confessions ado suite 2
Récit érotique écrit par Bogigi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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confessions ado suite 2
Le supermarché des plagistes
Ce jour là je devais accompagner en voiture ma mère et une de ses amies vers un
supermarché assez proche. Les supermarchés des plagistes en quelque sorte, car la
tenue des clients était des plus légère. Arrivé là, j’ai préféré les attendre en
restant ans la galerie marchande plus attrayante. Un petit besoin impérieux me
conduisit vers les toilettes. J’étais seul ce que je souhaitais car devant l’urinoir
je devais baisser mon short en tissu synthétique qui était plutôt un shorty en couleur
et sans braguette. J’étais nudiste mais je savais me tenir ! C’est alors que mes
fesses charnues étant à l’air, un homme jeune vint se placer à mon côté, ouvrit sa
braguette et put se soulager. Mais son regard dut se fixer sur mes fesses joufflues.
Il m’observait. Mieux encore il se tourna vers moi en souriant et en faisant le
geste de la masturbation. Par effronterie et presque par l’impatience d’avoir été
observé, je fis de même pendant quelques secondes. Il avait une grosse bite. Moi je ne
bandais pas mais comme je l’ai dit mes organes génitaux volumineux devaient le
surprendre pour mon âge. Je le savais et les montrer à cet homme obscène était ma
réponse insolente !
Nous n’étions que nous deux dans ces toilettes heureusement.
L’homme, nullement vexé fit un sourire admiratif mais gentil. Il m’invita à entrer
avec lui dans une cabine. J’ai hésité. Il insista en me disant que nous pourrions tous
les deux pratiquer cette petite affaire somme toute banale et que je devais faire
souvent moi-même au lycée.
Il ouvrit une des cabines. C’était la plus grande. Celle réservée en principe aux
handicapés. Je le suivis. Il fut nu presque tout de suite. J’ai baissé mon short très
léger. Il me le quitta
totalement en me caressant. J’aimais son attitude et mon organe devint aussi raide que
le sien. Il était accroupi devant moi et sa bouche absorba mon gland mais sans le
sucer. Cela m’excitait plus encore. C’est alors qu’il me demanda de me retourner pour
caresser mes fesses. En fait c’était sa langue qui me caressait. Il me fit écarter les
cuisses. J’étais réticent mais il savait si bien me caresser ! D’une main ferme il me
fit me courber et sa langue qui caressait mes fesses s’introduisit dans mon trou
intime. La sensation qui me saisit fut très forte. Il arriva à me faire gémir ! Peu
après il se leva et sa bite très raide se frotta à cet endroit. Il me rassura tout de
suite sur son intention. Il ne ferait que la frotter entre mes deux hémisphères
fessiers qui le tentaient. « Je m’irais pas plus loin ! » me rassurait-il. Je compris
qu’il voulait seulement jouir sur mon cul en le caressant de cette façon. Il me dit
que tout de suite après il me sucerait ! Ce qu’il fera. Sans tricher. Mais son
frottement contre mes fesses dura longtemps. Je l’entendais souffler très fort. Il
chuchotait « ah ton cul ! » sans arrêt, puis il poussa un cri rauque et je me sentis
arrosé de sa semence.
Il me fit retourner, s’accroupit et absorba ma bite. Excité depuis le début je
sentis venir l’éjaculation et je le voulus le prévenir. Mais loin de me lâcher, ses
deux mains appuyées sur mes fesses me firent comprendre qu’il voulait tout absorber.
Ce qu’il fit. Je me sentais épuisé et c’est lui qui à l’aide son mouchoir qu’il
mouillait sous le robinet du petit lavabo me lava les fesses encore humide de son
sperme. Il se rhabilla. Il m’aida même à remettre mon short et avant de nous quitter
il me remercia. Il sortit après m’avoir recommandé d’attendre une minute avant de
sortir moi-même.
J’attendis à nouveau dans la galerie marchande. Ma mère et son amie arrivèrent un
quart d’heure plus tard. Je les ai aidés à ranger leurs achats dans le coffre. Je
m’étendis sur la banquette arrière et ma mère fut étonnée d’avoir dû me réveiller
devant la maison.
Le professeur
A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait sur mon
expérience vécue le matin même. J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais
aucun n’avait eu le désir d’introduire sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du
moins aucun ne l’avait fait. Cette pensée m’excita.
Un de nos invités était célibataire. Cet homme avait une cinquantaine d’années.
C’était un ami de mon père. Dans son short de type scout, maigre et sec, il faisait
penser à un officier anglais de l’armée des Indes du temps de Georges VI père de
l’actuelle souveraine. En fait, il était parisien et professeur de linguistique dans
une Université que je ne citerai pas. Nous avions échangé quelques propos courtois. Il
était satisfait de me voir étudier le latin et le grec. Il me citait quelques vers
d’Ovide car il m’avais vu ayant en main avec un extrait de ce poète et notamment ses
écrits érotiques oubliés dans la bibliothèque de mon père. Certains très chauds comme
Remedia amoris (avec sa traduction). Il se disait antimilitariste, écolo, et se
nourrissant bio ! Il voulut continuer l’érudite conversation sur la terrasse qui à
cette heure-là était déserte et couverte de sa toile de tente. J’étais nu comme ma
mère le souhaitait. Il m’invita à s’asseoir sur ses genoux. Ma situation était rude
car ses genoux osseux et dur roulaient sous mes fesses. Il me faisait lire Ovide alors
que lui-même semblait haleter. Son souffle était aussi vif que ses genoux étaient
anguleux. Son haleine au dentifrice bio n’avait rien d’excitant. Brusquement il me fit
mettre debout, m’invita à l’attendre, sortit et revint avec un nouveau short !
Malgré la naïveté de mon âge je compris la raison de ce changement. Mes fesses
dodues avaient dû lui taquiner son organe viril et lui occasionner un jaillissement
imprévu de semence encore abondante.
Je me suis efforcé de ne pas sourire. Il me fit promettre de le rejoindre après le
repas sur une dune que nous connaissions.
