Complicité de couple
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Complicité de couple
La surprise n'a pas eu lieu, chaque soir, en rentrant, Corinne me demande:
"Alors ? T'as vu Gilles ?".
"Non !".
Le vendredi, elle réitère:
"Alors ? Il t'a baisé ?".
"Non ! Il est pas venu ! Mais on dirait que ça te manques, à toi aussi !".
"J'aime bien ! C'est vrai ! Mais une semaine, ça devient inquiétant ! Non ?".
J'en suis venu à la même conclusion, même si un peu de repos, pour mon cul, m'a fait le plus grand bien !
"T'as raison ! Ne m'attends pas pour manger, je vais le voir chez lui !".
"C'est mieux, fais lui un bisou de ma part !".
En marchant, je tombe sur mon ami, son fils en l'occurrence !
"Salut Pascal ! Tu vas ou ?".
"Voir un copain ! Et toi ?".
"Je viens de chez mon père, il a été malade comme un chien ! Passes le voir ! Ca lui fera plaisir ! Il va mieux là !".
"Oui, je pense que je vais faire ça ! Mon pote m'en voudra pas ! Bonne soirée !".
"Merci, je compte sur toi ! Tu sais qu'il t'adore ! Bonne soirée aussi !".
Je reprends ma route, heureux de savoir que son fils ignore tout, de ce qui nous lie, son père et moi !
En arrivant, je n'ai qu'a pousser la porte pour entrer, mais je tourne le loquet derrière moi, pour plus de sûreté.
Je le trouve dans son salon, couché sur son canapé.
Il se dresse d'un coup.
"Mon chaton ! T'es venu me voir ! Tu peux pas savoir comme ça me fait plaisir ! Je t'embrasse pas, je dois encore être contagieux !".
"Ben, tu me manquais ! Et je me suis inquiété ! T'as le bisou de Corinne ! Au passage !".
"C'est gentil ! Elle est adorable ! Gardes-là, c'est la femme idéale pour toi ! Et pour moi aussi ! Tu sais pourquoi !".
"Oui ! D'ailleurs, elle me demande tous les soirs, si tu m'a baisé ! Elle aime ça ! Cette vicieuse !".
"Ah ! Ah !...Tu as mangé ? Je te prépare quelque chose ?".
"Je m'en occupe ! T'es trop fatigué ! Aide-moi, par contre !".
Je cuisine assez rapidement, il me dirige dans sa cuisine, pour plus de facilité.
C'est difficile de résister au désir, lorsqu'il vient derrière moi, pour se coller en me palpant fermement les fesses.
"Ta chatte me manque ! Chaton !".
"Je sais ! Mais ça va te prendre trop d'énergie ! Et je vais tomber malade après !".
On résiste, jusqu'au repas, ou il attire ma main sur sa grosse verge, prise d'une énorme érection.
"Gilles ! C'est pas juste ! Tu sais que je vais plus pouvoir penser à autre chose ! Maintenant !".
"On finit de manger, et on trouvera bien un moyen !".
"Ah ! J'oubliai ! J'ai croisé ton fils ! Il m'a demandé de passer ! Même, s'il ne savait pas que je venais, de toute façon !".
Il sourit, je devine sa pensée.
"Je sais ce que tu penses ! Tu te dis, que t'aimes imaginer, que tu baises un ami de ton fils !".
Il rit, en acquiesçant malicieusement.
"Salaud !".
"Salope !".
Je m'avoue vaincu, il a raison ! Même s'il n'y a pas que ça, entre nous.
Après le diner, il me propose:
"Il doit me rester des capotes du Sex-Shop ! Si ça te dit !".
Je réfléchi un moment, puis:
"Ok ! Mais j'avais tellement envie de te sucer ! Tant pis ! Encules-moi directement !".
Il disparait, puis revient avec une poignée de préservatifs que je reconnais, pour les avoir utilisé avec mes rencontres furtives au Sex-Shop.
"Tu y vas toujours ?".
"Très peu ! Et toi ?".
"Tu me baises trop souvent ! J'en ai plus besoin !".
Il sourit encore.
"Tu sais que si je t'avais connu plus tôt ! Avant ma femme ! Je t'aurais demandé de vivre avec moi !".
"Je sais ! Moi aussi, je suis bien avec toi ! J'aime être ton p'tit chat !".
"Merci ! Mon chaton ! Ca me gêne de te prendre comme ça ! Mais j'ai trop besoin de jouir avec ta chatte !".
Je me dénude les fesses, puis allonge mon torse sur la table de salon, en lui disant:
"C'est pas grave chéri ! Prends-moi !".
Il m'enduit l'anus avec une dose de gel venant du Sex-Shop.
J'entend le bruit du latex qui crisse en recouvrant sa grosse verge.
