Compelled au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Compelled au Château
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°423 –
Sans bouger le nez de sa gamelle, compelled MDE cambra un peu plus encore les reins, pour s’offrir et donner son trou de salope au Majordome. Il s’attendait à être enculé d’un trait, il n’en fut rien. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi un des doigts de Walter glissait sur sa raie anale glabre. En fait, le Majordome récupérait la divine semence de Monsieur le Marquis qui s’écoulait de son cul et s’échappait d’entre ses fesses. Ce doigt imprégné de sperme glissa dans les entrailles de compelled MDE.
- Il serait bien salope que ton cul retienne ce qu’on lui donne, surtout lorsqu’il s’agit de la plus précieuse et noble des liqueurs intimes de ce Château. Comment oses-tu laisser échapper la merveilleuse semence du Maître ?
compelled MDE ne pipa mot. Il savait qu’il risquait gros, il ne voulait pas aggraver son cas. Mais ni Le Maître, ni Walter n’en restèrent là. Monsieur le Marquis écrasa le visage de son minable chien sur le sol avec son pied droit et lui claqua à plusieurs reprises le cul. compelled ne bougea pas, se contenta de retenir plaintes et gémissements. Walter reprit, à l’attention du Maître :
- Je crois que cela mérite une sévère sanction, ne pensez-vous pas Monsieur le Marquis ?
- Oui tu as raison mon cher Walter, ce soir, au moment que je jugerai opportun, cette salope recevra le fouet.
Le fouet ! Rien que le mot terrorisait compelled MDE. Jamais, il n’avait subi l’assaut d’une lanière. Combien de coups allait-il recevoir ? Quand allait-on le lui donner ? Laisser dans l’ignorance l’esclave était bien une volonté délibérée du Maître. Ne voulait-il pas, en plus de la future douleur physique, lui imposer une forme de douleur mentale : L’angoisse de l’attente ? Oui, de l’anxiété caractérisée par un sentiment d’appréhension, de malaise voire de terreur face à la sanction décidée.
Le sexe du Majordome labourait ses entrailles, il avait enfilé le slave sans la moindre prévention, utilisant ce cul, comme on utilise un simple objet. A genoux derrière lui, il enfournait son membre en faisant claquer ses testicules contre les fesses de l’esclave, le retirait de temps à autre pour mieux l’enfourner et mieux le fourrer. Le Maître, toujours son pied sur le visage de compelled MDE regardait avec attention et satisfaction son Majordome s’activer dans cette chienne devenue docile et soumise, allant même à le stimuler part quelques mots :
- Enfile-le bien mon cher Walter, je veux te voir lui ramoner son petit cul de salope.
Est-ce ces quelques mots qui produire un effet immédiat ? Walter se raidit, se tendit et éjacula par spasmes successifs. Il se retira peu après, se redressa et enfila un plug dans le cul de compelled MDE en lui lançant :
- Voilà qui t’aidera à conserver en toi nos présents intimes !
- Merci Maître, merci Monsieur Walter, se surprit à dire compelled MDE alors que rien ne lui avait été exigé.
Mais ces remerciements spontanés étaient sincères, malgré ces deux sodomies imposées, malgré l’humiliation vécue, malgré l’absence de tout plaisir, compelled MDE s’était sentit vraiment à sa place, rien et uniquement à sa place et c’est bien ainsi qu’il souhaitait dorénavant vivre. Un bien-être de bonheur l’irradiait en lui-même, jamais il n’avait jusque-là, ressenti un tel sentiment d’épanouissement, comme si jusqu’à ce jour cette appartenance à un Maître lui manquait sans qu’il le sache vraiment auparavant. Walter l’attrapa par son collier, le fit redresser, lui ôta son bandeau et l’emmena en le tenant toujours par le collier près de Marie, dans les cuisines du Château. Fébrile, les jambes encore flageolantes, il eut du mal à tenir debout ! La sévère cuisinière le dévisagea de la tête au pied avec un regard autoritaire, lui, baissa le regard sentant la forte personnalité de l’impressionnante femme qui relevait la tête hautainement.
