Complexe vaincu 8
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Complexe vaincu 8
Je m’incruste, il n’est pas question de m’en aller comme le souhaitait visiblement Joseph. Il ne parle plus de fuite. Une sauterie, quand on voit la composition de l’assemblée, on imagine facilement ce que ça peut être. Joseph aurait aimé que je ne sache rien des activités réelles de sa femme. Il ne peut pas les ignorer et il va y prendre part. Je veux savoir quel rôle mon mari va tenir dans cette assemblée. Une orgie est annoncée par Abel. Abel m’éclaire d’un geste sans équivoque. Il m’envoie une main sous la robe et tâte mes fesses, écarte mon string et envoie son majeur vers mon petit trou, dedans, et l'agite:
-Ton cul sera à moi ce soir, ma poule, il y a trop longtemps que j’en ai envie.
Il donne le ton! Je n’ai plus de doute sur la suite. Les mains baladeuses vont exciter les sens, fouiller les culottes, ouvrir les sexes, introduire les bites et cela finira en coulées de sperme. Deux menteurs m’ont roulée, prise et reprise, j’ai même aimé leurs jeux, leurs bites, leurs combinaisons, j’ai joui, j’ai trahi pour me les garder. Maintenant j’ai honte, on considère que je suis une dévergondée à utiliser comme jouet, un trou à bites, une éponge à sperme.
Dans ce cercle ma réputation est faite, les mâles croient pouvoir me soumettre à leurs envies; mon passé les autorise à user de moi. Reste à savoir si mon mari est arrivé aux mêmes conclusions que Joseph, Abel et les autres. Ma présence en ces lieux est un aveu de mœurs dissolues, je suis une pute à leur disposition. Le geste d’Abel n’a pas d’autre signification. Il agit en maître de mes orifices. Les autres l’imiteront, sauf refus de ma part ou de mon mari. Et encore, serai-je capable de refuser et tiendront-ils compte de mon refus. Le piège m’angoisse, je me jure de ne plus tromper Robert. J'écarte l'intrus et reporte ma résistance à plus tard:
- Patiente, attends l’apéritif. La nuit sera longue.
Je veux retarder ses attaques. Des généralités passe-partout le calment, il retire l’index qui fouille ma chatte. Il sort sa main, hume ses doigts et les prend en bouche.
- Hum… j’adore l’odeur de ton jus. Alors, Joseph, tu sors ton champagne ? Ho! Brigitte nous sommes arrivés.
Brigitte accourt en peignoir de bain, fait la bise aux présents Je reçois la mienne, c’est incroyable, que cherche-t-elle ? Veut-elle m'amadouer, compte-t-elle m'intégrer dans son équipe de désaxés, Robert l'y a-t-il invitée, m'a-t-il piégée pour me punir en m'avilissant encore ?
- Une minute, je suis à vous. Je suis en train de convaincre un ami de rester pour s‘amuser avec nous… Comme sa femme est là, (elle me désigne de l’index), et semble se plaire en notre compagnie, il est sur le point de céder. On n’est jamais trop nombreux pour baiser.
Elle empoigne un paquet de vêtements sur une chaise et sort. Cette fois je la suis et derrière elle j’entre dans la salle de bain. Robert toujours nu, pavillon en berne, ne peut pas m’ignorer et attaque:
-Que fais-tu ici? As-tu été invitée par Brigitte ou Joseph ?
- Non, mais toi, fais-tu partie de cette troupe, es-tu l’invité d’honneur sur le point de céder aux prières de Brigitte ? Monsieur Levertueux, donneur de leçons, voudra-t-il me préciser ses intentions ? Si tu restes, je reste, comme tu te conduiras, je me conduirai.
- Dans ce cas, je rentre à la maison. J'ai réalisé mon souhait, je t'ai ouvert les yeux. A toi d'en tirer la leçon. Mais tu peux fort bien ne pas vouloir comprendre et tu peux surtout espérer élargir le cercle de tes complices sexuels et ne pas me suivre.
