Comment se défendre quand on est accusé de viol. 6 - histoire érotique

Comment se défendre quand on est accusé de viol. 6



Mais comme d’habitude, Francine ne veut pas en rester là et saisit la verge en semi-érection à cause de l’anneau, bientôt imitée par Martine. Je ne sais pas de quoi sont fait les rêves de Pascal mais en moins de cinq minutes, la grosse limace s’est de nouveau transformée en queue d’âne. Ces deux folles lui font subir tous les outrages possibles maintenant, branle à plusieurs mains, pétrissage de ses couilles, succion de deux bouches tout le long de la hampe magnifique. Rien y fait, Pascal dort dans un trip fait de déesses qui n’ont qu’un seul dieu, Priape…

Suite :
Je ne sais pas où Francine trouve encore l’énergie de le chevaucher pour s’empaler une énième fois sur ce chibre en pilotage automatique. Elle souhaite dérouiller encore, prendre son braquemard d’amour dans sa grotte, elle veut se défoncer encore, elle a une telle envie de jouir qu'elle n'a aucune appréhension après l’avoir eu déjà entre les fesses.
Mais le pire est à venir pour elle car Martine s’est saisit d’une des deux copies de son engin encore poisseux de nos ébats et l’enfonce dans le cul de l’inspectrice qui hurle comme une folle sous cette double intromission de ce démonte-pneu redoutable. Même vu de loin, la double intromission de cette mentule est impressionnante.
Francine a mis les mains de Pascal sur sa poitrine. elle le tient par la taille et tire pour s'enfoncer d'avantage sur sa poutre. Il lui écrase un téton entre deux doigts dans un geste automatique pendant qu’elle se ramone longuement les deux conduits en gémissant. Elle se cabre et explose.
-Ouiiiiiiiiiiiii !!!! Oh putain le pied !!!

Elle retire rapidement les deux intrus et se retourne, présentant le gland gonflé contre l’œillet fripé, pousse et s'enfonce jusqu'a la garde en prenant des mains de Martine le gode pour l’introduire dans une chatte béante et juteuse en hurlant :
-Ouiiiiiiiiiiii c’est troooop booon !!!
A chaque poussée, l’enculage est brutal et le corps de la femme est secoué de spasmes, elle tremble, transpire, mais continue sa chevauchée jusqu’à une petite mort.
Oooooooh !!! Oh putain !!!
Est-ce que Pascal se raidit et envoie encore plusieurs giclées au fond de l'intestin que sa lance ramone toujours ? Je ne saurais le dire… Et pourtant… Le jus qui sort du cul et de la chatte de Francine inonde le sol après les ravages des coups de boutoirs violents qu’elle s’est imposés. Elle hurle, je jouiiiiiiiis, je jouis du cuuuuuuuuuul !!!!

Pendant presque encore une heure, nous avons continué l’orgie sans même réveiller Pascal. Repues, rassasiées, nous quittons enfin sa couche et nous rhabillons. Le plus extraordinaire, c’est que je ne sais pas si Pascal dans son sommeil a éjaculé une dernière fois. Sa queue est toujours un bélier couché sagement sur son bas-ventre, comme s’il attendait encore et toujours que la porte d’une chatte vienne d’elle-même exploser sans la poussée de cet épi incroyable.
Avant de quitter son logement, je m’adresse à mes deux complices :
-Ça me trotte dans la tête depuis sa confrontation avec ses accusatrices. Sa démonstration physique a prouvé par A + B que rien ne vaut une preuve visible au lieu de ouï-dire. Le tableau qu’il nous a fourni est une bonne base de comparaison et la copie hyperréaliste de sa queue me donne une idée. Francine, vous allez en acheter d’autres, de 12 à 26 cm et d’une circonférence de 12 à 18 cm.
Quand l’accusé niera avoir eu des rapports avec les victimes accusatrices, avant d’aller plus loin, on leur demandera de répondre à son questionnaire et ensuite de nous désigner le godemichet qui se rapprochera le plus de celui de leur « bourreau ». On verra bien ce que ça donnera…

