Conduite tendencieuse...(part 2/2)
Récit érotique écrit par Enjoyphil [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Conduite tendencieuse...(part 2/2)
On peut dire que Gérard m'a dévergondé. Je me suis, en effet, très vite retrouvé sous son emprise. En guerre d'adolescence contre mes parents, je trouvais en lui une écoute, une compréhension qui m'apaisait et me subjuguait. Sans me poser de questions je lui ai fait rapidement confiance. Et sans m'en rendre compte je me suis retrouvé en situation d'abandon et de totale soumission à ses demandes... J'étais comme ensorcelé par sa prestance, son autorité et ses gestes de tendresse... Bref, sous son emprise et sans doute poussé par mes incessantes montées de testostérone, je l'ai laissé me guider et faire de moi son jeune amant.
J'aimais bien poser pour lui devant son objectif en répondant à toutes ses indications de positions plus indécentes les unes que les autres. Me sentir nu, exhibé et désiré m'excitait déjà et je le découvris à cette occasion. ..puis son objectif est devenu plus intime en me suggérant de me décalotter le sexe à quelques centimètres de sa focale ou de m'écarter les fesses de dos à l'aide de mes deux mains. Il mettait son appareil sur une chaise en face du canapé puis il venait de coller à moi, nu lui aussi, son énorme sexe tendu contre ma taille qui souvent me mouillait la peau.
Il aimait nous mettre en scène et je me soumettais sans arrières pensées à toutes ses demandes. Il me photographiait aussi dans sa baignoire en m'allongeant dedans, lui au dessus de moi ou assis sur le bord de ses toilettes en m'indiquant comment il voulait que je touche ma bite toute dure.
Il me faisait toucher son sexe et je devais lui décrire tout haut ce que je voyais et ressentais en laissant coulisser ma main autour. Sa voix était douce et ferme à la fois lorsqu'il me dirigeait.
J'aimais comment il caressait mes cheveux, mon visage, mon cou, mes épaules et mes frêles pectoraux dont il effleurait mes bouts de seins, ce qui me faisait tout drôle dans ma tête et mon corps. Je ne savais pas encore que mes tétons seraient un tel centre d'émois.
Au début c'est lui qui prenait mes mains pour les poser sur son gros sexe tout nervuré de veines saillantes. Il apprivoisait ma timidité de jeune ado. Je découvrais, j'explorais, j'apprenais à faire durcir cette queue qui m'hypnotisait. La sienne était si large et épaisse comparée à la mienne.
Après ces séances de photo, Gerard voyait bien que ça ne me laissait pas indifférent. J'avais ma p'tite bite droite comme un I, mais je n'en sentais aucune gêne et je n'attendais qu'une chose. Que Gérard vienne me caresser, me sucer et me masturber jusqu'à me sentir prêt à tout lâcher. En fait, il était malin et faisait toujours en sorte, en faisant preuve de tout son talent et de son expérience, de me mettre au bord sans me laisser jouir. Il savait que je serais alors prêt à répondre à toutes ses suggestions osées et perverses.
C'est avec lui que j'ai découvert que je pouvais devenir quelqu'un d'autre, que je pouvais me muer en parfaite petite salope obéissante. Mais ça, à l'époque, j'etais incapable de l'analyser et de m'en rendre compte. Seule l'excitation guidait cette relation qui me plaisait et je me laissais faire quasiment en toute confiance. Avec lui je me sentais important.
Son appart était cosi et plutôt spacieux. Juste après les photos, c'était comme un rituel, il fermait les rideaux en plongeant le salon dans cette pénombre propice aux caresses que la morale aurait dû réprouver, mais qui moi m'excitait.
Le canapé était la pièce maîtresse en face d'un immense miroir poser à même le sol qui renvoyait l'image de la différence de nos silhouettes. Gérard, en dehors d'être toujours souriant et attentionné, était grand, massif avec un bon embonpoint ce qui en faisait un colosse à côté de mon corps mince et chétif et de mon mètre soixante de l'époque. Je le trouvais rassurant, protecteur et si gentil avec moi.. Il aimait que je monte à cheval sur son ventre replet de dos afin de nous regarder tous les deux dans cette glace. Il se mettait à me masser le dos alors que j'étais fasciné par la grosseur de ses bourses qui pendaient sur le bord du canapé alors que la largeur de son chibre masquait le mien dans le reflet du miroir. Que mes petits doigts ne fassent pas le tour de sa bite me questionnait sur la mienne. Et qu'il soit circoncis exposait son gland tout lisse, contrairement à moi où il fallait que je me décalotte pour le mettre à jour... Ces différences me rendaient incrédule et curieux. J'appréciais que Gérard ait toujours une réponse à toutes mes questions. Sa maturité rassurait. Au fur et à mesure de ses invitations, où je séchais le sport, il devint mon professeur et mon confesseur. Il fut le premier à qui j'ai pu confier l'importance de ma sœur dans la naissance de ma sexualité. Il me demandait de le caresser doucement avec le contenu de ce flacon d'huile d'argan qu'il sortait lorsqu'il voulait que je le caline, tout en me faisant décrire comment ma sœur en était venu à m'approcher. Je lui contait alors avoir, malgré moi, été le témoin, partageant la même chambre, des murmures et des gémissements qui m'avaient intrigué, puis du bruit qu'elle faisait en se caressant sous les draps avant qu'elle ose se frotter l'entre cuisses sous les taies de lumières des persiennes avec son polochon. La vue de ses premières relations amoureuses avec ses copines, en me laissant les entrevoir à travers la porte vrillée de la salle de bain où elle m'enfermait au début.
