Comment se faire prendre et surprendre au bureau...
Récit érotique écrit par Inconnue75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Comment se faire prendre et surprendre au bureau...
Voici ce qui m'est arrivé hier au bureau.
En fait, à mon bureau, je fais partie des représentants du personnel. A ce titre, nous avons une salle réservée pour pouvoir faire la partie administrative. Or, ces salles fermées qui nous étaient réservées se trouvent au sous-sol, mais l’ensemble de mes collègues ne trouvant pas l’endroit pratique, personne n’y met jamais les pieds. Il existe pourtant des clés, dont je me suis fait faire un double (j’ai pas le droit, mais chuuuut !), et il y a tout ce qu’il faut pour bosser : ordinateur, imprimante, téléphone et connection internet. Mais à côté des parkings, il fait froid et ce n’est pas pratique pour le personnel d’y descendre.
J’ai découvert le calme de l’endroit alors que j’avais un important travail à finir et que j’étais sans cesse dérangée. J’ai demandé les clés et m’y suis enfermée, je n’ai vu personne de l’après-midi. Je n’ai entendu personne non plus car l’endroit est vraiment loin de tout, dans les méandres des couloirs au fin fond d’un détour du parking… Etre seule ainsi, longtemps, très longtemps, quelle aubaine !
J’ai décidé d’y retourner la semaine suivante. Par acquis de conscience, j’ai effectué 5 mn de travail. Et après une rapide connection sur internet, j’ai eu l’idée de consulter mes messages coquins… Puis j’ai commencé un dial avec l’un de mes correspondants. J’ai été très vite excitée, et j’ai commencé à me caresser. Puis le dial devenant de plus en plus chaud, et comme il n’y avait toujours personne, j’ai remonté ma jupe sur mon ventre, j’ai mis ma petite culotte dans ma poche et les jambes levées sur le bureau, j’ai commencé à me doigter la chatte entre 2 dial.
Mmmm, ça commençait à être vraiment excitant : j’allais me faire jouir sur le lieu de mon travail, et en pleine journée !… Rien que d’y penser, j’étais toute mouillée !!! J’ai continué mon dialogue, et pour plus de sensation, j’ai pris des gros stylos genre marqueurs que je me suis enfoncé dans le petit trou (les marqueurs, quelle superbe invention ! Déjà une habitude chez moi !). Puis je me suis assise avec précaution sur ma chaise, enfonçant ainsi le marqueur au fond de mon anus, et j’ai écarté de nouveau les jambes pour bien me branler le clito. Mon interlocuteur par mail était très excitant et excité, nous nous sommes appelés au téléphone, et je me suis branlée comme une folle.
Petit détail en passant, si les salariés de l’entreprise ne vont jamais dans cette partie de l’immeuble, les caméras de surveillance, elles, surveillent l’endroit. Et les gardiens aussi ! Mes fameux gardiens, toujours présents quand on n’a pas besoin d’eux ! Mais toujours aussi disponibles pour rendre… disons de bons et loyaux services ! En bons professionnels, ils ont remarqué qu’une personne était descendue depuis un certain, et la clé du local n’était toujours pas à sa place. Un des vigiles est donc descendu voir (j’aurais pu tomber ou m’évanouir, après tout…). Il m’a trouvée renversée effectivement, les yeux fermés et la tête renversée en arrière, les jambes écartées, une main en train de me branler la chatte en faisant des sautillements sur ma chaise avec mon cul pour bien me rentrer le marqueur dans le petit trou à chaque fois que je retombais sur ma chaise, et les yeux fermés, je tenais des propos au téléphone : " ouiiii, vas-y, je sens ta queue dans ma chatte, mmmm qu’est-ce que tu as une belle bite, je te sens bieeennnn ! Je te mordille le bout du gland, ouiii, comme ça….. ". Mon gardien a commencé à se branler, je l’ai su après…
J’ai joui violemment et au moment de raccrocher, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu le gardien, la queue à l’air en train de se branler. Il s’est approché de moi en 2 secondes et demi et m’a dit : " A mon tour maintenant ! ", en me fourrant sa queue dans la bouche. J’ai pas eu trop le temps de réfléchir et c’est pas plus mal d’ailleurs, j’ai commencé à lui lécher sa queue imposante, tout le long de son membre, puis je lui ai léché les couilles. Mmmm je m’appliquais pour pouvoir prendre le maximum de sa tige dans ma bouche, mais c’était chose impossible car il avait une queue assez massive. Je lui ai léché le bout du gland, j’ai titillé son méat tout en serrant la base de sa tige, il avait l’air d’apprécier…
