Comment transformer son neveu impuissant en bête de sexe. 28
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 554 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 213 637 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2022 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 1 773 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Comment transformer son neveu impuissant en bête de sexe. 28
La bête de sexe rencontre Damien et Sophie. 7
Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne maintenant la parole à Sophie.
Il ne lui répond pas et quand il se redresse et demande à Karine de se relever, je m’empresse de prendre la place de ma copine sur le sexe de mon mari, attendant avec impatience de subir le même sort. Arthur attend deux minutes avant de me défoncer la chatte après une introduction de son gros dard hyper lente, me faisant ressentir dans tout mon être chaque centimètre qui laboure mon conduit et fait son chemin, ne tenant aucun compte de l’intrus dans la grotte attenante qu’il comprime sans complexe. Il prend son temps pour éviter d’atteindre le point de non-retour mais moi je coule comme une fontaine et mon jus trouve toujours un interstice le long de son pieu pour fuir et tremper la queue de mon homme.
Suite :
Arthur se retire enfin et vient se mettre à côté de Damien pour la suite. Karine se précipite sur lui mais malgré les alésages progressifs de son anus, Je la vois le visage crispé sous l’effort, se mordant la lèvre inférieure. Elle tient fermement la hampe majestueuse, se frotte la raie des fesses avec, en graisse l’extrémité entre les grandes lèvres de sa chatte avant d’enfin oser plier ses genoux pour que le boutefeu appuie sur l’anneau fripé, poussant les chairs jusqu’à ce que le sphincter cède et que le gland disparaisse enfin dans son cul. Elle attend quelques secondes laissant au gland comprimé juste le temps de reprendre de la vigueur et s’empale de plus en plus loin. Quand enfin ses fesses reposent sur le bas-ventre d’Arthur, elle reprend enfin la parole.
-C’est du gros, du très gros… j’ai déjà connu ça avec un black, mais il mesurait presque deux mètres et pesait 120 kilos ! Mais l’avantage avec lui, c’est que c’est sa queue un peu molle pliait et s’adaptait à mes mensurations et non le contraire. Le défonce-cul d’Arthur est un vrai démonte-pneu, une poutre, un putain de braquemard.
Il lui faut quelques minutes pour laisser le temps à son anus pour qu’il s’adapte au gabarit, mais surtout à la consistance s’approchant plus d’une barre de fer que celle d’une banane bien mûre. Ensuite, Karine se transforme en une vraie furie sur ce pieu infatigable. Serge puis Damien reproduisent les trios mais cette fois en inversant les positions. Arthur n’a pas besoin de bouger. Sa queue est enfoncée si profondément dans le fondement de Karine qu’il laisse faire les cocus.
Prise d’une idée subite, je vais chercher mon gode ceinture qui a pratiquement les mêmes proportions du chibre du voisin et prend la relève de Damien qui me cède sa place, faisant hurler Karine par cette double pénétration. Pas plus le gode que le pieu d’Arthur raide comme un piquet ne perdent ne serait-ce qu’un demi-centimètre de circonférence et les deux orifices de Karine sont obligés de s’adapter au diamètre peu commun des deux intrus, la douleur cédant lentement au plaisir, puis à l’orgasme. Mais elle doit s’occuper comme elle peut des deux pénis prêts à jouir de nos maris qui se terminent en se branlant et se vidant les burnes sur son visage. Quand enfin je la libère et l’aide à se retirer du gourdin toujours aussi raide d’Arthur, elle à la démarche d’un canard.
Nous allons nous rafraichir à la salle de bain et quand nous revenons, nous assistons à une drôle de scène. Je sais que Serge ne dit pas non à une partie entre hommes. Mais la différence physique entre lui et Arthur est si flagrante que cette copulation ressemble à celle d’un Doberman se faisant saillir par un minuscule caniche.
-Ouuii ! Prends-moi avec ta grosse queue ! Je t’ai donné ma femme, tu me dois bien ça. Aaarrrggghhh !
Arthur s’agrippe comme il peut au corps de Serge qui remue tellement que les pieds de mon jeune poulain ne touchent plus terre. La scène est apocalyptique ! Mais il continue vaillamment à sodomiser l’homme après sa femme. Comme il commence à fatiguer, il va s’étendre sur le sol et fait aussi un signe à Karine. Voyant ça, Serge se précipite pour reprendre sa place et s’empaler à nouveau sur le défonce-cul incroyable de ce gamin et Karine doit se rabattre sur la tête du jeune homme. Elle se fait bouffer la foufoune consciencieusement par Arthur. On dirait que pour lui, ce qui se passe en dessous de la ceinture ne le concerne plus. Nos amis en profitent pour se caresser, s’embrasser, profitant des capacités du jeune homme du mieux qu’ils le peuvent. Serge en rebande et sa femme branle son mari qui monte et descend sur le jonc massif.
