Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 13
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 13
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 13
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Contrairement à l’autre jour, elle est complètement dégagée de la gangue de ses vêtements et je la découvre en entier ainsi que ses bourses. Je n’ai jamais vu une queue aussi grosse ! Il faut dire que je n’ai que celle de son père en comparaison. C’est tellement excitant de voir le corps à peine sorti de l’adolescence de son fils avec un membre aussi énorme.
Il a du sentir ma présence et tourne la tête vers moi et me lance :-Tu en as mis du temps maman, je commençais à douter… Tu ne veux-pas retenter l’expérience comme chez tata ?
Vous ne savez pas comme je suis heureuse qu’il m’appelle maman…
Suite :Je ne me le fais pas dire deux fois et m’approche du lit. Je saisis sa queue avec ma main et commence à faire quelques va-et-vient. Avec son père, de sa verge ne dépassait à peine que le gland, là c’est encore une dizaine de centimètres qui dépassent, et si ce n’était que ça ! Elle est si énorme que je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts, il s’en faut de presque trois centimètres.
Je le regarde et lui souris, toute excitée et impatiente. Je vais de nouveau branler mon bébé et le faire jouir. Je repousse complètement le drap au pied du lit et commence la branlette de ce pieu érigé. Lentement je m’active sur sa verge, décalotte et recalotte sa prune rouge. J’entreprends de branler le jeune membre viril d’Arthur, le cœur battant la chamade. Je fais voluptueusement coulisser le prépuce le long du gland dilaté comme chez ma sœur. L’envie d'avaler son gland, qui tel un facétieux diablotin, jaillit d'entre mes doigts, l’envie de sentir ce bourgeon de chair se dilater dans ma bouche juste avant d'éjecter sa semence virile est trop forte. Dans un frisson sensuel, je veux encore percevoir sur ma langue et au fond de ma gorge le goût âpre et salé du sperme chaud et épais d’Arthur... je veux qu’il se vide dans ma bouche, mais non. Il est plus résistant que je le croyais et cette fois ci, je ne passe pas derrière sa petite copine.
Je suis tellement mouillée que ma culotte est à tordre. Arthur me repousse et me demande s’il peut me dévêtir. Complètement en transe, j’acquiesce en hochant timidement de la tête. Il retire délicatement mon tee-shirt et mon soutien-gorge en m’expliquant.
-Je ne veux pas tâcher tes habits, « maman » !
J’absorbe de nouveau sa grosse prune. Sous cette succion son mandrin qui s’était un peu décongestionné redevient au top de sa forme. Je sens son gros chibre grossir dans ma bouche et grandir comme par magie, Tout en suçant son gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe magnifique. Il attrape l'arrière de ma tête pour bloquer sa queue dans ma bouche, cherchant à forcer le passage. Il bande désormais à fond et lâche ma tête, je recule lentement mes lèvres de son mandrin entraînant de longs filets de bave qui les relient entre eux pour reprendre ma respiration. Je me fais l’effet d’une véritable salope en train de le traire et de le sucer comme un veau sous la mère. Les rôles sont inversés.
-Putain que c’est booonnn maman! Je sens mon sexe buter au fond de ta gorge ! Tiens … prends là … profond ! Suce-moi les couilles maintenant !
Il fait encore quelques allers-retours dans ma bouche avant que je ne lui obéisse et descende pour lui lécher les couilles et gober ses œufs, lui enfonçant mon majeur dans l’anus.
- Oh! Oh oui c'est bon !
Je le repousse et le supplie, les yeux dans les yeux :- Je veux te voir jouir, mon bébé. Je n’avais jamais fait ça avec ton père’mais c’est trop bon !
En entendant ces paroles. Comme s’il n’avait attendu que ma supplique pour arriver au plaisir, il jouit et j’assiste au premier plan à un spectacle dantesque. Une perle de liquide émerge de son méat. Une envie irrésistible me traverse et je fais rouler ses bourses sous mes doigts. Ses couilles sont dures dans ma main et je les fais coulisser l’une contre l’autre. Son gland grossit encore au moment de lâcher la purée. Un petit jet de sperme jaillit, suivit presque aussitôt par un autre, monstrueux. Les jets se succèdent, j’ai du foutre des cheveux à la poitrine, visqueux, il dégouline sur mon visage, entre mes seins. Comment un homme peut-il éjaculer aussi longtemps et aussi fort ? La source se tarit enfin. Je comprends pourquoi il voulait m’enlever mes vêtements… Quand je pense à la malheureuse goutte de sperme de son père…J’embrasse son nœud puis lève la tête, mes yeux dans les siens. Je grogne de plaisir en croisant son regard.
