Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 7
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 7
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 7
La tante cède aux avances de son neveu et chevauche « l’étalon blanc ».
Le sol est maintenant jonché de traces blanchâtres sur plus de deux mètres. Je suis vidé, ma bite me fait mal mais est toujours aussi congestionnée, toujours aussi ferme, toujours aussi grosse.
-C’était encore plus impressionnant que je croyais, s’exclame Nadège, tu as battu tous les records.
(Si vous voulez voir ce genre d’éjaculation, tapez : Belles éjaculations au ralenti sur votre clavier).
Maintenant que je t’ai dégorgé le poireau du surplus, je vais pouvoir en profiter comme il me plaira.
Elle se déshabille enfin et je la vois entièrement nue pour la première fois. Malgré son âge, sa poitrine est orgueilleuse, son bassin bien en chair. Son pubis entièrement épilé est très proéminent, les lèvres de son pubis pendantes, et déjà suintantes de cyprine. Elle monte sur mes cuisses, repousse mon torse en arrière, se soulève et frotte sa chatte sur ma verge turgescente.
- Tu bandes toujours ! Tu veux que je m’en occupe ?
Suite :Je la laisse faire, je la sens bouger faisant avancer mon membre au-devant de sa chatte, je bande à mort. Elle arrête et avance son ventre, se saisissant de mon pénis, le positionne sur sa grotte et hop !
Mon chibre trace sa route dans cet antre, comme une proie avalée par un boa constrictor qui, à chaque contraction s’enfile de plus en plus loin. Elle me broie carrément la bite avec ses muscles vaginaux. Je n’ai jamais connu ça, putain que c’est bon !
<Nadège>-Aaaaahhhhh !!! Ça faisait si longtemps que j’attendais ce moment. Plus de quatre mois, 129 jours pour être exact que je ne pense qu’à ça, à être prise par mon neveu, ne plus être la sexologue accompagnant les progrès de mon patient mais la femelle montée par le jeune mâle.
Son énorme rouleau de chair bandé au maximum frotte doucement contre la fente de mon sexe. De ma main, je dirige le chibre monstrueux à l'intérieur de mon vagin qui est maintenant abondamment lubrifié. Je commence un mouvement, faisant disparaître son gland dans mon coquillage en essayant de le faire pénétrer un peu plus profondément. Je me cambre à sa rencontre, il me pénètre jusqu'aux petites lèvres, je stoppe la progression, me retire lentement puis recommence. Mon vagin aspire cette colonne de chair dantesque. Ma matrice n’en voit pas le bout, je descends doucement sur ce sexe longiligne d’une dureté incroyable due à l’anneau, cette obélisque qui me pénètre ne va jamais rentrer en entier… Je baisse les yeux vers le pénis de mon neveu. Je regarde cet énorme sexe qui disparait dans mon vagin, me demandant, vu la grosseur, si je vais pouvoir le recevoir au plus profond de ma chatte. Mais je le désire si ardemment…Je me retire trop et son sexe se redresse comme un ressort et vient frapper sur son bas-ventre.
Je grogne de frustration, je me cambre à nouveau pour rechercher le contact de son boutefeu, frotte ma chatte tout le long de son énorme gland, fait deux aller/retour puis me pénètre de nouveau jusqu’aux petites lèvres. Arthur s’exaspère, gémit d'impatience, n'attendant qu'une chose, que je continue ma pénétration, que je replonge sur sa bite un peu plus profondément. Malgré une abondante lubrification, j’ai quand même un certain mal à faire entrer son vit. Ne voulant pas forcer, je prends conscience de la grosseur de son appendice, suspends le mouvement pour que mon vagin en prenne la pleine valeur.
Mon ventre s'embrase, ma cyprine coule à flot, j'écarte un peu plus les cuisses, faisant jouer mes muscles internes pour pouvoir l'accepter en moi. Son sexe est vraiment peu commun, mais j'adore la sensation qu’il me procure. Je me tortille pour accélérer la pénétration. Mon vagin est complètement déformé par ce sexe massif.
