Confessions du curé 1/3

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Confessions du curé 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Confessions du curé 1/3
Je vous ai parlé il y a quelques temps du nouveau curé du coin (voir Le nouveau curé), eh bien il vient toujours me voir, pas tous les jours mais bien une fois tous les 15 jours.
Il semble malheureux quand il arrive, de succomber à ses "travers", ses "démons" comme il dit mais il a besoin de venir se faire ramoner. J'ai un peu honte en disant cela, mais en fait non, je ne l'oblige en rien. Il vient quand il a envie et j'ai réussi à le lui faire dire, parce qu'il aime ça.
Mais c'est un esprit torturé le Père Vincent alias Jérôme.
J'aime bien passer des soirées avec lui. C'est un beau mec, intelligent et on s'enrichit à son contact.

Souvent, presqu'à chaque fois, il me disait que c'était la dernière fois qu'il venait.
La première fois qu'il était resté avec moi et qu'il m'avait dit qu'il devait se confesser en parlant de moi, j'ai été un peu horrifié que l'on sache dans le clergé local que je baisais le curé et je lui avais tenu le discours, qu'il n'avait pas besoin de se confesser, que son bon Dieu voyant tout, il n'avait pas besoin d'intermédiaire.
Cela l'avait fait sourire, et j'ai su par la suite, réfléchir et me dire qu'il se confessait sans parler de nos rencontres.
J'étais devenu son péché vivant comme il aimait me le dire, mais un péché qu'il avait l'air d'aimer beaucoup.

J'ai toujours apprécié les soirées passées avec lui. Il arrivait, excité Sitôt entré dans la maison, il fallait que je passe un quart d'heure dans ses bras à me faire caresser et embrasser, quel fougue! quelle tendresse! ses baisers étaient chauds comme la braise. Il abandonnait son corps à mes caresses, finissait nu dans le salon et je le baisais à quatre pattes sur le fauteuil en entrant ma queue le plus fort possible pour qu'il gueule, qu'il crie jusqu'à recevoir mon jus et que je le branle, ma queue toujours en lui.
La soirée pouvait commencer. Il redevenait plus serein, plus coquin, plus homme.
On dînait en se racontant nos histoires. Je le taquinais toujours sur les confessions qu'il pouvait recevoir des vieilles bigotes et, sans me dire qui lui en faisait, j'avais des exemples et je rigolais de savoir que des vieilles bigotes venaient se confesser en disant qu'elles se masturbaient avec des godes ou des carottes de leur jardin.
Après le dîner, il devenait un "homme normal", amoureux, aimant et me faisait du charme, me disait des choses douces, tendres et m'excitaient.

On allait se coucher pour s'aimer et c'était un homme comme les autres.
J'ai toujours adoré son cul depuis notre première rencontre et lui aimait que je m'en occupe comme il aimait me sucer et se faire sucer, se faire jouir mutuellement, s'embrasser tendrement.
Mais on parlait beaucoup, il aimait parler en posant beaucoup de questions sur ma vie. Il a tout voulu savoir sur moi, j'ai tout raconté. Enfin, presque tout! mais quand je voulais qu'il me raconte des choses sur lui, il avait l'art et la manière de détourner la conversation, jusqu'au jour… enfin au soir.
-dis donc Jérôme tu ne m'as jamais parlé de toi gamin, t'étais comment ? tu aimais quoi ? tu étais où ?

Il m'a caressé la joue tendrement, me faisant un bisou sur les lèvres, son corps nu contre le mien était collé par nos bites raides qui se caressaient.
-tu veux savoir quoi ?
-tout! j'ai dit en riant, les bêtises que tu faisais, où t'as passé ta jeunesse, tes amours.
-mais t'es un curieux Fabrice.
-pas plus que toi qui n'arrête pas de me poser des questions dis je en lui rendant son bisou
-moi c'est mon boulot de poser des questions, mais je vais te raconter.
Il m'a serré dans ses bras, refait un bisou.
-mais c'est une histoire triste tu sais. J'ai passé une enfance heureuse avec des parents aimants, un frère et une sœur. J'ai fait les mêmes bêtises que toi quand tu étais un garnement. J'ai fait des études, je suis allé en fac et j'ai rencontré Isabelle une belle fille et je suis tombée sous son charme. J'avais eu des aventures auparavant avec d'autres filles et j'aimais bien les relations sexuelles tant dans un lit que dans la campagne.
-oh t'étais déjà un voyou alors ?
-je crois oui… ma relation avec Isabelle a continué, on s'aimait comme des fous, si bien qu'on vivait ensemble durant nos études, pour emménager ensuite lorsqu'on a trouvé du travail dans la ville voisine. On était heureux, on s'était fiancé en secret tous les deux. C'était vraiment notre secret, personne ne le savait et on avait décidé de se marier.