Puis il m’a fait mettre à genoux sur le bureau et s’est enfoncé d’un coup dans ma chatte trempée. Ca rentrait comme dans du beurre. Il m’a enlevé le marqueur, que j’avais toujours dans mon anus, et en me limant la chatte, il a commencé à me travailler le petit trou… Aaaaaah, que c’était bon ! Après une bon orgasme au téléphone, de sentir une bonne queue me défoncer la moule pour de vrai, aaaah, qu’est-ce que j’aime ça !… " OUIIIIII !! Enfonce-toi bien, aaaah que j’aime ta queue !!! ". Je suis une véritable salope quand je suis en chaleur. Et lui me donnait des bons coups de reins et entrait de toute sa longueur dans ma chatte étroite mais lubrifiée. Il est ressorti et est entré d’un coup dans mon petit trou, AAAAHHH ! quelle sensation ! Il est entré puis ressorti complètement, puis re-rentré et ainsi de suite une bonne quinzaine de fois…. Aaaaah, quelle douleur et quel bonheur aussi, j’en tremblais tellement j’attendais qu’il me lime le cul à toute vitesse, et enfin, il s’est déchaîné et m’a littéralement bourré le cul à toute vitesse, tapant ses couilles contre mes fesses et je m’accrochais au bureau pour ne pas tomber, encore et encore et encore…. Et il m’a enfin lâché toute sa purée au fond du trou, AAAAAHH que c’était bon de sentir son liquide chaud au fond de moi….
" Tu aimes toujours la bite ma salope ?!!! ". Ah ouiii, que j’aime ça, je ne pouvais pas dire le contraire ! " Alors je vais t’en donner pour ton plaisir ! ". Ca faisait bien 2 heures que j’étais partie de mon bureau, et je commençais à me faire du souci car mes chefs devaient se demander pourquoi je mettais si longtemps à revenir… J’étais toujours à genoux sur le bureau, encore épuisée de cette séance de baise. Je me suis laissée faire par le gardien quand il m’a lié mes mains dans le dos, et comme j’aime assez être à la merci de mes baiseurs, j’ai trouvé ça plutôt excitant… Il m’a passé une ficelle autour du cou comme une laisse, et m’a plaqué la joue contre le bureau, et a attaché la ficelle après le bureau de façon à ce que je reste la tête posée dessus. Pour ne pas perdre l’équilibre, j’étais bien obligée d’écarter les jambes, donc vous voyez le tableau, à genoux les jambes écartées, le cul en l’air car j’avais la tête sur le bureau et les mains liées derrière mon dos. Tel que j’étais, je ne pouvais pas tourner la tête, je regardais vers le mur et la porte était derrière moi. Mon geôlier est parti en ramenant la porte vers lui, mais sans la fermer, en me disant : " Attends-moi là, je reviens ! ". Je me demande bien où j’aurais pu aller…
C’était très excitant, j’ai senti que je me remettais déjà à mouiller. J’avais du sperme qui me dégoulinait encore de mon petit trou. J’ai attendu impatiemment qu’il revienne. J’avais un peu peur que n’importe qui arrive, notamment les gens qui s’occupent de la maintenance de l’immeuble. Eux ils ont les clés de tous les locaux et se promènent n’importe où et n’importe quand. J’ai attendu un long moment, sursautant dès que j’entendais le moindre bruit dans le parking à côté. A chaque fois, j’avais le cœur qui battait un peu plus vite et je mouillais encore un peu plus, comme une salope que je suis. Puis la porte s’est ouvert en grand. J’ai entendu une voix de mec qui s’exclamait " Oh putain ! ". Un bruit de vêtement qui se défait, une respiration forte, et sans un bruit, je sens un mec derrière moi qui me fouille la chatte rapidement de ses doigts, et qui m’enfile son pieu un peu mou dans ma chatte bien lubrifiée. Impossible de voir qui c’est, le type commence à me limer vite, très très vite dans des halètements de bête et je sens sa queue qui durcit aussi rapidement. Je pousse des gémissements de plaisir non dissimulés, alors que je ne vois pas qui me défonce mais c’est encore plus excitant !… Pas un mot de la part de l’homme, je pousse des " OUI ! OUIII ! " et l’homme lâche sa sauce dans ma chatte, je sens des longs jets chauds et puissants, et je jouis instantanément.