Je reprends ma progression, en poussant doucement. Centimètre par centimètre ma gaine de velours absorbe la bête, puis se transforme en gant de fer. Je fais travailler mes muscles intimes pour compresser sa flamberge par à-coups, comme une ceinture de musculation électrique qui déclenche des contractions musculaires. Je lui broie littéralement la bite.
Ses poils pubiens se retrouvent enfin plaqués contre mon pubis soigneusement épilé. Son sexe en entier est à l'intérieur de ma chatte.
Il se tord de plaisir, serrant les mâchoires à s’en casser les dents puis rejette la tête en arrière, la bouche grande ouverte comme s’il manquait d’air. Je me retire complètement, puis sans scrupule m’empale d'un coup sec sur son monstrueux tuyau sur toute sa longueur, hurlant de plaisir. Arthur met ses mains sur mes hanches et commence alors une série de va et vient, ponctuée de « han ». Je l'accompagne, me donnant complètement à lui. Je voudrais que ce manche de pioche qui entre tout juste dans ma chatte aille encore plus loin au fond de mon utérus.
Il accélère la cadence, prenant les commandes. Je ne suis plus qu’un fourreau à bite défoncé par un énorme marteau pilon qui façonne le métal encore et encore. J’ai les yeux grands ouverts, fixant mon neveu, jetant parfois un rapide coup d'œil sur cette tige pharaonique qui m'emplit encore et encore. Il ne me faut pas une éternité pour sentir monter le plaisir, un plaisir lui aussi énorme, une fois, deux fois. J’ai fait d’Arthur une vraie machine qui continue un va et vient incessant.
Tout à coup je ressens les soubresauts de l'éjaculation de mon neveu, je sens le sperme chaud couler en moi et le grognement de bête de son énorme jouissance résonne dans la chambre. Un nouvel orgasme me transperce, mes muscles se contractent comme jamais, enserrant ce sexe monstrueux qui me donne tant de plaisir, comme pour en extraire jusqu’à la dernière goutte de sa divine semence…Je suis complètement vidée par cette chevauchée fantastique. Quand je me retire, expulsant l’intrus, mes muscles intimes continuent leurs contractions et éjecte un mélange de foutre et de cyprine qui vont se joindre aux traces précédentes sur le sol.
La pression sanguine due à sa deuxième éjaculation a encore accru la pression dans sa verge, toujours contrariée par l’anneau qui doit être un peu trop serré. Arthur, malgré deux services, a toujours le sabre au clair, une trique de tous les diables.
-Tata, j’ai jamais connu ça avec ces petites putes qui ne veulent que « se faire Dumbo ». C’était incroyable, si fort… Mais putain que j’ai mal à la bite, l’anneau me scie la circulation, regarde… c’est plus une pine que j’ai, c’est un vrai démonte-pneu.
Effectivement, sa verge n’a pas perdu un millimètre, ça serait même le contraire.
Allongé sur lui, les deux mains plaquées sur ses pectoraux, je colle ma bouche sur la sienne, ma langue se frayant un passage entre ses lèvres. Il résiste un instant, savourant encore son énorme jouissance, puis cède et desserre les dents. Ma langue s'enfourne en terrain conquis dans sa cavité buccale, il me rend ce baiser quasiment incestueux, nos langues mélangeant nos salives. Je reprends de nouveau la branle de ce sexe hallucinant.
Mais Arthur veut autre chose. Il me repousse pour se mettre tête-bêche, prend ma tête par les cheveux pour l’amener à hauteur de son bas-ventre et enfile sa queue entre mes lèvres. Ça me fait un peu peur car il pousse un peu trop loin, me baisant littéralement la bouche. Il me rend la pareille, comme hypnotisé par la vision si rapprochée de ma chatte, il s'approche timidement et pose un léger baiser sur mon pubis imberbe. Je recrache son dard pour l’encourager :- Fais mieux que ça, bordel ! N'hésite-pas à y mettre ta langue comme notre baiser de tout à l’heure!
Je sens déjà ma mouille abondante commencer à couler de ma fente tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et dépose plusieurs baisers sur mes lèvres intimes puis y insinue la pointe de sa langue. Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe et ce contact m'électrise. Sa langue glisse entre mes lèvres intimes et remonte vers mon clitoris dressé fièrement comme un petit sexe qu''il décapuchonne et essaie d’aspirer avec ses lèvres. Sa langue chaude et humide me provoque une décharge de plaisir inattendue.