Brigitte s’en mêle avec son optimisme évident:
-Allons, jugez sur pièce. Je vous propose d’assister en spectateurs aujourd’hui. Vous êtes deux innocents, voyez et vous déciderez, aujourd’hui ou un autre jour. Mais restez ensemble pour un round d’observation. Robert, fais-moi plaisir, tu me dois bien ça. Tu vas découvrir une vie formidable. Toutes les possibilités vous seront ouvertes. J’ai appris que Simone raffolait des tailles XXXXXL: elle va être servie ici, ce soir, si elle le souhaite. Je reçois les plus beaux spécimens. Je me réserverai la plus discrète et la plus efficace des bites, la tienne mon très cher Robert. As-tu vu, Simone comme il m’a fait jouir? Il faut remettre ça, ma chatte est gourmande. Bon, j’entends les derniers arrivants. Rejoignons-les.
Elle se met le doigt dans l’œil si elle croit m’emprunter aussi facilement mon mari en échange de grands calibres. A moins que Robert…. Pour l’instant il n’est pas glorieux, mais me glisse dans l’oreille
- Ce sont des détraqués et Brigitte est loin d’être frigide, tu l’auras remarqué à ton arrivée.
- J’ai surtout vu que j’étais cocue. Il y a longtemps que ça dure?
- Première et dernière fois aujourd’hui, pour te fournir les preuves que tu réclamais, je le répète.
C’est vrai, j’avais douté de sa parole, je reçois la leçon. Au salon les coupes sont remplies. Dans un coin s’entassent pêle-mêle blouses, jupes, robes, pulls, pantalons. Deux hommes sont arrivés, un beau blond déjà en slip et chaussettes et un grand noir sans complexe, nu à côté d’Abel nu. Tous deux paradent bite en main et se masturbent tranquillement pour comparer leurs morceaux d’anthologie sous les yeux émerveillés des femmes en culotte et soutien-gorge. Ca n’a pas traîné, sous l’impulsion d‘Abel. Les festivités peuvent débuter. Le noir prend le chemin du grand lit avec Denise, fait tomber les derniers tissus, je refuse gentiment à Abel de les imiter avec lui et je m’accroche à Robert. Abel invite la quadragénaire. Robert dit:
- Oh, non, vois comme Abel a abîmé Denise.!
Denise offre le spectacle de ce que je deviendrai si je continue à user de verges inadaptées, trop longues et trop épaisses et parfois peu délicates dans leur chasse à l’orgasme. Avoir une grosse queue raide ne donne pas l’obligation de démolir un vagin, mais hélas le détenteur gonflé d‘orgueil perd le contrôle et abîme ce qu‘il devrait chérir. Je l’ai appris sous Abel. Entre les cuisses de Denise ses petites lèvres pendent lamentables, à travers et sous sa vulve, teintées de violet-noir aux extrémités. C’est affreux, mais ces excroissances disgracieuses ne rebutent pas l’homme noir, lui aussi surdimensionné, dont les mains noires courent sur la peau blanche en direction du sexe déformé.
Il n’hésite pas, son index trouve la faille, écarte les escalopes tombantes et y fraie un passage pour plusieurs doigts. Denise est en main. Moussa la pousse contre le lit, amortit sa chute sur le matelas, la dispose sur le dos. Il a de bonnes habitudes, il ne saute pas sur sa proie comme un sauvage, mais la couvre à l’envers: elle peut s’amuser avec la longue queue noire, la bichonner, lécher et sucer pendant qu’entre ses cuisses la tête du monsieur disparaît. Nous assistons au 69.