Pendant le repas, j’évitai ses regards. Après le café je le vis sortir après
m’avoir lancé un regard qu’il voulait aimable. J’hésitai de mon coté à sortir. Puis ne
voulant pas m’enfermer pour cette journée je quittai mon short, pris mon livre latin
et pris le sentier de la plage sous la maison. La dune qu’il m’avait indiquée était
proche. Je vins vers lui. Il souriait. Maintenant, nous étions assis, nus.
Il me fit lire une page d’Ovide extrait des « Métamorphoses » me félicitant pour
avoir su
habilement scandé les syllabes longues des vers latins. Mais pendant ma diction sa
main caressait mes cuisses. Ses caresses le faisaient bander. Je le laissais s’exciter
ainsi. Sa bouche se posa sur mes épaules puis couru le long de ma poitrine et s’arrêta
un instant sur le nombril. Je m’allongeai. Le livre fermé reposait sur mon ventre. Il
m’écarta les cuisses et je compris ce qu’il comptait obtenir. Je pris le parti de le
laisser faire. Ayant constaté son acceptation muette il se leva, et me hissa doucement
sur le monticule de sable tout proche. Les cuisses bien écartées il regarda longtemps
la partie pendante et contenant les deux boules et la caressa. Il était stupéfait de
ce gros organe pendant dont il pelota les boules. Ma verge lui semblait grosse.
J’avais juste un peu de pilosité claire à son entour. Il l’engloutit goulument. Sa
succion était agréable. Je lui dis que je l’avertirai quand il le faudra. Il me
répondit qu’il « souhaitait savourer mon nectar ». Il semblait répéter par ce mot la
traduction d’un poème érotique grec que je connaissais ! et pour cela je faillis rire
! Il me suça longuement et je l’avertis de mon éjaculation proche ; mais il serra ses
lèvres et absorba. Mais mon jus était très abondant car le dernier ayant été
suffisamment absorbé arrosa copieusement sa poitrine ce qui le fit rire. Il restait
près de moi toujours excité. Il se leva, cacha son érection par sa serviette et
m’encouragea à courir pour plonger dans la mer. Il courut derrière moi et me
rejoignit. Quelques brasses suffirent pour nous retrouver derrière la digue. Il lava
sa poitrine puis mes cuisses et soigna mes organes génitaux de ses deux mains. Il
m’ouvrit les fesses et passa ses doigts pour laver mon orifice postérieur. Malgré la
fraicheur de l’eau sa bite était redevenue raide. Il s’entoura de sa serviette et
m’invita à revenir sur la dune. Je repris lentement cette direction portant ma
serviette autour du cou. Il me suivait et une fois arrivé, me dit comme l’avait fait
une des filles, combien il avait savouré les mouvements de mes fesses charnues.
Quand il ôta sa serviette je vis que son érection était vive, d’autant qu’il
n’avait pas jouis en me suçant quelques minutes plus tôt. Il me dit à quel point il
avait besoin de se répandre. Toujours sur la bosse de sable sur lequel j’avais étendu
ma serviette je me positionnai à quatre pattes devant lui, puisqu’aussi bien il aimait
regarder mes fesses ! Il pourrait donc se branler à loisir devant ce petit spectacle
innocent sue j’offrais. En fait il écarta mes jambes. Je compris qu’il souhaitait
contempler ma rosette qui à l’époque n’avait aucune pilosité ou à peine ! J’écartai
mes cuisses. Je sentis ses mains m’écarter les fesses comme me l’avait fait le jeune
homme rencontré dans les toilettes du supermarché.
C’est alors que je sentis sa bouche se plaquer contre mon orifice qu’il avait pris
soin de laver dans la mer tout à l’heure. Sa langue devint fine et s’introduisit avec
l’aisance d’un habitué. Il adorait sans doute les culs des jeunes garçons et savait
sans doute ce qui leur fait tant plaisir. Il savait qu’il me faisait jouir.
Sa main droite avait saisi mon sac à testicules qui était long. Il en caressait
amoureusement les boules. La sensation que j’en recevais était devenue si vive que je
gémissais. Je sentais que mon compagnon se branlait. Puis il se coucha sur moi. Sa
bite était allongée raide, le long de mon derrière.
- Je vais te pénétrer doucement.
- Non !! j’ai jamais fait ça ! je veux pas !
- Alors laisse-moi me frotter sur tes fesses
- Alors oui !
Il prit longuement son plaisir. Puis il souffla et inonda mon cul. Son sperme coulait
sur mes fesses et même sur mon dos.
- Alors ! On a prit du bon temps je vois ! s’écria un homme que nous connaissions de
vue. Mais là.... nous ne l’avions pas vu !.
- Il a un joli cul ce petit ! reprit-il, il faudrait me le prêter un peu ...
Notre surprise fut totale. Le professeur se redressa s’enveloppa de sa serviette avec
la dignité qui lui restait et partit. J’allais courir tout de suite me jeter à l’eau
quand l’homme agrippa mon bras d’une main vigoureuse. Lui aussi était nu et il
m’expliqua qu’il avait regardé la scène ce qui lui avait occasionné une érection bien
visible. Il me dit de ne pas bouger et que me regarder lui suffisait. D’autre part il
ne voulait pas se coller au sperme du professeur qui continuait à couler de mon dos et
de mes fesses sur mes cuisses. Je restais donc dans la position dans laquelle il nous
avait surpris et sans me toucher il se masturba vigoureusement. Seul un gémissement
rauque me fit comprendre qu’il avait eu sa petite dose de plaisir. Puis avec une
certaine solennité il assura qu’il ferait silence tant sur les attitudes du professeur
que sur la mienne. J’étais certain de cette promesse.
Michel
Michel sont les parents louaient un appartement à la Grande Motte se prêta
souvent au naturisme. Il fut mon seul copain dans ce lycée privé. En allant au stade
nous rencontrions assez souvent des filles et certaines se laissaient caresser. Mais
caresser seulement ! Nous étions très jeunes. Elles aussi ! Nous restions puceaux !
