Comment transformé son neveu impuissant en bête de sexe. 30
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2024 dans la catégorie Plus on est
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Comment transformé son neveu impuissant en bête de sexe. 30
Sophie, Arthur et Pierre. 2
Dans cette histoire, vous retrouvez Arthur, un puceau hyper membré, « comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe, épisodes 22 à 28 », ainsi que Damien et Sophie qui avait fait la connaissance de Pierre, les différentes aventures de Sophie, « Sophie, Damien et l’auteur ».
Je les fais se lever pour leur retirer pantalons et boxer et passe ma bouche d’un chibre à l’autre, tentant d’introduire en même temps les deux superbes glands. J’ai souvent rêvé de cette scène hautement improbable d’avoir ces des étalons en même temps. Dans ma tête se bousculent toutes les possibilités que peuvent m’offrir Pierre et Arthur. Mais je sais pertinemment que si je vais en retirer un énorme plaisir, je vais aussi dérouiller salement quand l’un et l’autre vont s’accorder pour communier en moi ensemble.
Suite :
Je les fais se rasseoir, leur ordonne de ne rien faire et retire prestement mes habits, me tourne vers mon mari qui a sorti son sexe gonflé, écarte les jambes en reculant jusqu’à ce que je sois assise sur les cuisses d’Arthur, sentant son rostre coincé entre son ventre et mon dos, je me relève suffisamment pour pouvoir saisir l’objet de ma convoitise et plie les genoux pour absorber dans mon vagin tout ce qu’il peut supporter. Je commence comme une bonne pouliche à l’allure du pas, puis du trot et enfin du galop tout en essayant de me maintenir sur ma « monture » en me cramponnant à une barre de soutien, la pine de Pierre… Mon plaisir monte de plus en plus, je ne contrôle plus rien. Je voudrais que ça dure longtemps. Il ralenti le rythme, se penche pour prendre ma bouche, nos langues se cherchent et il m’embrasse goulûment. Son membre est toujours en moi. Mon clitoris, mes lèvres, tout mon sexe est gonflé de plaisir. Mon plaisir est fort et intense…
Je fais varier l’allure pour qu’il ne décharge pas et quand il approche de l’inéluctable, je change « d’étalon » tout en ne quittant pas des yeux Damien qui se régale, ravalant sa jalousie en se branlant car il sait qu’il ne peut pas égaler mes deux « bourrins ». Je fais durer le plaisir, je vais bientôt tarauder à sec car je coule comme une fontaine, ne comptant plus mes orgasmes qui s’enchainent les uns après les autres. Mon corps est lourd d’avoir explosé de ces vagues de plaisir.
Pierre me caresse presque distraitement. Je regarde Damien, épuisée et comblée, de voir sa main sur sa queue toujours dure attise encore plus mon désir, surprise de mon appétit insatiable. J’aime la verge de mon mari mais j’ai encore envie de mes étalons. De leurs mains, de leur bouche, de leur langue, de leur membre exceptionnel… Ma main remplace celle d’Arthur sur son gourdin et tout en la tenant, je m’assois sur Pierre, m’empalant sur sa bite énorme. Il apprécie et me laisse faire. Mes hanches dansent légèrement plus vite et nous gémissons de concert. De temps en temps il laisse ses reins s’inviter à la danse et son sexe tape au plus profond de moi. Alors que je voudrais que ça dure, je ne peux m’empêcher d’accélérer mes mouvements, mon corps est douloureux de plaisir, ma chatte brûlante et jamais je n’ai mouillé comme cela. Mes doigts se resserrent sur la queue d’Arthur. J’essaie d’être attentive à leur plaisir. J’aimerais tellement que nous explosions ensemble…
Je vais les finir, je me mets à genoux entre eux pour une branlette double, jouant de ma bouche d’une lance à l’autre pour les amener ensemble à la jouissance libératrice. Je suce, je suce et me régale. C’est Arthur qui passe le premier la ligne d’arrivée. Je sens qu’il ne va plus tenir bien longtemps et me prépare à me gaver d’une bonne ration de sperme, il se met à grogner. Je le sens se tendre encore plus. Dans ma main palpitent ses couilles, je sens les deux grosses boules s’agiter, me gratifiant de belles envolées de sperme que j’essaie tant bien que mal de canaliser et d’en goûter la production. Mon visage est tacheté de grumeaux blanchâtres.