Abel s’est placé derrière Angèle, il lui a glissé son bâton entre les jambes et par petits bonds la conduit vers le côté resté libre du matelas. Il courbe la femme, lui fait poser bras et tête sur le lit. Ainsi, debout jambes ouvertes elle attend le bon vouloir de l’homme. Il se déplace, se met de côté et expédie sans ménagement sa main sur le sexe de la quadragénaire croqueuse d’hommes. Nous le voyons introduire plusieurs doigts dans le conduit de la dame. Il la baratte violemment, longuement, avec la ferme intention d’obtenir rapidement un lubrifiant naturel favorable à une pénétration aisée. Je reconnais ses manières. Sous l’impact des doigts du colosse, Angèle glapit, comme je l’ai fait en croyant être la seule capable de le subir. Ce que j’ai été stupide et prétentieuse!
- Allez, dit Abel, Simone vient me la tenir et me guider dans ce joli con.
Brigitte vole à mon secours après avoir vu mon immobilité. Elle tient à me convertir à ses pratiques et épargne momentanément ma pudeur et ma susceptibilité. Elle me sait en colère, ma mine l’éclaire sur mes sentiments. Donc elle se charge de prendre en main le gourdin, elle l’affermit de quelques mouvements de poignet avant d’aider Angèle à présenter au mieux le losange rosâtre de sa chatière. La queue avance, touche et s’enfonce au cri de
-Vas-y, baise-moi. Fais-moi jouir. Ahhh!
Ses deux filles accourent en faisant sautiller leurs seins dénudés pour voir leur mère à l’œuvre, l’une a un poing dans la bouche, l’autre secoue sa main: elles admirent mais plaignent leur mère exemplaire, joignent leurs voix à la complainte bien naturelle de la défoncée. Baiser et devant un public admiratif donne de l’énergie à l’assaillant. Abel joue au costaud, au grand défricheur, au mâle dominateur, au vainqueur des femelles soumises.
- Regardez bien, les filles, voyez ma lance percer son con, voyez la ressortir couverte du jus de votre mère. Inspirez-vous de son exemple, générosité, courage, endurance. Apprenez, donzelles, votre tour viendra.
Mais le beau blond et Gino approchent. Gino désigne sa quéquette tendue et veut me proposer de l’accompagner. Robert observe le jeu de séduction et mes réactions en silence. Je remercie le tentateur. Il ne perd pas de temps avec moi et attrape la poitrine de la jeune Malou immédiatement consentante. Le blond saisit Gigi par un bras, lui insinue un doigt dans la raie des fesses et ils suivent Gino en direction du salon. Brigitte est passée sous Angèle et s’emploie à titiller le clitoris d’Angèle et à presser les couilles d’Abel. Ainsi sollicité l’important s’active en longues pénétrations et m’adresse un clin d’œil pour attirer mon attention sur les gémissements en ah ou euh de sa suppliciée volontaire et il m’interpelle :
-Simone, veux-tu la remplacer? Viens. Robert, c’est jeudi, jour de liberté, amène-la ici et écoute la jouir.
La main de Robert se crispe sur mon bras, me fait mal, mais me réjouit. Il me garde.
Passe Joseph désœuvré, sans femme. Il n’ose plus me regarder, encore moins m’inviter. Il attend une proie. Seule est disponible sa propre épouse trop occupée à replacer Abel en vagin lorsqu’il sort trop de la moule éclatée d’Angèle. Brigitte sait lui rendre sa raideur en quelques coups de main ou en recevant son gland dans sa bouche distendue avant de le replacer devant l’ouverture en feu.
Il y a du nouveau sur le lit. Moussa appelle Denise, lui fait signe de venir s’embrocher sur son pieu dressé droit. Avec une facilité déconcertante Denise s’accroupit et se laisse descendre le long de l’énorme tringle noire enrobée de salive. Elle ne crie pas, souffle à peine, s’installe et commence un lent mouvement à deux temps de remontée puis de retour sur l’abdomen. Moussa rit de toutes ses dents, réclame un baiser. Denise se penche sans cesser son va-et-vient, mais nous apercevons l’écartement de ses lèvres autour de la trique qui dilate son vagin, c’est une exposition incroyable de chairs à vif.