Il coince sa tête dans mon cou, respire fort, et je sens son corps tressauter. Il pleure en silence. Je me sens con d'avoir insisté pour qu'il raconte. Je le caresse doucement, il relève la tête, les yeux larmoyants.
-jusqu'au jour ou un camion n'a pas freiné et a écrasé Isabelle dans sa voiture..!

Les larmes reviennent en même temps que le silence! quel con je peux être quand même!
Je sens sa main me caresser la joue..
-ne t'en veut pas Fabrice, ça me fait du bien de te le raconter et je vais tout te dire maintenant.
-t'es pas obligé Jérôme tu sais.
-oui je sais, mais j'en ai envie.
-j'ai été dévasté complètement, j'avais envie de mourir également, mes parents comme ceux d'Isabelle m'ont soutenu mais je n'avais plus aucun goût à la vie, plus rien ne m'intéressait. Le jour de l'enterrement, à l'église, j'étais dans le néant complet. C'étaient les parents d'Isabelle qui me soutenaient quand j'ai entendu la voix du curé quand il a fait son homélie concernant Isabelle, sa vie et qu'il a parlé de moi. J'ai entendu mon prénom. J'ai entendu sa voix et toutes les choses gentilles qu'il disait. Il savait tout ce qu'on avait entrepris tous les deux et l'a raconté simplement. Mes larmes ont cessé et je l'ai écouté. Si tu savais le soulagement que j'ai eu à ce moment là. Il a parlé de la résurrection enfin de tout ce qui a trait avec la religion et les questions sont entrées en moi et j'étais devenu serein et non plus tourmenté.
Il a bougé entre mes bras, passé une jambe entre les miennes, m'a fait un bisou… il souriait.

-le reste de la journée s'est passée comme sur un nuage. Tout ce que j'avais entendu m'avait remonté le moral et 15 jours après, je rentrais à nouveau dans l'église pour rencontrer le curé. J'ai aimé sa façon de me recevoir, de me parler, il n'a pas cherché à me consoler mais j'avais tellement de questions sur la religion, Dieu, que nous avons parlé longtemps, très longtemps et cela s'est reproduit à de nombreuses reprises jusqu'au moment où j'ai trouvé que le "métier" de curé était vraiment un très beau "métier". Je me suis documenté et j'en ai parlé au curé qui m'a conseillé et m'a incité à me rendre au grand séminaire de la ville voisine pour être reçu par l'abbé recteur qu'il avait avisé avant.
-c'est comme ça que t'es devenu curé! tu devais l'aimer beaucoup Isabelle.
-il m'arrive de penser encore à elle, mais beaucoup moins maintenant que j'ai viré de bord dit il en souriant.
-ce sont les curés qui t'ont perverti ?
-je vais tout te raconter Fabrice, sois patient et fais moi des bisous, j'aime quand tu me fais des bisous et que tu me serres contre toi, laisse moi remettre tout en ordre dans ma tête.

Ce n'était pas une corvée de l'embrasser et de le caresser, de sentir son beau corps chaud sur le mien, sa queue bandée qui collait à la mienne. J'aurais bien aimé le retourner et le baiser mais j'avais envie, comme le curieux que je suis, de connaitre la fin de son histoire.