"Hummm ! Ca me rappelle notre première fois ! Tu te souviens ?".
"Comment oublier ? Tu m'as tellement fait jouir ! Ce jour là !".
"Je t'ai adoré dès le premier jour ! J'étais comme un fou, en t'enculant !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! Je l'ai bien senti ! Arhhhhhhhhh ! Je suis tombé amoureux de ta bite !".
"Orhhhhhhhhh ! Chaton, ça fait du bien ! Si tu savais ! Je suis si bien dans ta chatte !".
"Pffffhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Orhhhhh ! Je sens que je vais prendre cher !".
"Pourquoi tu dis ça ? Chaton !".
"Arhhhhhhhhh ! Parce que la capote va avoir un effet retardant pour toi, mais pas pour moi ! Arghhhhhhhh !".
Et je ne me trompe pas, il me possède puissamment pendant une éternité.
A la longue, j'ai tâché mes vêtements, sous mon cul dégoulinant de jus anal.
Je respire souvent, en râlant et écartant mes lèvres de mon bras, que je mors sans cesse.
Parfois, il reste enfoncé au plus profond de mon cul, en ne bougeant que sur quelques centimètres.
Ca me fait bander très rapidement, il s'en rend compte et réitère plusieurs fois, jusqu'à me le faire subir continuellement.
Je crie mon énième orgasme en ajoutant mon foutre, à mes pollutions anales.
"Arghhhhhhhhhhh ! Gilles ! Chéri ! C'est trop puissant ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il me soutire toute mon éjaculation, en me transperçant le cul comme un forcené.
Je retombe doucement, mon esprit revient, j'ai du mal à réaliser que j'ai autant joui.
Je comprend qu'il s'agite, comme à chaque fois qu'il va exploser lui aussi.
"Mmmmm ! Orhhh ! Je peux plus me retenir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il se retire d'un coup, en ôtant le préservatif.
J'agis sans réfléchir, en couvrant sa grosse bite de ma gorge humide.
Il grogne en se déversant dans ma bouche.
"Arggggggggggggghh ! Chaton, t'es fou ! Rrrrrrrrrrrrrrrhhh !".
Il m'est impossible de me justifier pour l'instant, mes bruits de gosier trahissent mon empressement de m'abreuver de son plaisir éjaculatoire, salé et brulant.
Comme je m'y attendais, il est plus abondant qu'à l'accoutumée.
Je n'aurai voulu, pour rien au monde, que ça finisse au fond d'une capote, ou sur le sol, même sur mon cul !
Il prend un plaisir énorme à se faire dévorer la bite, en se libérant de tout son sperme.
"Orhhhhhhh ! C'est bon ! Pascal ! Mon bébé ! Tu m'avales tellement bien ! Arhhhhhhhh !".
Je peux enfin parler, entre deux coups de langues et glissements de lèvres.
"Désolé ! Chéri, je pouvais pas m'en empêcher ! J'aime trop te boire ! Tant pis pour les conséquences !".
"Je t'adore ! Mon p'tit chat ! Merci ! Ca m'a fait énormément de bien !".
"Merci, je t'adore, moi aussi ! je vais rentrer ! Corinne m'attend !".
"Tu lui rends le bisou ! Et tu la remercies pour ça !".
"Pas de souci !".
Il m'apporte de l'essuie-tout, je constate les dégâts sur mes vêtements.
Tant pis, il fait nuit, personne ne s'en rendra compte !
Je rentre en me libérant de nombreux rejets d'air anaux, qui me polluent le slip.
Marcher, n'arrange pas le phénomène !
En rentrant, j'ai droit aux questions de ma belle:
"Alors ?".
"Il était malade, mais ça va mieux !".
"Vous avez baisé ?".
"Oui ! Avec une capote ! Ca nous a rappelé nos débuts !".
"Ah ! Dommage ! Il t'a pas joui dans le cul, alors !".
Je souris, elle est vraiment perverse !
"Pourquoi tu ris ?".
"C'est pas perdu quand même ! Il a joui dans ma bouche ! Je me suis régalé !".
"Il te reste des forces pour moi ?".
"Euh... désolé mon amour ! On vient de finir ! Il m'a enculé tellement longtemps, que j'arriverai pas à bander ! Ma prostate est trop sensible ! Là ! Ca me coupe l'érection !".
"Je comprend ! Dommage !".
Je me tiens le ventre par moment, en me plaignant parfois.
"Putain, c'était bon, mais il m'a démonté ! Mon anus ne se ferme plus !".
Finalement, excitée, Corinne ressort son gode ceinture et me baise à son tour.
Comme son gode est moins gros que la bite de Gilles, cela me fait beaucoup de bien.
Et puis, cela faisait si longtemps, qu'elle voulait s'en resservir !
J'aurai juste assez du Week end pour me remettre, et être prêt pour mon amant, le lundi soir venu.
