Confessions de femmes mûres. 1-Lily (42 ans)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Confessions de femmes mûres. 1-Lily (42 ans)
Je m'appelle Liliane mais tout le monde m'appelle Lily. J'ai 42 ans, je suis célibataire et visiteuse médicale pour un grand laboratoire. Un des dirigeants est mon amant attitré mais comme il est marié et entend le rester, les vacances d'été sont chaque année un pensum puisque je me retrouve seule. Voilà pourquoi je me paye souvent le Club med où je suis à peu près sûre de ne pas m'ennuyer et surtout de baiser. J'ai l'accord de mon amant, du moment que c'est circonstanciel. Il sait de toute manière qu'accord ou pas, je ferais à ma convenance. La nature ne m'a pas trop desservie et je n'ai pas de mal à obtenir satisfaction en visant, à tant faire, des jeunes mecs vigoureux et bien foutus excités par la perspective de baiser une "mature" éminemment baisable. Je suis en effet un petit format bien proportionné, brune de peau et de poil (enfin, épilée quand même...) au visage rond encadré par une coupe au carré.
Cet été, j'avais mis le cap non sur l'étranger mais sur un club de la côte d'azur réputé "chaud". Dès le deuxième jour était organisé une sorte de biathlon course à pied-natation qui correspondait justement à mes activités physiques habituelles. J'étais intégrée dans une équipe mixte, comme il se doit, et c'est à cette occasion que j'ai croisé le chemin d'Erwan. J'ai tout fait en bikini, mini slip et mini soutif et c'est peut-être ça qui a retenu son attention. On a grimpé ensemble la difficulté principale en s'encourageant puis on s'est passé le relais de natation et on est allé prendre un pot au bar pour commenter notre défaite, en rigolant. Le gars était finement musclé, brun comme moi, assez velu et surtout pas trop con. On ne s'est plus quitté de la journée. On s'est raconté nos vies. Le soir après le dîner, on est allé dans la boite pour danser. J'avais mis ma petite robe qui m'arrive à mi-cuisses, sans soutif, car je peux me le permettre, vu que je n'ai pas la poitrine de Karin Viard.
Il faut que je sois franche : j'avais une furieuse envie de me faire mettre. Il y avait près d'un mois que je n'avais pas baisé et pour moi, ça fait long. Dans ces périodes, le plus dur, c'est la salle d'attente des toubibs, quand j'attends qu'ils veulent bien me recevoir. J'ai tellement envie que j'en trempe ma culotte et il y a intérêt que j'en aie une de rechange dans mon sac. Le petit Erwan, avec ses 27 ans, il devait se demander comment s'y prendre avec une nana de quarante balais. Alors, j'ai fini par prendre les devants car je ne me voyais pas faire tintin ce soir là.
- Et si on allait dans ta case ? je lui dis.
Il m'avait indiqué qu'il n'avait pas de colocataire et ce n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde. Il n'a pas dit non, tu m'étonnes car il devait y penser quand même un peu, à sauter la mature. Evidemment, comme toujours dans ces cas là, je me demandais sur qui j'allais tomber. Un maladroit ? Un éjaculateur précoce ? Un mou de la queue ?
Je fus vite rassurée. Il m'a culbutée sur son petit plumard, quasiment arraché mon string et s'est mis à me bouffer la chatte alors que je n'avais même pas eu le temps d'ôter ma robe. Le cunni, c'est ma grande faiblesse et il n'a eu aucun mal à me faire jouir une première fois. J'étais tellement mûre que je l'ai imploré qu'il me baise. Surtout quand j'ai vu sa queue : rigide, légèrement incurvée, au gland plantureux. J'avais pris la précaution de mettre une capote dans mon petit sac à main avec la clé de ma case, on ne sait jamais. Et à peine l'avais-je coiffé qu'il me rentrait dedans, sans trop de ménagements, en jeune homme, mais c'était exactement ce dont j'avais besoin sur le moment. Cela m'a un peu changé de mon amant quinquagénaire, nettement moins fougueux. J'avais peur qu'il jouisse trop vite mais j'étais tombée sur un baiseur de fond. Il a éjaculé quand je l'ai voulu quand je lui ai crié en plein orgasme sous lui " viens viens". J'étais presque devenue amoureuse. Et c'était peut-être mon erreur.
