Confession d’un hétérosexuel homo – partie 1
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 36 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Marcusix ont reçu un total de 531 720 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 13 387 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Confession d’un hétérosexuel homo – partie 1
J’ai une vie assez normale : tantôt célibataire, tantôt en couple avec une femme, situation professionnelle stable, vie sociale dans la moyenne…
Mais il y a une part de moi que je cache à tout le monde, même à la femme qui partage ma vie le cas échéant. Cette part de moi est une facette de ma vie sexuelle. J’ai beau avoir une sexualité plus ou moins épanouie avec les femmes, régulièrement je dois satisfaire mes démons.
Mes expériences sexuelles passées, que je vous ai en partie racontées, ont marqué l’hétérosexuel que je suis et en ont fait un bisexuel occasionnel ; occasionnel, mais qui va s’imposer à moi régulièrement. En effet, quand les plaisirs que j’ai ressentis en couchant avec ces différents mâles me reviennent à l’esprit, je ne peux plus penser à autre chose tant que je n’ai pas retrouvé la chaleur du corps d’un autre homme. Alors, toutes les parties de jambes en l’air avec des femmes me paraissent fades, et ce tant que je n’ai pas moi-même écarté les cuisses.
Car au cours de mes expériences passées avec les hommes, j’ai été plus souvent passif qu’actif. D’abord dans le cadre de mon initiation avec les hommes, puis par jeu, j’ai développé le goût de déshabiller mes hommes, de sucer leur queue et de me faire sodomiser.
Mais plus que le goût du simple rapport avec les hommes, c’est le désir, voire le besoin, de me faire dominer par eux. Ce goût de la soumission m’est venu avec mon initiateur qui a fait de moi sa poupée de baise et qui a ancré ce sentiment en moi. Il m’a fait ressentir ce que c’est d’appartenir à quelqu’un d’autre que soit même et de ne penser qu’au plaisir de l’autre, plutôt qu’à son propre plaisir.
Dès lors, quand l’envie de coucher avec un homme « pointe le bout de sa queue », ce n’est pas que le plaisir sexuel qui me motive, mais la volonté de perdre tout contrôle, toute volonté et toute retenue. Mon plaisir est maximal quand mon amant me rabaisse, prend les rênes et me domine pour son propre plaisir ; car c’est comme ça que j’aime baiser avec les mâles.
Comme je vous l’ai dit, ces envies de luxure homosexuelle se manifestent de temps à autre ; parfois de manière progressive laissant le désir grandir jusqu’à ce que je ne puisse plus le réprimer, parfois d’un coup, à la vue d’un homme qui me fait l’effet d’une bombe. C’est un exemple de cette dernière situation que j’ai envie de partager avec vous.
Cela s’est passé, il y a un mois. Mon dernier rapport avec un homme remontait à une semaine. Il s’agissait d’un homme mûr que je fréquente de temps en temps, et qui voulait qu’on joue à l’abstinence. Abstinence que j’avais donc imposée à ma copine, prétextant que le boulot se passait pas très bien et que j’étais sous pression. Elle avait des doutes, s’imaginait peut être que je la trompais avec une autre. Mais une fois l’abstinence terminée avec mon homme, tout était rentré dans l’ordre. Et je pensais que tout allait se calmer entre nous.
J’étais au café avec ma copine, attendant la fin de la pause déjeuner, montrant que le temps de vache maigre était fini et que tout allait pour le mieux. Normalement, l’intervalle entre le dernier rapport et le nouveau est plus long. Cependant j’ai rencontré un homme qui a réveillé instantanément mes démons. Il était grand, un peu plus que moi, la quarantaine, les cheveux poivre et sel, l’allure d’un homme qui sait où il va et ce qu’il veut. Il est entré dans le café et dès que je l’ai vu, j’ai eu envie de son sexe.
A partir de ce moment, j’ai eu du mal à me concentrer sur ma copine et sa discussion ; heureusement elle est bavarde. Je jetais de brefs coups d’œil à cet homme, assis à quelques tables de nous, essayant de ne pas me faire remarquer par elle, mais de me faire remarquer par lui. Cela a dû fonctionner car nos regards se sont croisés plusieurs fois et il devait sentir le trouble qu’il provoquait au tréfonds de mon corps.