-j'avais juste 25 ans quand je suis arrivé au grand séminaire où j'ai été reçu par l'abbé recteur. Un homme d'une cinquantaine d'années, chauve, en habit de moine. Un visage quelconque mais accueillant, souriant, semblant tout comprendre. Il m'a fait raconter ma vie, et ensuite mes motivations pour venir ici, j'ai tout raconté, sans crainte, sans peur expliquant ce que je voulais faire en devenant curé. Il a eu l'air content de mes réflexions il m'a fait visiter le grand séminaire où il n'y avait pas grand monde. Il m'a montré ma "chambre" en me disant qu'il fallait que je réfléchisse encore et qu'il me reverrait demain. Je suis resté seul jusqu'au lendemain, un moine m'a apporté un plateau repas le soir, sans me dire un mot et c'est tout juste s'il m'a regardé, je suis donc resté seul avec mes réflexions.

-ça doit faire bizarre quand même ?
-oui et non, car c'est vrai que j'ai réfléchi pratiquement toute la nuit. J'ai repensé à Isabelle et je me suis posé la question de savoir si elle aurait été d'accord pour que je fasse ça. Mais je pensais que c'était la seule façon de ne pas l'oublier, car là je pouvais penser à elle tout le temps.
-c'est pas ça qui aide à faire son deuil Jérôme.
-je le sais maintenant Fabrice et le lendemain l'abbé est revenu. On a parlé dans ma chambre longuement et il est sorti pour revenir avec une tenue de moine, me demandant de me déshabiller et d'enfiler cette tenue. Je suis un garçon pudique et j'ai été surpris, gêné qu'il reste avec moi le temps que je change de vêtements, il fallait que je sois nu. Il m'a pris tous mes vêtements, je n'avais que la tenue qu'il m'avait donné!
-alors tous les moines sont tout nu sous leur tenue ? dis je en riant.
-tu veux d'engager dans les ordres ?

Je rigole.
-j'ai enfin rencontré les autres pensionnaires. Il y en avait une cinquantaine, de tous les âges. J'étais dans les plus jeunes car on ne peut rentrer qu'à 25 ans, ça ne parlait pas beaucoup et, comme les garçons ne m'intéressaient pas à cette époque, je ne les ai pas détaillé. J'étais devenu ami, si l'on peut dire avec un jeune comme moi, il avait deux ans de plus. J'aimais bien parler avec lui, de notre vie "avant" et je trouvais qu'il avait de bons raisonnements. J'assistais à tous les cours, c'était assez ardu quand même, mais bon, comme j'ai un bon niveau cela allait, je n'avais pas revu l'abbé recteur.
-donc t'étais content de toi à ce moment là ? car je sens qu'il va se passer quelque chose, donc tu n'avais jamais rien fait avec un garçon à ce moment là.
-non rien du tout et l'idée ne m'avait jamais traversé l'esprit. Tu sais je pensais encore à Isabelle et je me branlais tous les soirs en souvenir, j'en ai lâché du jus dit il en riant!
-quel gâchis quand même! dis je en l'embrassant et là? t'aurais pas envie que je m'occupe de toi, tu m'excites avec tes curés qui se baladent tous nus sous leurs vêtements.
-tu ne veux pas entendre la suite ?
-oh toi tu fais ton coquin, je sens qu'il va y avoir du sexe maintenant.
-t'es bien mon voyou préféré quand même dit il en venant sur moi pour m'embrasser, m'enfourner sa langue au fond de la bouche, aspirant la mienne, caressant ma joue, et me faire des bisous partout.

-j'en étais où ? ah oui… un soir, après le repas pris en commun on rentrait chacun dans notre chambre et on lisait, on réfléchissait sur ce qu'on avait fait dans la journée et, j'ai vu arriver l'abbé recteur. On était assis sur le lit, côte à côte, il m'a posé plein de questions sur ce que je pensais de tout ce que j'avais fait depuis mon arrivée. Nous avons bien discuté et il m'a dit que pour communier le soir à la messe il fallait que je me confesse car je n'avais pas encore assisté à de vraies messes, on en avait parlé mais sans plus. Donc j'ai demandé ce qu'il fallait que je fasse et qui confessait. Il m'a dit que c'était lui qui allait recueillir maintenant ma confession, qu'il fallait que je mette à genoux, face à lui, que je réfléchisse à mes péchés et que je les énonce. J'ai fait bien sûr ce qu'il me demandait si bien que je me suis retrouvé à genoux, juste entre ses jambes. Il a mis sa main sur ma tête.
-quels sont vos péchés mon fils ?