Le teaming est parfait car sitôt Arthur « sevré », c’est au tour de Pierre de rentrer en éruption. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé avec vos mecs, les filles, mais quand on fait durer le plaisir et amener plusieurs fois vos hommes au bord de l’explosion, l’éjaculation n'en est que plus puissante et plus longue. Quelques gouttes annonciatrices s’échappent du méat de la lance de Pierre, suivit aussitôt comme à ses meilleurs jours d’un filet de sperme qui forme un serpent de plus d’un mètre de long qui monte dans les airs avant de se scinder en tirets de quelques centimètres qui passent au-dessus de ma tête lorsque la gravité fait son œuvre. Une partie finit sur mon dos et l’autre sur le sol. Il m’agrippe la tête à deux mains et se met à littéralement me baiser la bouche comme un dément et défouraille dans ma bouche. Je sens un liquide lourd et chaud me remplir la gorge, au moins quatre ou cinq fantastiques giclés, vraiment la maxi dose. J’ai les yeux qui me sortent de la tête, la situation est assez hard, mais je ne peux tout simplement plus m’arrêter de tout gober. Ces quatre à cinq contractions de son périnée ont expulsé des doses encore conséquentes malgré « les années qui passent », comme il dit.
Du sperme de mes deux « géniteurs » sort de ma bouche (impossible d’avaler tout ça). J’en ai sur les joues et ça me coule sur le menton. Les grumeaux sur mon visage sont maintenant reliés entre eux par des petits ruisseaux de sperme qui glissent sur ma peau et gouttent de mon menton et sur mes seins. J’ai réussi à m’abreuver à la source pour avoir dans ma bouche la liqueur de mes deux amants. Je leur fais voir leur tribut avant de finir de déglutir, mélangeant les saveurs.
Avec des amants normaux, il faudrait un certain temps assez long de récupération mais pas avec mes deux loustics de nouveau au garde-à-vous en moins de cinq minutes pour mon plus grand plaisir. Me tournant vers mon mari :
-Je veux une double, Damien, m’y autorises-tu ?
-Même si je te réponds négativement, tu n’en feras qu’à ta tête, me répond-t-il se doutant bien depuis le début de ce qu’il allait se passer, fais ce que tu veux mais ne viens pas te plaindre après. Quand on est salope, on assume jusqu’au bout.
J’ai déjà connu avec l’un et l’autre d’être embrochée par tous les trous avec leur grosse mentule, mais y aura-t-il suffisamment de place pour supporter en même temps par devant et par derrière de tels-défonce-cul ? Je sais que je vais déguster mais je m’en réjouis à l’avance avec quand même une certaine appréhension. Quelle est la position la plus propice pour moi pour supporter sans trop de douleur d’être prise en sandwich par ces deux étalons en pleine possession de leurs moyens ?
Pierre a vraiment été gâté par la nature, il est monté comme un âne et sa queue est véritablement énorme autant en longueur qu'en grosseur. Celle d’Arthur semble, par comparaison plus petite. Toutefois, elle est quand même d'une bonne longueur quoiqu’un peu plus fine.
Je ne pense pas à l'âge de Pierre qui pourrait être le père d’Arthur pour ne penser qu'à ces magnifiques membres. Il faut absolument que je me fasse sodomiser par cet étalon, Arthur pouvant quant à lui remplir mon second orifice.
A suivre…
Dans cette histoire, vous retrouvez Arthur, un puceau hyper membré, « comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe, épisodes 22 à 28 », ainsi que Damien et Sophie qui avait fait la connaissance de Pierre, les différentes aventures de Sophie, « Sophie, Damien et l’auteur ».