Joseph se frotte les mains, attend que l’accouplement émousse les énergies. Je connais sa spécialité et l’anus épanoui de Denise est un appel à la sodomie : il monte, pointe et envahit ce trou béant. C’est dans cette position que Robert m’a trouvée. Je n’ose plus bouger, glacée de honte à ce souvenir. En parallèle Abel s’est couché le long du trio, Brigitte a aidé Angèle à s’asseoir sur le pieu et à l’engloutir. Et Angèle imite Denise. Joseph change de monture et encule la mère de famille. Il va passer régulièrement d’un fondement à l’autre et s’amuse à les tourmenter alors qu’elles endurent les étirements de leur vagin défoncé par les manches monumentaux.
- Alors, n’est-ce pas formidable ? Si on allait à trois dans une autre chambre ? nous propose Brigitte, toujours décidée à me piquer mon homme..
Je ne réponds pas. Robert prétexte qu’il veut encore observer. Brigitte passe dans le salon. J’y jette un œil. Les deux gaillards sont courbés sur les gazelles agenouillées et leur tripotent les seins ou les fesses pendant qu’elles taillent des pipes avec habileté. Jeunes mais pas vraiment débutantes. Les attouchements insistants des deux hommes sur leurs parties génitales leur plaisent et augmentent la voracité de leur bouche remplie d’un vit en pleine expansion. Et tout à coup de tous côtés j’entends des cris,
- Oui, remplissez-moi, crie Denise soumise au double assaut de Moussa et de Joseph.
Elle ne bouge plus et annonce chaque jet contre son utérus en émettant un chant de satisfaction syncopé :
- Vas-y Abel, crache, je te sens. Reste au fond.
Angèle braille son plaisir, c‘est impressionnant et son baiseur bombe le torse, fier de déclencher pareille clameur.
Dans l’autre pièce, les deux hommes inondent les visages des gamines d’Angèle. Le foutre coule à flot sur les visages, colle dans les cheveux, dégouline au menton et atterrit sur les nichons tout roses d‘avoir été chahutés. Brigitte ordonne un changement de partenaire.
- Simone, tu peux choisir qui tu veux...priorité aux nouveaux membres. Ne t'inquiète pas, j'occuperai ton Robert.
- Mon choix est fait, ma chère amie! Viens Robert, allons nous aimer à la maison.
Il prend ma main. Enfin!
-Ton cul sera à moi ce soir, ma poule, il y a trop longtemps que j’en ai envie.
Il donne le ton! Je n’ai plus de doute sur la suite. Les mains baladeuses vont exciter les sens, fouiller les culottes, ouvrir les sexes, introduire les bites et cela finira en coulées de sperme. Deux menteurs m’ont roulée, prise et reprise, j’ai même aimé leurs jeux, leurs bites, leurs combinaisons, j’ai joui, j’ai trahi pour me les garder. Maintenant j’ai honte, on considère que je suis une dévergondée à utiliser comme jouet, un trou à bites, une éponge à sperme.
Dans ce cercle ma réputation est faite, les mâles croient pouvoir me soumettre à leurs envies; mon passé les autorise à user de moi. Reste à savoir si mon mari est arrivé aux mêmes conclusions que Joseph, Abel et les autres. Ma présence en ces lieux est un aveu de mœurs dissolues, je suis une pute à leur disposition. Le geste d’Abel n’a pas d’autre signification. Il agit en maître de mes orifices. Les autres l’imiteront, sauf refus de ma part ou de mon mari. Et encore, serai-je capable de refuser et tiendront-ils compte de mon refus. Le piège m’angoisse, je me jure de ne plus tromper Robert. J'écarte l'intrus et reporte ma résistance à plus tard:
- Patiente, attends l’apéritif. La nuit sera longue.
Je veux retarder ses attaques. Des généralités passe-partout le calment, il retire l’index qui fouille ma chatte. Il sort sa main, hume ses doigts et les prend en bouche.
- Hum… j’adore l’odeur de ton jus. Alors, Joseph, tu sors ton champagne ? Ho! Brigitte nous sommes arrivés.