– Whaouh Arthur! Si je n’avais pas été aussi bête et psychorigide, et que j’avais su que tu possédais une telle bite, si grosse et si longue dans ton pantalon, je t’aurais sauté dessus depuis longtemps!
Je baisse la tête et reprends en main son bel organe, une main sur les bourses, l’autre sur la hampe magnifique qui réagit aussitôt et reprend vie comme si j’avais appuyé sur un bouton.
-Tu rebandes déjà ?! C’est dingue !
Il me retire ma jupe puis commence à baisser mon collant juste en dessous de mes fesses. Le doute me reprend, qu’est-ce que je suis en train de faire ?
-Je peux, maman ? Ta chatte est tout à fait à mon goût. Elle est comme celle de tata avec de très jolies lèvres et avec quelques poils comme j'aime. Je peux l'embrasser ?
-Euhhh… Je…je…Nnnn… Oh oui ! Oui je le veux, vas-y, je suis complètement folle mais au point où j’en suis…
Il se met à genoux devant moi et approche ses lèvres de mon sexe. Il prend ma chatte humide à pleine bouche et commence à l'embrasser en rentrant sa langue au plus profond qu’il le peut, mettant ses mains sur mes fesses. Où a-t-il acquis une telle expérience ? Avec ma sœur bien sûr ! Quand je sens que je ne peux plus me retenir, ressentant une sensation inconnue, mon corps est tendu comme une corde à piano et je ne peux maitriser mon vagin qui se contracte et expulse une copieuse dose de liquide. Je n’ai jamais connu ça avec son père. C’est donc ça « l’orgasme » ! Et il a fallu que ce soit son fils qui me fasse découvrir ce que c’est que le plaisir…Ça ne l’a pas rebuté et il se redresse maintenant pour m’embrasser. Je lui fais un grand sourire de reconnaissance et lui avoue.
-Tu viens de me faire découvrir ce que ton père n’a jamais réussi à faire. Il faut dire qu’après cinq minutes grand-max de pinage et une éjaculation rapide, Il s’endormait comme une souche.
Il m’embrasse à pleine bouche pour me faire taire et me faire goûter ma cyprine, me caresse la poitrine et malaxe mes gros nichons à pleine main aux tétons tout durs. Je gémis comme une folle quand il me lèche les seins. C’est si bon, je suis toute chaude entre ses bras. Une de ses mains me touche entre les cuisses et s’insinue dans ma chatte trempée. Il enfonce un doigt entre mes lèvres humides et le retire pour titiller mon clito ou suivre ma raie en insistant chaque fois un peu plus sur mon œillet fripé.
Je lui rends la pareille et me saisis de sa verge qui a un peu débandée. Elle est chaude, elle est douce. On dirait que je viens de le brancher sur le 220 volts car la réaction est immédiate et je retrouve la rigidité incroyable du début. Je frotte son chibre sur ma fente, en éprouvant la dureté sur mes grandes lèvres. J'ais un peu peur de son calibre mais je ne suis pas plus conne que ma sœur où sa petite copine. J’ai très envie de le sentir en moi et il comprend mon appréhension. Il s'y prend si doucement que j'ai à peine senti passer son gland, il pousse l’avantage et sa hampe si massive entre sans difficulté dans mon vagin. Quelle sensation ! Je suis remplie comme une outre quand il bute au fond de ma grotte. Il me colle contre la porte et commence à me « travailler », d’abord doucement puis de plus en plus fort. Je dois me hisser sur la pointe des pieds pour atténuer cette douleur de plaisir quand il va trop loin vu la longueur de son pieu. Arthur me besogne de longues minutes avant de m’entrainer sur le lit sans « déjanter ». Il reprend son pinage avant de se mettre sur le dos et de ne plus rien faire, mettent ses mains sous sa nuque.
-A toi maintenant, tu as fait assez d’années d’équitation dans ta jeunesse pour savoir la méthode qu’on apprend pour suivre l’allure sur un cheval au trot…
Je me rappelle mes cours où contrairement aux cow-boys dans les westerns, on nous apprend à se redresser sur les étriers pour ensuite redescendre sur la selle. Je pose correctement mes deux genoux de chaque coté de son corps et reprends la manœuvre, essayant à chaque fois de prendre en moi le plus possible de son formidable bélier.