Le même bruit de vêtement et l’homme repart sans dire un mot. Là, je sens que la peur commence à m’envahir car manifestement, il ne s’agissait pas du vigile qui m’avait laissée dans cette position. Je n’ai pas le temps de me poser des questions que justement, il revient. J’entends et je reconnais sa voix, il est accompagné d’un autre homme. " T’as vu ces beaux trous qui nous attendent ? ". Et clac, je sens une main qui s’abat sèchement sur mes fesses et je sursaute. Puis le 1er vigile remarque le sperme qui coule encore de ma chatte. Encore 2 claques : " Mais, espèce de petite salope, c’est que tu trouves le moyen de te faire enfiler même quand t’es attachée !!! ". L’autre vigile commence aussi à me donner des claques sur les fesses. Je sursaute à chaque coup mais je gémis de plaisir aussi.
Je sens une langue qui me fait une feuille de rose tandis qu’une queue se présente à l’entrée de ma bouche. Je suis toujours attachée les mains dans le dos, et la tête sur le bureau. Le vigile me saisit la tête et branle sa bite dans ma bouche. Je la sens qui grossit, qui enfle rapidement entre mes lèvres, et je manque quelquefois de m’étouffer car il me maintient quelques secondes en me pressant la tête et la bouche collées à la base de sa grosse queue. Ce petit supplice m’excite au plus haut point. 3 doigts fouillent ma chatte et 2 doigts forcent l’entrée de mon anus. La queue du vigile se présente à l’entrée de mon petit trou. L’autre vigile me maintient une fois de plus la tête, j’ai la bouche grande ouverte sur sa queue, collée tout au fond de ma gorge, et je sens une tige ENORME forcer mon trou. Je ne peux pas crier car j’ai la queue dans la bouche. Derrière moi, je sens le gland qui est à peine rentré, ressortir. AïE ! La douleur est insoutenable. Le vigile rentre juste son gland et le ressort, toujours ce mouvement, il rentre il sort, juste à l’endroit où son gland est le plus large. Il le fait plusieurs fois. MMMM !!! MMMM !!! J’essaye de crier, j’ai mal. Je ne sens que son gros gland qui entre et qui sort, et j’ai toujours une grosse queue qui se branle dans ma bouche et qui empêche les sons de sortir ! CLAC ! CLAC ! Je reçois des claques sur mes fesses.
" Tiens ma salope ! CLAC ! Prends ça ! CLAC CLAC ! De toute façon on sait que t’aimes la bite ! CLAC ! A chaque nouveau, on lui dit qu’il y a une bonne salope à se taper ici ! CLAC ! ". Et oui, depuis ma première expérience avec les vigiles, je me doutais bien aussi qu’ils n’allaient pas garder ça pour eux… Le vigile qui se branle dans ma bouche dit à l’autre : " Allez, on y va ensemble ? ". Le 2ème ayant dit oui, je les sens tout-à-coup s’agiter comme des malades, une queue cogne tout au fond de ma bouche jusqu’aux amygdales à un rythme fou tandis que je sens un baton énorme me défoncer le petit trou, comme si je m’empalais à chaque coup de bite sur un pieu ! Ca dure quelques minutes, puis je les sens tous les deux crier et lâcher leur sauce dans mes trous, un long jus au fond de mes entrailles, et le vigile de devant qui me crache sa purée dans la bouche, et que j’avale.
