Confessions de femmes mûres (4) Magali (60 ans)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Confessions de femmes mûres (4) Magali (60 ans)
Je m'appelle Magali, j'ai soixante ans tout juste, d'inévitables cheveux blancs mélangés à ma tignasse châtain souvent réunie en chignon, un corps menu, pas trop moche pour mon âge et intégralement bronzé par un naturisme militant. C'est ce point précis qui m'a valu une discussion animée, pour ne pas dire vive, avec ma fille Margot, trentenaire, mariée et mère de famille. Elle ne comprend pas que je puisse me montrer "à poil à ton âge devant tout le monde" et émet de sérieuses réserves sur mes relations masculines, considérant "qu'il serait peut-être temps que tu te calmes de ce côté là". C'est tout juste si elle ne m'a pas reproché de baiser, comme si toute vie sexuelle devait s'arrêter net dès le passage à la soixantaine. Et même avant.
Je me suis sentie obligée de réagir. "Occupe-toi de tes fesses et laisse-moi m'occuper des miennes", lui ai-je dit. J'ai bien compris qu'elle n'apprécie guère qu'un certain Boris, un jeune pédicure que j'ai accueilli dans mon cabinet le temps de son stage, ait pris son pied avec moi en même temps qu'il traitait ceux des patients. Depuis mon divorce avec le père de Margot il y a déjà dix ans, j'ai décidé que le sexe serait désormais ma grande affaire, mais surtout pas un nouveau couple et ça, Margot a du mal à l'avaler. Comme beaucoup de jeunes femmes de sa génération, elle est prude. Je le comprends d'autant moins que son mari Mathias est vraiment charmant, toujours attentionné à mon égard, et mériterait une épouse plus généreuse de son corps.
C'est là qu'intervient ma petite confession, vous l'avez deviné. Figurez-vous que Margot, dentiste de son état, a été contrainte de suivre un stage de perfectionnement pendant une semaine en dehors de notre ville. Du coup, Mathias s'est trouvé très embarrassé car dentiste lui aussi, il ne savait pas comment se dépatouiller de la garde de ma petite fille Cynthia, que j'adore. J'ai donc proposé mes services en prenant un congé d'une semaine en m'arrangeant avec mon associée pour m'installer au domicile du couple.
C'est ainsi que j'ai accompagné Cynthia à l'école, ai préparé à manger, fait le ménage, retrouvé Cynthia le soir et bien sûr Mathias, visiblement enchanté de ma présence. Pour dire les choses franchement, il m'a toujours montré un intérêt particulier qui dépassait un peu celui qu'un gendre accorde à sa belle-mère. J'en ai parfois été troublée car il est vraiment bel homme avec ses cheveux bruns et ses yeux bleus. Mais le comportement de Margot à mon égard m'avait vraiment agacée. Qu'elle me considère comme un vieux tromblon, c'était fort de café alors que je mets tout en oeuvre pour rester désirable. J'ai pris mes aises dans l'appartement. Je sortais nue de la salle de bain vers la chambre et forcément, je suis tombée nez à nez avec Mathias. Il a rougi comme une pivoine et je me suis excusée, arguant de mon tempérament naturiste.
- Mais fais comme chez toi, Magali, a-t-il répondu, la voix un peu rauque.
Je l'ai pris au mot. J'aime être à poil chez moi et j'ai juste mis une petite robe de maison pour ne pas trop choquer mon monde, mais elle ne cachait pas grand chose. Dès que je me mettais assise dans le fauteuil, il suffisait que je croise les jambes pour découvrir mon sexe, et un de mes seins s'échappait souvent d'un décolleté très généreux. Je dormais nue, sans trop veiller à fermer la porte de ma chambre, dès fois que Cynthia m'appellerait, ce qui arrivait souvent. C'est d'ailleurs ce qui arriva une nuit et j'accourus dans le plus simple appareil pour la rassurer, ce qui me fit rencontrer Mathias vêtu de son seul caleçon. Quand on a fini par sortir de la chambre de la petite, enfin rendormie, une excroissance énorme tendait son vêtement.
- Je vois que je te fais de l'effet, dis-je, bien obligée de constater.