Je suis rentrée dans ma case au petit matin et j'ai dormi jusqu'à midi. Puis j'ai retrouvé Erwan et je lui ai proposé une balade en dehors du club. Je voulais voir la tombe d'Albert Camus à Ramatuelle. J'en suis fan. A peine rentrés, on est revenu dans sa case pour baiser. Je ne pensais plus qu'à sa bite. On ne s'était pas aperçus que pendant notre absence, un colocataire s'était installé. Il a déboule alors que j'étais à quatre pattes face à la porte en train de me faire prendre en levrette. Il a été aussi surpris que nous le gars. Je me suis planquée sous le drap, très confuse. Mais il est reparti sans rien dire et on a rigolé avant de reprendre l'affaire où on l'avait laissée. Mais plus question de baiser dans nos cases.
C'est au dîner suivant que les choses se sont gâtées. A notre table sont venues se greffer deux sœurs auvergnates de l'âge approximatif d'Erwan. Du genre costaudes gouailleuses et sympas, je dois l'admettre. Une brune, la plus âgée et une blonde. Venues soi disant au club pour le sport. Tu parles. Pour baiser, comme tout le monde. On a passé la soirée ensemble et c'est dans la boîte que j'ai compris que j'étais en train de perdre Erwan. Visiblement, il n'était pas très fier de baiser une mature. Il m'évitait et dansait avec les deux autres, en compagnie d'un autre mec. Il était évident qu'ils allaient baiser les deux sœurs dans leur case. Je me suis éclipsée discrètement.
La suite à confirmé mon pronostic. Ils formaient un quatuor et ne mangeaient plus à ma table. Du coup je me suis concentrée sur le tennis plutôt que le pénis. J'ai trouvé un bon partenaire avec lequel j'ai fait de belles parties (j'avais été classée dans le temps) mais sa femme veillait au grain. Et mon séjour s'est terminé sans que j'aie renoué avec Erwan. Même pas une bise. Bon au moins, j'avais bien fait péter mes hormones. Il était temps que je retrouve mon amant habituel. Il voudrait que je lui raconte tout. Pas sûre que je lui dirais la fin. Faut maintenir la tension.
A SUIVRE
Cet été, j'avais mis le cap non sur l'étranger mais sur un club de la côte d'azur réputé "chaud". Dès le deuxième jour était organisé une sorte de biathlon course à pied-natation qui correspondait justement à mes activités physiques habituelles. J'étais intégrée dans une équipe mixte, comme il se doit, et c'est à cette occasion que j'ai croisé le chemin d'Erwan. J'ai tout fait en bikini, mini slip et mini soutif et c'est peut-être ça qui a retenu son attention. On a grimpé ensemble la difficulté principale en s'encourageant puis on s'est passé le relais de natation et on est allé prendre un pot au bar pour commenter notre défaite, en rigolant. Le gars était finement musclé, brun comme moi, assez velu et surtout pas trop con. On ne s'est plus quitté de la journée. On s'est raconté nos vies. Le soir après le dîner, on est allé dans la boite pour danser. J'avais mis ma petite robe qui m'arrive à mi-cuisses, sans soutif, car je peux me le permettre, vu que je n'ai pas la poitrine de Karin Viard.
Il faut que je sois franche : j'avais une furieuse envie de me faire mettre. Il y avait près d'un mois que je n'avais pas baisé et pour moi, ça fait long. Dans ces périodes, le plus dur, c'est la salle d'attente des toubibs, quand j'attends qu'ils veulent bien me recevoir. J'ai tellement envie que j'en trempe ma culotte et il y a intérêt que j'en aie une de rechange dans mon sac. Le petit Erwan, avec ses 27 ans, il devait se demander comment s'y prendre avec une nana de quarante balais. Alors, j'ai fini par prendre les devants car je ne me voyais pas faire tintin ce soir là.