Aaaaah, quelle jouissance. Les 2 vigiles se rhabillent. Ils me détachent enfin, et je peux me rhabiller à mon tour. Ils me raccompagnent dans leur local de vigiles. Là, il y a 3 autres gars qui sont là et j’aperçois que sur leurs écrans de sécurité, il y a un écran correspondant à la pièce que nous venons de quitter… Celui qui m’a baisée la bouche me dit : " tu reviendras dans cette pièce demain à partir de 10 heures, ça te prendra que 10 mn, et tu reviendras à chaque heure pendant 10 mn jusqu’à l’heure de ton départ du bureau ". Je lui demande pourquoi ? Il me répond : " 7h de travail, on est 7, comme ça on va te baiser chacun notre tour pendant 10 mn ". Je lui dit que c’est absolument hors de question ! Et là, il me sort une cassette en souriant d’un air mauvais, en me disant : " mais si, tu vas le faire. Et tu sais pourquoi ? Regarde… ". Sur la cassette, on me voit distinctement en train de me fouiller la chatte, pendant que je téléphone. Si jamais cette cassette passe entre les mains de mon patron, je suis virée. Comme si c’était pas suffisant, on me voit après me faire prendre la chatte et le cul par le vigile, sauf que lui, on ne voit pas son visage, il est tourné du bon côté. Et c’est clair également que c’est pas une baise forcée, on n’entend que moi, dire : " OUIIIII ! J’AIME TA GROSSE BITE ! ENFONCE-MOI, ENCOOORE ! "….
Ils me tiennent ! Et je ne sais toujours pas qui est venu me baiser, pendant que je les attendais….
En fait, à mon bureau, je fais partie des représentants du personnel. A ce titre, nous avons une salle réservée pour pouvoir faire la partie administrative. Or, ces salles fermées qui nous étaient réservées se trouvent au sous-sol, mais l’ensemble de mes collègues ne trouvant pas l’endroit pratique, personne n’y met jamais les pieds. Il existe pourtant des clés, dont je me suis fait faire un double (j’ai pas le droit, mais chuuuut !), et il y a tout ce qu’il faut pour bosser : ordinateur, imprimante, téléphone et connection internet. Mais à côté des parkings, il fait froid et ce n’est pas pratique pour le personnel d’y descendre.
J’ai découvert le calme de l’endroit alors que j’avais un important travail à finir et que j’étais sans cesse dérangée. J’ai demandé les clés et m’y suis enfermée, je n’ai vu personne de l’après-midi. Je n’ai entendu personne non plus car l’endroit est vraiment loin de tout, dans les méandres des couloirs au fin fond d’un détour du parking… Etre seule ainsi, longtemps, très longtemps, quelle aubaine !
J’ai décidé d’y retourner la semaine suivante. Par acquis de conscience, j’ai effectué 5 mn de travail. Et après une rapide connection sur internet, j’ai eu l’idée de consulter mes messages coquins… Puis j’ai commencé un dial avec l’un de mes correspondants. J’ai été très vite excitée, et j’ai commencé à me caresser. Puis le dial devenant de plus en plus chaud, et comme il n’y avait toujours personne, j’ai remonté ma jupe sur mon ventre, j’ai mis ma petite culotte dans ma poche et les jambes levées sur le bureau, j’ai commencé à me doigter la chatte entre 2 dial.