- C'est trop bon, continue...
Le petit jeune timide à ne pas pouvoir réussir à bander d’il y a quelques mois n’existe plus.
Voyant que je perds le contrôle, suite aux sensations qu'il me provoque, il en profite et replante sa queue dans ma bouche avec l’assurance du « Mâle dominateur » et imprime un mouvement d'avant en arrière à ma tête. De son coté, il fouille les moindres recoins de mon sexe avec ses jeux de langue, s’aidant de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je bouge mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de cette bouche et de ses doigts investigateurs, ne tardant pas à sentir la jouissance croître jusqu'à exploser littéralement. J’en deviens folle et je plaque la tête d’Arthur sur mon pubis pour qu'il continue pendant que mon corps est secoué de spasmes irrépressibles de plaisir. Mais dans un 69, il y a deux chiffres. Je prends une position plus confortable pour continuer ma fellation après l’avoir remercié :- On ne m'avait jamais fait jouir aussi fort avec la langue. A moi de te remercier !
Je me jette à corps perdu, si je puis dire, sur l’objet de ma gourmandise. Je passe ma main le long de cette hampe chaude et puissante que je saisis enfin et branle avec amour. Arthur ferme les yeux et gémit de plaisir. Ma petite main de femme n'arrive pas à entourer entièrement de mes doigts son engin au mieux de sa forme. La verge d’Arthur a une longueur que je qualifierais de « confortable », mais pour sa grosseur incroyable, ce terme est loin de convenir. « À ne pas mettre entre toutes les mains, ou ailleurs… »Mes mâchoires deviennent douloureuses car il a repris ma tête à deux mains. Mais si ce n’était que ça ! Il pousse si loin son sexe, qu’il passe le fond de ma gorge et va obstruer ma trachée. Je dois le repousser avec force pour pouvoir respirer de temps en temps. Je dois utiliser toute ma science de femme et de professionnelle du sexe pour arriver après un temps infini à tirer de ce Mâle en rut un troisième tribu, moins copieux, moins puissant que les deux premiers, mais qui ferait encore honneur à pas mal d’homme.
Puis je remonte le long du corps de mon jeune amant épuisé et l'embrasse à pleine bouche, lui faisant connaitre le goût de ses propres sécrétions. Sur sa langue je découvre le parfum suave de ma cyprine.
Arthur est littéralement vidé. Je suis sûre que je pourrais encore extraire de ses burnes un dernier baroud d’honneur mais il faut que je pense à sa santé. Ma petite chatte réclame encore son gros bâton, mais elle devra attendre... Enfin j’espère que cette journée ne sera pas la seule et unique fois où il daignera s’occuper de sa tante chérie.
Je le conduis à la douche-froide pour décongestionner son poireau et pouvoir retirer l’anneau. Arthur débande enfin après 1h45 d’érection non-stop. Je l’invite à partager mon repas pour reprendre des forces et l’embrasse sur les deux joues sur le pas de la porte quand on va se quitter. Il me susurre à l’oreille :-Tu es merveilleuse, tata. Je pourrai revenir ? J’ai déjà envie de toi…
Il me prend la main et la pose sur son jean que déforme une énorme bosse… J’ai réveillé un « monstre » !!!
Ma sœur m’a invitée pour me remercier.
-Je ne sais pas comment tu t’y es pris mais tu as transformé mon introverti de fils en un beau jeune homme sûr de lui. Lui qui n’osait pas se montrer dévêtu n’hésite plus maintenant à sortir de la salle de bain en slip pour aller prendre une canette dans le frigo. Mais maintenant, il m’inquiète dans l’autre sens. Je vois bien quand il m’observe ainsi vêtu la déformation exponentielle de son slip, mais jusqu’à maintenant il reprenait ses esprits et s’en allait. Sauf qu’hier il s’est collé derrière moi quand j’étais devant l’évier pour remplir un verre d’eau. Une énorme barre de fer s’appuyait dans le sillon de mes fesses…
Une suite ? Laquelle voudriez-vous ?
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
La tante cède aux avances de son neveu et chevauche « l’étalon blanc ».