Les deux arrivent à l’orgasme quasiment en même temps et s’aident mutuellement pour se relever, laissant la place libre. Je propose à Damien :
-Tu es partant pour un tour de manège ? La place est libre…
Il me regarde puis tourne la tête et jauge la bête docilement couchée sur le ventre musclé d’Arthur.
-Je veux bien essayer, mais je ne suis pas comme Serge. Je n’ai jamais pris un tel gabarit dans le fion.
-Y a que les premiers centimètres qui comptent, s’esclaffe Serge, après, c’est du gâteau !
Notre couple d’amis s’occupe de préparer Damien, ou plutôt son anus à ce qui l’attend avec une bonne couche de lubrifiant et quelques ustensiles de différents diamètres pour détendre la zone incriminée, puis le conduise comme un taureau à l’abattoir au-dessus du corps d’Arthur. Damien s’agenouille, Serge redresse le pal et en caresse l’entrejambe de son ami, tapote le pieu sur ses fesses puis le présente devant sa cible. Karine s’est mise derrière Damien et appuie sur ses épaules. Le gland repousse le sphincter qui forme une cuvette jusqu’à ce que celui-ci cède sous la pression et absorbe la fraise comprimée qui se regonfle aussitôt le goulet passé. Damien est comme tétanisé, n’osant plus bouger ni dans un sens ni dans l’autre, attendant en grimaçant que son fion se détende pour accepter dans son cul la plus grosse queue de sa vie de bisexuel. Je veux continuer à mater la scène mais autant faire comme Karine et se donner du plaisir en même temps. Je me déplace donc pour m’assoir sur le visage de cette véritable bête de sexe. La langue d’Arthur n’est pas aussi longue que sa verge mais il sait diablement bien s’en servir. Voyant ça, Damien ne veut plus rester à la traine est s’empale sans un cri la bouche recherchant un bol d’air comme si le chibre d’Arthur est monté si haut qu’il lui encombre les bronches.
Nous jouissons tous les deux de ce que nous offre notre cher voisin sans défaillir. Comme nos amis, nous nous embrassons et nous faisons des papouilles partout. Je suis même étonnée que Damien après s’être déjà vidé les couilles plusieurs fois arrive encore à bander. Mais la source est pratiquement tarie et je sais qu’il n’en sortira plus grand-chose. Arthur arrive à grogner :
-On va finir en apothéose. Je veux que les femmes se mettent en levrette sur les coudes et les genoux, que les hommes les sautent comme des chiens en glissant leur bite dans le cul de leur épouse s’ils y arrivent encore et je passerai d’un couple à l’autre pour boucher les trous restés libres jusqu’à ce que je me vide une dernière fois les couilles pour enfin débander et retirer cet anneau qui me scie la teub !
Trop heureux de ce baroud d’honneur, nous lui obéissons. Nos hommes ont plus de difficulté pour rebander une dernière fois pour nous enculer mais notre anus est encore ouvert et même s’il se rétracte doucement, il n’offre aucune difficulté aux verges à demi-bandées. Malgré l’obstacle du corps de nos hommes qui s’activent mollement, Arthur parvient grâce à la dimension de son chibre et à la souplesse de la jeunesse à nous saillir, mais ne voulant pas faire de jaloux, il fait le petit train en y rajoutant un wagon et ramone allègrement le conduit de nos hommes. Nous sommes quatre complètement épuisés, et tout ça parce que dans la buanderie l’autre jour Arthur attendait son linge en slip ! Il nous annonce enfin :
-Dernier service ! C’est que j’ai du boulot qui m’attends, je croyais rester une petite demi-heure pour prendre le café et ça fait maintenant plus de deux heures que je suis là.
Il est debout, les jambes écartées et se branle avec vigueur. Nous sommes les quatre comme à l’hallali, attendant que la bête meure, ou plutôt qu’elle expectore une dernière fois sa sève. Il doit s’astiquer le concombre un temps qui nous parait interminable avant enfin de nous crépir d’une dose de foutre ridicule pour lui, mais que Damien ou Serge admirent et jalousent en hommes lambda.