- Monsieur le Marquis pense que tu dois avoir besoin de main d’œuvre, fusse-t-elle peu qualifiée.
- Oui, il y a du boulot ici, ce bâtard ne sera pas de trop. Je vais l’occuper à faire les pluches, pour le diner, tu n’as qu’à l’installer dans la souillarde.
Marie posa une lourde casserole remplie d’eau sur une immense plaque de cuisson industrielle et suivit le Majordome. La pièce un peu en contre-bas était vaste, éclairée uniquement par des néons blafards. Aucune ouverture vers l’extérieur, des murs en pierre de taille apparente, un plafond à la française avec des poutres imposantes en chêne, donnaient un aspect très médiéval à cette arrière cuisine, mais à contrario, du mobilier industriel contemporain s’intégrant parfaitement dans cette grande pièce : une grande table en inox brossé, deux grands réfrigérateurs, un congélateur, trois éviers, deux gazinières, une plaque à induction, une multitude d’étagères parfaitement rangées sur lesquelles étaient déposés toute une batterie de cuisine. Il y avait aussi une immense paillasse en inox devant laquelle se trouvait une femelle nue, avec juste un collier autour du cou, elle épluchait des pommes de terre. Elle se figea, comme paniquée, dès qu’elle vit Walter et Marie approcher.
- Travaille la chienne ! lui ordonna Marie
Alors elle se remit à la tâche, en baissant ostensiblement la tête en guise de parfaite soumission. compelled MDE fut placé à côté d’elle sur sa gauche, Marie lui tendit un économe et lui ordonna d’éplucher les carottes se trouvant dans un grand panier d’osier. A peine avait-il commencé le travail ordonné, que Marie s’approcha des deux esclaves et caressa leur croupe, laissant ses mains glisser sur les fesses et les raies anales des deux soumis.
- Vos culs semblent bien encombrés et occupés, mais bon, je vais bien trouver d’autres petits plaisirs à vous donner, approchez-vous l’un de l’autre, l’un tout contre l’autre.
La cuisinière avait attrapé un cordage, elle fit trois tours de cette corde autour du haut de la cuisse droite de compelled MDE, la noua fermement puis avec l’autre extrémité de la corde, lia de la même manière la cuisse gauche de la femelle, afin que les cuisses des deux esclaves soient jointes l’une contre l’autre. Elle prit ensuite une seconde corde et la fixa autour de la cheville droite de compelled MDE et gauche de celle qui répondait au nom de soumise Vanessa MDE, puis une troisième qu’elle lia de la même manière autour des poignets des deux esclaves. Pour finir cette contrainte, elle attrapa dans sa poche une paire de pinces japonaises en fixa une sur le mamelon gauche de soumise Vanessa MDE et l’autre sur le téton droit de compelled MDE. Les deux esclaves grimacèrent et geignirent tous les deux, tant les pinces étaient mordantes et douloureuses. Compelled MDE et soumise Vanessa MDE, collés l’un à l’autre, eurent bien du mal à coordonner leurs mouvements, surtout que leurs avants bras liés passaient au-dessus de la chainette reliant leurs tétons. Ils devaient de contrôler chacun de leur fait et geste tout en s’activant évidemment à leur tâche ! Bien vicieuse et difficile situation qui plaisait à la cuisinière.