-Merci Arthur. Je ne croyais plus à mon âge me faire draguer par un homme et refaire une partie de jambes en l’air mais là, je suis gâtée. J’ai sous mon toit un amant, un mâle avec une bite de cheval et qui sait s’en servir, je suis comblée à un point que tu ne peux pas savoir !
Je commence à fatiguer, il faut dire que je n’ai jamais eu l’occasion avec son père d’aller si loin, si longtemps. Je n’en reviens pas de connaître à nouveau le plaisir, quel pied ! Et aussi de sa résistance… Il reprend la direction des choses et me prend en levrette, donnant de si formidables coups de reins que je dois me tenir à la tête de lit pour résister à ses assauts de plus en plus violents.
Il se fige enfin en moi puis se retire et se branle d’une main. Je peux nous voir dans la glace de l’armoire. Je n’en reviens pas de ce que nous sommes en train de faire. Arthur arrive à un point de non-retour et j’assiste à nouveau à l’éruption dantesque de foutre de sa merveilleuse lance.
Un jet de semence s’élève dans les airs et retombe entre mes épaules et sur ma chevelure. Les suivants continuent à recouvrir mon corps et les derniers se tarissent sur mes fesses. Je ne savais que certains hommes pouvaient être aussi prolixes.
Après une douche pour me nettoyer des relents de notre copulation, je reviens dans la chambre. Arthur est étendu sur le dos et somnole. Il a les jambes écartées et sa verge enfin au repos repose délicatement sur ses bourses et le gland sur les draps. Je réalise que c’est la première fois que je la voie dans cette configuration et que même au repos, elle est plus imposante que celle de son père en érection.
A suivre…J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Contrairement à l’autre jour, elle est complètement dégagée de la gangue de ses vêtements et je la découvre en entier ainsi que ses bourses. Je n’ai jamais vu une queue aussi grosse ! Il faut dire que je n’ai que celle de son père en comparaison. C’est tellement excitant de voir le corps à peine sorti de l’adolescence de son fils avec un membre aussi énorme.
Il a du sentir ma présence et tourne la tête vers moi et me lance :-Tu en as mis du temps maman, je commençais à douter… Tu ne veux-pas retenter l’expérience comme chez tata ?
Vous ne savez pas comme je suis heureuse qu’il m’appelle maman…
Suite :Je ne me le fais pas dire deux fois et m’approche du lit. Je saisis sa queue avec ma main et commence à faire quelques va-et-vient. Avec son père, de sa verge ne dépassait à peine que le gland, là c’est encore une dizaine de centimètres qui dépassent, et si ce n’était que ça ! Elle est si énorme que je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts, il s’en faut de presque trois centimètres.
Je le regarde et lui souris, toute excitée et impatiente. Je vais de nouveau branler mon bébé et le faire jouir. Je repousse complètement le drap au pied du lit et commence la branlette de ce pieu érigé. Lentement je m’active sur sa verge, décalotte et recalotte sa prune rouge. J’entreprends de branler le jeune membre viril d’Arthur, le cœur battant la chamade. Je fais voluptueusement coulisser le prépuce le long du gland dilaté comme chez ma sœur. L’envie d'avaler son gland, qui tel un facétieux diablotin, jaillit d'entre mes doigts, l’envie de sentir ce bourgeon de chair se dilater dans ma bouche juste avant d'éjecter sa semence virile est trop forte. Dans un frisson sensuel, je veux encore percevoir sur ma langue et au fond de ma gorge le goût âpre et salé du sperme chaud et épais d’Arthur... je veux qu’il se vide dans ma bouche, mais non. Il est plus résistant que je le croyais et cette fois ci, je ne passe pas derrière sa petite copine.
Je suis tellement mouillée que ma culotte est à tordre. Arthur me repousse et me demande s’il peut me dévêtir. Complètement en transe, j’acquiesce en hochant timidement de la tête. Il retire délicatement mon tee-shirt et mon soutien-gorge en m’expliquant.
-Je ne veux pas tâcher tes habits, « maman » !
J’absorbe de nouveau sa grosse prune. Sous cette succion son mandrin qui s’était un peu décongestionné redevient au top de sa forme. Je sens son gros chibre grossir dans ma bouche et grandir comme par magie, Tout en suçant son gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe magnifique. Il attrape l'arrière de ma tête pour bloquer sa queue dans ma bouche, cherchant à forcer le passage. Il bande désormais à fond et lâche ma tête, je recule lentement mes lèvres de son mandrin entraînant de longs filets de bave qui les relient entre eux pour reprendre ma respiration. Je me fais l’effet d’une véritable salope en train de le traire et de le sucer comme un veau sous la mère. Les rôles sont inversés.