Gérard voulait toujours plus de détails sur les descriptions que j'avais pu retenir. Je comprenais que son excitation était à son comble lorsqu'il m'attirait a lui pour passer ses doigts dans la raie de mes fesses. Et j'avoue avoir tout de suite trouvé cette exploration très douce et exaltante... Ses phalanges glissaient de bas en haut puis de haut en bas sur toute la longueur de ma fente d'où mon anus convulsait a chaque effleurement de leurs passages... Alors qu'il tournait depuis un bon moment autour, je me rappelle avoir été surpris, la première fois, de l'insistance de son majeur à l'entrée de ma corolle. C'est ce doigt, graissé d'huile qu'il prit en le frottant sur sa bite bien lubrifiée , qui fut sa première incursion en moi. " Ne dis rien" m'avait-il glissé en l'enfoncant délicatement millimètre par millimètre.." c'est si doux...je sens que tu te contractes "...." Serre aussi plus fort mon sexe et bave dessus"... Hébété, je lui obéissais sans trop réfléchir, fier et content qu'il apprécie ce moment. Le coulissement de mes doigts autour de sa large colonne huilée et couverte de ma salive gênerait ce son de clapotis humide et onctueux très excitant dont je connaissais bien l'air pour l'avoir entendu bien souvent en me masturbant moi même avec le pot de crème Nivea que ma sœur laissait trainer sous le lavabo. Gérard ne se privait pas de sentir son doigt en le sortant de mes fesses. Moi je trouvais ça sale, avant de changer d'avis par la suite. Il faut dire que la première fois qu'il fit ça en reniflant son majeur brillant et souillé, il se mi à gicler sur son ventre en me coulant sur ma main en m'indiquant de continuer à lui secouer la bite encore et encore. Je n'avais encore jamais vu autant de sperme sortir d'une queue. Même Gilles, mon pote d'école avec qui j'avais déjà échangé mes premiers attouchements n'en avait jamais éjaculé autant, même en se branlant avec moi, devant les seins de Murielle, dans la cave.
Au risque d'en surprendre plus d'un, c'est bien Gérard qui aimait jouir le premier avant de s'occuper de moi. Réflexions faites, c'était sans doute pour ne pas jouir trop vite pour la suite. Mais j'étais bien trop jeune pour appréhender ce genre de stratégie...
Bref j'étais bien avec lui et rien ne me rebutait. Je n'avais aucune appréhension et j'étais loin de considérer que notre relation était de l'ordre de l'interdit. Ma libido fonctionnait à fond et je me branlais tous les jours avant que l'on se retrouve une à deux fois par quinzaine. Il m'a rapidement appris comment lui prodiguer une gorge profonde en me montrant et me prouvant lui-même son talent sur ma p'tite bite...
Mais pour moi ce fut une autre paire de manches et je me suis bien souvent retrouvé à déglutir avec des hauts le cœur et jusqu'à même vomir par deux fois sur son gros mandrin. S'il était doux et patient dans les débuts, il devint plus vindicatif et insistant ensuite en m'apprenant à le sucer. Il m'exercait en appuyant sur le derrière de ma tête en forçant son gros gland à passer mes amygdales et mon gosier. Même si je voulais me trouver à la hauteur, je dois reconnaître que cet apprentissage fut difficile tant son chibre m'écartelait la bouche en me donnant des crampes à la mâchoire. Mais mon Gérard venaient toujours lécher les larmes qui coulaient sur mes joues et il savait si bien me câliner ensuite...
J'aimais bien poser pour lui devant son objectif en répondant à toutes ses indications de positions plus indécentes les unes que les autres. Me sentir nu, exhibé et désiré m'excitait déjà et je le découvris à cette occasion. ..puis son objectif est devenu plus intime en me suggérant de me décalotter le sexe à quelques centimètres de sa focale ou de m'écarter les fesses de dos à l'aide de mes deux mains. Il mettait son appareil sur une chaise en face du canapé puis il venait de coller à moi, nu lui aussi, son énorme sexe tendu contre ma taille qui souvent me mouillait la peau.