"Alors ? T'as vu Gilles ?".
"Non !".
Le vendredi, elle réitère:
"Alors ? Il t'a baisé ?".
"Non ! Il est pas venu ! Mais on dirait que ça te manques, à toi aussi !".
"J'aime bien ! C'est vrai ! Mais une semaine, ça devient inquiétant ! Non ?".
J'en suis venu à la même conclusion, même si un peu de repos, pour mon cul, m'a fait le plus grand bien !
"T'as raison ! Ne m'attends pas pour manger, je vais le voir chez lui !".
"C'est mieux, fais lui un bisou de ma part !".
En marchant, je tombe sur mon ami, son fils en l'occurrence !
"Salut Pascal ! Tu vas ou ?".
"Voir un copain ! Et toi ?".
"Je viens de chez mon père, il a été malade comme un chien ! Passes le voir ! Ca lui fera plaisir ! Il va mieux là !".
"Oui, je pense que je vais faire ça ! Mon pote m'en voudra pas ! Bonne soirée !".
"Merci, je compte sur toi ! Tu sais qu'il t'adore ! Bonne soirée aussi !".
Je reprends ma route, heureux de savoir que son fils ignore tout, de ce qui nous lie, son père et moi !
En arrivant, je n'ai qu'a pousser la porte pour entrer, mais je tourne le loquet derrière moi, pour plus de sûreté.
Je le trouve dans son salon, couché sur son canapé.
Il se dresse d'un coup.
"Mon chaton ! T'es venu me voir ! Tu peux pas savoir comme ça me fait plaisir ! Je t'embrasse pas, je dois encore être contagieux !".
"Ben, tu me manquais ! Et je me suis inquiété ! T'as le bisou de Corinne ! Au passage !".
"C'est gentil ! Elle est adorable ! Gardes-là, c'est la femme idéale pour toi ! Et pour moi aussi ! Tu sais pourquoi !".
"Oui ! D'ailleurs, elle me demande tous les soirs, si tu m'a baisé ! Elle aime ça ! Cette vicieuse !".
"Ah ! Ah !...Tu as mangé ? Je te prépare quelque chose ?".
"Je m'en occupe ! T'es trop fatigué ! Aide-moi, par contre !".
Je cuisine assez rapidement, il me dirige dans sa cuisine, pour plus de facilité.
C'est difficile de résister au désir, lorsqu'il vient derrière moi, pour se coller en me palpant fermement les fesses.
"Ta chatte me manque ! Chaton !".
"Je sais ! Mais ça va te prendre trop d'énergie ! Et je vais tomber malade après !".
On résiste, jusqu'au repas, ou il attire ma main sur sa grosse verge, prise d'une énorme érection.
"Gilles ! C'est pas juste ! Tu sais que je vais plus pouvoir penser à autre chose ! Maintenant !".
"On finit de manger, et on trouvera bien un moyen !".
"Ah ! J'oubliai ! J'ai croisé ton fils ! Il m'a demandé de passer ! Même, s'il ne savait pas que je venais, de toute façon !".
Il sourit, je devine sa pensée.
"Je sais ce que tu penses ! Tu te dis, que t'aimes imaginer, que tu baises un ami de ton fils !".
Il rit, en acquiesçant malicieusement.
"Salaud !".
"Salope !".
Je m'avoue vaincu, il a raison ! Même s'il n'y a pas que ça, entre nous.
Après le diner, il me propose:
"Il doit me rester des capotes du Sex-Shop ! Si ça te dit !".
Je réfléchi un moment, puis:
"Ok ! Mais j'avais tellement envie de te sucer ! Tant pis ! Encules-moi directement !".
Il disparait, puis revient avec une poignée de préservatifs que je reconnais, pour les avoir utilisé avec mes rencontres furtives au Sex-Shop.
"Tu y vas toujours ?".
"Très peu ! Et toi ?".
"Tu me baises trop souvent ! J'en ai plus besoin !".
Il sourit encore.
"Tu sais que si je t'avais connu plus tôt ! Avant ma femme ! Je t'aurais demandé de vivre avec moi !".
"Je sais ! Moi aussi, je suis bien avec toi ! J'aime être ton p'tit chat !".
"Merci ! Mon chaton ! Ca me gêne de te prendre comme ça ! Mais j'ai trop besoin de jouir avec ta chatte !".
Je me dénude les fesses, puis allonge mon torse sur la table de salon, en lui disant:
"C'est pas grave chéri ! Prends-moi !".
Il m'enduit l'anus avec une dose de gel venant du Sex-Shop.
J'entend le bruit du latex qui crisse en recouvrant sa grosse verge.
"Hummm ! Ca me rappelle notre première fois ! Tu te souviens ?".