-Putain que c’est booonnn maman! Je sens mon sexe buter au fond de ta gorge ! Tiens … prends là … profond ! Suce-moi les couilles maintenant !
Il fait encore quelques allers-retours dans ma bouche avant que je ne lui obéisse et descende pour lui lécher les couilles et gober ses œufs, lui enfonçant mon majeur dans l’anus.
- Oh! Oh oui c'est bon !
Je le repousse et le supplie, les yeux dans les yeux :- Je veux te voir jouir, mon bébé. Je n’avais jamais fait ça avec ton père’mais c’est trop bon !
En entendant ces paroles. Comme s’il n’avait attendu que ma supplique pour arriver au plaisir, il jouit et j’assiste au premier plan à un spectacle dantesque. Une perle de liquide émerge de son méat. Une envie irrésistible me traverse et je fais rouler ses bourses sous mes doigts. Ses couilles sont dures dans ma main et je les fais coulisser l’une contre l’autre. Son gland grossit encore au moment de lâcher la purée. Un petit jet de sperme jaillit, suivit presque aussitôt par un autre, monstrueux. Les jets se succèdent, j’ai du foutre des cheveux à la poitrine, visqueux, il dégouline sur mon visage, entre mes seins. Comment un homme peut-il éjaculer aussi longtemps et aussi fort ? La source se tarit enfin. Je comprends pourquoi il voulait m’enlever mes vêtements… Quand je pense à la malheureuse goutte de sperme de son père…J’embrasse son nœud puis lève la tête, mes yeux dans les siens. Je grogne de plaisir en croisant son regard.
– Whaouh Arthur! Si je n’avais pas été aussi bête et psychorigide, et que j’avais su que tu possédais une telle bite, si grosse et si longue dans ton pantalon, je t’aurais sauté dessus depuis longtemps!
Je baisse la tête et reprends en main son bel organe, une main sur les bourses, l’autre sur la hampe magnifique qui réagit aussitôt et reprend vie comme si j’avais appuyé sur un bouton.
-Tu rebandes déjà ?! C’est dingue !
Il me retire ma jupe puis commence à baisser mon collant juste en dessous de mes fesses. Le doute me reprend, qu’est-ce que je suis en train de faire ?
-Je peux, maman ? Ta chatte est tout à fait à mon goût. Elle est comme celle de tata avec de très jolies lèvres et avec quelques poils comme j'aime. Je peux l'embrasser ?
-Euhhh… Je…je…Nnnn… Oh oui ! Oui je le veux, vas-y, je suis complètement folle mais au point où j’en suis…
Il se met à genoux devant moi et approche ses lèvres de mon sexe. Il prend ma chatte humide à pleine bouche et commence à l'embrasser en rentrant sa langue au plus profond qu’il le peut, mettant ses mains sur mes fesses. Où a-t-il acquis une telle expérience ? Avec ma sœur bien sûr ! Quand je sens que je ne peux plus me retenir, ressentant une sensation inconnue, mon corps est tendu comme une corde à piano et je ne peux maitriser mon vagin qui se contracte et expulse une copieuse dose de liquide. Je n’ai jamais connu ça avec son père. C’est donc ça « l’orgasme » ! Et il a fallu que ce soit son fils qui me fasse découvrir ce que c’est que le plaisir…Ça ne l’a pas rebuté et il se redresse maintenant pour m’embrasser. Je lui fais un grand sourire de reconnaissance et lui avoue.
-Tu viens de me faire découvrir ce que ton père n’a jamais réussi à faire. Il faut dire qu’après cinq minutes grand-max de pinage et une éjaculation rapide, Il s’endormait comme une souche.
Il m’embrasse à pleine bouche pour me faire taire et me faire goûter ma cyprine, me caresse la poitrine et malaxe mes gros nichons à pleine main aux tétons tout durs. Je gémis comme une folle quand il me lèche les seins. C’est si bon, je suis toute chaude entre ses bras. Une de ses mains me touche entre les cuisses et s’insinue dans ma chatte trempée. Il enfonce un doigt entre mes lèvres humides et le retire pour titiller mon clito ou suivre ma raie en insistant chaque fois un peu plus sur mon œillet fripé.