Pendant que nous nous battons entre nous quatre pour récupérer sur l’un(e) ou l’autre jusqu’à la dernière goutte de sa liqueur, Arthur est allé s’avachir sur le divan, les bras et la tête reposant sur le dossier, les yeux fermés pour récupérer après avoir tant donné de sa personne. Quand je reviens enfin vers lui, je m’occupe de lui retirer son cockring, passant le bout de sa verge ramollie sous l’anneau de caoutchouc, puis une couille et enfin l’autre.
Il se rhabille, nous fait la bise et je l’accompagne jusqu’à la porte. Il me murmure :
-Préviens-moi à l’avance quand tu veux organiser une partouze. Je t’ai déjà dit que je ne veux plus être pris pour un étalon corvéable à merci. Et surtout fais la leçon à tes amis, je connais la puissance des rumeurs et si j’entends des bruits qui courent dans la ville, je plie bagages et déménage à 200 bornes. OK ?!
-OK Arthur, si tu le veux bien, accepterais-tu d’être le parrain de l’enfant que j’attends ?
-J’en serai très honoré, mais je veux que ce soit ton mari qui me le demande. Je ne veux pas être un objet de discorde dans votre couple. Suis j’en suis le géniteur, ce sera lui SON PERE.
Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne maintenant la parole à Sophie.
Il ne lui répond pas et quand il se redresse et demande à Karine de se relever, je m’empresse de prendre la place de ma copine sur le sexe de mon mari, attendant avec impatience de subir le même sort. Arthur attend deux minutes avant de me défoncer la chatte après une introduction de son gros dard hyper lente, me faisant ressentir dans tout mon être chaque centimètre qui laboure mon conduit et fait son chemin, ne tenant aucun compte de l’intrus dans la grotte attenante qu’il comprime sans complexe. Il prend son temps pour éviter d’atteindre le point de non-retour mais moi je coule comme une fontaine et mon jus trouve toujours un interstice le long de son pieu pour fuir et tremper la queue de mon homme.
Suite :
Arthur se retire enfin et vient se mettre à côté de Damien pour la suite. Karine se précipite sur lui mais malgré les alésages progressifs de son anus, Je la vois le visage crispé sous l’effort, se mordant la lèvre inférieure. Elle tient fermement la hampe majestueuse, se frotte la raie des fesses avec, en graisse l’extrémité entre les grandes lèvres de sa chatte avant d’enfin oser plier ses genoux pour que le boutefeu appuie sur l’anneau fripé, poussant les chairs jusqu’à ce que le sphincter cède et que le gland disparaisse enfin dans son cul. Elle attend quelques secondes laissant au gland comprimé juste le temps de reprendre de la vigueur et s’empale de plus en plus loin. Quand enfin ses fesses reposent sur le bas-ventre d’Arthur, elle reprend enfin la parole.
-C’est du gros, du très gros… j’ai déjà connu ça avec un black, mais il mesurait presque deux mètres et pesait 120 kilos ! Mais l’avantage avec lui, c’est que c’est sa queue un peu molle pliait et s’adaptait à mes mensurations et non le contraire. Le défonce-cul d’Arthur est un vrai démonte-pneu, une poutre, un putain de braquemard.
Il lui faut quelques minutes pour laisser le temps à son anus pour qu’il s’adapte au gabarit, mais surtout à la consistance s’approchant plus d’une barre de fer que celle d’une banane bien mûre. Ensuite, Karine se transforme en une vraie furie sur ce pieu infatigable. Serge puis Damien reproduisent les trios mais cette fois en inversant les positions. Arthur n’a pas besoin de bouger. Sa queue est enfoncée si profondément dans le fondement de Karine qu’il laisse faire les cocus.
Prise d’une idée subite, je vais chercher mon gode ceinture qui a pratiquement les mêmes proportions du chibre du voisin et prend la relève de Damien qui me cède sa place, faisant hurler Karine par cette double pénétration. Pas plus le gode que le pieu d’Arthur raide comme un piquet ne perdent ne serait-ce qu’un demi-centimètre de circonférence et les deux orifices de Karine sont obligés de s’adapter au diamètre peu commun des deux intrus, la douleur cédant lentement au plaisir, puis à l’orgasme. Mais elle doit s’occuper comme elle peut des deux pénis prêts à jouir de nos maris qui se terminent en se branlant et se vidant les burnes sur son visage. Quand enfin je la libère et l’aide à se retirer du gourdin toujours aussi raide d’Arthur, elle à la démarche d’un canard.