- Et si on allait dans ta case ? je lui dis.
Il m'avait indiqué qu'il n'avait pas de colocataire et ce n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde. Il n'a pas dit non, tu m'étonnes car il devait y penser quand même un peu, à sauter la mature. Evidemment, comme toujours dans ces cas là, je me demandais sur qui j'allais tomber. Un maladroit ? Un éjaculateur précoce ? Un mou de la queue ?
Je fus vite rassurée. Il m'a culbutée sur son petit plumard, quasiment arraché mon string et s'est mis à me bouffer la chatte alors que je n'avais même pas eu le temps d'ôter ma robe. Le cunni, c'est ma grande faiblesse et il n'a eu aucun mal à me faire jouir une première fois. J'étais tellement mûre que je l'ai imploré qu'il me baise. Surtout quand j'ai vu sa queue : rigide, légèrement incurvée, au gland plantureux. J'avais pris la précaution de mettre une capote dans mon petit sac à main avec la clé de ma case, on ne sait jamais. Et à peine l'avais-je coiffé qu'il me rentrait dedans, sans trop de ménagements, en jeune homme, mais c'était exactement ce dont j'avais besoin sur le moment. Cela m'a un peu changé de mon amant quinquagénaire, nettement moins fougueux. J'avais peur qu'il jouisse trop vite mais j'étais tombée sur un baiseur de fond. Il a éjaculé quand je l'ai voulu quand je lui ai crié en plein orgasme sous lui " viens viens". J'étais presque devenue amoureuse. Et c'était peut-être mon erreur.
Je suis rentrée dans ma case au petit matin et j'ai dormi jusqu'à midi. Puis j'ai retrouvé Erwan et je lui ai proposé une balade en dehors du club. Je voulais voir la tombe d'Albert Camus à Ramatuelle. J'en suis fan. A peine rentrés, on est revenu dans sa case pour baiser. Je ne pensais plus qu'à sa bite. On ne s'était pas aperçus que pendant notre absence, un colocataire s'était installé. Il a déboule alors que j'étais à quatre pattes face à la porte en train de me faire prendre en levrette. Il a été aussi surpris que nous le gars. Je me suis planquée sous le drap, très confuse. Mais il est reparti sans rien dire et on a rigolé avant de reprendre l'affaire où on l'avait laissée. Mais plus question de baiser dans nos cases.
C'est au dîner suivant que les choses se sont gâtées. A notre table sont venues se greffer deux sœurs auvergnates de l'âge approximatif d'Erwan. Du genre costaudes gouailleuses et sympas, je dois l'admettre. Une brune, la plus âgée et une blonde. Venues soi disant au club pour le sport. Tu parles. Pour baiser, comme tout le monde. On a passé la soirée ensemble et c'est dans la boîte que j'ai compris que j'étais en train de perdre Erwan. Visiblement, il n'était pas très fier de baiser une mature. Il m'évitait et dansait avec les deux autres, en compagnie d'un autre mec. Il était évident qu'ils allaient baiser les deux sœurs dans leur case. Je me suis éclipsée discrètement.
La suite à confirmé mon pronostic. Ils formaient un quatuor et ne mangeaient plus à ma table. Du coup je me suis concentrée sur le tennis plutôt que le pénis. J'ai trouvé un bon partenaire avec lequel j'ai fait de belles parties (j'avais été classée dans le temps) mais sa femme veillait au grain. Et mon séjour s'est terminé sans que j'aie renoué avec Erwan. Même pas une bise. Bon au moins, j'avais bien fait péter mes hormones. Il était temps que je retrouve mon amant habituel. Il voudrait que je lui raconte tout. Pas sûre que je lui dirais la fin. Faut maintenir la tension.
A SUIVRE
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J aime beaucoup vots reits, tres bien ecrits
Très intéressantes et explicites ces confessions, vivement la suite...
Didier
Didier
Des récits comme ceux-là, avec la plume de Micky et si excitants, on aimerait en voir davantage sur le site. Une seule demande: encore! Et un seul regret ne pas pouvoir noter