Confessions de femmes mûres (3) Françoise (49 ans)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Confessions de femmes mûres (3) Françoise (49 ans)
Je m'appelle Françoise, j'ai 49 ans, je suis rousse tendance auburn, prof d'université et divorcée depuis cinq ans. Mon corps est celui d'une femme de mon âge, un peu de cellulite qui accentue mes rondeurs mais comme je suis grande, c'est plutôt bien réparti, je trouve. Si je prends la plume, c'est pour raconter une histoire peu banale, du moins à mon sens. J'étais à mon bureau à la fac quand un étudiant a frappé à la porte et est entré. J'en reçois souvent pour discuter de leurs études mais celui-là ne venait pas pour parler boulot. Il m'a tutoyée d'entrée, ce qui m'a fort surpris et m'a dit :
- Tu ne me reconnais pas ? Je suis Alex, Alexandre si tu préfères, le fils de Jean-Michel et Nadège, vos amis à toi et ton mari.
Un flash est entré dans ma tête. Mais oui, bien sûr, Alex, le garçon de mes anciens collègues que j'avais perdus de vue et que j'avais longtemps fréquentés à mes débuts, quand j'étais en demande de conseils avec Bernard, mon futur mari, dans le même cas. J'avais trente ans et lui une dizaine d'années. Il me dévorait des yeux au point que j'en étais parfois gênée. Je portais souvent des mini-jupes ou mini-robes et il se plaçait de telle manière qu'il puisse voir mon entrecuisses. Une fois, j'avais oublié de mettre une culotte et je m'en étais aperçue en voyant son visage écarlate en face de moi. J'avais vite fermé mon compas mais je m'étais dit alors que j'avais sûrement contribué à quelques pollutions nocturnes... Tout cela me revint en mémoire face à ce beau gaillard chevelu, légèrement barbu, aux biceps apparents sous le tee shirt, qui n'avait plus rien à voir avec le gamin voyeur.
- Mais bien sûr, Alex, que tu as changé.
Et bla bla bla et bla bla bla. Je vous passe les détails de notre conversation, sur ses études en cours, déjà très avancées mais pas dans mon domaine, sur ses parents, sur nos fréquentations passées. Je dus cependant lui avouer que je ne vivais plus avec Bernard, ce qui le peina. Et qu'il n'avais pas été remplacé, ce qui alluma dans son regard une petite étincelle qui me donna à penser. Je sus alors qu'il me désirait, peut-être pas la femme actuelle mais celle qu'il avait connue dans son enfance. On convint de dîner ensemble le soir même puisqu'il était libre et moi aussi. Mais pas au restaurant : chez moi.
Allez, je vais vous l'avouer : j'ai eu immédiatement envie de baiser avec ce beau gaillard à la virilité exacerbée. Mettez-vous à ma place. Depuis mon divorce, je suis sexuellement soumise à la portion congrue, si j'ose dire. A part les premiers mois de la séparation où j'ai papillonné de manière assez indécente avec les premiers venus, je n'ai assouvi mes pulsions qu'avec un gode à piles introduit dans le grand et le petit trou dans mon lit déserté. Je m'étais faite à l'idée de me ranger des voitures alors que j'abordais mon demi siècle. J'étais bien un peu draguée par quelques collègues comme moi esseulés ou excités par ma liberté mais ne voulant pas mélanger sexe et travail, surtout avec des hommes aussi peu désirables, je faisais mon bonheur moi-même. Mais mes nuits étaient peuplées de rêves érotiques avec des mâles de toutes couleurs supérieurement membrés. Ma libido n'était donc pas totalement éteinte. Et voilà qu'Alex surgissait dans ma vie.
Je ne me suis pas trop tracassée pour le dîner. J'ai commandé sushis et pizzas à Uber eats, sorti une vieille bouteille offerte par un ancien étudiant et me suis mise sur mon trente et un : maquillage, robe de soirée un peu bizarre dans cet environnement domestique, décolletée jusqu'aux reins, fendue à la cuisse, escarpins (tant pis pour les voisins du dessous), évidemment pas de soutif à cause du décolleté mais j'ai de petits seins pointus qui peuvent s'en passer, et enfin le seul string de ma collection de culottes afin de libérer mes fesses joufflues sous la robe ajustée. Je me suis regardée dans la glace : j'étais vraiment sexy, pour ne pas dire provoquante.