Nous allons nous rafraichir à la salle de bain et quand nous revenons, nous assistons à une drôle de scène. Je sais que Serge ne dit pas non à une partie entre hommes. Mais la différence physique entre lui et Arthur est si flagrante que cette copulation ressemble à celle d’un Doberman se faisant saillir par un minuscule caniche.
-Ouuii ! Prends-moi avec ta grosse queue ! Je t’ai donné ma femme, tu me dois bien ça. Aaarrrggghhh !
Arthur s’agrippe comme il peut au corps de Serge qui remue tellement que les pieds de mon jeune poulain ne touchent plus terre. La scène est apocalyptique ! Mais il continue vaillamment à sodomiser l’homme après sa femme. Comme il commence à fatiguer, il va s’étendre sur le sol et fait aussi un signe à Karine. Voyant ça, Serge se précipite pour reprendre sa place et s’empaler à nouveau sur le défonce-cul incroyable de ce gamin et Karine doit se rabattre sur la tête du jeune homme. Elle se fait bouffer la foufoune consciencieusement par Arthur. On dirait que pour lui, ce qui se passe en dessous de la ceinture ne le concerne plus. Nos amis en profitent pour se caresser, s’embrasser, profitant des capacités du jeune homme du mieux qu’ils le peuvent. Serge en rebande et sa femme branle son mari qui monte et descend sur le jonc massif.
Les deux arrivent à l’orgasme quasiment en même temps et s’aident mutuellement pour se relever, laissant la place libre. Je propose à Damien :
-Tu es partant pour un tour de manège ? La place est libre…
Il me regarde puis tourne la tête et jauge la bête docilement couchée sur le ventre musclé d’Arthur.
-Je veux bien essayer, mais je ne suis pas comme Serge. Je n’ai jamais pris un tel gabarit dans le fion.
-Y a que les premiers centimètres qui comptent, s’esclaffe Serge, après, c’est du gâteau !
Notre couple d’amis s’occupe de préparer Damien, ou plutôt son anus à ce qui l’attend avec une bonne couche de lubrifiant et quelques ustensiles de différents diamètres pour détendre la zone incriminée, puis le conduise comme un taureau à l’abattoir au-dessus du corps d’Arthur. Damien s’agenouille, Serge redresse le pal et en caresse l’entrejambe de son ami, tapote le pieu sur ses fesses puis le présente devant sa cible. Karine s’est mise derrière Damien et appuie sur ses épaules. Le gland repousse le sphincter qui forme une cuvette jusqu’à ce que celui-ci cède sous la pression et absorbe la fraise comprimée qui se regonfle aussitôt le goulet passé. Damien est comme tétanisé, n’osant plus bouger ni dans un sens ni dans l’autre, attendant en grimaçant que son fion se détende pour accepter dans son cul la plus grosse queue de sa vie de bisexuel. Je veux continuer à mater la scène mais autant faire comme Karine et se donner du plaisir en même temps. Je me déplace donc pour m’assoir sur le visage de cette véritable bête de sexe. La langue d’Arthur n’est pas aussi longue que sa verge mais il sait diablement bien s’en servir. Voyant ça, Damien ne veut plus rester à la traine est s’empale sans un cri la bouche recherchant un bol d’air comme si le chibre d’Arthur est monté si haut qu’il lui encombre les bronches.
Nous jouissons tous les deux de ce que nous offre notre cher voisin sans défaillir. Comme nos amis, nous nous embrassons et nous faisons des papouilles partout. Je suis même étonnée que Damien après s’être déjà vidé les couilles plusieurs fois arrive encore à bander. Mais la source est pratiquement tarie et je sais qu’il n’en sortira plus grand-chose. Arthur arrive à grogner :
-On va finir en apothéose. Je veux que les femmes se mettent en levrette sur les coudes et les genoux, que les hommes les sautent comme des chiens en glissant leur bite dans le cul de leur épouse s’ils y arrivent encore et je passerai d’un couple à l’autre pour boucher les trous restés libres jusqu’à ce que je me vide une dernière fois les couilles pour enfin débander et retirer cet anneau qui me scie la teub !