Il s’est dirigé vers les toilettes, mais en se levant, il me fixait. J’ai pensé, espéré à une invitation à le suivre. Je me suis excusé auprès de ma copine et je suis allé à la salle d’eau. Je tremblais de peur et de désir à l’idée de me frotter à ce mâle. Une fois à l’intérieur, je l’ai rejoint dans une des cabines des toilettes et j’ai pu constater qu’effectivement, il était un dominateur. Il m’a pris par le cou, comme pour m’étrangler, m’a plaqué contre le mur de la cabine et m’a embrassé.
- « Tu as envie de baiser, petite pute ? »Il avait un ton assuré et un peu agressif. J’avais le souffle un peu coupé par sa main sur mon cou, son corps plaqué contre le mien et toute la tension sexuelle.
- « Oui, j’en ai très envie » soupirai-je.
- « Je n’ai pas le temps de te prendre tout de suite ; alors tu vas retourner à ta table, et ce soir, tu vas me rejoindre chez moi pour toute la nuit. Mais avant, tu vas faire quelque chose ».
Je me voyais déjà en train de le sucer ici. Je me trompais.
- « Je ne vais pas m’occuper de ton plaisir ce soir, alors tu te videras les couilles avant de venir chez moi. Tu te feras sucer par ta copine car je ne te le ferai pas ».
- « Comme vous voudrez » dis-je totalement excité.
Il a glissé un papier avec son adresse dans ma main puis il est parti. J’ai attendu un peu pour reprendre mon souffle et perdre un peu d’excitation. Je suis retourné à ma table, essayé de porter de l’intérêt à ma copine. Le soir venu, je l’ai convaincue de me faire une pipe, pendant laquelle je pensais à mon futur amant, et en échange je lui ai léché la chatte, en simulant le plaisir que ça me procurait.
Je me suis arrangé pour ressortir le soir, prétextant un boulot urgent à finir, et je me suis rendu à l’adresse indiquée. Au pas de la porte, je tremblais de nouveau, terriblement excité. Enfin, j’ai sonné à la porte.
Mais il y a une part de moi que je cache à tout le monde, même à la femme qui partage ma vie le cas échéant. Cette part de moi est une facette de ma vie sexuelle. J’ai beau avoir une sexualité plus ou moins épanouie avec les femmes, régulièrement je dois satisfaire mes démons.
Mes expériences sexuelles passées, que je vous ai en partie racontées, ont marqué l’hétérosexuel que je suis et en ont fait un bisexuel occasionnel ; occasionnel, mais qui va s’imposer à moi régulièrement. En effet, quand les plaisirs que j’ai ressentis en couchant avec ces différents mâles me reviennent à l’esprit, je ne peux plus penser à autre chose tant que je n’ai pas retrouvé la chaleur du corps d’un autre homme. Alors, toutes les parties de jambes en l’air avec des femmes me paraissent fades, et ce tant que je n’ai pas moi-même écarté les cuisses.
Car au cours de mes expériences passées avec les hommes, j’ai été plus souvent passif qu’actif. D’abord dans le cadre de mon initiation avec les hommes, puis par jeu, j’ai développé le goût de déshabiller mes hommes, de sucer leur queue et de me faire sodomiser.
Mais plus que le goût du simple rapport avec les hommes, c’est le désir, voire le besoin, de me faire dominer par eux. Ce goût de la soumission m’est venu avec mon initiateur qui a fait de moi sa poupée de baise et qui a ancré ce sentiment en moi. Il m’a fait ressentir ce que c’est d’appartenir à quelqu’un d’autre que soit même et de ne penser qu’au plaisir de l’autre, plutôt qu’à son propre plaisir.
Dès lors, quand l’envie de coucher avec un homme « pointe le bout de sa queue », ce n’est pas que le plaisir sexuel qui me motive, mais la volonté de perdre tout contrôle, toute volonté et toute retenue. Mon plaisir est maximal quand mon amant me rabaisse, prend les rênes et me domine pour son propre plaisir ; car c’est comme ça que j’aime baiser avec les mâles.