Brigitte accourt en peignoir de bain, fait la bise aux présents Je reçois la mienne, c’est incroyable, que cherche-t-elle ? Veut-elle m'amadouer, compte-t-elle m'intégrer dans son équipe de désaxés, Robert l'y a-t-il invitée, m'a-t-il piégée pour me punir en m'avilissant encore ?
- Une minute, je suis à vous. Je suis en train de convaincre un ami de rester pour s‘amuser avec nous… Comme sa femme est là, (elle me désigne de l’index), et semble se plaire en notre compagnie, il est sur le point de céder. On n’est jamais trop nombreux pour baiser.
Elle empoigne un paquet de vêtements sur une chaise et sort. Cette fois je la suis et derrière elle j’entre dans la salle de bain. Robert toujours nu, pavillon en berne, ne peut pas m’ignorer et attaque:
-Que fais-tu ici? As-tu été invitée par Brigitte ou Joseph ?
- Non, mais toi, fais-tu partie de cette troupe, es-tu l’invité d’honneur sur le point de céder aux prières de Brigitte ? Monsieur Levertueux, donneur de leçons, voudra-t-il me préciser ses intentions ? Si tu restes, je reste, comme tu te conduiras, je me conduirai.
- Dans ce cas, je rentre à la maison. J'ai réalisé mon souhait, je t'ai ouvert les yeux. A toi d'en tirer la leçon. Mais tu peux fort bien ne pas vouloir comprendre et tu peux surtout espérer élargir le cercle de tes complices sexuels et ne pas me suivre.
Brigitte s’en mêle avec son optimisme évident:
-Allons, jugez sur pièce. Je vous propose d’assister en spectateurs aujourd’hui. Vous êtes deux innocents, voyez et vous déciderez, aujourd’hui ou un autre jour. Mais restez ensemble pour un round d’observation. Robert, fais-moi plaisir, tu me dois bien ça. Tu vas découvrir une vie formidable. Toutes les possibilités vous seront ouvertes. J’ai appris que Simone raffolait des tailles XXXXXL: elle va être servie ici, ce soir, si elle le souhaite. Je reçois les plus beaux spécimens. Je me réserverai la plus discrète et la plus efficace des bites, la tienne mon très cher Robert. As-tu vu, Simone comme il m’a fait jouir? Il faut remettre ça, ma chatte est gourmande. Bon, j’entends les derniers arrivants. Rejoignons-les.
Elle se met le doigt dans l’œil si elle croit m’emprunter aussi facilement mon mari en échange de grands calibres. A moins que Robert…. Pour l’instant il n’est pas glorieux, mais me glisse dans l’oreille
- Ce sont des détraqués et Brigitte est loin d’être frigide, tu l’auras remarqué à ton arrivée.
- J’ai surtout vu que j’étais cocue. Il y a longtemps que ça dure?
- Première et dernière fois aujourd’hui, pour te fournir les preuves que tu réclamais, je le répète.
C’est vrai, j’avais douté de sa parole, je reçois la leçon. Au salon les coupes sont remplies. Dans un coin s’entassent pêle-mêle blouses, jupes, robes, pulls, pantalons. Deux hommes sont arrivés, un beau blond déjà en slip et chaussettes et un grand noir sans complexe, nu à côté d’Abel nu. Tous deux paradent bite en main et se masturbent tranquillement pour comparer leurs morceaux d’anthologie sous les yeux émerveillés des femmes en culotte et soutien-gorge. Ca n’a pas traîné, sous l’impulsion d‘Abel. Les festivités peuvent débuter. Le noir prend le chemin du grand lit avec Denise, fait tomber les derniers tissus, je refuse gentiment à Abel de les imiter avec lui et je m’accroche à Robert. Abel invite la quadragénaire. Robert dit:
- Oh, non, vois comme Abel a abîmé Denise.!