Le sol est maintenant jonché de traces blanchâtres sur plus de deux mètres. Je suis vidé, ma bite me fait mal mais est toujours aussi congestionnée, toujours aussi ferme, toujours aussi grosse.
-C’était encore plus impressionnant que je croyais, s’exclame Nadège, tu as battu tous les records.
(Si vous voulez voir ce genre d’éjaculation, tapez : Belles éjaculations au ralenti sur votre clavier).
Maintenant que je t’ai dégorgé le poireau du surplus, je vais pouvoir en profiter comme il me plaira.
Elle se déshabille enfin et je la vois entièrement nue pour la première fois. Malgré son âge, sa poitrine est orgueilleuse, son bassin bien en chair. Son pubis entièrement épilé est très proéminent, les lèvres de son pubis pendantes, et déjà suintantes de cyprine. Elle monte sur mes cuisses, repousse mon torse en arrière, se soulève et frotte sa chatte sur ma verge turgescente.
- Tu bandes toujours ! Tu veux que je m’en occupe ?
Suite :Je la laisse faire, je la sens bouger faisant avancer mon membre au-devant de sa chatte, je bande à mort. Elle arrête et avance son ventre, se saisissant de mon pénis, le positionne sur sa grotte et hop !
Mon chibre trace sa route dans cet antre, comme une proie avalée par un boa constrictor qui, à chaque contraction s’enfile de plus en plus loin. Elle me broie carrément la bite avec ses muscles vaginaux. Je n’ai jamais connu ça, putain que c’est bon !
<Nadège>-Aaaaahhhhh !!! Ça faisait si longtemps que j’attendais ce moment. Plus de quatre mois, 129 jours pour être exact que je ne pense qu’à ça, à être prise par mon neveu, ne plus être la sexologue accompagnant les progrès de mon patient mais la femelle montée par le jeune mâle.
Son énorme rouleau de chair bandé au maximum frotte doucement contre la fente de mon sexe. De ma main, je dirige le chibre monstrueux à l'intérieur de mon vagin qui est maintenant abondamment lubrifié. Je commence un mouvement, faisant disparaître son gland dans mon coquillage en essayant de le faire pénétrer un peu plus profondément. Je me cambre à sa rencontre, il me pénètre jusqu'aux petites lèvres, je stoppe la progression, me retire lentement puis recommence. Mon vagin aspire cette colonne de chair dantesque. Ma matrice n’en voit pas le bout, je descends doucement sur ce sexe longiligne d’une dureté incroyable due à l’anneau, cette obélisque qui me pénètre ne va jamais rentrer en entier… Je baisse les yeux vers le pénis de mon neveu. Je regarde cet énorme sexe qui disparait dans mon vagin, me demandant, vu la grosseur, si je vais pouvoir le recevoir au plus profond de ma chatte. Mais je le désire si ardemment…Je me retire trop et son sexe se redresse comme un ressort et vient frapper sur son bas-ventre.
Je grogne de frustration, je me cambre à nouveau pour rechercher le contact de son boutefeu, frotte ma chatte tout le long de son énorme gland, fait deux aller/retour puis me pénètre de nouveau jusqu’aux petites lèvres. Arthur s’exaspère, gémit d'impatience, n'attendant qu'une chose, que je continue ma pénétration, que je replonge sur sa bite un peu plus profondément. Malgré une abondante lubrification, j’ai quand même un certain mal à faire entrer son vit. Ne voulant pas forcer, je prends conscience de la grosseur de son appendice, suspends le mouvement pour que mon vagin en prenne la pleine valeur.
Mon ventre s'embrase, ma cyprine coule à flot, j'écarte un peu plus les cuisses, faisant jouer mes muscles internes pour pouvoir l'accepter en moi. Son sexe est vraiment peu commun, mais j'adore la sensation qu’il me procure. Je me tortille pour accélérer la pénétration. Mon vagin est complètement déformé par ce sexe massif.
Je reprends ma progression, en poussant doucement. Centimètre par centimètre ma gaine de velours absorbe la bête, puis se transforme en gant de fer. Je fais travailler mes muscles intimes pour compresser sa flamberge par à-coups, comme une ceinture de musculation électrique qui déclenche des contractions musculaires. Je lui broie littéralement la bite.