Je lui rends la pareille et me saisis de sa verge qui a un peu débandée. Elle est chaude, elle est douce. On dirait que je viens de le brancher sur le 220 volts car la réaction est immédiate et je retrouve la rigidité incroyable du début. Je frotte son chibre sur ma fente, en éprouvant la dureté sur mes grandes lèvres. J'ais un peu peur de son calibre mais je ne suis pas plus conne que ma sœur où sa petite copine. J’ai très envie de le sentir en moi et il comprend mon appréhension. Il s'y prend si doucement que j'ai à peine senti passer son gland, il pousse l’avantage et sa hampe si massive entre sans difficulté dans mon vagin. Quelle sensation ! Je suis remplie comme une outre quand il bute au fond de ma grotte. Il me colle contre la porte et commence à me « travailler », d’abord doucement puis de plus en plus fort. Je dois me hisser sur la pointe des pieds pour atténuer cette douleur de plaisir quand il va trop loin vu la longueur de son pieu. Arthur me besogne de longues minutes avant de m’entrainer sur le lit sans « déjanter ». Il reprend son pinage avant de se mettre sur le dos et de ne plus rien faire, mettent ses mains sous sa nuque.
-A toi maintenant, tu as fait assez d’années d’équitation dans ta jeunesse pour savoir la méthode qu’on apprend pour suivre l’allure sur un cheval au trot…
Je me rappelle mes cours où contrairement aux cow-boys dans les westerns, on nous apprend à se redresser sur les étriers pour ensuite redescendre sur la selle. Je pose correctement mes deux genoux de chaque coté de son corps et reprends la manœuvre, essayant à chaque fois de prendre en moi le plus possible de son formidable bélier.
-Merci Arthur. Je ne croyais plus à mon âge me faire draguer par un homme et refaire une partie de jambes en l’air mais là, je suis gâtée. J’ai sous mon toit un amant, un mâle avec une bite de cheval et qui sait s’en servir, je suis comblée à un point que tu ne peux pas savoir !
Je commence à fatiguer, il faut dire que je n’ai jamais eu l’occasion avec son père d’aller si loin, si longtemps. Je n’en reviens pas de connaître à nouveau le plaisir, quel pied ! Et aussi de sa résistance… Il reprend la direction des choses et me prend en levrette, donnant de si formidables coups de reins que je dois me tenir à la tête de lit pour résister à ses assauts de plus en plus violents.
Il se fige enfin en moi puis se retire et se branle d’une main. Je peux nous voir dans la glace de l’armoire. Je n’en reviens pas de ce que nous sommes en train de faire. Arthur arrive à un point de non-retour et j’assiste à nouveau à l’éruption dantesque de foutre de sa merveilleuse lance.
Un jet de semence s’élève dans les airs et retombe entre mes épaules et sur ma chevelure. Les suivants continuent à recouvrir mon corps et les derniers se tarissent sur mes fesses. Je ne savais que certains hommes pouvaient être aussi prolixes.
Après une douche pour me nettoyer des relents de notre copulation, je reviens dans la chambre. Arthur est étendu sur le dos et somnole. Il a les jambes écartées et sa verge enfin au repos repose délicatement sur ses bourses et le gland sur les draps. Je réalise que c’est la première fois que je la voie dans cette configuration et que même au repos, elle est plus imposante que celle de son père en érection.
A suivre…J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merveilleux
Mmmh bises sur nos petites chattes, avec ta langue titillant nos clitos et ton énorme grosse queue explosant dans nos pt trous
whouuuuuu
whouuuuuu
Ce que j'ai vraiment apprécié, c'est de voir cette queue monstrueuse. Je fantasmais déjà en imaginant Arthur et son chibre, mais quand j'ai vu votre sexe, je n'en revenais pas. Vous êtes monté comme un âne ! Et que dire de vos éjaculations toutes aussi monstrueuses!!!
Merci les filles, j'espère que vous avez appréciez autant mes vidéos que mes histoires. Bises sur vos petites chattes.
Moi j'ai visionné ses vidéos. Putain je mouillais déjà en lisant ses histoires, mais là, j'en ai pissé de la chatte.Reponds-nous, Maître Queue !
Enfiiiiin, je n'en pouvais plus... mes doigts dans ma petite chatte serrée et titillant mon pt bouton viennent de me faire exploser.
Je m en vais voir ta vidéo...mmmh
Je m en vais voir ta vidéo...mmmh