Je les fais se lever pour leur retirer pantalons et boxer et passe ma bouche d’un chibre à l’autre, tentant d’introduire en même temps les deux superbes glands. J’ai souvent rêvé de cette scène hautement improbable d’avoir ces des étalons en même temps. Dans ma tête se bousculent toutes les possibilités que peuvent m’offrir Pierre et Arthur. Mais je sais pertinemment que si je vais en retirer un énorme plaisir, je vais aussi dérouiller salement quand l’un et l’autre vont s’accorder pour communier en moi ensemble.
Suite :
Je les fais se rasseoir, leur ordonne de ne rien faire et retire prestement mes habits, me tourne vers mon mari qui a sorti son sexe gonflé, écarte les jambes en reculant jusqu’à ce que je sois assise sur les cuisses d’Arthur, sentant son rostre coincé entre son ventre et mon dos, je me relève suffisamment pour pouvoir saisir l’objet de ma convoitise et plie les genoux pour absorber dans mon vagin tout ce qu’il peut supporter. Je commence comme une bonne pouliche à l’allure du pas, puis du trot et enfin du galop tout en essayant de me maintenir sur ma « monture » en me cramponnant à une barre de soutien, la pine de Pierre… Mon plaisir monte de plus en plus, je ne contrôle plus rien. Je voudrais que ça dure longtemps. Il ralenti le rythme, se penche pour prendre ma bouche, nos langues se cherchent et il m’embrasse goulûment. Son membre est toujours en moi. Mon clitoris, mes lèvres, tout mon sexe est gonflé de plaisir. Mon plaisir est fort et intense…
Je fais varier l’allure pour qu’il ne décharge pas et quand il approche de l’inéluctable, je change « d’étalon » tout en ne quittant pas des yeux Damien qui se régale, ravalant sa jalousie en se branlant car il sait qu’il ne peut pas égaler mes deux « bourrins ». Je fais durer le plaisir, je vais bientôt tarauder à sec car je coule comme une fontaine, ne comptant plus mes orgasmes qui s’enchainent les uns après les autres. Mon corps est lourd d’avoir explosé de ces vagues de plaisir.
Pierre me caresse presque distraitement. Je regarde Damien, épuisée et comblée, de voir sa main sur sa queue toujours dure attise encore plus mon désir, surprise de mon appétit insatiable. J’aime la verge de mon mari mais j’ai encore envie de mes étalons. De leurs mains, de leur bouche, de leur langue, de leur membre exceptionnel… Ma main remplace celle d’Arthur sur son gourdin et tout en la tenant, je m’assois sur Pierre, m’empalant sur sa bite énorme. Il apprécie et me laisse faire. Mes hanches dansent légèrement plus vite et nous gémissons de concert. De temps en temps il laisse ses reins s’inviter à la danse et son sexe tape au plus profond de moi. Alors que je voudrais que ça dure, je ne peux m’empêcher d’accélérer mes mouvements, mon corps est douloureux de plaisir, ma chatte brûlante et jamais je n’ai mouillé comme cela. Mes doigts se resserrent sur la queue d’Arthur. J’essaie d’être attentive à leur plaisir. J’aimerais tellement que nous explosions ensemble…
Je vais les finir, je me mets à genoux entre eux pour une branlette double, jouant de ma bouche d’une lance à l’autre pour les amener ensemble à la jouissance libératrice. Je suce, je suce et me régale. C’est Arthur qui passe le premier la ligne d’arrivée. Je sens qu’il ne va plus tenir bien longtemps et me prépare à me gaver d’une bonne ration de sperme, il se met à grogner. Je le sens se tendre encore plus. Dans ma main palpitent ses couilles, je sens les deux grosses boules s’agiter, me gratifiant de belles envolées de sperme que j’essaie tant bien que mal de canaliser et d’en goûter la production. Mon visage est tacheté de grumeaux blanchâtres.