Elle sortit de la pièce en riant et en annonçant à la cantonade que Monsieur le Marquis d’Evans avait maintenant deux salopes siamoises… La corvée de pluches terminée, les deux esclaves durent rejoindre non sans mal, la cuisine. Il fallait absolument qu’ils coordonnent leurs mouvements, leurs pas, le plus dur fut pour eux de monter les quelques marchent, ils y arrivèrent non sans mal. Ils plongèrent les pommes de terre et carottes dans la grande casserole bouillonnante y ajoutèrent des beaux morceaux de viande de bœuf et firent cuire le tout dans une eau frémissante. Le repas du soir pour les esclaves pouvait enfin mijoter, la cuisinière sembla satisfaite. Elle s’approcha des deux esclaves, attrapa la nouille de l’un, glissa un doigt dans la fente de l’autre en leur disant :
- C’est bien mes chiennes, vous avez travaillé correctement, ceci vous vaut une petite récompense !
Marie s’agenouilla devant les deux esclaves et les masturba en même temps, tout en leur interdisant l’orgasme. compelled MDE n’en revenait pas, se surprenait même, lui si pudique jusqu’ici, lui ayant toujours eu des craintes et des scrupules résultant des préceptes moraux, culturels et religieux enseignés, lui qui ne faisait l’amour que dans une chambre obscure, ici, il s’affichait sans honte ni pudeur, la queue raide et branlée en pleine lumière. Ses tabous et mythes tombaient, ses limites s’éloignaient, ses interdits s’évanouissaient, bien belle et étrange image ! Sans doute la construction d’une déliquescence certaine, décadente sans aucun doute, avec une sexualité totalement transgressive : Il comprenait enfin que son épanouissement personnel ne pouvait qu’être en ce Château ! Plus de valeurs étroites liées à la soi-disant dignité et aux jugements écrasants, compelled MDE lâchait prise, doucement mais surement… Marie s’arrêta enfin, il était temps, compelled MDE à bout de souffle, au bord de l’explosion jouissive, allait demander grâce, ouf ! pensait-il.
- Tu as une bonne queue chienne, j’espère que tu sais t’en servir, j’aurai l’occasion prochainement de l’essayer !
L’esclave allait dire ‘’Merci Madame Marie’’ mais il se souvint qu’il n’était pas autorisé à parler sans qu’on ne le lui ordonna... Alors il hocha simplement la tête en signe de remerciements. Marie remarqua ce signe du visage et elle eut un subit moment d’affection, ce qui était assez rare chez cette perverse et autoritaire femme, elle caressa doucement le visage du chien-esclave avec ce que ressemblait à de la tendresse… Puis au même moment la cuisinière détacha les pinces japonaises reliant les deux esclaves par les tétons. Tous deux poussèrent des geignements sourds, qui redoublèrent lorsque la cuisinière pressa et malmena les mamelons meurtris… Ils furent détachés et tenus en laisse, furent conduits à quatre pattes dans des escaliers étroits de pierres froides et en colimaçon. Une descente dangereuse vue la pente assez abrupte des escaliers qui les menèrent jusqu’à une des nombreuses caves du Château, une vraie cave voutée, en terre battue, avec des piliers énormes soutenant l’édifice. A l’entrée, une lourde porte en bois massif arrondie vers le haut et cloutée comme une porte de presbytère, était restée entre ouverte. compelled MDE eut bien du mal à descendre les marches en pierre en cette position imposée à quatre pattes, Marie d’ailleurs lui donna quelques coups de cravache sur son fessier pour le faire avancer plus vite, tout en faisant attention de ne pas le faire déséquilibrer. La cave n’était autre que le réfectoire pour les slaves. Des anneaux épais de bronze étaient scellés aux murs. Chaque anneau avait une longue chaine lourde aux maillons épais. Ils y avait aussi des gamelles qui étaient entreposées dans une mangeoire de bois à même le sol. compelled comprit bien vite qu’il mangerait encore ce soir comme un chien. Un garde était là, il était grand et musclé, un visage presque carré comme s’il avait été taillé au burin, son pantalon était baissé car une esclave nue et à genoux lui suçait sa grosse bite.