Voilà une série d’histoires bien banales me diriez-vous mais la suite l’est moins.
Une des filles nous donna un espoir fou !
Nous pouvions enfin nous dépuceler !
Nous devions la rencontrer chez Michel, ses parents étant absents de l’appartement
qu’ils louaient dans une des « pyramides » de la Grande Motte.
Las ! Au dernier moment, c'est-à-dire alors qu’elle devait déjà être avec nous, elle
s’est décommandée par téléphone, nous laissant sur notre faim ; c’était trop tard pour
changer notre programme, seules restaient notre conversation et la télé pour nous
satisfaire. Cependant très rapidement, c’est sur nos relations avec elle que nos
récits se sont portés, chacun
racontant plus ou moins les doux exploits qu’il avait souhaité avec elle. Très vite
mon sexe a gonflé et un regard vers mon copain m’a prouvé que je n’étais pas le seul à
être excité. La surprise est venue quand, ouvrant son pantalon, il a commencé à se
caresser, tout en continuant notre brulante conversation ; je l’avais déjà vu tout nu
dans les douches, et nous gardions en mémoire la chaleureuse intimité que nous nous
étions prodiguée maintes fois dans mon lit de pensionnaire de bahut.
Mais là son gland était décalotté et turgescent ; en me regardant, il me dit : «
ne te gène pas, toi aussi tu bandes, je le vois ! ». L’envie est forte. Puis se
levant, choisissant une cassette, Michel se dirige vers la télé et commence alors un
film porno et s’asseyant près de moi, il se branle en regardant le film. C’était la
vidéo d’un trio de deux garçons et d’une fille. Nous avions au moins la vue à défaut
du physique devant nous.
Non seulement ils baisent la fille, mais en plus, ils se tripotent allègrement ; je
dois reconnaitre que je suis particulièrement excité. Soudain Michel se tourne vers
moi et ouvre mon pantalon, « vas-y ne te gène pas, tu en as aussi envie que moi » me
dit-il en sortant mon sexe. Et il le branle hardiment.
Alors je quitte mon pantalon et la tige tendue, mélangeant le plaisir et le fruit
défendu, je m’offre à sa caresse. Il se penche et gobe mon sexe. Une décharge de
plaisir me parcourt le corps, puis se retirant il vient me lécher, du gland jusqu’aux
couilles ; sa langue, chaude et ardente me pénètre puis à nouveau il me suce en me
malaxant les boules, les tirant en arrière ce qui me provoque une première jouissance
; je sens mon plaisir monter et j’essaie de me retirer, mais il m’agrippe, avalant ma
semence jusqu’à la dernière giclée.
Mon corps est parcouru de frisson et je réalise que je viens de jouir comme lorsque
nous étions en internat. Sa peau est douce, une goutte perle au bout du méat ; je la
caresse, fébrilement, essayant de lui apporter le même plaisir. Pour lui cela ne
suffit pas et me prenant les cheveux, il me fait pencher sur ce sexe qui m’attire.
Maladroitement je le suce, j’ai soudain envie de le faire jouir et de boire sa liqueur
comme quand nous étions pensionnaires. Je découvre un nouveau plaisir et mon ventre
est envahit par une douce chaleur ; je sens bientôt son membre parcouru de spasmes et
ses jets s’écrasent dans ma bouche ; surpris je ne peux tout avaler et me redressant,
Michel me lèche les lèvres, puis c’est un véritable baiser. Sa langue me fouille la
bouche ; d’abord rétif, je lui réponds, et c’est un véritable baiser d’amoureux qui
nous unis, long et langoureux. Le film que nous regardions nous donnait de nouvelles
envies
« J’ai envie de toi, viens …….. », me dit Michel. Me prenant par la main, il
m’entraine vers sa chambre. Nous abandonnons nos vêtements et c’est complètement nus
qu’il me renverse sur le lit. Sa bouche avale à nouveau ma queue bandée par le désir.
Sa langue me parcourt la tige puis, m’écartant les cuisses, elle investit mon sillon ;
quand sa langue me touche la rondelle, je ne peux retenir un long gémissement de
plaisir ; un jet de salive atterrit sur mon orifice. Un doigt vient en titiller
l’entrée ; quand il s’incruste, je ne peux retenir une crispation, appréhendant la
douleur, mais il reste doux et bientôt son doigt me pénètre, dilate le conduit qui
doucement s’élargit et c’est bientôt un deuxième doigt qui me pénètre ; il n’y a plus
de crainte, je sais qu’il va me sodomiser mais j’ai envie d’être sa chose.
Me mettant à plat ventre au bord du lit, j’écarte bien mes cuisses. Son gland vient
doucement frotter mon trou, glisse sur l’entrée puis remonte le long du sillon, avant
de percer doucement la résistance. Là mon conduit se dilate et sa queue me pénètre,
lentement, mais fermement. Je pousse un cri vif. Son gland vient d’écarter des
résistances ultimes. Michel s’arrête. La douleur s’apaise. C’est moi qui balbutie «
pardon c’est idiot de ma part, continue ! » La douleur du début a presque disparu
maintenant, laissant place à une montée rapide du plaisir ; bientôt ses testicules
viennent frapper les miennes ; ressortant sa queue, il recommence mais cette fois il
me percute puissamment, s’enfonçant d’une seule traite et commence alors une baise,
rapide, profonde jusqu’à la garde à chaque coup de queue ;
Je gémis, sous les coups de butoir, mais j’encaisse sa queue avec bonheur, je
cambre mes reins pour qu’il aille plus loin, plus fort ; ma queue tendue me fait mal,
j’ai envie de jouir, mais j’ai aussi envie que le plaisir dure ; puis c’est la
délivrance ; il se cabre et sa queue me déverse ses flots de sperme. Ses jets,
nombreux et chauds me frappent les entrailles et soudain c’est moi qui explose, je
crie mon bonheur et j’éjacule sans m’être touché.