Ses poils pubiens se retrouvent enfin plaqués contre mon pubis soigneusement épilé. Son sexe en entier est à l'intérieur de ma chatte.
Il se tord de plaisir, serrant les mâchoires à s’en casser les dents puis rejette la tête en arrière, la bouche grande ouverte comme s’il manquait d’air. Je me retire complètement, puis sans scrupule m’empale d'un coup sec sur son monstrueux tuyau sur toute sa longueur, hurlant de plaisir. Arthur met ses mains sur mes hanches et commence alors une série de va et vient, ponctuée de « han ». Je l'accompagne, me donnant complètement à lui. Je voudrais que ce manche de pioche qui entre tout juste dans ma chatte aille encore plus loin au fond de mon utérus.
Il accélère la cadence, prenant les commandes. Je ne suis plus qu’un fourreau à bite défoncé par un énorme marteau pilon qui façonne le métal encore et encore. J’ai les yeux grands ouverts, fixant mon neveu, jetant parfois un rapide coup d'œil sur cette tige pharaonique qui m'emplit encore et encore. Il ne me faut pas une éternité pour sentir monter le plaisir, un plaisir lui aussi énorme, une fois, deux fois. J’ai fait d’Arthur une vraie machine qui continue un va et vient incessant.
Tout à coup je ressens les soubresauts de l'éjaculation de mon neveu, je sens le sperme chaud couler en moi et le grognement de bête de son énorme jouissance résonne dans la chambre. Un nouvel orgasme me transperce, mes muscles se contractent comme jamais, enserrant ce sexe monstrueux qui me donne tant de plaisir, comme pour en extraire jusqu’à la dernière goutte de sa divine semence…Je suis complètement vidée par cette chevauchée fantastique. Quand je me retire, expulsant l’intrus, mes muscles intimes continuent leurs contractions et éjecte un mélange de foutre et de cyprine qui vont se joindre aux traces précédentes sur le sol.
La pression sanguine due à sa deuxième éjaculation a encore accru la pression dans sa verge, toujours contrariée par l’anneau qui doit être un peu trop serré. Arthur, malgré deux services, a toujours le sabre au clair, une trique de tous les diables.
-Tata, j’ai jamais connu ça avec ces petites putes qui ne veulent que « se faire Dumbo ». C’était incroyable, si fort… Mais putain que j’ai mal à la bite, l’anneau me scie la circulation, regarde… c’est plus une pine que j’ai, c’est un vrai démonte-pneu.
Effectivement, sa verge n’a pas perdu un millimètre, ça serait même le contraire.
Allongé sur lui, les deux mains plaquées sur ses pectoraux, je colle ma bouche sur la sienne, ma langue se frayant un passage entre ses lèvres. Il résiste un instant, savourant encore son énorme jouissance, puis cède et desserre les dents. Ma langue s'enfourne en terrain conquis dans sa cavité buccale, il me rend ce baiser quasiment incestueux, nos langues mélangeant nos salives. Je reprends de nouveau la branle de ce sexe hallucinant.
Mais Arthur veut autre chose. Il me repousse pour se mettre tête-bêche, prend ma tête par les cheveux pour l’amener à hauteur de son bas-ventre et enfile sa queue entre mes lèvres. Ça me fait un peu peur car il pousse un peu trop loin, me baisant littéralement la bouche. Il me rend la pareille, comme hypnotisé par la vision si rapprochée de ma chatte, il s'approche timidement et pose un léger baiser sur mon pubis imberbe. Je recrache son dard pour l’encourager :- Fais mieux que ça, bordel ! N'hésite-pas à y mettre ta langue comme notre baiser de tout à l’heure!
Je sens déjà ma mouille abondante commencer à couler de ma fente tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et dépose plusieurs baisers sur mes lèvres intimes puis y insinue la pointe de sa langue. Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe et ce contact m'électrise. Sa langue glisse entre mes lèvres intimes et remonte vers mon clitoris dressé fièrement comme un petit sexe qu''il décapuchonne et essaie d’aspirer avec ses lèvres. Sa langue chaude et humide me provoque une décharge de plaisir inattendue.
- C'est trop bon, continue...