C'est alors que tout dérapa. Il m'enlaça, pris ma bouche pour un baiser profond et dans l'effervescence de ce moment inattendu, je plongeai une main dans son entrecuisses pour saisir le membre viril qui me faisait la nique. Il m'entraina dans la chambre, ferma la porte, ôta son caleçon et nos corps entrèrent dans un méli mélo sur fond de râles et de soupirs :
- J'ai tellement envie de toi, depuis si longtemps, me souffla-t-il à l'oreille.
Alors, on a baisé. Je lui ai fait tous les trucs que sa femme ne lui faisait jamais, trop heureuse de lui montrer à la fois qu'une sexagénaire baise et que sa femme avait tort de le maintenir dans sa pruderie. Il a déchargé une première fois, on a remis le couvert car il recharge vite et on a fait durer le plaisir presque jusqu'au petit matin. Il a découvert la vraie cochonne que je suis lorsque je lui ai demandé de m'enculer, ce qu'il n'avait évidemment jamais fait. J'étais un vrai zombie le lendemain car quand même, l'âge est là. Mais lui était rayonnant en allant au boulot.
Le lendemain soir, j'ai demandé grâce. Il fallait que je me refasse un peu, mais on a discuté au lit. Je lui ai dit que nos ébats devaient rester secrets car je ne voulais pas qu'il connaisse le divorce comme moi et surtout à cause de moi. Mais je lui ai surtout dit :
- Il faut que tu baises ta femme comme tu m'as baisée. Bouscule-la, impose ton désir, prends la où elle ne s'y attend pas, fais la vraiment jouir comme tu m'as fait jouir.
Il a acquiescé, un peu inquiet quand même de la réaction de son épouse. A ce stade de ma confession, je ne sais pas comment tout ça va tourner. Avant que je retourne chez moi, nous avons encore baisé et j'ai senti qu'il était vraiment accro à mon corps, ce qui m'a flattée mais en même temps inquiétée, d'autant que j'adore moi aussi baiser avec lui. Il est attentionné, prévenant, guette mon orgasme mais aussi virulent comme tout mâle viril se doit d'être. Margot a intérêt à être à sa hauteur. Sinon, je sens que j'aurai de la visite à mon cabinet de pédicure. Non pour qu'il me montre ses pieds mais pour qu'il me fasse prendre le mien...
A SUIVRE
Je me suis sentie obligée de réagir. "Occupe-toi de tes fesses et laisse-moi m'occuper des miennes", lui ai-je dit. J'ai bien compris qu'elle n'apprécie guère qu'un certain Boris, un jeune pédicure que j'ai accueilli dans mon cabinet le temps de son stage, ait pris son pied avec moi en même temps qu'il traitait ceux des patients. Depuis mon divorce avec le père de Margot il y a déjà dix ans, j'ai décidé que le sexe serait désormais ma grande affaire, mais surtout pas un nouveau couple et ça, Margot a du mal à l'avaler. Comme beaucoup de jeunes femmes de sa génération, elle est prude. Je le comprends d'autant moins que son mari Mathias est vraiment charmant, toujours attentionné à mon égard, et mériterait une épouse plus généreuse de son corps.
C'est là qu'intervient ma petite confession, vous l'avez deviné. Figurez-vous que Margot, dentiste de son état, a été contrainte de suivre un stage de perfectionnement pendant une semaine en dehors de notre ville. Du coup, Mathias s'est trouvé très embarrassé car dentiste lui aussi, il ne savait pas comment se dépatouiller de la garde de ma petite fille Cynthia, que j'adore. J'ai donc proposé mes services en prenant un congé d'une semaine en m'arrangeant avec mon associée pour m'installer au domicile du couple.