Denise offre le spectacle de ce que je deviendrai si je continue à user de verges inadaptées, trop longues et trop épaisses et parfois peu délicates dans leur chasse à l’orgasme. Avoir une grosse queue raide ne donne pas l’obligation de démolir un vagin, mais hélas le détenteur gonflé d‘orgueil perd le contrôle et abîme ce qu‘il devrait chérir. Je l’ai appris sous Abel. Entre les cuisses de Denise ses petites lèvres pendent lamentables, à travers et sous sa vulve, teintées de violet-noir aux extrémités. C’est affreux, mais ces excroissances disgracieuses ne rebutent pas l’homme noir, lui aussi surdimensionné, dont les mains noires courent sur la peau blanche en direction du sexe déformé.
Il n’hésite pas, son index trouve la faille, écarte les escalopes tombantes et y fraie un passage pour plusieurs doigts. Denise est en main. Moussa la pousse contre le lit, amortit sa chute sur le matelas, la dispose sur le dos. Il a de bonnes habitudes, il ne saute pas sur sa proie comme un sauvage, mais la couvre à l’envers: elle peut s’amuser avec la longue queue noire, la bichonner, lécher et sucer pendant qu’entre ses cuisses la tête du monsieur disparaît. Nous assistons au 69.
Abel s’est placé derrière Angèle, il lui a glissé son bâton entre les jambes et par petits bonds la conduit vers le côté resté libre du matelas. Il courbe la femme, lui fait poser bras et tête sur le lit. Ainsi, debout jambes ouvertes elle attend le bon vouloir de l’homme. Il se déplace, se met de côté et expédie sans ménagement sa main sur le sexe de la quadragénaire croqueuse d’hommes. Nous le voyons introduire plusieurs doigts dans le conduit de la dame. Il la baratte violemment, longuement, avec la ferme intention d’obtenir rapidement un lubrifiant naturel favorable à une pénétration aisée. Je reconnais ses manières. Sous l’impact des doigts du colosse, Angèle glapit, comme je l’ai fait en croyant être la seule capable de le subir. Ce que j’ai été stupide et prétentieuse!
- Allez, dit Abel, Simone vient me la tenir et me guider dans ce joli con.
Brigitte vole à mon secours après avoir vu mon immobilité. Elle tient à me convertir à ses pratiques et épargne momentanément ma pudeur et ma susceptibilité. Elle me sait en colère, ma mine l’éclaire sur mes sentiments. Donc elle se charge de prendre en main le gourdin, elle l’affermit de quelques mouvements de poignet avant d’aider Angèle à présenter au mieux le losange rosâtre de sa chatière. La queue avance, touche et s’enfonce au cri de
-Vas-y, baise-moi. Fais-moi jouir. Ahhh!
Ses deux filles accourent en faisant sautiller leurs seins dénudés pour voir leur mère à l’œuvre, l’une a un poing dans la bouche, l’autre secoue sa main: elles admirent mais plaignent leur mère exemplaire, joignent leurs voix à la complainte bien naturelle de la défoncée. Baiser et devant un public admiratif donne de l’énergie à l’assaillant. Abel joue au costaud, au grand défricheur, au mâle dominateur, au vainqueur des femelles soumises.
- Regardez bien, les filles, voyez ma lance percer son con, voyez la ressortir couverte du jus de votre mère. Inspirez-vous de son exemple, générosité, courage, endurance. Apprenez, donzelles, votre tour viendra.
Mais le beau blond et Gino approchent. Gino désigne sa quéquette tendue et veut me proposer de l’accompagner. Robert observe le jeu de séduction et mes réactions en silence. Je remercie le tentateur. Il ne perd pas de temps avec moi et attrape la poitrine de la jeune Malou immédiatement consentante. Le blond saisit Gigi par un bras, lui insinue un doigt dans la raie des fesses et ils suivent Gino en direction du salon. Brigitte est passée sous Angèle et s’emploie à titiller le clitoris d’Angèle et à presser les couilles d’Abel. Ainsi sollicité l’important s’active en longues pénétrations et m’adresse un clin d’œil pour attirer mon attention sur les gémissements en ah ou euh de sa suppliciée volontaire et il m’interpelle :
-Simone, veux-tu la remplacer? Viens. Robert, c’est jeudi, jour de liberté, amène-la ici et écoute la jouir.