Je ne savais-pas s’il faudrait attendre longtemps avant de se servir de cette façon de faire. Mais Francine m'a appelé quelques jours après pour me signaler que deux autres femmes accusaient Pascal des mêmes sévices. Après une confrontation des plaignantes au questionnaire et aux exemplaires de verges synthétiques, Francine m'avait contactée pour savoir quelle suite apporter à cette nouvelle accusation. Elle avait fait une enquête sur elles et s’était rendu-compte que c’était loin d’être des oies blanches, étant désagréablement connues de la police des mœurs.
Je lui ai dit de convoquer ces deux femmes pour une reconstitution sans leur dire que le lieu où ça se déroulerait était l'appartement de Pascal. Je les ai convoquées donc pour cette confrontation deux jours plus tard. Nous nous retrouvons donc toutes dans son logement, je les informe :
-Bonjour Mesdames, pour cette reconstitution, j'ai demandé à un homme de mes amis de prendre la place de monsieur TTTTT. Il se prêtera bien volontiers à ce qui va suivre.
Mesdames vous avez affirmé qu’il vous avait forcé à lui retirer pantalon et slip sous la menace. Je vais donc vous demander de faire de même sur cet homme si vous le consentez bien entendu, je vous le conseille vivement vu vos pédigrés. Sous notre contrôle, bien entendu.

Elles font un peu mine de reculer mais s’exécutent tout de même et se retrouvent donc devant le bas-ventre de Pascal avec son sexe pendant entre ses cuisses.
-Et après, que vous a-t-il dit de faire ? Je les questionne.
-Il nous a forcés à prendre son sexe en main et à le branler, me répond la plus hardie.

Je constate que ces deux femmes sont bien moins coincées que les deux premières et après un temps d‘hésitation, l'une d'elles se lance, saisit la verge de Pascal et commence lentement à le branler, devançant ma demande.
Cette action amenant une réaction, le pénis croit en quelques minutes, nous avons devant les yeux, ma greffière, moi et les deux femmes un obélisque de chair. Je les interroge donc à nouveau :
-Alors Mesdames ! Avez-vous des remarques à faire ? Par rapport à notre volontaire, une petite comparaison s’impose, qu’en diriez-vous ? Faites-moi part de vos remarques.
-Ben c'est que…. Avoue l’une d’entre elles. Je dois dire que vous avez bien choisi votre bénévole.
Je n'ai jamais été confronté à un tel mandrin, cet homme est monté comme un âne et en plus sa queue est droite comme un I majuscule malgré ses dimensions. Je n'en reviens pas, mes doigts n'arrivent pas à en faire le tour.

Je pousse le bouchon un peu plus loin et demande s’il y aurait une volontaire pour le branler jusqu'à l'éjaculation. A la réaction de la plus petite je vois bien que ce sport lui est bien connu et je me demande comment elle a réussi à se faire abuser pour venir accuser Pascal. Elle avance le bras et se saisit de « la pièce à conviction ». Une main courre sur le chibre alors que l'autre pétrit les couilles pleines de Pascal.
Il ne veut pas faire durer le plaisir et les avertit quand même qu’il ne va pas tarder à éjaculer après quelques minutes de branle.
-Attention Mesdames ! Vous êtes de véritables professionnelles. Je vais jouir et si vous ne voulez pas en avoir partout, ne restez-pas en face de ma lance.
L'une se recule, l'autre non. Et nous assistons de nouveau à la monstrueuse éjaculation dont est capable Pascal. Les jets se succèdent, le premier passant largement au-dessus de la tête de la fille encore à genoux, atteignant les habits de sa copine qui s’était imprudemment placée derrière elle, les suivantes lui crépissent les cheveux et le visage de grandes traînées blanchâtres.
-Ohh putain ! Ohh putain ! J'ai jamais vu ça ! Une vraie bête de concours ce type, et avec ça, c'est à peine s'il débande le mec… Constatant que « la bête » baisse à peine du mufle.