"Comment oublier ? Tu m'as tellement fait jouir ! Ce jour là !".
"Je t'ai adoré dès le premier jour ! J'étais comme un fou, en t'enculant !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! Je l'ai bien senti ! Arhhhhhhhhh ! Je suis tombé amoureux de ta bite !".
"Orhhhhhhhhh ! Chaton, ça fait du bien ! Si tu savais ! Je suis si bien dans ta chatte !".
"Pffffhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Orhhhhh ! Je sens que je vais prendre cher !".
"Pourquoi tu dis ça ? Chaton !".
"Arhhhhhhhhh ! Parce que la capote va avoir un effet retardant pour toi, mais pas pour moi ! Arghhhhhhhh !".
Et je ne me trompe pas, il me possède puissamment pendant une éternité.
A la longue, j'ai tâché mes vêtements, sous mon cul dégoulinant de jus anal.
Je respire souvent, en râlant et écartant mes lèvres de mon bras, que je mors sans cesse.
Parfois, il reste enfoncé au plus profond de mon cul, en ne bougeant que sur quelques centimètres.
Ca me fait bander très rapidement, il s'en rend compte et réitère plusieurs fois, jusqu'à me le faire subir continuellement.
Je crie mon énième orgasme en ajoutant mon foutre, à mes pollutions anales.
"Arghhhhhhhhhhh ! Gilles ! Chéri ! C'est trop puissant ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il me soutire toute mon éjaculation, en me transperçant le cul comme un forcené.
Je retombe doucement, mon esprit revient, j'ai du mal à réaliser que j'ai autant joui.
Je comprend qu'il s'agite, comme à chaque fois qu'il va exploser lui aussi.
"Mmmmm ! Orhhh ! Je peux plus me retenir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il se retire d'un coup, en ôtant le préservatif.
J'agis sans réfléchir, en couvrant sa grosse bite de ma gorge humide.
Il grogne en se déversant dans ma bouche.
"Arggggggggggggghh ! Chaton, t'es fou ! Rrrrrrrrrrrrrrrhhh !".
Il m'est impossible de me justifier pour l'instant, mes bruits de gosier trahissent mon empressement de m'abreuver de son plaisir éjaculatoire, salé et brulant.
Comme je m'y attendais, il est plus abondant qu'à l'accoutumée.
Je n'aurai voulu, pour rien au monde, que ça finisse au fond d'une capote, ou sur le sol, même sur mon cul !
Il prend un plaisir énorme à se faire dévorer la bite, en se libérant de tout son sperme.
"Orhhhhhhh ! C'est bon ! Pascal ! Mon bébé ! Tu m'avales tellement bien ! Arhhhhhhhh !".
Je peux enfin parler, entre deux coups de langues et glissements de lèvres.
"Désolé ! Chéri, je pouvais pas m'en empêcher ! J'aime trop te boire ! Tant pis pour les conséquences !".
"Je t'adore ! Mon p'tit chat ! Merci ! Ca m'a fait énormément de bien !".
"Merci, je t'adore, moi aussi ! je vais rentrer ! Corinne m'attend !".
"Tu lui rends le bisou ! Et tu la remercies pour ça !".
"Pas de souci !".
Il m'apporte de l'essuie-tout, je constate les dégâts sur mes vêtements.
Tant pis, il fait nuit, personne ne s'en rendra compte !
Je rentre en me libérant de nombreux rejets d'air anaux, qui me polluent le slip.
Marcher, n'arrange pas le phénomène !
En rentrant, j'ai droit aux questions de ma belle:
"Alors ?".
"Il était malade, mais ça va mieux !".
"Vous avez baisé ?".
"Oui ! Avec une capote ! Ca nous a rappelé nos débuts !".
"Ah ! Dommage ! Il t'a pas joui dans le cul, alors !".
Je souris, elle est vraiment perverse !
"Pourquoi tu ris ?".
"C'est pas perdu quand même ! Il a joui dans ma bouche ! Je me suis régalé !".
"Il te reste des forces pour moi ?".
"Euh... désolé mon amour ! On vient de finir ! Il m'a enculé tellement longtemps, que j'arriverai pas à bander ! Ma prostate est trop sensible ! Là ! Ca me coupe l'érection !".
"Je comprend ! Dommage !".
Je me tiens le ventre par moment, en me plaignant parfois.
"Putain, c'était bon, mais il m'a démonté ! Mon anus ne se ferme plus !".
Finalement, excitée, Corinne ressort son gode ceinture et me baise à son tour.
Comme son gode est moins gros que la bite de Gilles, cela me fait beaucoup de bien.
Et puis, cela faisait si longtemps, qu'elle voulait s'en resservir !
J'aurai juste assez du Week end pour me remettre, et être prêt pour mon amant, le lundi soir venu.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres bonne lecture trop courte. alain pierre