Repus de plaisir, nous nous sommes reposés l’un contre l’autre. Et c’est à
plusieurs reprises après mettre fait plusieurs fois enculé, c’est les yeux cernés que
je voulu repartir, sachant
maintenant que j’aimais me faire prendre ... par le derrière.
- Mais je reste puceau pour les filles, lui dis-je. Je n’ai fait que les caresser
dans une dune de la plage naturiste. Une m’a branlé mais sans se laisser pénétrer.
Mais maintenant grâce toi je ne suis plus puceau du derrière !
- Moi, par contre répond Michel je suis toujours puceau ... et des deux côtés ! Toi
j’aimerais que tu me fasses ce que je t’ai fait !
- Oui dis-je, c’est bien normal, je te baiserai parce que... vois-tu.... je t’aime !
Au bout d’un long moment alors que le film remis dans la télé nous excite à nouveau
je tente de le caresser. Nous sommes toujours nus. L’appartement est à nous toute la
nuit et même demain ! Je téléphone à ma mère que je suis chez Michel et que je
souhaite rester chez lui jusqu’à demain. Elle le connaît. Elle sait que ce garçon est
mon meilleur copain, elle connaît ses parents, elle sait que Michel est sérieux et
elle accepte de me savoir là.
Nous nous habillons d’un tee-shirt et d’un shorty pour aller dans le petit
restaurant au bas de l’immeuble. Mais avant je consultai ma montre et lui dis :
- Attends moi là ! La pharmacie n’est pas encore fermée !
- Mais pourquoi faire ?
- Tu m’as bien dit que tu voulais être baisé ...par moi... et j’en ai envie.
- Oui, mais nous n’avons pas besoin de préservatif !
- Pas de préservatif mais de lubrifiant. Reste là. N’y entrons pas tous les deux ça
choquerait !
Je ressors avec deux tubes dans un sachet en papier. Puis nous entrons dans le
restaurant.
Il y avait déjà un peu de monde ce soir mais nous trouvons une table retirée et
doucement notre conversation devient des plus érotiques. Il me dit qu’il m’aime. Il
veut que je lui ouvre bien les fesses pour les lui remplir de mon jus tant que je le
souhaite. Il sait pourtant que ma verge est de bonne dimension mais l’idée d’avoir
acheté du lubrifiant lui parait géniale ! Cette conversation nous chauffe et nous nous
apprêtons à sortir. En traversant la petite salle de restaurant nous regrettons de
n’avoir revêtu qu’un short si léger ! Nos organes pointent dans notre petit vêtement.
Le garçon de la caisse sourit. Nous cherchons à sortir vite mais les autres dineurs
peuvent voir notre érection ! Nous avions posé le sachet sur la table et il montait
qu’il s’agissait de « pharmacie ». Mais notre honte devient fierté et nous sommes
passés devant tous sans plus de gène, la bite raide dans nos slips. Notre public nous
regardait en fait avec une tendre stupéfaction. Disons que lui et moi sommes de très
beaux garçons. Je suis sûr qu’ils envient les lignes de notre corps et notre tendre
jeunesse. Michel sait que je vais m’occuper de son derrière et doit en frémir !
C’est dans cet état que dès l’entrée nous quittons ces vêtements qui trahissaient
nos désirs. Michel est allé chercher une boisson. Nu à nouveau je caresse son dos. Il
s’est appuyé contre le bord du lit sur un gros oreiller. Ses fesses sont à la hauteur
de mon organe. Il écarte ses cuisses. J’ouvre les hémisphères souples de son derrière.
Ma langue s’y introduit. Il gémit doucement, la tête contre le lit. Son plaisir est
intense. Je le sais. Je fais ce qu’il m’a déjà fait et mon plaisir est intense aussi.
Son anus est plein de ma salive. Je vais lui ajouter une bonne dose de lubrifiant. Je
débouche le tube et le lui introduis. J’appuie lentement en le retirant doucement. Je
sais que je lui ai empli l’orifice d’une bonne dose. Mon doigt s’y introduit aussi. Il
resserre instinctivement ses sphincters. Je lui dis de se détendre au maximum. J’y
fais pénétrer mes deux doigts, puis trois. Il est bien détendu. Je mets un peu plus de
lubrifiant dans son orifice bien ouvert . Je sais, qu’en raison de mon organe
fortement proportionné pour mon âge, ma pénétration devra être lente. Je ne veux
surtout pas qu’il ait mal. Du moins très peu. Je me branle pour faire revenir une
bonne érection. Je fais promener mon gland autour de son anus. Je le fais pénétrer
mais je sens la résistance naturelle de son orifice. Je pousse. Je le vois mordre
l’oreiller. Il ne dit rien mais doit avoir un peu mal. Je sais qu’il faut pénétrer
vite. Il pousse un cri ! Je ne bouge plus, le rassure. Il me dit de continuer. Que
c’est supportable. Je m’enfonce lentement. Il me dit ne plus avoir mal. Oh que j’aime
le pénétrer ! Je le lui dis ! Il me dit de continuer. Maintenant ce sont des va-et-
vient faciles. Mon organe raidi et brûlant de désir, glisse dans le lubrifiant ! Il me
dit qu’il aime ça. Il gémit en disant « oh ! je t’aime ! ». Il le répète sans cesse !
Je fais durer l’opération. Pour lui. Pour moi aussi ! Puis je l’avertis que je ne vais
pas tarder à éjaculer ! « Oui vas-y !vas-y ! vas-y !... » je pousse un cri de plaisir.
Plusieurs jets se propulsent en lui. Je le lui dis. Il est pleinement heureux. Je
reste en lui. Ma tige se ramollit lentement. Et tout aussi lentement je me retire. Nos
bouches se joignent.
- Voilà lui dis-je tu n’es plus puceau. Mais pour les filles nous sommes encore
deux puceaux. Nos bouches se joignent encore. Je vois quelques larmes dans ses yeux.
Il me demandera deux fois encore de le « prendre ». Dans la nuit. Le lendemain il vint
chez nous et comme le désirait ma mère il resta nu sur la terrasse près de moi.