Il aimait nous mettre en scène et je me soumettais sans arrières pensées à toutes ses demandes. Il me photographiait aussi dans sa baignoire en m'allongeant dedans, lui au dessus de moi ou assis sur le bord de ses toilettes en m'indiquant comment il voulait que je touche ma bite toute dure.
Il me faisait toucher son sexe et je devais lui décrire tout haut ce que je voyais et ressentais en laissant coulisser ma main autour. Sa voix était douce et ferme à la fois lorsqu'il me dirigeait.
J'aimais comment il caressait mes cheveux, mon visage, mon cou, mes épaules et mes frêles pectoraux dont il effleurait mes bouts de seins, ce qui me faisait tout drôle dans ma tête et mon corps. Je ne savais pas encore que mes tétons seraient un tel centre d'émois.
Au début c'est lui qui prenait mes mains pour les poser sur son gros sexe tout nervuré de veines saillantes. Il apprivoisait ma timidité de jeune ado. Je découvrais, j'explorais, j'apprenais à faire durcir cette queue qui m'hypnotisait. La sienne était si large et épaisse comparée à la mienne.
Après ces séances de photo, Gerard voyait bien que ça ne me laissait pas indifférent. J'avais ma p'tite bite droite comme un I, mais je n'en sentais aucune gêne et je n'attendais qu'une chose. Que Gérard vienne me caresser, me sucer et me masturber jusqu'à me sentir prêt à tout lâcher. En fait, il était malin et faisait toujours en sorte, en faisant preuve de tout son talent et de son expérience, de me mettre au bord sans me laisser jouir. Il savait que je serais alors prêt à répondre à toutes ses suggestions osées et perverses.
C'est avec lui que j'ai découvert que je pouvais devenir quelqu'un d'autre, que je pouvais me muer en parfaite petite salope obéissante. Mais ça, à l'époque, j'etais incapable de l'analyser et de m'en rendre compte. Seule l'excitation guidait cette relation qui me plaisait et je me laissais faire quasiment en toute confiance. Avec lui je me sentais important.
Son appart était cosi et plutôt spacieux. Juste après les photos, c'était comme un rituel, il fermait les rideaux en plongeant le salon dans cette pénombre propice aux caresses que la morale aurait dû réprouver, mais qui moi m'excitait.
Le canapé était la pièce maîtresse en face d'un immense miroir poser à même le sol qui renvoyait l'image de la différence de nos silhouettes. Gérard, en dehors d'être toujours souriant et attentionné, était grand, massif avec un bon embonpoint ce qui en faisait un colosse à côté de mon corps mince et chétif et de mon mètre soixante de l'époque. Je le trouvais rassurant, protecteur et si gentil avec moi.. Il aimait que je monte à cheval sur son ventre replet de dos afin de nous regarder tous les deux dans cette glace. Il se mettait à me masser le dos alors que j'étais fasciné par la grosseur de ses bourses qui pendaient sur le bord du canapé alors que la largeur de son chibre masquait le mien dans le reflet du miroir. Que mes petits doigts ne fassent pas le tour de sa bite me questionnait sur la mienne. Et qu'il soit circoncis exposait son gland tout lisse, contrairement à moi où il fallait que je me décalotte pour le mettre à jour... Ces différences me rendaient incrédule et curieux. J'appréciais que Gérard ait toujours une réponse à toutes mes questions. Sa maturité rassurait. Au fur et à mesure de ses invitations, où je séchais le sport, il devint mon professeur et mon confesseur. Il fut le premier à qui j'ai pu confier l'importance de ma sœur dans la naissance de ma sexualité. Il me demandait de le caresser doucement avec le contenu de ce flacon d'huile d'argan qu'il sortait lorsqu'il voulait que je le caline, tout en me faisant décrire comment ma sœur en était venu à m'approcher. Je lui contait alors avoir, malgré moi, été le témoin, partageant la même chambre, des murmures et des gémissements qui m'avaient intrigué, puis du bruit qu'elle faisait en se caressant sous les draps avant qu'elle ose se frotter l'entre cuisses sous les taies de lumières des persiennes avec son polochon. La vue de ses premières relations amoureuses avec ses copines, en me laissant les entrevoir à travers la porte vrillée de la salle de bain où elle m'enfermait au début.
