans ma bouche, je les avalais au fur et à mesure. Avant que sa bite ne redevienne flasque, j'aspirais le sperme qui restait dans son méat... Il hurla de satisfaction.
« Passons dans la chambre, dit Alfred, ce sera mieux pour la suite... »
J'étais étendue sur le dos, les jambes grandes ouvertes pour que Alfred qui se trouvait debout au pied du lit ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre. Le vieux Louis était allongé à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposait sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas . Sa main gauche calleuse aux ongles sales, se posa sur ma cuisse droite et il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte et son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent... Alfred me demanda d'écarter un peu plus le jambes, j'obéis. Le paysan en profitant pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frottais mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémissais de plaisir... Ma chatte écartelée ruisselait, son pouce quitta mon clito et vint s'adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin...
« Putain ce que tu es bonne, petite salope... Tiens lèche ton foutre sur ma main... »
Ma langue essuya sa main... Il se mit à genoux face à Alfred. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Il me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu.
Je lui léchais le pourtour du gland lentement en l'humectant avec ma salive.
« Met la dans ta bouche... »
Ce que je fis, et je commençais a avaler cette immense hampe. Il posa main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge.
« Woouuuaaahhhhhh, c'est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler... Doucement, doucement ne me fais pas éjaculer... pas encore ! »
Malgré ma bonne volonté et les encouragements d'Alfred, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis, me positionna sur le côté, me fit poser le pied droit sur son genou, comme cela Alfred était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien gorge, elles compressèrent mes deux globes et les fit durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa avec de main droite sa monstrueuse bite et présenta le gland à l'entrée de mon orifice vaginal, je frémissais de plaisir attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir.
« Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l'énorme bite du vieux Louis, tiens voilà... tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît... putain ce que tu mouilles... elle entre toute seule... Mais ta chatte commence à la connaître... »
Tout en parlant il enfonça les vingt-neuf centimètres et je senti bientôt ses couilles frotter mon entrejambe. Sa main gauche me triturait le sein droit, griffant mon aréole et pinçant mon mamelon.
« Tu aimes, ma grosse queue... dis le que tu aimes... Tu aimes que je t'enfile mes 29 cm...
- Aaaahhhhh, Aaaaaahhhhhh oui..... ouuuuiiiiiii- Tiens Salope régale toi !! »
Il accéléra sa cadence pénétration, me tirant des cris de plaisir, je regardais Alfred, il semblait aux anges, il était nu et se masturbait doucement.
Louis me fit basculer sue dos, sa bouche se plaqua sur mon sein droit, il aspira mon aréole, suça mon mamelon puis lorsqu'il fut en pleine érection, il le mordit assez cruellement, je poussais un cri de douleur mêlé à de la jouissance...
« Oh oui, oh oui... à.... l'au... tre »
Je me cambrais pour le lui offrir, et essayer de faire pénétrer encore plus profondément la bite qui me pourfendait.
Il avait ralentit sa cadence de pénétration, et s'appliquait à me tirer des cris et des grognements de plaisirs, parfois il cessait complètement, puis d'un seul coup entrait la totalité de son membre.
Je devenais folle de plaisir... je sentais monter mon orgasme, cela devait faire plus de vingt minutes qu'il enfonçait son pieu dans mes entrailles... Je sentais qu'il était lui aussi au bord de l'explosion !
« Eh Papa... dépêche toi... tu n'es pas tout seul... j'ai moi aussi droit à ma part du gâteau...
- Laisse moi tranquille, fiston... cela fait cinquante ans que je suis marié à ta mère, je n'ai jamais réussi à lui enfiler complètement ma bite... Ici c'est le pi.... piiiiiieeeeeeeddddddd …. Ahhhhhhh tiens salope, tiens....Je jouis... Tiens mon sperme... »
Un grand coup de rein enfonça la totalité, de membre colossal et il vida en moi sa semence avec de grands spasmes accompagnés de cris gutturaux, vantant mes mérites... Son éjaculation précipita mon orgasme, à mon tour je hurlais de plaisir en lui entourant la taille avec mes jambes.
Il se retira, me laissant pantelante sur le ventre, je sentais son sperme couler de ma chatte.
« Parfait, parfait dit Alfred... Mais je crois que nous n'avons payé que la moitié de notre dette... »
Je le regardais, il avait fait attention de ne pas éjaculer en se masturbant... Il attendait la suite pour conclure...
Le petit gros, bandant comme un âne s'approcha du lit....
A suivre...
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