- Hector, je te confie ces deux-là, je bas le rappel et regroupe une petite partie du Cheptel, juste les esclaves affectés aux taches du jour des cuisines et annexe, le repas va être près. Lança Marie ! …
(A suivre…)
Sans bouger le nez de sa gamelle, compelled MDE cambra un peu plus encore les reins, pour s’offrir et donner son trou de salope au Majordome. Il s’attendait à être enculé d’un trait, il n’en fut rien. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi un des doigts de Walter glissait sur sa raie anale glabre. En fait, le Majordome récupérait la divine semence de Monsieur le Marquis qui s’écoulait de son cul et s’échappait d’entre ses fesses. Ce doigt imprégné de sperme glissa dans les entrailles de compelled MDE.
- Il serait bien salope que ton cul retienne ce qu’on lui donne, surtout lorsqu’il s’agit de la plus précieuse et noble des liqueurs intimes de ce Château. Comment oses-tu laisser échapper la merveilleuse semence du Maître ?
compelled MDE ne pipa mot. Il savait qu’il risquait gros, il ne voulait pas aggraver son cas. Mais ni Le Maître, ni Walter n’en restèrent là. Monsieur le Marquis écrasa le visage de son minable chien sur le sol avec son pied droit et lui claqua à plusieurs reprises le cul. compelled ne bougea pas, se contenta de retenir plaintes et gémissements. Walter reprit, à l’attention du Maître :
- Je crois que cela mérite une sévère sanction, ne pensez-vous pas Monsieur le Marquis ?
- Oui tu as raison mon cher Walter, ce soir, au moment que je jugerai opportun, cette salope recevra le fouet.
Le fouet ! Rien que le mot terrorisait compelled MDE. Jamais, il n’avait subi l’assaut d’une lanière. Combien de coups allait-il recevoir ? Quand allait-on le lui donner ? Laisser dans l’ignorance l’esclave était bien une volonté délibérée du Maître. Ne voulait-il pas, en plus de la future douleur physique, lui imposer une forme de douleur mentale : L’angoisse de l’attente ? Oui, de l’anxiété caractérisée par un sentiment d’appréhension, de malaise voire de terreur face à la sanction décidée.
Le sexe du Majordome labourait ses entrailles, il avait enfilé le slave sans la moindre prévention, utilisant ce cul, comme on utilise un simple objet. A genoux derrière lui, il enfournait son membre en faisant claquer ses testicules contre les fesses de l’esclave, le retirait de temps à autre pour mieux l’enfourner et mieux le fourrer. Le Maître, toujours son pied sur le visage de compelled MDE regardait avec attention et satisfaction son Majordome s’activer dans cette chienne devenue docile et soumise, allant même à le stimuler part quelques mots :
- Enfile-le bien mon cher Walter, je veux te voir lui ramoner son petit cul de salope.
Est-ce ces quelques mots qui produire un effet immédiat ? Walter se raidit, se tendit et éjacula par spasmes successifs. Il se retira peu après, se redressa et enfila un plug dans le cul de compelled MDE en lui lançant :
- Voilà qui t’aidera à conserver en toi nos présents intimes !
- Merci Maître, merci Monsieur Walter, se surprit à dire compelled MDE alors que rien ne lui avait été exigé.
Mais ces remerciements spontanés étaient sincères, malgré ces deux sodomies imposées, malgré l’humiliation vécue, malgré l’absence de tout plaisir, compelled MDE s’était sentit vraiment à sa place, rien et uniquement à sa place et c’est bien ainsi qu’il souhaitait dorénavant vivre. Un bien-être de bonheur l’irradiait en lui-même, jamais il n’avait jusque-là, ressenti un tel sentiment d’épanouissement, comme si jusqu’à ce jour cette appartenance à un Maître lui manquait sans qu’il le sache vraiment auparavant. Walter l’attrapa par son collier, le fit redresser, lui ôta son bandeau et l’emmena en le tenant toujours par le collier près de Marie, dans les cuisines du Château. Fébrile, les jambes encore flageolantes, il eut du mal à tenir debout ! La sévère cuisinière le dévisagea de la tête au pied avec un regard autoritaire, lui, baissa le regard sentant la forte personnalité de l’impressionnante femme qui relevait la tête hautainement.