Trop heureux de ce baroud d’honneur, nous lui obéissons. Nos hommes ont plus de difficulté pour rebander une dernière fois pour nous enculer mais notre anus est encore ouvert et même s’il se rétracte doucement, il n’offre aucune difficulté aux verges à demi-bandées. Malgré l’obstacle du corps de nos hommes qui s’activent mollement, Arthur parvient grâce à la dimension de son chibre et à la souplesse de la jeunesse à nous saillir, mais ne voulant pas faire de jaloux, il fait le petit train en y rajoutant un wagon et ramone allègrement le conduit de nos hommes. Nous sommes quatre complètement épuisés, et tout ça parce que dans la buanderie l’autre jour Arthur attendait son linge en slip ! Il nous annonce enfin :
-Dernier service ! C’est que j’ai du boulot qui m’attends, je croyais rester une petite demi-heure pour prendre le café et ça fait maintenant plus de deux heures que je suis là.
Il est debout, les jambes écartées et se branle avec vigueur. Nous sommes les quatre comme à l’hallali, attendant que la bête meure, ou plutôt qu’elle expectore une dernière fois sa sève. Il doit s’astiquer le concombre un temps qui nous parait interminable avant enfin de nous crépir d’une dose de foutre ridicule pour lui, mais que Damien ou Serge admirent et jalousent en hommes lambda.
Pendant que nous nous battons entre nous quatre pour récupérer sur l’un(e) ou l’autre jusqu’à la dernière goutte de sa liqueur, Arthur est allé s’avachir sur le divan, les bras et la tête reposant sur le dossier, les yeux fermés pour récupérer après avoir tant donné de sa personne. Quand je reviens enfin vers lui, je m’occupe de lui retirer son cockring, passant le bout de sa verge ramollie sous l’anneau de caoutchouc, puis une couille et enfin l’autre.
Il se rhabille, nous fait la bise et je l’accompagne jusqu’à la porte. Il me murmure :
-Préviens-moi à l’avance quand tu veux organiser une partouze. Je t’ai déjà dit que je ne veux plus être pris pour un étalon corvéable à merci. Et surtout fais la leçon à tes amis, je connais la puissance des rumeurs et si j’entends des bruits qui courent dans la ville, je plie bagages et déménage à 200 bornes. OK ?!
-OK Arthur, si tu le veux bien, accepterais-tu d’être le parrain de l’enfant que j’attends ?
-J’en serai très honoré, mais je veux que ce soit ton mari qui me le demande. Je ne veux pas être un objet de discorde dans votre couple. Suis j’en suis le géniteur, ce sera lui SON PERE.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
48 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Éternelle question
Je couuuullllleeeee
La question se pose
Que j'aimerais être une petite souris
Que de messages!
En agissant
En faisant comme toutes les femmes
Sujet inépuisable
Je ne sais que dire car tout à déjà été dit
Quel étalon !
Il a des frères ?
J'adore, encore...
Il faut savoir être prêteuse.
Le graal pour une cougard.
J'adore cette histoire très chaude
Je voudrais bien avoir ce dilemme
J'écoute religieusement ses conseils
Je veux suivre l'évolution du neveu
J'espère que tu en as profité après
Moi c'est ma femme qui m'a surpris. Je me suis fait engueuler et elle m'a dit que ce n'était que des conneries. Que l'auteur devait compenser le fait d'avoir une queue minuscule. Alors je lui ai mis une de ses vidéos sur la tv du salon. Quand elle a vu cette énorme chibre massif elle a dû reconnaître son erreur et n'a pas quitté des yeux l'écran et a été sur le cul quand il a craché sans se tenir la teub de monstrueux jets de sperme à plus d'un mètre.
Jean et Sophie.merci
Jean et Sophie.merci
J'ai surpris mon fils en train de se branler devant son ordinateur. J'ai regardé ensuite pourquoi et je suis tombée sur cette histoire. J'en mouille encore.
Lui aussi.
Ma femme adore
Ma femme a plusieurs idées.
Chacun à sa méthode.
Avec de la volonté et de l'abnégation on arrive à tout
Quel talent !
Il y a plusieurs méthodes
C'est un livre qu'on devrait trouver en librairie
Il faut déjà trouver le neveu
Je veux bien me devouer
La chaudasse
La chaudasse
En invitant tata
Sacrée abnégation
Chaud, Chaud
Il suffit de lire et d'appliquer
En suivant toutes les étapes
Est-ce raisonnable ?
Il y a beaucoup de recettes
Je sais pas
Moi, je n'aurais jamais osé
Oui, comment ?
il y a sûrement plusieurs recettes, à vous de me les suggérer.
être une vrai salope
Que d'aventures
en lui donnant des leçons, pardi!!!
oui, comment ? Là est la question
si tu le veux, chère lectrice, je veux bien me proposer pour que tu puisses t'entrainer.
Je veux bien l'instruire