C'est ainsi que j'ai accompagné Cynthia à l'école, ai préparé à manger, fait le ménage, retrouvé Cynthia le soir et bien sûr Mathias, visiblement enchanté de ma présence. Pour dire les choses franchement, il m'a toujours montré un intérêt particulier qui dépassait un peu celui qu'un gendre accorde à sa belle-mère. J'en ai parfois été troublée car il est vraiment bel homme avec ses cheveux bruns et ses yeux bleus. Mais le comportement de Margot à mon égard m'avait vraiment agacée. Qu'elle me considère comme un vieux tromblon, c'était fort de café alors que je mets tout en oeuvre pour rester désirable. J'ai pris mes aises dans l'appartement. Je sortais nue de la salle de bain vers la chambre et forcément, je suis tombée nez à nez avec Mathias. Il a rougi comme une pivoine et je me suis excusée, arguant de mon tempérament naturiste.
- Mais fais comme chez toi, Magali, a-t-il répondu, la voix un peu rauque.
Je l'ai pris au mot. J'aime être à poil chez moi et j'ai juste mis une petite robe de maison pour ne pas trop choquer mon monde, mais elle ne cachait pas grand chose. Dès que je me mettais assise dans le fauteuil, il suffisait que je croise les jambes pour découvrir mon sexe, et un de mes seins s'échappait souvent d'un décolleté très généreux. Je dormais nue, sans trop veiller à fermer la porte de ma chambre, dès fois que Cynthia m'appellerait, ce qui arrivait souvent. C'est d'ailleurs ce qui arriva une nuit et j'accourus dans le plus simple appareil pour la rassurer, ce qui me fit rencontrer Mathias vêtu de son seul caleçon. Quand on a fini par sortir de la chambre de la petite, enfin rendormie, une excroissance énorme tendait son vêtement.
- Je vois que je te fais de l'effet, dis-je, bien obligée de constater.
C'est alors que tout dérapa. Il m'enlaça, pris ma bouche pour un baiser profond et dans l'effervescence de ce moment inattendu, je plongeai une main dans son entrecuisses pour saisir le membre viril qui me faisait la nique. Il m'entraina dans la chambre, ferma la porte, ôta son caleçon et nos corps entrèrent dans un méli mélo sur fond de râles et de soupirs :
- J'ai tellement envie de toi, depuis si longtemps, me souffla-t-il à l'oreille.
Alors, on a baisé. Je lui ai fait tous les trucs que sa femme ne lui faisait jamais, trop heureuse de lui montrer à la fois qu'une sexagénaire baise et que sa femme avait tort de le maintenir dans sa pruderie. Il a déchargé une première fois, on a remis le couvert car il recharge vite et on a fait durer le plaisir presque jusqu'au petit matin. Il a découvert la vraie cochonne que je suis lorsque je lui ai demandé de m'enculer, ce qu'il n'avait évidemment jamais fait. J'étais un vrai zombie le lendemain car quand même, l'âge est là. Mais lui était rayonnant en allant au boulot.
Le lendemain soir, j'ai demandé grâce. Il fallait que je me refasse un peu, mais on a discuté au lit. Je lui ai dit que nos ébats devaient rester secrets car je ne voulais pas qu'il connaisse le divorce comme moi et surtout à cause de moi. Mais je lui ai surtout dit :
- Il faut que tu baises ta femme comme tu m'as baisée. Bouscule-la, impose ton désir, prends la où elle ne s'y attend pas, fais la vraiment jouir comme tu m'as fait jouir.
Il a acquiescé, un peu inquiet quand même de la réaction de son épouse. A ce stade de ma confession, je ne sais pas comment tout ça va tourner. Avant que je retourne chez moi, nous avons encore baisé et j'ai senti qu'il était vraiment accro à mon corps, ce qui m'a flattée mais en même temps inquiétée, d'autant que j'adore moi aussi baiser avec lui. Il est attentionné, prévenant, guette mon orgasme mais aussi virulent comme tout mâle viril se doit d'être. Margot a intérêt à être à sa hauteur. Sinon, je sens que j'aurai de la visite à mon cabinet de pédicure. Non pour qu'il me montre ses pieds mais pour qu'il me fasse prendre le mien...
A SUIVRE
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime !
Il n'y a pas d'âge dans le sexe pour prendre et donner du plaisir.
Didier
Didier
Plein de sincérité et de jeunesse, bravo pour le passage à l'acte !
Un excellent texte, qui prouve que le plaisir n'a pas d'âge!
Superbe histoire, bravo