Ce jour là je devais accompagner en voiture ma mère et une de ses amies vers un
supermarché assez proche. Les supermarchés des plagistes en quelque sorte, car la
tenue des clients était des plus légère. Arrivé là, j’ai préféré les attendre en
restant ans la galerie marchande plus attrayante. Un petit besoin impérieux me
conduisit vers les toilettes. J’étais seul ce que je souhaitais car devant l’urinoir
je devais baisser mon short en tissu synthétique qui était plutôt un shorty en couleur
et sans braguette. J’étais nudiste mais je savais me tenir ! C’est alors que mes
fesses charnues étant à l’air, un homme jeune vint se placer à mon côté, ouvrit sa
braguette et put se soulager. Mais son regard dut se fixer sur mes fesses joufflues.
Il m’observait. Mieux encore il se tourna vers moi en souriant et en faisant le
geste de la masturbation. Par effronterie et presque par l’impatience d’avoir été
observé, je fis de même pendant quelques secondes. Il avait une grosse bite. Moi je ne
bandais pas mais comme je l’ai dit mes organes génitaux volumineux devaient le
surprendre pour mon âge. Je le savais et les montrer à cet homme obscène était ma
réponse insolente !
Nous n’étions que nous deux dans ces toilettes heureusement.
L’homme, nullement vexé fit un sourire admiratif mais gentil. Il m’invita à entrer
avec lui dans une cabine. J’ai hésité. Il insista en me disant que nous pourrions tous
les deux pratiquer cette petite affaire somme toute banale et que je devais faire
souvent moi-même au lycée.
Il ouvrit une des cabines. C’était la plus grande. Celle réservée en principe aux
handicapés. Je le suivis. Il fut nu presque tout de suite. J’ai baissé mon short très
léger. Il me le quitta
totalement en me caressant. J’aimais son attitude et mon organe devint aussi raide que
le sien. Il était accroupi devant moi et sa bouche absorba mon gland mais sans le
sucer. Cela m’excitait plus encore. C’est alors qu’il me demanda de me retourner pour
caresser mes fesses. En fait c’était sa langue qui me caressait. Il me fit écarter les
cuisses. J’étais réticent mais il savait si bien me caresser ! D’une main ferme il me
fit me courber et sa langue qui caressait mes fesses s’introduisit dans mon trou
intime. La sensation qui me saisit fut très forte. Il arriva à me faire gémir ! Peu
après il se leva et sa bite très raide se frotta à cet endroit. Il me rassura tout de
suite sur son intention. Il ne ferait que la frotter entre mes deux hémisphères
fessiers qui le tentaient. « Je m’irais pas plus loin ! » me rassurait-il. Je compris
qu’il voulait seulement jouir sur mon cul en le caressant de cette façon. Il me dit
que tout de suite après il me sucerait ! Ce qu’il fera. Sans tricher. Mais son
frottement contre mes fesses dura longtemps. Je l’entendais souffler très fort. Il
chuchotait « ah ton cul ! » sans arrêt, puis il poussa un cri rauque et je me sentis
arrosé de sa semence.
Il me fit retourner, s’accroupit et absorba ma bite. Excité depuis le début je
sentis venir l’éjaculation et je le voulus le prévenir. Mais loin de me lâcher, ses
deux mains appuyées sur mes fesses me firent comprendre qu’il voulait tout absorber.
Ce qu’il fit. Je me sentais épuisé et c’est lui qui à l’aide son mouchoir qu’il
mouillait sous le robinet du petit lavabo me lava les fesses encore humide de son
sperme. Il se rhabilla. Il m’aida même à remettre mon short et avant de nous quitter
il me remercia. Il sortit après m’avoir recommandé d’attendre une minute avant de
sortir moi-même.
J’attendis à nouveau dans la galerie marchande. Ma mère et son amie arrivèrent un
quart d’heure plus tard. Je les ai aidés à ranger leurs achats dans le coffre. Je
m’étendis sur la banquette arrière et ma mère fut étonnée d’avoir dû me réveiller
devant la maison.
Le professeur
A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait sur mon
expérience vécue le matin même. J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais
aucun n’avait eu le désir d’introduire sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du
moins aucun ne l’avait fait. Cette pensée m’excita.
Un de nos invités était célibataire. Cet homme avait une cinquantaine d’années.
C’était un ami de mon père. Dans son short de type scout, maigre et sec, il faisait
penser à un officier anglais de l’armée des Indes du temps de Georges VI père de
l’actuelle souveraine. En fait, il était parisien et professeur de linguistique dans
une Université que je ne citerai pas. Nous avions échangé quelques propos courtois. Il
était satisfait de me voir étudier le latin et le grec. Il me citait quelques vers
d’Ovide car il m’avais vu ayant en main avec un extrait de ce poète et notamment ses
écrits érotiques oubliés dans la bibliothèque de mon père. Certains très chauds comme
Remedia amoris (avec sa traduction). Il se disait antimilitariste, écolo, et se
nourrissant bio ! Il voulut continuer l’érudite conversation sur la terrasse qui à
cette heure-là était déserte et couverte de sa toile de tente. J’étais nu comme ma
mère le souhaitait. Il m’invita à s’asseoir sur ses genoux. Ma situation était rude
car ses genoux osseux et dur roulaient sous mes fesses. Il me faisait lire Ovide alors
que lui-même semblait haleter. Son souffle était aussi vif que ses genoux étaient
anguleux. Son haleine au dentifrice bio n’avait rien d’excitant. Brusquement il me fit
mettre debout, m’invita à l’attendre, sortit et revint avec un nouveau short !
Malgré la naïveté de mon âge je compris la raison de ce changement. Mes fesses
dodues avaient dû lui taquiner son organe viril et lui occasionner un jaillissement
imprévu de semence encore abondante.
Je me suis efforcé de ne pas sourire. Il me fit promettre de le rejoindre après le
repas sur une dune que nous connaissions.