Le teaming est parfait car sitôt Arthur « sevré », c’est au tour de Pierre de rentrer en éruption. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé avec vos mecs, les filles, mais quand on fait durer le plaisir et amener plusieurs fois vos hommes au bord de l’explosion, l’éjaculation n'en est que plus puissante et plus longue. Quelques gouttes annonciatrices s’échappent du méat de la lance de Pierre, suivit aussitôt comme à ses meilleurs jours d’un filet de sperme qui forme un serpent de plus d’un mètre de long qui monte dans les airs avant de se scinder en tirets de quelques centimètres qui passent au-dessus de ma tête lorsque la gravité fait son œuvre. Une partie finit sur mon dos et l’autre sur le sol. Il m’agrippe la tête à deux mains et se met à littéralement me baiser la bouche comme un dément et défouraille dans ma bouche. Je sens un liquide lourd et chaud me remplir la gorge, au moins quatre ou cinq fantastiques giclés, vraiment la maxi dose. J’ai les yeux qui me sortent de la tête, la situation est assez hard, mais je ne peux tout simplement plus m’arrêter de tout gober. Ces quatre à cinq contractions de son périnée ont expulsé des doses encore conséquentes malgré « les années qui passent », comme il dit.
Du sperme de mes deux « géniteurs » sort de ma bouche (impossible d’avaler tout ça). J’en ai sur les joues et ça me coule sur le menton. Les grumeaux sur mon visage sont maintenant reliés entre eux par des petits ruisseaux de sperme qui glissent sur ma peau et gouttent de mon menton et sur mes seins. J’ai réussi à m’abreuver à la source pour avoir dans ma bouche la liqueur de mes deux amants. Je leur fais voir leur tribut avant de finir de déglutir, mélangeant les saveurs.
Avec des amants normaux, il faudrait un certain temps assez long de récupération mais pas avec mes deux loustics de nouveau au garde-à-vous en moins de cinq minutes pour mon plus grand plaisir. Me tournant vers mon mari :
-Je veux une double, Damien, m’y autorises-tu ?
-Même si je te réponds négativement, tu n’en feras qu’à ta tête, me répond-t-il se doutant bien depuis le début de ce qu’il allait se passer, fais ce que tu veux mais ne viens pas te plaindre après. Quand on est salope, on assume jusqu’au bout.
J’ai déjà connu avec l’un et l’autre d’être embrochée par tous les trous avec leur grosse mentule, mais y aura-t-il suffisamment de place pour supporter en même temps par devant et par derrière de tels-défonce-cul ? Je sais que je vais déguster mais je m’en réjouis à l’avance avec quand même une certaine appréhension. Quelle est la position la plus propice pour moi pour supporter sans trop de douleur d’être prise en sandwich par ces deux étalons en pleine possession de leurs moyens ?
Pierre a vraiment été gâté par la nature, il est monté comme un âne et sa queue est véritablement énorme autant en longueur qu'en grosseur. Celle d’Arthur semble, par comparaison plus petite. Toutefois, elle est quand même d'une bonne longueur quoiqu’un peu plus fine.
Je ne pense pas à l'âge de Pierre qui pourrait être le père d’Arthur pour ne penser qu'à ces magnifiques membres. Il faut absolument que je me fasse sodomiser par cet étalon, Arthur pouvant quant à lui remplir mon second orifice.
A suivre…
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20 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Des idées à foison
Mon neveu ? Quelle horreur !!! Bien que...
Je ne sais pas si l'auteur est une bête de sexe mais il en a l'instrument
Toujours aussi bon conteur
Si le neveu est monté comme l'homme de l'avatar...
Très belle saga
No sait
J'ai bien quelques petites suggestions...
Je ne sais quel conseil donner
En chevauchant sa bite de cheval 🐴
A suivre...
Pendue à ses lèvres faute de l'être à sa queue.
Une courageuse, 3 bites pour elle toute seule.
Quelle imagination !
Du grand art.
Ma femme a voulu essayer. Elle s'en souvient encore.
Mon rêve, une double avec des hommes bien dotés par la nature
Comme on dit, un ça va, deux bonjour les dégâts
J'adore la façon d'entremeler deux sagas dans une même histoire
Ce fantasme de la double, racontée ainsi, wouaww
Cyrille
Cyrille