La main de Robert se crispe sur mon bras, me fait mal, mais me réjouit. Il me garde.
Passe Joseph désœuvré, sans femme. Il n’ose plus me regarder, encore moins m’inviter. Il attend une proie. Seule est disponible sa propre épouse trop occupée à replacer Abel en vagin lorsqu’il sort trop de la moule éclatée d’Angèle. Brigitte sait lui rendre sa raideur en quelques coups de main ou en recevant son gland dans sa bouche distendue avant de le replacer devant l’ouverture en feu.
Il y a du nouveau sur le lit. Moussa appelle Denise, lui fait signe de venir s’embrocher sur son pieu dressé droit. Avec une facilité déconcertante Denise s’accroupit et se laisse descendre le long de l’énorme tringle noire enrobée de salive. Elle ne crie pas, souffle à peine, s’installe et commence un lent mouvement à deux temps de remontée puis de retour sur l’abdomen. Moussa rit de toutes ses dents, réclame un baiser. Denise se penche sans cesser son va-et-vient, mais nous apercevons l’écartement de ses lèvres autour de la trique qui dilate son vagin, c’est une exposition incroyable de chairs à vif.
Joseph se frotte les mains, attend que l’accouplement émousse les énergies. Je connais sa spécialité et l’anus épanoui de Denise est un appel à la sodomie : il monte, pointe et envahit ce trou béant. C’est dans cette position que Robert m’a trouvée. Je n’ose plus bouger, glacée de honte à ce souvenir. En parallèle Abel s’est couché le long du trio, Brigitte a aidé Angèle à s’asseoir sur le pieu et à l’engloutir. Et Angèle imite Denise. Joseph change de monture et encule la mère de famille. Il va passer régulièrement d’un fondement à l’autre et s’amuse à les tourmenter alors qu’elles endurent les étirements de leur vagin défoncé par les manches monumentaux.
- Alors, n’est-ce pas formidable ? Si on allait à trois dans une autre chambre ? nous propose Brigitte, toujours décidée à me piquer mon homme..
Je ne réponds pas. Robert prétexte qu’il veut encore observer. Brigitte passe dans le salon. J’y jette un œil. Les deux gaillards sont courbés sur les gazelles agenouillées et leur tripotent les seins ou les fesses pendant qu’elles taillent des pipes avec habileté. Jeunes mais pas vraiment débutantes. Les attouchements insistants des deux hommes sur leurs parties génitales leur plaisent et augmentent la voracité de leur bouche remplie d’un vit en pleine expansion. Et tout à coup de tous côtés j’entends des cris,
- Oui, remplissez-moi, crie Denise soumise au double assaut de Moussa et de Joseph.
Elle ne bouge plus et annonce chaque jet contre son utérus en émettant un chant de satisfaction syncopé :
- Vas-y Abel, crache, je te sens. Reste au fond.
Angèle braille son plaisir, c‘est impressionnant et son baiseur bombe le torse, fier de déclencher pareille clameur.
Dans l’autre pièce, les deux hommes inondent les visages des gamines d’Angèle. Le foutre coule à flot sur les visages, colle dans les cheveux, dégouline au menton et atterrit sur les nichons tout roses d‘avoir été chahutés. Brigitte ordonne un changement de partenaire.
- Simone, tu peux choisir qui tu veux...priorité aux nouveaux membres. Ne t'inquiète pas, j'occuperai ton Robert.
- Mon choix est fait, ma chère amie! Viens Robert, allons nous aimer à la maison.
Il prend ma main. Enfin!
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On passe du registre intimiste à l'orgie, je comprends l'hésitation de l'auteur
Je ne comprends pas pourquoi accent ne voulait pas présenter ces deux chapitres. Ils sont bons et dans la ligne des premiers. La femme prend une leçon qui constitue une punition.
En plus elle se permet d'être jalouse.