Mmmm, ça commençait à être vraiment excitant : j’allais me faire jouir sur le lieu de mon travail, et en pleine journée !… Rien que d’y penser, j’étais toute mouillée !!! J’ai continué mon dialogue, et pour plus de sensation, j’ai pris des gros stylos genre marqueurs que je me suis enfoncé dans le petit trou (les marqueurs, quelle superbe invention ! Déjà une habitude chez moi !). Puis je me suis assise avec précaution sur ma chaise, enfonçant ainsi le marqueur au fond de mon anus, et j’ai écarté de nouveau les jambes pour bien me branler le clito. Mon interlocuteur par mail était très excitant et excité, nous nous sommes appelés au téléphone, et je me suis branlée comme une folle.
Petit détail en passant, si les salariés de l’entreprise ne vont jamais dans cette partie de l’immeuble, les caméras de surveillance, elles, surveillent l’endroit. Et les gardiens aussi ! Mes fameux gardiens, toujours présents quand on n’a pas besoin d’eux ! Mais toujours aussi disponibles pour rendre… disons de bons et loyaux services ! En bons professionnels, ils ont remarqué qu’une personne était descendue depuis un certain, et la clé du local n’était toujours pas à sa place. Un des vigiles est donc descendu voir (j’aurais pu tomber ou m’évanouir, après tout…). Il m’a trouvée renversée effectivement, les yeux fermés et la tête renversée en arrière, les jambes écartées, une main en train de me branler la chatte en faisant des sautillements sur ma chaise avec mon cul pour bien me rentrer le marqueur dans le petit trou à chaque fois que je retombais sur ma chaise, et les yeux fermés, je tenais des propos au téléphone : " ouiiii, vas-y, je sens ta queue dans ma chatte, mmmm qu’est-ce que tu as une belle bite, je te sens bieeennnn ! Je te mordille le bout du gland, ouiii, comme ça….. ". Mon gardien a commencé à se branler, je l’ai su après…
J’ai joui violemment et au moment de raccrocher, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu le gardien, la queue à l’air en train de se branler. Il s’est approché de moi en 2 secondes et demi et m’a dit : " A mon tour maintenant ! ", en me fourrant sa queue dans la bouche. J’ai pas eu trop le temps de réfléchir et c’est pas plus mal d’ailleurs, j’ai commencé à lui lécher sa queue imposante, tout le long de son membre, puis je lui ai léché les couilles. Mmmm je m’appliquais pour pouvoir prendre le maximum de sa tige dans ma bouche, mais c’était chose impossible car il avait une queue assez massive. Je lui ai léché le bout du gland, j’ai titillé son méat tout en serrant la base de sa tige, il avait l’air d’apprécier…
Puis il m’a fait mettre à genoux sur le bureau et s’est enfoncé d’un coup dans ma chatte trempée. Ca rentrait comme dans du beurre. Il m’a enlevé le marqueur, que j’avais toujours dans mon anus, et en me limant la chatte, il a commencé à me travailler le petit trou… Aaaaaah, que c’était bon ! Après une bon orgasme au téléphone, de sentir une bonne queue me défoncer la moule pour de vrai, aaaah, qu’est-ce que j’aime ça !… " OUIIIIII !! Enfonce-toi bien, aaaah que j’aime ta queue !!! ". Je suis une véritable salope quand je suis en chaleur. Et lui me donnait des bons coups de reins et entrait de toute sa longueur dans ma chatte étroite mais lubrifiée. Il est ressorti et est entré d’un coup dans mon petit trou, AAAAHHH ! quelle sensation ! Il est entré puis ressorti complètement, puis re-rentré et ainsi de suite une bonne quinzaine de fois…. Aaaaah, quelle douleur et quel bonheur aussi, j’en tremblais tellement j’attendais qu’il me lime le cul à toute vitesse, et enfin, il s’est déchaîné et m’a littéralement bourré le cul à toute vitesse, tapant ses couilles contre mes fesses et je m’accrochais au bureau pour ne pas tomber, encore et encore et encore…. Et il m’a enfin lâché toute sa purée au fond du trou, AAAAAHH que c’était bon de sentir son liquide chaud au fond de moi….