Il est arrivé avec un beau bouquet de fleurs et pour la première fois, je l'ai embrassé. Sur la joue, en effleurant ses lèvres. J'ai bien vu que je l'avais émoustillé avec ma tenue. Mes seins libres dansaient la samba sous la robe à chaque allée et venue. Et quand je me suis assise à l'apéro en face de lui, en attendant mon Uber, j'ai retrouvé le regard du garçon qui épiait mon entrecuisses quelques années plus tôt. Je les écartais négligemment à chaque croisement de jambes, imaginant dans sa tête le flash de mon string rouge et peut-être quelques poils follets s'en échappant car je ne me rase pas le pubis. C'était drôle de discuter de choses banales alors que lui et moi pensions alors à la même chose : le sexe, le cul, la baise. Il avait deviné que j'étais en manque depuis que je lui avais avoué vivre seule, ce qu'il pouvait d'ailleurs vérifier.
Le dîner est arrivé et nous avons parlé face à face dans une montée de désirs de plus en plus manifeste. Il regardait mes seins bouger, je regardais ses lèvres en les imaginant sur mon sexe. C'est dans la cuisine, à la fin du repas, que tout s'est enclenché. Il est venu dans mon dos pendant que j'effectuais une vaisselle sommaire, a glissé ses mains sous ma robe pour prendre mes seins et m'a embrassée dans le cou. Immédiatement, ma main s'est posée sur sa braguette et j'ai senti avec un frémissement de tout le corps le poids de ses parties génitales. Je me suis retournée, on s'est embrassé fougueusement avant que je m'accroupisse, là, dans la cuisine, et que je libère son pénis pour l'emboucher.
Merveilleuse vision que de membre viril surgi du slip. Le meilleur moment de l'amour féminin, selon certaines. J'ai fait valoir toute ma technique, la succion assortie d'un mouvement tournant d'une main et une pression sur les couilles de l'autre. Ce n'était plus un pénis que j'avais stimulé : c'était un véritable os pénien. Je n'avais plus qu'une envie : c'est que ce membre aille me visiter.
J'ai tiré Alex dans ma chambre en me débarrassant en même temps de ma robe et de mes escarpins qui ont échoué dans le couloir et je me suis allongée sur mon lit en string. Il m'a longuement regardée et j'ai eu un petit moment d'angoisse. Et si mon corps de quasi quinquagénaire, ainsi complaisamment dévoilé, le faisait "régresser". J'ai vite été rassurée : il bandait toujours comme un cerf en se déshabillant à son tour, révélant un corps sec et musclé, un ventre plat surmontant la fabuleuse excroissance qui lui faisait comme une corne. Il a tiré sur mon string et a collé sa bouche sur ma vulve, me faisant me tordre sur mon lit, mes mains sur sa chevelure.
Et il m'a pénétrée. Enfin. Au début, c'était du classique. Mains posées de chaque côté de ma tête, les yeux dans les yeux, mes talons sur ses reins et son cul virevoltant. J'étais tellement humide que j'avais parfaitement encaissé cette pénétration massive, puissante, profonde. Je ne m'étais jamais sentie autant baisée, de mémoire. Il avait de la pratique, le gaillard. Sa fouille était mesurée pour ne pas jouir trop vite et néanmoins bien raboteuse. Il m'avait saisi les chevilles pour les écarter et la rendre encore plus efficiente. J'essayai de remuer mon cul pour bien lui signifier mon adhésion, pour qu'il n'ait pas l'impression d'une femme passive. Mais la poursuite de nos ébats l'a largement rassuré sur ce point.
Son endurance magnifique nous a permis de faire largement le tour de la question. Je l'ai baisé comme il me baisait en cavalant sur sa bite. Je lui ai offert ma croupe en me mettant à quatre pattes et je n'ai manifesté aucune objection quand il a voulu m'enculer, lui demandant juste de mettre langue et doigts avant. Combien de temps ça a duré, tout ça ? Je ne sais pas. Il a eu l'amabilité de jouir quand il a vu que je n'étais plus moi-même, que je braillais des insanités, que j'étais couverte de sueur, la bouche tordue par le plaisir et les yeux vitreux.
J'ai mis du temps à récupérer mais lui a rechargé à une vitesse incroyable. Il est resté dormir mais je sentais dans mon lit sa queue raide contre mes fesses nues et au petit matin, fier comme Artaban, il m'a rebaisée longuement, fougueusement, comme s'il avait longtemps attendu le moment. Jamais je ne m'étais sentie aussi femelle. On est reparti au boulot ensemble, chacun de son côté, le corps repu, apaisé.