Gérard voulait toujours plus de détails sur les descriptions que j'avais pu retenir. Je comprenais que son excitation était à son comble lorsqu'il m'attirait a lui pour passer ses doigts dans la raie de mes fesses. Et j'avoue avoir tout de suite trouvé cette exploration très douce et exaltante... Ses phalanges glissaient de bas en haut puis de haut en bas sur toute la longueur de ma fente d'où mon anus convulsait a chaque effleurement de leurs passages... Alors qu'il tournait depuis un bon moment autour, je me rappelle avoir été surpris, la première fois, de l'insistance de son majeur à l'entrée de ma corolle. C'est ce doigt, graissé d'huile qu'il prit en le frottant sur sa bite bien lubrifiée , qui fut sa première incursion en moi. " Ne dis rien" m'avait-il glissé en l'enfoncant délicatement millimètre par millimètre.." c'est si doux...je sens que tu te contractes "...." Serre aussi plus fort mon sexe et bave dessus"... Hébété, je lui obéissais sans trop réfléchir, fier et content qu'il apprécie ce moment. Le coulissement de mes doigts autour de sa large colonne huilée et couverte de ma salive gênerait ce son de clapotis humide et onctueux très excitant dont je connaissais bien l'air pour l'avoir entendu bien souvent en me masturbant moi même avec le pot de crème Nivea que ma sœur laissait trainer sous le lavabo. Gérard ne se privait pas de sentir son doigt en le sortant de mes fesses. Moi je trouvais ça sale, avant de changer d'avis par la suite. Il faut dire que la première fois qu'il fit ça en reniflant son majeur brillant et souillé, il se mi à gicler sur son ventre en me coulant sur ma main en m'indiquant de continuer à lui secouer la bite encore et encore. Je n'avais encore jamais vu autant de sperme sortir d'une queue. Même Gilles, mon pote d'école avec qui j'avais déjà échangé mes premiers attouchements n'en avait jamais éjaculé autant, même en se branlant avec moi, devant les seins de Murielle, dans la cave.
Au risque d'en surprendre plus d'un, c'est bien Gérard qui aimait jouir le premier avant de s'occuper de moi. Réflexions faites, c'était sans doute pour ne pas jouir trop vite pour la suite. Mais j'étais bien trop jeune pour appréhender ce genre de stratégie...
Bref j'étais bien avec lui et rien ne me rebutait. Je n'avais aucune appréhension et j'étais loin de considérer que notre relation était de l'ordre de l'interdit. Ma libido fonctionnait à fond et je me branlais tous les jours avant que l'on se retrouve une à deux fois par quinzaine. Il m'a rapidement appris comment lui prodiguer une gorge profonde en me montrant et me prouvant lui-même son talent sur ma p'tite bite...
Mais pour moi ce fut une autre paire de manches et je me suis bien souvent retrouvé à déglutir avec des hauts le cœur et jusqu'à même vomir par deux fois sur son gros mandrin. S'il était doux et patient dans les débuts, il devint plus vindicatif et insistant ensuite en m'apprenant à le sucer. Il m'exercait en appuyant sur le derrière de ma tête en forçant son gros gland à passer mes amygdales et mon gosier. Même si je voulais me trouver à la hauteur, je dois reconnaître que cet apprentissage fut difficile tant son chibre m'écartelait la bouche en me donnant des crampes à la mâchoire. Mais mon Gérard venaient toujours lécher les larmes qui coulaient sur mes joues et il savait si bien me câliner ensuite...
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon récit... à la limite, même, plutôt émouvant... comme la beauté ambiguë de certains jeunes garçons !
Avec le temps, il ne me reste avec ce chauffeur de bus que les bons souvenirs...et à l'époque je ne voyais pas la perversité de ses actes et de ses attouchements. D'autant que ses demandes plus intimes sont venues petit a petit, sans que je me sente obligé. J'étais sous son emprise, oui, mais j'y prenais un immense plaisir sans en avoir vraiment conscience. Je me laissais porter... C'est vrai, que sa subite disparition m'a, de plus, marqué comme un abandon. J'étais effectivement encore trop jeune et dans doute surtout encore trop naïf pour me rendre compte de ce qui bouleversait ma vie, à ce moment là. Que ce Gérard en ait profité, c'est sûr. Mais le plus important n'est il pas que je n'en sois pas traumatisé ?
C’est très bien écrit.
Bon vas y t’as raison !!! Ça n’a rien à voir avec de la pedophilie !!! 🤣
Je souris en lisant le cri de la lectrice "ça s'apparente à la pédophilie !!!" Nous ne sommes pas avec HDS, dans un commissariat de police, ni devant un tribunal. Nous sommes des adultes qui écrivent/lisent des textes de toutes qualités autour du sexe et parfois de l'amour. En 2024, c'est notre passage de la LECTURE érotique à l'ACTE pédophile qui est condamnable. Ma bandaison en lisant ce texte n'est pas de la pédophilie...
Les émois sexuels, ado, sont toujours bien souvent dûs à la transgression...
Magnifique
Cyrille
Magnifique
Cyrille
Ça s’apparente à de la pedophilie !!!