" Tu aimes toujours la bite ma salope ?!!! ". Ah ouiii, que j’aime ça, je ne pouvais pas dire le contraire ! " Alors je vais t’en donner pour ton plaisir ! ". Ca faisait bien 2 heures que j’étais partie de mon bureau, et je commençais à me faire du souci car mes chefs devaient se demander pourquoi je mettais si longtemps à revenir… J’étais toujours à genoux sur le bureau, encore épuisée de cette séance de baise. Je me suis laissée faire par le gardien quand il m’a lié mes mains dans le dos, et comme j’aime assez être à la merci de mes baiseurs, j’ai trouvé ça plutôt excitant… Il m’a passé une ficelle autour du cou comme une laisse, et m’a plaqué la joue contre le bureau, et a attaché la ficelle après le bureau de façon à ce que je reste la tête posée dessus. Pour ne pas perdre l’équilibre, j’étais bien obligée d’écarter les jambes, donc vous voyez le tableau, à genoux les jambes écartées, le cul en l’air car j’avais la tête sur le bureau et les mains liées derrière mon dos. Tel que j’étais, je ne pouvais pas tourner la tête, je regardais vers le mur et la porte était derrière moi. Mon geôlier est parti en ramenant la porte vers lui, mais sans la fermer, en me disant : " Attends-moi là, je reviens ! ". Je me demande bien où j’aurais pu aller…
C’était très excitant, j’ai senti que je me remettais déjà à mouiller. J’avais du sperme qui me dégoulinait encore de mon petit trou. J’ai attendu impatiemment qu’il revienne. J’avais un peu peur que n’importe qui arrive, notamment les gens qui s’occupent de la maintenance de l’immeuble. Eux ils ont les clés de tous les locaux et se promènent n’importe où et n’importe quand. J’ai attendu un long moment, sursautant dès que j’entendais le moindre bruit dans le parking à côté. A chaque fois, j’avais le cœur qui battait un peu plus vite et je mouillais encore un peu plus, comme une salope que je suis. Puis la porte s’est ouvert en grand. J’ai entendu une voix de mec qui s’exclamait " Oh putain ! ". Un bruit de vêtement qui se défait, une respiration forte, et sans un bruit, je sens un mec derrière moi qui me fouille la chatte rapidement de ses doigts, et qui m’enfile son pieu un peu mou dans ma chatte bien lubrifiée. Impossible de voir qui c’est, le type commence à me limer vite, très très vite dans des halètements de bête et je sens sa queue qui durcit aussi rapidement. Je pousse des gémissements de plaisir non dissimulés, alors que je ne vois pas qui me défonce mais c’est encore plus excitant !… Pas un mot de la part de l’homme, je pousse des " OUI ! OUIII ! " et l’homme lâche sa sauce dans ma chatte, je sens des longs jets chauds et puissants, et je jouis instantanément.
Le même bruit de vêtement et l’homme repart sans dire un mot. Là, je sens que la peur commence à m’envahir car manifestement, il ne s’agissait pas du vigile qui m’avait laissée dans cette position. Je n’ai pas le temps de me poser des questions que justement, il revient. J’entends et je reconnais sa voix, il est accompagné d’un autre homme. " T’as vu ces beaux trous qui nous attendent ? ". Et clac, je sens une main qui s’abat sèchement sur mes fesses et je sursaute. Puis le 1er vigile remarque le sperme qui coule encore de ma chatte. Encore 2 claques : " Mais, espèce de petite salope, c’est que tu trouves le moyen de te faire enfiler même quand t’es attachée !!! ". L’autre vigile commence aussi à me donner des claques sur les fesses. Je sursaute à chaque coup mais je gémis de plaisir aussi.