Depuis, il est mon amant. Je ne lui demande pas une fidélité absolue. J'ai bien conscience que son jeune âge et le mien ne vont pas bien ensemble hors du lit. Je demande juste qu'il me baise de temps en temps. Je suis tellement folle de sa queue. Je crains juste que cette folie érotique me fasse faire des bêtises un jour. Mais pour l'instant, laissez-moi jouir. Après tout, je ne trompe personne.
A SUIVRE
- Tu ne me reconnais pas ? Je suis Alex, Alexandre si tu préfères, le fils de Jean-Michel et Nadège, vos amis à toi et ton mari.
Un flash est entré dans ma tête. Mais oui, bien sûr, Alex, le garçon de mes anciens collègues que j'avais perdus de vue et que j'avais longtemps fréquentés à mes débuts, quand j'étais en demande de conseils avec Bernard, mon futur mari, dans le même cas. J'avais trente ans et lui une dizaine d'années. Il me dévorait des yeux au point que j'en étais parfois gênée. Je portais souvent des mini-jupes ou mini-robes et il se plaçait de telle manière qu'il puisse voir mon entrecuisses. Une fois, j'avais oublié de mettre une culotte et je m'en étais aperçue en voyant son visage écarlate en face de moi. J'avais vite fermé mon compas mais je m'étais dit alors que j'avais sûrement contribué à quelques pollutions nocturnes... Tout cela me revint en mémoire face à ce beau gaillard chevelu, légèrement barbu, aux biceps apparents sous le tee shirt, qui n'avait plus rien à voir avec le gamin voyeur.
- Mais bien sûr, Alex, que tu as changé.
Et bla bla bla et bla bla bla. Je vous passe les détails de notre conversation, sur ses études en cours, déjà très avancées mais pas dans mon domaine, sur ses parents, sur nos fréquentations passées. Je dus cependant lui avouer que je ne vivais plus avec Bernard, ce qui le peina. Et qu'il n'avais pas été remplacé, ce qui alluma dans son regard une petite étincelle qui me donna à penser. Je sus alors qu'il me désirait, peut-être pas la femme actuelle mais celle qu'il avait connue dans son enfance. On convint de dîner ensemble le soir même puisqu'il était libre et moi aussi. Mais pas au restaurant : chez moi.
Allez, je vais vous l'avouer : j'ai eu immédiatement envie de baiser avec ce beau gaillard à la virilité exacerbée. Mettez-vous à ma place. Depuis mon divorce, je suis sexuellement soumise à la portion congrue, si j'ose dire. A part les premiers mois de la séparation où j'ai papillonné de manière assez indécente avec les premiers venus, je n'ai assouvi mes pulsions qu'avec un gode à piles introduit dans le grand et le petit trou dans mon lit déserté. Je m'étais faite à l'idée de me ranger des voitures alors que j'abordais mon demi siècle. J'étais bien un peu draguée par quelques collègues comme moi esseulés ou excités par ma liberté mais ne voulant pas mélanger sexe et travail, surtout avec des hommes aussi peu désirables, je faisais mon bonheur moi-même. Mais mes nuits étaient peuplées de rêves érotiques avec des mâles de toutes couleurs supérieurement membrés. Ma libido n'était donc pas totalement éteinte. Et voilà qu'Alex surgissait dans ma vie.
Je ne me suis pas trop tracassée pour le dîner. J'ai commandé sushis et pizzas à Uber eats, sorti une vieille bouteille offerte par un ancien étudiant et me suis mise sur mon trente et un : maquillage, robe de soirée un peu bizarre dans cet environnement domestique, décolletée jusqu'aux reins, fendue à la cuisse, escarpins (tant pis pour les voisins du dessous), évidemment pas de soutif à cause du décolleté mais j'ai de petits seins pointus qui peuvent s'en passer, et enfin le seul string de ma collection de culottes afin de libérer mes fesses joufflues sous la robe ajustée. Je me suis regardée dans la glace : j'étais vraiment sexy, pour ne pas dire provoquante.
Il est arrivé avec un beau bouquet de fleurs et pour la première fois, je l'ai embrassé. Sur la joue, en effleurant ses lèvres. J'ai bien vu que je l'avais émoustillé avec ma tenue. Mes seins libres dansaient la samba sous la robe à chaque allée et venue. Et quand je me suis assise à l'apéro en face de lui, en attendant mon Uber, j'ai retrouvé le regard du garçon qui épiait mon entrecuisses quelques années plus tôt. Je les écartais négligemment à chaque croisement de jambes, imaginant dans sa tête le flash de mon string rouge et peut-être quelques poils follets s'en échappant car je ne me rase pas le pubis. C'était drôle de discuter de choses banales alors que lui et moi pensions alors à la même chose : le sexe, le cul, la baise. Il avait deviné que j'étais en manque depuis que je lui avais avoué vivre seule, ce qu'il pouvait d'ailleurs vérifier.