Comme je vous l’ai dit, ces envies de luxure homosexuelle se manifestent de temps à autre ; parfois de manière progressive laissant le désir grandir jusqu’à ce que je ne puisse plus le réprimer, parfois d’un coup, à la vue d’un homme qui me fait l’effet d’une bombe. C’est un exemple de cette dernière situation que j’ai envie de partager avec vous.
Cela s’est passé, il y a un mois. Mon dernier rapport avec un homme remontait à une semaine. Il s’agissait d’un homme mûr que je fréquente de temps en temps, et qui voulait qu’on joue à l’abstinence. Abstinence que j’avais donc imposée à ma copine, prétextant que le boulot se passait pas très bien et que j’étais sous pression. Elle avait des doutes, s’imaginait peut être que je la trompais avec une autre. Mais une fois l’abstinence terminée avec mon homme, tout était rentré dans l’ordre. Et je pensais que tout allait se calmer entre nous.
J’étais au café avec ma copine, attendant la fin de la pause déjeuner, montrant que le temps de vache maigre était fini et que tout allait pour le mieux. Normalement, l’intervalle entre le dernier rapport et le nouveau est plus long. Cependant j’ai rencontré un homme qui a réveillé instantanément mes démons. Il était grand, un peu plus que moi, la quarantaine, les cheveux poivre et sel, l’allure d’un homme qui sait où il va et ce qu’il veut. Il est entré dans le café et dès que je l’ai vu, j’ai eu envie de son sexe.
A partir de ce moment, j’ai eu du mal à me concentrer sur ma copine et sa discussion ; heureusement elle est bavarde. Je jetais de brefs coups d’œil à cet homme, assis à quelques tables de nous, essayant de ne pas me faire remarquer par elle, mais de me faire remarquer par lui. Cela a dû fonctionner car nos regards se sont croisés plusieurs fois et il devait sentir le trouble qu’il provoquait au tréfonds de mon corps.
Il s’est dirigé vers les toilettes, mais en se levant, il me fixait. J’ai pensé, espéré à une invitation à le suivre. Je me suis excusé auprès de ma copine et je suis allé à la salle d’eau. Je tremblais de peur et de désir à l’idée de me frotter à ce mâle. Une fois à l’intérieur, je l’ai rejoint dans une des cabines des toilettes et j’ai pu constater qu’effectivement, il était un dominateur. Il m’a pris par le cou, comme pour m’étrangler, m’a plaqué contre le mur de la cabine et m’a embrassé.
- « Tu as envie de baiser, petite pute ? »Il avait un ton assuré et un peu agressif. J’avais le souffle un peu coupé par sa main sur mon cou, son corps plaqué contre le mien et toute la tension sexuelle.
- « Oui, j’en ai très envie » soupirai-je.
- « Je n’ai pas le temps de te prendre tout de suite ; alors tu vas retourner à ta table, et ce soir, tu vas me rejoindre chez moi pour toute la nuit. Mais avant, tu vas faire quelque chose ».
Je me voyais déjà en train de le sucer ici. Je me trompais.
- « Je ne vais pas m’occuper de ton plaisir ce soir, alors tu te videras les couilles avant de venir chez moi. Tu te feras sucer par ta copine car je ne te le ferai pas ».
- « Comme vous voudrez » dis-je totalement excité.
Il a glissé un papier avec son adresse dans ma main puis il est parti. J’ai attendu un peu pour reprendre mon souffle et perdre un peu d’excitation. Je suis retourné à ma table, essayé de porter de l’intérêt à ma copine. Le soir venu, je l’ai convaincue de me faire une pipe, pendant laquelle je pensais à mon futur amant, et en échange je lui ai léché la chatte, en simulant le plaisir que ça me procurait.
Je me suis arrangé pour ressortir le soir, prétextant un boulot urgent à finir, et je me suis rendu à l’adresse indiquée. Au pas de la porte, je tremblais de nouveau, terriblement excité. Enfin, j’ai sonné à la porte.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Marcusix
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
agréable récit, et très excitant.
j'adore hummm se sentir femelle devant un beau male ; tu m'as excite à un point incroyable
Vivement la suite, je suis tout émoustillé !
excellent récit, bien écrit, plus que vraissemblable. L'évolution de la passivité vers la soumission est un parcours inévitable