Pendant le repas, j’évitai ses regards. Après le café je le vis sortir après
m’avoir lancé un regard qu’il voulait aimable. J’hésitai de mon coté à sortir. Puis ne
voulant pas m’enfermer pour cette journée je quittai mon short, pris mon livre latin
et pris le sentier de la plage sous la maison. La dune qu’il m’avait indiquée était
proche. Je vins vers lui. Il souriait. Maintenant, nous étions assis, nus.
Il me fit lire une page d’Ovide extrait des « Métamorphoses » me félicitant pour
avoir su
habilement scandé les syllabes longues des vers latins. Mais pendant ma diction sa
main caressait mes cuisses. Ses caresses le faisaient bander. Je le laissais s’exciter
ainsi. Sa bouche se posa sur mes épaules puis couru le long de ma poitrine et s’arrêta
un instant sur le nombril. Je m’allongeai. Le livre fermé reposait sur mon ventre. Il
m’écarta les cuisses et je compris ce qu’il comptait obtenir. Je pris le parti de le
laisser faire. Ayant constaté son acceptation muette il se leva, et me hissa doucement
sur le monticule de sable tout proche. Les cuisses bien écartées il regarda longtemps
la partie pendante et contenant les deux boules et la caressa. Il était stupéfait de
ce gros organe pendant dont il pelota les boules. Ma verge lui semblait grosse.
J’avais juste un peu de pilosité claire à son entour. Il l’engloutit goulument. Sa
succion était agréable. Je lui dis que je l’avertirai quand il le faudra. Il me
répondit qu’il « souhaitait savourer mon nectar ». Il semblait répéter par ce mot la
traduction d’un poème érotique grec que je connaissais ! et pour cela je faillis rire
! Il me suça longuement et je l’avertis de mon éjaculation proche ; mais il serra ses
lèvres et absorba. Mais mon jus était très abondant car le dernier ayant été
suffisamment absorbé arrosa copieusement sa poitrine ce qui le fit rire. Il restait
près de moi toujours excité. Il se leva, cacha son érection par sa serviette et
m’encouragea à courir pour plonger dans la mer. Il courut derrière moi et me
rejoignit. Quelques brasses suffirent pour nous retrouver derrière la digue. Il lava
sa poitrine puis mes cuisses et soigna mes organes génitaux de ses deux mains. Il
m’ouvrit les fesses et passa ses doigts pour laver mon orifice postérieur. Malgré la
fraicheur de l’eau sa bite était redevenue raide. Il s’entoura de sa serviette et
m’invita à revenir sur la dune. Je repris lentement cette direction portant ma
serviette autour du cou. Il me suivait et une fois arrivé, me dit comme l’avait fait
une des filles, combien il avait savouré les mouvements de mes fesses charnues.
Quand il ôta sa serviette je vis que son érection était vive, d’autant qu’il
n’avait pas jouis en me suçant quelques minutes plus tôt. Il me dit à quel point il
avait besoin de se répandre. Toujours sur la bosse de sable sur lequel j’avais étendu
ma serviette je me positionnai à quatre pattes devant lui, puisqu’aussi bien il aimait
regarder mes fesses ! Il pourrait donc se branler à loisir devant ce petit spectacle
innocent sue j’offrais. En fait il écarta mes jambes. Je compris qu’il souhaitait
contempler ma rosette qui à l’époque n’avait aucune pilosité ou à peine ! J’écartai
mes cuisses. Je sentis ses mains m’écarter les fesses comme me l’avait fait le jeune
homme rencontré dans les toilettes du supermarché.
C’est alors que je sentis sa bouche se plaquer contre mon orifice qu’il avait pris
soin de laver dans la mer tout à l’heure. Sa langue devint fine et s’introduisit avec
l’aisance d’un habitué. Il adorait sans doute les culs des jeunes garçons et savait
sans doute ce qui leur fait tant plaisir. Il savait qu’il me faisait jouir.
Sa main droite avait saisi mon sac à testicules qui était long. Il en caressait
amoureusement les boules. La sensation que j’en recevais était devenue si vive que je
gémissais. Je sentais que mon compagnon se branlait. Puis il se coucha sur moi. Sa
bite était allongée raide, le long de mon derrière.
- Je vais te pénétrer doucement.
- Non !! j’ai jamais fait ça ! je veux pas !
- Alors laisse-moi me frotter sur tes fesses
- Alors oui !
Il prit longuement son plaisir. Puis il souffla et inonda mon cul. Son sperme coulait
sur mes fesses et même sur mon dos.
- Alors ! On a prit du bon temps je vois ! s’écria un homme que nous connaissions de
vue. Mais là.... nous ne l’avions pas vu !.
- Il a un joli cul ce petit ! reprit-il, il faudrait me le prêter un peu ...
Notre surprise fut totale. Le professeur se redressa s’enveloppa de sa serviette avec
la dignité qui lui restait et partit. J’allais courir tout de suite me jeter à l’eau
quand l’homme agrippa mon bras d’une main vigoureuse. Lui aussi était nu et il
m’expliqua qu’il avait regardé la scène ce qui lui avait occasionné une érection bien
visible. Il me dit de ne pas bouger et que me regarder lui suffisait. D’autre part il
ne voulait pas se coller au sperme du professeur qui continuait à couler de mon dos et
de mes fesses sur mes cuisses. Je restais donc dans la position dans laquelle il nous
avait surpris et sans me toucher il se masturba vigoureusement. Seul un gémissement
rauque me fit comprendre qu’il avait eu sa petite dose de plaisir. Puis avec une
certaine solennité il assura qu’il ferait silence tant sur les attitudes du professeur
que sur la mienne. J’étais certain de cette promesse.
Michel
Michel sont les parents louaient un appartement à la Grande Motte se prêta
souvent au naturisme. Il fut mon seul copain dans ce lycée privé. En allant au stade
nous rencontrions assez souvent des filles et certaines se laissaient caresser. Mais
caresser seulement ! Nous étions très jeunes. Elles aussi ! Nous restions puceaux !