Le dîner est arrivé et nous avons parlé face à face dans une montée de désirs de plus en plus manifeste. Il regardait mes seins bouger, je regardais ses lèvres en les imaginant sur mon sexe. C'est dans la cuisine, à la fin du repas, que tout s'est enclenché. Il est venu dans mon dos pendant que j'effectuais une vaisselle sommaire, a glissé ses mains sous ma robe pour prendre mes seins et m'a embrassée dans le cou. Immédiatement, ma main s'est posée sur sa braguette et j'ai senti avec un frémissement de tout le corps le poids de ses parties génitales. Je me suis retournée, on s'est embrassé fougueusement avant que je m'accroupisse, là, dans la cuisine, et que je libère son pénis pour l'emboucher.
Merveilleuse vision que de membre viril surgi du slip. Le meilleur moment de l'amour féminin, selon certaines. J'ai fait valoir toute ma technique, la succion assortie d'un mouvement tournant d'une main et une pression sur les couilles de l'autre. Ce n'était plus un pénis que j'avais stimulé : c'était un véritable os pénien. Je n'avais plus qu'une envie : c'est que ce membre aille me visiter.
J'ai tiré Alex dans ma chambre en me débarrassant en même temps de ma robe et de mes escarpins qui ont échoué dans le couloir et je me suis allongée sur mon lit en string. Il m'a longuement regardée et j'ai eu un petit moment d'angoisse. Et si mon corps de quasi quinquagénaire, ainsi complaisamment dévoilé, le faisait "régresser". J'ai vite été rassurée : il bandait toujours comme un cerf en se déshabillant à son tour, révélant un corps sec et musclé, un ventre plat surmontant la fabuleuse excroissance qui lui faisait comme une corne. Il a tiré sur mon string et a collé sa bouche sur ma vulve, me faisant me tordre sur mon lit, mes mains sur sa chevelure.
Et il m'a pénétrée. Enfin. Au début, c'était du classique. Mains posées de chaque côté de ma tête, les yeux dans les yeux, mes talons sur ses reins et son cul virevoltant. J'étais tellement humide que j'avais parfaitement encaissé cette pénétration massive, puissante, profonde. Je ne m'étais jamais sentie autant baisée, de mémoire. Il avait de la pratique, le gaillard. Sa fouille était mesurée pour ne pas jouir trop vite et néanmoins bien raboteuse. Il m'avait saisi les chevilles pour les écarter et la rendre encore plus efficiente. J'essayai de remuer mon cul pour bien lui signifier mon adhésion, pour qu'il n'ait pas l'impression d'une femme passive. Mais la poursuite de nos ébats l'a largement rassuré sur ce point.
Son endurance magnifique nous a permis de faire largement le tour de la question. Je l'ai baisé comme il me baisait en cavalant sur sa bite. Je lui ai offert ma croupe en me mettant à quatre pattes et je n'ai manifesté aucune objection quand il a voulu m'enculer, lui demandant juste de mettre langue et doigts avant. Combien de temps ça a duré, tout ça ? Je ne sais pas. Il a eu l'amabilité de jouir quand il a vu que je n'étais plus moi-même, que je braillais des insanités, que j'étais couverte de sueur, la bouche tordue par le plaisir et les yeux vitreux.
J'ai mis du temps à récupérer mais lui a rechargé à une vitesse incroyable. Il est resté dormir mais je sentais dans mon lit sa queue raide contre mes fesses nues et au petit matin, fier comme Artaban, il m'a rebaisée longuement, fougueusement, comme s'il avait longtemps attendu le moment. Jamais je ne m'étais sentie aussi femelle. On est reparti au boulot ensemble, chacun de son côté, le corps repu, apaisé.
Depuis, il est mon amant. Je ne lui demande pas une fidélité absolue. J'ai bien conscience que son jeune âge et le mien ne vont pas bien ensemble hors du lit. Je demande juste qu'il me baise de temps en temps. Je suis tellement folle de sa queue. Je crains juste que cette folie érotique me fasse faire des bêtises un jour. Mais pour l'instant, laissez-moi jouir. Après tout, je ne trompe personne.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau récit.
Didier
Didier
Un excellent texte sur l'expérience au service de l'édification de la jeunesse, pour le plus grand plaisir des protagonistes et le nôtre en tant que lecteurs. Merci!
Histoire très sympa, merci