- Monsieur le Marquis pense que tu dois avoir besoin de main d’œuvre, fusse-t-elle peu qualifiée.
- Oui, il y a du boulot ici, ce bâtard ne sera pas de trop. Je vais l’occuper à faire les pluches, pour le diner, tu n’as qu’à l’installer dans la souillarde.
Marie posa une lourde casserole remplie d’eau sur une immense plaque de cuisson industrielle et suivit le Majordome. La pièce un peu en contre-bas était vaste, éclairée uniquement par des néons blafards. Aucune ouverture vers l’extérieur, des murs en pierre de taille apparente, un plafond à la française avec des poutres imposantes en chêne, donnaient un aspect très médiéval à cette arrière cuisine, mais à contrario, du mobilier industriel contemporain s’intégrant parfaitement dans cette grande pièce : une grande table en inox brossé, deux grands réfrigérateurs, un congélateur, trois éviers, deux gazinières, une plaque à induction, une multitude d’étagères parfaitement rangées sur lesquelles étaient déposés toute une batterie de cuisine. Il y avait aussi une immense paillasse en inox devant laquelle se trouvait une femelle nue, avec juste un collier autour du cou, elle épluchait des pommes de terre. Elle se figea, comme paniquée, dès qu’elle vit Walter et Marie approcher.
- Travaille la chienne ! lui ordonna Marie
Alors elle se remit à la tâche, en baissant ostensiblement la tête en guise de parfaite soumission. compelled MDE fut placé à côté d’elle sur sa gauche, Marie lui tendit un économe et lui ordonna d’éplucher les carottes se trouvant dans un grand panier d’osier. A peine avait-il commencé le travail ordonné, que Marie s’approcha des deux esclaves et caressa leur croupe, laissant ses mains glisser sur les fesses et les raies anales des deux soumis.
- Vos culs semblent bien encombrés et occupés, mais bon, je vais bien trouver d’autres petits plaisirs à vous donner, approchez-vous l’un de l’autre, l’un tout contre l’autre.
La cuisinière avait attrapé un cordage, elle fit trois tours de cette corde autour du haut de la cuisse droite de compelled MDE, la noua fermement puis avec l’autre extrémité de la corde, lia de la même manière la cuisse gauche de la femelle, afin que les cuisses des deux esclaves soient jointes l’une contre l’autre. Elle prit ensuite une seconde corde et la fixa autour de la cheville droite de compelled MDE et gauche de celle qui répondait au nom de soumise Vanessa MDE, puis une troisième qu’elle lia de la même manière autour des poignets des deux esclaves. Pour finir cette contrainte, elle attrapa dans sa poche une paire de pinces japonaises en fixa une sur le mamelon gauche de soumise Vanessa MDE et l’autre sur le téton droit de compelled MDE. Les deux esclaves grimacèrent et geignirent tous les deux, tant les pinces étaient mordantes et douloureuses. Compelled MDE et soumise Vanessa MDE, collés l’un à l’autre, eurent bien du mal à coordonner leurs mouvements, surtout que leurs avants bras liés passaient au-dessus de la chainette reliant leurs tétons. Ils devaient de contrôler chacun de leur fait et geste tout en s’activant évidemment à leur tâche ! Bien vicieuse et difficile situation qui plaisait à la cuisinière.