Le petit jeune timide à ne pas pouvoir réussir à bander d’il y a quelques mois n’existe plus.
Voyant que je perds le contrôle, suite aux sensations qu'il me provoque, il en profite et replante sa queue dans ma bouche avec l’assurance du « Mâle dominateur » et imprime un mouvement d'avant en arrière à ma tête. De son coté, il fouille les moindres recoins de mon sexe avec ses jeux de langue, s’aidant de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je bouge mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de cette bouche et de ses doigts investigateurs, ne tardant pas à sentir la jouissance croître jusqu'à exploser littéralement. J’en deviens folle et je plaque la tête d’Arthur sur mon pubis pour qu'il continue pendant que mon corps est secoué de spasmes irrépressibles de plaisir. Mais dans un 69, il y a deux chiffres. Je prends une position plus confortable pour continuer ma fellation après l’avoir remercié :- On ne m'avait jamais fait jouir aussi fort avec la langue. A moi de te remercier !
Je me jette à corps perdu, si je puis dire, sur l’objet de ma gourmandise. Je passe ma main le long de cette hampe chaude et puissante que je saisis enfin et branle avec amour. Arthur ferme les yeux et gémit de plaisir. Ma petite main de femme n'arrive pas à entourer entièrement de mes doigts son engin au mieux de sa forme. La verge d’Arthur a une longueur que je qualifierais de « confortable », mais pour sa grosseur incroyable, ce terme est loin de convenir. « À ne pas mettre entre toutes les mains, ou ailleurs… »Mes mâchoires deviennent douloureuses car il a repris ma tête à deux mains. Mais si ce n’était que ça ! Il pousse si loin son sexe, qu’il passe le fond de ma gorge et va obstruer ma trachée. Je dois le repousser avec force pour pouvoir respirer de temps en temps. Je dois utiliser toute ma science de femme et de professionnelle du sexe pour arriver après un temps infini à tirer de ce Mâle en rut un troisième tribu, moins copieux, moins puissant que les deux premiers, mais qui ferait encore honneur à pas mal d’homme.
Puis je remonte le long du corps de mon jeune amant épuisé et l'embrasse à pleine bouche, lui faisant connaitre le goût de ses propres sécrétions. Sur sa langue je découvre le parfum suave de ma cyprine.
Arthur est littéralement vidé. Je suis sûre que je pourrais encore extraire de ses burnes un dernier baroud d’honneur mais il faut que je pense à sa santé. Ma petite chatte réclame encore son gros bâton, mais elle devra attendre... Enfin j’espère que cette journée ne sera pas la seule et unique fois où il daignera s’occuper de sa tante chérie.
Je le conduis à la douche-froide pour décongestionner son poireau et pouvoir retirer l’anneau. Arthur débande enfin après 1h45 d’érection non-stop. Je l’invite à partager mon repas pour reprendre des forces et l’embrasse sur les deux joues sur le pas de la porte quand on va se quitter. Il me susurre à l’oreille :-Tu es merveilleuse, tata. Je pourrai revenir ? J’ai déjà envie de toi…
Il me prend la main et la pose sur son jean que déforme une énorme bosse… J’ai réveillé un « monstre » !!!
Ma sœur m’a invitée pour me remercier.
-Je ne sais pas comment tu t’y es pris mais tu as transformé mon introverti de fils en un beau jeune homme sûr de lui. Lui qui n’osait pas se montrer dévêtu n’hésite plus maintenant à sortir de la salle de bain en slip pour aller prendre une canette dans le frigo. Mais maintenant, il m’inquiète dans l’autre sens. Je vois bien quand il m’observe ainsi vêtu la déformation exponentielle de son slip, mais jusqu’à maintenant il reprenait ses esprits et s’en allait. Sauf qu’hier il s’est collé derrière moi quand j’étais devant l’évier pour remplir un verre d’eau. Une énorme barre de fer s’appuyait dans le sillon de mes fesses…
Une suite ? Laquelle voudriez-vous ?
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je veux bien essayer
J'arrête pas de bander
La mère va y passer, c'est sûr
Putain que c'est chaud, la suite...
comme beaucoup de mes lectrices
Putain que je voudrais connaître une telle bite !