Voilà une série d’histoires bien banales me diriez-vous mais la suite l’est moins.
Une des filles nous donna un espoir fou !
Nous pouvions enfin nous dépuceler !
Nous devions la rencontrer chez Michel, ses parents étant absents de l’appartement
qu’ils louaient dans une des « pyramides » de la Grande Motte.
Las ! Au dernier moment, c'est-à-dire alors qu’elle devait déjà être avec nous, elle
s’est décommandée par téléphone, nous laissant sur notre faim ; c’était trop tard pour
changer notre programme, seules restaient notre conversation et la télé pour nous
satisfaire. Cependant très rapidement, c’est sur nos relations avec elle que nos
récits se sont portés, chacun
racontant plus ou moins les doux exploits qu’il avait souhaité avec elle. Très vite
mon sexe a gonflé et un regard vers mon copain m’a prouvé que je n’étais pas le seul à
être excité. La surprise est venue quand, ouvrant son pantalon, il a commencé à se
caresser, tout en continuant notre brulante conversation ; je l’avais déjà vu tout nu
dans les douches, et nous gardions en mémoire la chaleureuse intimité que nous nous
étions prodiguée maintes fois dans mon lit de pensionnaire de bahut.
Mais là son gland était décalotté et turgescent ; en me regardant, il me dit : «
ne te gène pas, toi aussi tu bandes, je le vois ! ». L’envie est forte. Puis se
levant, choisissant une cassette, Michel se dirige vers la télé et commence alors un
film porno et s’asseyant près de moi, il se branle en regardant le film. C’était la
vidéo d’un trio de deux garçons et d’une fille. Nous avions au moins la vue à défaut
du physique devant nous.
Non seulement ils baisent la fille, mais en plus, ils se tripotent allègrement ; je
dois reconnaitre que je suis particulièrement excité. Soudain Michel se tourne vers
moi et ouvre mon pantalon, « vas-y ne te gène pas, tu en as aussi envie que moi » me
dit-il en sortant mon sexe. Et il le branle hardiment.
Alors je quitte mon pantalon et la tige tendue, mélangeant le plaisir et le fruit
défendu, je m’offre à sa caresse. Il se penche et gobe mon sexe. Une décharge de
plaisir me parcourt le corps, puis se retirant il vient me lécher, du gland jusqu’aux
couilles ; sa langue, chaude et ardente me pénètre puis à nouveau il me suce en me
malaxant les boules, les tirant en arrière ce qui me provoque une première jouissance
; je sens mon plaisir monter et j’essaie de me retirer, mais il m’agrippe, avalant ma
semence jusqu’à la dernière giclée.
Mon corps est parcouru de frisson et je réalise que je viens de jouir comme lorsque
nous étions en internat. Sa peau est douce, une goutte perle au bout du méat ; je la
caresse, fébrilement, essayant de lui apporter le même plaisir. Pour lui cela ne
suffit pas et me prenant les cheveux, il me fait pencher sur ce sexe qui m’attire.
Maladroitement je le suce, j’ai soudain envie de le faire jouir et de boire sa liqueur
comme quand nous étions pensionnaires. Je découvre un nouveau plaisir et mon ventre
est envahit par une douce chaleur ; je sens bientôt son membre parcouru de spasmes et
ses jets s’écrasent dans ma bouche ; surpris je ne peux tout avaler et me redressant,
Michel me lèche les lèvres, puis c’est un véritable baiser. Sa langue me fouille la
bouche ; d’abord rétif, je lui réponds, et c’est un véritable baiser d’amoureux qui
nous unis, long et langoureux. Le film que nous regardions nous donnait de nouvelles
envies
« J’ai envie de toi, viens …….. », me dit Michel. Me prenant par la main, il
m’entraine vers sa chambre. Nous abandonnons nos vêtements et c’est complètement nus
qu’il me renverse sur le lit. Sa bouche avale à nouveau ma queue bandée par le désir.
Sa langue me parcourt la tige puis, m’écartant les cuisses, elle investit mon sillon ;
quand sa langue me touche la rondelle, je ne peux retenir un long gémissement de
plaisir ; un jet de salive atterrit sur mon orifice. Un doigt vient en titiller
l’entrée ; quand il s’incruste, je ne peux retenir une crispation, appréhendant la
douleur, mais il reste doux et bientôt son doigt me pénètre, dilate le conduit qui
doucement s’élargit et c’est bientôt un deuxième doigt qui me pénètre ; il n’y a plus
de crainte, je sais qu’il va me sodomiser mais j’ai envie d’être sa chose.
Me mettant à plat ventre au bord du lit, j’écarte bien mes cuisses. Son gland vient
doucement frotter mon trou, glisse sur l’entrée puis remonte le long du sillon, avant
de percer doucement la résistance. Là mon conduit se dilate et sa queue me pénètre,
lentement, mais fermement. Je pousse un cri vif. Son gland vient d’écarter des
résistances ultimes. Michel s’arrête. La douleur s’apaise. C’est moi qui balbutie «
pardon c’est idiot de ma part, continue ! » La douleur du début a presque disparu
maintenant, laissant place à une montée rapide du plaisir ; bientôt ses testicules
viennent frapper les miennes ; ressortant sa queue, il recommence mais cette fois il
me percute puissamment, s’enfonçant d’une seule traite et commence alors une baise,
rapide, profonde jusqu’à la garde à chaque coup de queue ;
Je gémis, sous les coups de butoir, mais j’encaisse sa queue avec bonheur, je
cambre mes reins pour qu’il aille plus loin, plus fort ; ma queue tendue me fait mal,
j’ai envie de jouir, mais j’ai aussi envie que le plaisir dure ; puis c’est la
délivrance ; il se cabre et sa queue me déverse ses flots de sperme. Ses jets,
nombreux et chauds me frappent les entrailles et soudain c’est moi qui explose, je
crie mon bonheur et j’éjacule sans m’être touché.