Elle sortit de la pièce en riant et en annonçant à la cantonade que Monsieur le Marquis d’Evans avait maintenant deux salopes siamoises… La corvée de pluches terminée, les deux esclaves durent rejoindre non sans mal, la cuisine. Il fallait absolument qu’ils coordonnent leurs mouvements, leurs pas, le plus dur fut pour eux de monter les quelques marchent, ils y arrivèrent non sans mal. Ils plongèrent les pommes de terre et carottes dans la grande casserole bouillonnante y ajoutèrent des beaux morceaux de viande de bœuf et firent cuire le tout dans une eau frémissante. Le repas du soir pour les esclaves pouvait enfin mijoter, la cuisinière sembla satisfaite. Elle s’approcha des deux esclaves, attrapa la nouille de l’un, glissa un doigt dans la fente de l’autre en leur disant :
- C’est bien mes chiennes, vous avez travaillé correctement, ceci vous vaut une petite récompense !
Marie s’agenouilla devant les deux esclaves et les masturba en même temps, tout en leur interdisant l’orgasme. compelled MDE n’en revenait pas, se surprenait même, lui si pudique jusqu’ici, lui ayant toujours eu des craintes et des scrupules résultant des préceptes moraux, culturels et religieux enseignés, lui qui ne faisait l’amour que dans une chambre obscure, ici, il s’affichait sans honte ni pudeur, la queue raide et branlée en pleine lumière. Ses tabous et mythes tombaient, ses limites s’éloignaient, ses interdits s’évanouissaient, bien belle et étrange image ! Sans doute la construction d’une déliquescence certaine, décadente sans aucun doute, avec une sexualité totalement transgressive : Il comprenait enfin que son épanouissement personnel ne pouvait qu’être en ce Château ! Plus de valeurs étroites liées à la soi-disant dignité et aux jugements écrasants, compelled MDE lâchait prise, doucement mais surement… Marie s’arrêta enfin, il était temps, compelled MDE à bout de souffle, au bord de l’explosion jouissive, allait demander grâce, ouf ! pensait-il.
- Tu as une bonne queue chienne, j’espère que tu sais t’en servir, j’aurai l’occasion prochainement de l’essayer !
L’esclave allait dire ‘’Merci Madame Marie’’ mais il se souvint qu’il n’était pas autorisé à parler sans qu’on ne le lui ordonna... Alors il hocha simplement la tête en signe de remerciements. Marie remarqua ce signe du visage et elle eut un subit moment d’affection, ce qui était assez rare chez cette perverse et autoritaire femme, elle caressa doucement le visage du chien-esclave avec ce que ressemblait à de la tendresse… Puis au même moment la cuisinière détacha les pinces japonaises reliant les deux esclaves par les tétons. Tous deux poussèrent des geignements sourds, qui redoublèrent lorsque la cuisinière pressa et malmena les mamelons meurtris… Ils furent détachés et tenus en laisse, furent conduits à quatre pattes dans des escaliers étroits de pierres froides et en colimaçon. Une descente dangereuse vue la pente assez abrupte des escaliers qui les menèrent jusqu’à une des nombreuses caves du Château, une vraie cave voutée, en terre battue, avec des piliers énormes soutenant l’édifice. A l’entrée, une lourde porte en bois massif arrondie vers le haut et cloutée comme une porte de presbytère, était restée entre ouverte. compelled MDE eut bien du mal à descendre les marches en pierre en cette position imposée à quatre pattes, Marie d’ailleurs lui donna quelques coups de cravache sur son fessier pour le faire avancer plus vite, tout en faisant attention de ne pas le faire déséquilibrer. La cave n’était autre que le réfectoire pour les slaves. Des anneaux épais de bronze étaient scellés aux murs. Chaque anneau avait une longue chaine lourde aux maillons épais. Ils y avait aussi des gamelles qui étaient entreposées dans une mangeoire de bois à même le sol. compelled comprit bien vite qu’il mangerait encore ce soir comme un chien. Un garde était là, il était grand et musclé, un visage presque carré comme s’il avait été taillé au burin, son pantalon était baissé car une esclave nue et à genoux lui suçait sa grosse bite.
- Hector, je te confie ces deux-là, je bas le rappel et regroupe une petite partie du Cheptel, juste les esclaves affectés aux taches du jour des cuisines et annexe, le repas va être près. Lança Marie ! …
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