Je demande à Pascal de se rhabiller et de quitter la pièce pour un entretien avec ces deux donzelles accusatrices.
-Vous maintenez votre plainte ? Vous accusez toujours monsieur TTTTT de vous avoir forcées à faire ce que vous avez fait là sans trop rechigner ?
-Oui Madame la juge, ça s'est passé exactement comme ça à la différence près que si monsieur TTTTT avait été équipé comme ça, je ne sais pas si je serais allé porter plainte.
Je leur rétorque donc :
-L'homme que vous avez branlé tout à l'heure et monsieur TTTTT ne font qu’un. Et il nous en avait déjà apporté la preuve dans une précédente affaires ou deux filles l'avaient accusé aussi d'abus sexuel. Vous venez vous-même de reconnaître que monsieur TTTTT ne pouvait en aucun cas être monté comme la personne qui se trouve dans la pièce d’à côté. Les réponses que vous aviez données au questionnaire ainsi que le choix d’un gode dans la moyenne en avaient déjà apporté la preuve avant même cette confrontation. Alors qu'avez-vous à répondre ?
-Ben merde alors ! On est tombé dans un piège. On est bien obligées de reconnaître que nos accusations étaient mensongères et qu’on nous avait payé pour l'accuser. Si vous minimisez les poursuites, nous sommes d'accord pour vous dire qui nous a demandées une telle accusation.

Nous arrivons donc à nous mettre d'accord et aucune poursuite ne sera prise contre elles si elles tiennent parole. Avant de partir l'une d'elles nous questionne :
-Pourriez-vous demander à Monsieur TTTTT s'il accepterait d’aller un peu plus loin avec nous ? J'ai déjà connu pas mal d'hommes avec une grande bite mais aussi massive très rarement, et encore moins quand ces deux conditions sont réunies. Ce qui m'a le plus émerveillée, c'est qu'une aussi grosse bite soit si dure et arrive à une éjaculation comme je n’en ai jamais connue. Si en plus c'est un bon coup…

Je lui souris en ouvrant la porte et juste avant de la refermer lui susurre : « Pour un bon coup, c'est un bon coup, à trois, il nous a fallu des heures pour lui vider les couilles. Comme vous l'avez constaté vous-même, monsieur TTTTT est une vraie bête de concours. »

Elle me regarde drôlement avant de s’éloigner en baragouinant : « Ben ça alors, ben ça alors ! »
Après avoir rassuré Pascal qu’il n’y aurait pas de suite, nous partons nous aussi non sans avoir caressé son entrejambe. Dommage que nous ne puissions pas nous libérer des servitudes de la justice, mais ce n’est que partie-remise…


Ps : Certaines personnes se servent de mes textes pour fantasmer comme bon leur semble. Elles n'iront donc pas chercher plus loin. Parfois on me reproche dans mes histoires que le héros soit souvent un homme bien membré. Pour ma défense, je les incite à lire ce qui suit.

Pour les petits curieux et curieuses, je vais vous donner le moyen de pouvoir visionner ces deux vidéos et vous pourrez vous faire votre opinion par vous-même. Alors ! Suis-je un homme comme on en rencontre tant ou alors comme a dit la femme d’un couple qui m'a contacté : « Ce n'est pas un homme, c'est un cheval ! »
Je vais joindre aussi une troisième vidéo qui vous indique comment prendre les mensurations d’un homme et sur laquelle je me suis appuyé pour ma démonstration puisque c'est moi qui l’ai postée sur le net.
Pour la première vidéo, il suffit de taper sur votre clavier « MLKJHG 39, hors-normes » et de regarder la cinquième contribution.
Pour la deuxième vidéo, tapez sur votre clavier : « belles éjaculations au ralenti » Du même auteur et dites-moi ce que vous en pensez.
La troisième vidéo que je vous préconise s'intitule : « comment mesurer sa bite » par MLKJHG 39.

Je sais bien que tous les hommes accusés de viol ne peuvent pas comme moi prouver aussi facilement leurs dires. Mais la description la plus détaillée possible de votre anatomie apporte de l'eau à votre moulin et peut prouver qu'il n'y a pas eu de rapport. Bien entendu, dans un cas de rapport consenti ou non consenti, ça ne marchera pas.

Un citoyen qui a lavé son honneur….

Bien entendu, cette histoire n’est qu’un fantasme de plus d’une imagination débordante pour votre plus grand plaisir. Vos commentaires seront les bienvenus.