Repus de plaisir, nous nous sommes reposés l’un contre l’autre. Et c’est à
plusieurs reprises après mettre fait plusieurs fois enculé, c’est les yeux cernés que
je voulu repartir, sachant
maintenant que j’aimais me faire prendre ... par le derrière.
- Mais je reste puceau pour les filles, lui dis-je. Je n’ai fait que les caresser
dans une dune de la plage naturiste. Une m’a branlé mais sans se laisser pénétrer.
Mais maintenant grâce toi je ne suis plus puceau du derrière !
- Moi, par contre répond Michel je suis toujours puceau ... et des deux côtés ! Toi
j’aimerais que tu me fasses ce que je t’ai fait !
- Oui dis-je, c’est bien normal, je te baiserai parce que... vois-tu.... je t’aime !
Au bout d’un long moment alors que le film remis dans la télé nous excite à nouveau
je tente de le caresser. Nous sommes toujours nus. L’appartement est à nous toute la
nuit et même demain ! Je téléphone à ma mère que je suis chez Michel et que je
souhaite rester chez lui jusqu’à demain. Elle le connaît. Elle sait que ce garçon est
mon meilleur copain, elle connaît ses parents, elle sait que Michel est sérieux et
elle accepte de me savoir là.
Nous nous habillons d’un tee-shirt et d’un shorty pour aller dans le petit
restaurant au bas de l’immeuble. Mais avant je consultai ma montre et lui dis :
- Attends moi là ! La pharmacie n’est pas encore fermée !
- Mais pourquoi faire ?
- Tu m’as bien dit que tu voulais être baisé ...par moi... et j’en ai envie.
- Oui, mais nous n’avons pas besoin de préservatif !
- Pas de préservatif mais de lubrifiant. Reste là. N’y entrons pas tous les deux ça
choquerait !
Je ressors avec deux tubes dans un sachet en papier. Puis nous entrons dans le
restaurant.
Il y avait déjà un peu de monde ce soir mais nous trouvons une table retirée et
doucement notre conversation devient des plus érotiques. Il me dit qu’il m’aime. Il
veut que je lui ouvre bien les fesses pour les lui remplir de mon jus tant que je le
souhaite. Il sait pourtant que ma verge est de bonne dimension mais l’idée d’avoir
acheté du lubrifiant lui parait géniale ! Cette conversation nous chauffe et nous nous
apprêtons à sortir. En traversant la petite salle de restaurant nous regrettons de
n’avoir revêtu qu’un short si léger ! Nos organes pointent dans notre petit vêtement.
Le garçon de la caisse sourit. Nous cherchons à sortir vite mais les autres dineurs
peuvent voir notre érection ! Nous avions posé le sachet sur la table et il montait
qu’il s’agissait de « pharmacie ». Mais notre honte devient fierté et nous sommes
passés devant tous sans plus de gène, la bite raide dans nos slips. Notre public nous
regardait en fait avec une tendre stupéfaction. Disons que lui et moi sommes de très
beaux garçons. Je suis sûr qu’ils envient les lignes de notre corps et notre tendre
jeunesse. Michel sait que je vais m’occuper de son derrière et doit en frémir !
C’est dans cet état que dès l’entrée nous quittons ces vêtements qui trahissaient
nos désirs. Michel est allé chercher une boisson. Nu à nouveau je caresse son dos. Il
s’est appuyé contre le bord du lit sur un gros oreiller. Ses fesses sont à la hauteur
de mon organe. Il écarte ses cuisses. J’ouvre les hémisphères souples de son derrière.
Ma langue s’y introduit. Il gémit doucement, la tête contre le lit. Son plaisir est
intense. Je le sais. Je fais ce qu’il m’a déjà fait et mon plaisir est intense aussi.
Son anus est plein de ma salive. Je vais lui ajouter une bonne dose de lubrifiant. Je
débouche le tube et le lui introduis. J’appuie lentement en le retirant doucement. Je
sais que je lui ai empli l’orifice d’une bonne dose. Mon doigt s’y introduit aussi. Il
resserre instinctivement ses sphincters. Je lui dis de se détendre au maximum. J’y
fais pénétrer mes deux doigts, puis trois. Il est bien détendu. Je mets un peu plus de
lubrifiant dans son orifice bien ouvert . Je sais, qu’en raison de mon organe
fortement proportionné pour mon âge, ma pénétration devra être lente. Je ne veux
surtout pas qu’il ait mal. Du moins très peu. Je me branle pour faire revenir une
bonne érection. Je fais promener mon gland autour de son anus. Je le fais pénétrer
mais je sens la résistance naturelle de son orifice. Je pousse. Je le vois mordre
l’oreiller. Il ne dit rien mais doit avoir un peu mal. Je sais qu’il faut pénétrer
vite. Il pousse un cri ! Je ne bouge plus, le rassure. Il me dit de continuer. Que
c’est supportable. Je m’enfonce lentement. Il me dit ne plus avoir mal. Oh que j’aime
le pénétrer ! Je le lui dis ! Il me dit de continuer. Maintenant ce sont des va-et-
vient faciles. Mon organe raidi et brûlant de désir, glisse dans le lubrifiant ! Il me
dit qu’il aime ça. Il gémit en disant « oh ! je t’aime ! ». Il le répète sans cesse !
Je fais durer l’opération. Pour lui. Pour moi aussi ! Puis je l’avertis que je ne vais
pas tarder à éjaculer ! « Oui vas-y !vas-y ! vas-y !... » je pousse un cri de plaisir.
Plusieurs jets se propulsent en lui. Je le lui dis. Il est pleinement heureux. Je
reste en lui. Ma tige se ramollit lentement. Et tout aussi lentement je me retire. Nos
bouches se joignent.
- Voilà lui dis-je tu n’es plus puceau. Mais pour les filles nous sommes encore
deux puceaux. Nos bouches se joignent encore. Je vois quelques larmes dans ses yeux.
Il me demandera deux fois encore de le « prendre ». Dans la nuit. Le lendemain il vint
chez nous et comme le désirait ma mère il resta nu sur la terrasse près de moi.
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