Je sens une langue qui me fait une feuille de rose tandis qu’une queue se présente à l’entrée de ma bouche. Je suis toujours attachée les mains dans le dos, et la tête sur le bureau. Le vigile me saisit la tête et branle sa bite dans ma bouche. Je la sens qui grossit, qui enfle rapidement entre mes lèvres, et je manque quelquefois de m’étouffer car il me maintient quelques secondes en me pressant la tête et la bouche collées à la base de sa grosse queue. Ce petit supplice m’excite au plus haut point. 3 doigts fouillent ma chatte et 2 doigts forcent l’entrée de mon anus. La queue du vigile se présente à l’entrée de mon petit trou. L’autre vigile me maintient une fois de plus la tête, j’ai la bouche grande ouverte sur sa queue, collée tout au fond de ma gorge, et je sens une tige ENORME forcer mon trou. Je ne peux pas crier car j’ai la queue dans la bouche. Derrière moi, je sens le gland qui est à peine rentré, ressortir. AïE ! La douleur est insoutenable. Le vigile rentre juste son gland et le ressort, toujours ce mouvement, il rentre il sort, juste à l’endroit où son gland est le plus large. Il le fait plusieurs fois. MMMM !!! MMMM !!! J’essaye de crier, j’ai mal. Je ne sens que son gros gland qui entre et qui sort, et j’ai toujours une grosse queue qui se branle dans ma bouche et qui empêche les sons de sortir ! CLAC ! CLAC ! Je reçois des claques sur mes fesses.
" Tiens ma salope ! CLAC ! Prends ça ! CLAC CLAC ! De toute façon on sait que t’aimes la bite ! CLAC ! A chaque nouveau, on lui dit qu’il y a une bonne salope à se taper ici ! CLAC ! ". Et oui, depuis ma première expérience avec les vigiles, je me doutais bien aussi qu’ils n’allaient pas garder ça pour eux… Le vigile qui se branle dans ma bouche dit à l’autre : " Allez, on y va ensemble ? ". Le 2ème ayant dit oui, je les sens tout-à-coup s’agiter comme des malades, une queue cogne tout au fond de ma bouche jusqu’aux amygdales à un rythme fou tandis que je sens un baton énorme me défoncer le petit trou, comme si je m’empalais à chaque coup de bite sur un pieu ! Ca dure quelques minutes, puis je les sens tous les deux crier et lâcher leur sauce dans mes trous, un long jus au fond de mes entrailles, et le vigile de devant qui me crache sa purée dans la bouche, et que j’avale.
Aaaaah, quelle jouissance. Les 2 vigiles se rhabillent. Ils me détachent enfin, et je peux me rhabiller à mon tour. Ils me raccompagnent dans leur local de vigiles. Là, il y a 3 autres gars qui sont là et j’aperçois que sur leurs écrans de sécurité, il y a un écran correspondant à la pièce que nous venons de quitter… Celui qui m’a baisée la bouche me dit : " tu reviendras dans cette pièce demain à partir de 10 heures, ça te prendra que 10 mn, et tu reviendras à chaque heure pendant 10 mn jusqu’à l’heure de ton départ du bureau ". Je lui demande pourquoi ? Il me répond : " 7h de travail, on est 7, comme ça on va te baiser chacun notre tour pendant 10 mn ". Je lui dit que c’est absolument hors de question ! Et là, il me sort une cassette en souriant d’un air mauvais, en me disant : " mais si, tu vas le faire. Et tu sais pourquoi ? Regarde… ". Sur la cassette, on me voit distinctement en train de me fouiller la chatte, pendant que je téléphone. Si jamais cette cassette passe entre les mains de mon patron, je suis virée. Comme si c’était pas suffisant, on me voit après me faire prendre la chatte et le cul par le vigile, sauf que lui, on ne voit pas son visage, il est tourné du bon côté. Et c’est clair également que c’est pas une baise forcée, on n’entend que moi, dire : " OUIIIII ! J’AIME TA GROSSE BITE ! ENFONCE-MOI, ENCOOORE ! "….
Ils me tiennent ! Et je ne sais toujours pas qui est venu me baiser, pendant que je les attendais….
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