J'avais beau réfléchir, je ne voyais pas ce que j'avais fait de mal en étant renfermé ici.
-les péchés ne sont pas forcément des actes a t-il dit, mais peuvent être des pensées.
Alors j'ai dit que je pensais souvent à Isabelle, qu'elle me manquait beaucoup.
-vous avez des pensées impures en pensant à elle ?
Je ne voyais pas ça comme pensées impures moi! alors il a été plus explicite, et sans sourire.
-vous avez des érections ?
-oui j'ai dit me sentant devenir rouge.
-vous vous masturbez ?
-oui, là je devais être écarlate.
-vous jouissez ? demande t-il en me soulevant le menton pour que je le regarde.
-oui bien sûr! j'ai répondu ne sachant plus où me mettre.
-vous le faites tous les jours ?
-oui.
-plusieurs fois ?
-ça m'arrive !
-voyez que tout homme a des péchés à déclarer dit il en me tapotant la joue.
Je ne savais plus où me mettre, j'avais envie de me relever et de partir en courant pensant à tout ce que je venais de dire, jamais je n'avais parlé de sexe comme ça avec un autre homme.

Mais il me tenait le menton assez fermement, et je voyais bien qu'il n'avait pas fini de poser ses questions.
-tu n'as fait l'amour qu'avec Isabelle ?
J'étais tétanisé par sa question, par le fait qu'il me tutoyait d'un seul coup, j'ai trouvé que son regard était devenu inquisiteur, il me fouillait.
-non non j'ai connu d'autres filles avant elle.
-et des garçons ?
-des garçons ? j'ai demandé quand même étonné.
-oui dit-il en approchant son visage du mien, tu as caressé le sexe d'un autre garçon déjà ? tu t'es fais caresser le sexe par un garçon ?
-non j'ai dit, cela ne m'est jamais arrivé.
J'avais peur à ce moment là.
-maintenant, dit il en prenant mon bras, attrapant ma main, il ne va te rester que ça. Je vais t'apprendre à faire plaisir à un homme, les novices servent à ça!

Là j'avoue que tout s'écroulait autour de moi mais je n'ai pas réagi quand il s'est relevé, soulevant son habit dévoilant un sexe bandé juste devant mes yeux.
-regarde comme c'est beau un sexe d'homme, sent le! respire l'odeur de l'homme, respire l'odeur du sexe qui n'a jamais été souillé par un sexe de femme, tu vas apprendre à l'aimer, le respecter et le vénérer, touche le!
C'est lui qui a posé ma main sur son sexe.
J'étais dégoûté de toucher son sexe, j'avais presque envie de vomir. Avoir son sexe sous mon nez, respirant une odeur forte de mal lavé. Je sais maintenant que ça sentait le sperme.

Jérôme s'est mis encore à bouger contre moi, prenant ma queue entre ses doigts me caressant en me regardant.
-j'ai envie de ta queue maintenant Fabrice, j'ai envie de te sentir en moi, je veux que tu me baises fort! tu sais que j'aime ça.
-car la suite de l'histoire… murmurais je.
-oui c'est pas terrible à entendre, alors fais moi l'amour comme tu sais si bien le faire et comme j'aime.
Il a roulé sur le lit, m'entraînant avec lui, écartant ses jambes pour les croiser sur mon corps.

On s'est regardé en souriant, j'étais bloqué.
-eh ma queue c'est pas un sous marin elle trouvera pas le trou toute seule …!
Il rigole en me lâchant, le temps que je me positionne.
-alors t'es sûr ? aucune préparation Jérôme ?
-je suis déjà ouvert dit il.
-comme le paradis!
Je me suis enfoncé d'un grand coup de reins dans son cul chaud qui s'est refermé sur ma queue comme ses jambes dans mon dos et je l'ai labouré lentement et profondément en l'embrassant, écoutant ses gémissements. Il se donnait, s'offrait comme à chaque fois d'ailleurs.
Quand j'ai joui en lui, j'ai senti ses giclées chaudes entre nos corps.

On s'est regardé en souriant, heureux!

Les avis des lecteurs

??? ça veut dire quoi tout ça mon cher lecteur

Histoire Erotique
hethtrehrth



Texte coquin : Confessions du curé 1/3
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