Conseil de salope!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 116 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 677 979 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 012 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Conseil de salope!
Je n’ai pas mis longtemps pour reprendre le chemin de chez Odile. Je me suis même permis de lui raconter mon aventure avec Anne et Valérie.
-Je ne suis pas étonné de toi…
-C’est tout ce que tu as dire ?
-Quoi d’autre ? Tiens pour ma part j’ai quelqu’un qui veut que te présente à lui. Ne bouge pas, veux-tu !
Elle me revient quelques instants plus tard et là m’exhibe un fort joli godemiché rose, très réaliste. Vingt centimètres, un gland bien renflé, une tige épaisse striée de veines en relief.
-Alors ? Me fait-elle.
-Il a été plus gâté par la nature que moi.
Pour toute réponse, elle entreprend de le sucer, minant une succulente fellation. Lorsqu’il fut parfaitement humidifiée, tout en me défiant du regard, elle écarte la dentelle qui couvre son sexe jusqu’alors et ouvre largement ses grosses cuisses et glisse son nouvel amant le long de sa fente dissimulée sous une épaisse toison frisottée.
Elle le fait glisser entre les grandes lèvres. Puis lentement, centimètre après centimètre, elle fléchit le bras, rapprochant à chaque seconde un peu plus le gode de son intimité inondée de désir. Quand il entre en contact avec les tendres pétales nacrés, je vois l’intimité d’Odile s’ouvrir en corolle, comme pour accueillir un sexe.
Centimètre par centimètre, je vis disparaitre dans le ventre brûlant et offert de la femme. Ses doigts crispés sur le silicone, celle-ci pousse un long feulement rauque et se cambre pour s’ouvrir encore davantage intrusion.
Par mouvement de va-et-vient lents et progressifs, elle enterre l’engin profondément. Odile bascule la tête en arrière et râle de plaisir. Toujours en me défiant du regard, Odile accélère le rythme de son poignet. Lubrifié par l’abondante source vaginale, le gode glisse avec aisance sur toute sa longueur. Avec une technique avérée et une connaissance intime de son partenaire, elle manie le gode avec art.
Celle-ci accompagne le mouvement du gode à coups de reins, sa croupe bascule d’avant en arrière. Les yeux révulsés, la tête renversée, elle gémit et se mord la lèvre inférieure. Son entrecuisse suinte de liquide. Soudain, un jet de liquide incolore jaillit de son sexe.
Je suis fasciné par ce spectacle. Après cette apothéose orgasmique arrosée. Odile sombre dans un état de calme béat. Elle est apaisée et son visage reflète une indicible paix.
Après avoir récupérer la voilà qu’elle laisse tomber.
-J’ai moi aussi quelque chose à te confier…
-Je t’écoute ?
-Je ne sais pas si je suis la bonne personne pour te confier cela.
-Je pense que c’est trop tard pour en décider, non ?
-Oui mais… je ne sais pas comment tu vas prendre ça…
-Je t’écoute, et après, tu peux compter sur moi pour te dire ce que j’en pense…
-Eh bien cela à avoir avec ta mère.
-Elle a un amant ?
-Non ! Tu sais bien que ce n’est pas du genre à ta mère de remplacer ton père comme ça d’un coup de tête, malgré ces cinquante ans. Non…non c’est autre chose…
-Aller Odile nous n’allons pas passer la nuit !
-Bon tu l’auras voulu. Comme tu sais aussi bien que moi, une femme normalement composée à besoin de tant en tant de ce satisfaire sexuellement…
Et blabla… et blabla… jusqu’à arrivé à :
-Voilà qu’une nuit (parlant toujours de ma mère), une envie pressante la sort de son lit. Assise sur son bidet une drôle de pensée chahute son cerveau. Dans un premier temps elle essai de le chasser de son esprit. Mais voilà qui s’accroche au point de lui faire faire l’impensable. Elle s’avance comme téléguider jusqu’à la porte de ta chambre. Là elle tend l’oreille. Le cœur battant, elle écoute si tu ronfles oui ou non. Comme c’est oui, la voilà tout tremblante qui franchit le pas de la porte, pour se retrouver dans ta chambre dans la pénombre. Comme tu ronronnes, elle s’agenouille et s’autorise à tâtons sur la table de nuit de se saisir de ta torche carré. Elle a les doigts qui tremblent, à en avoir mal de pousser sur le bouton. Quand enfin le faisceau apparaît, elle place sa main devant le faisceau pour tamiser la lueur. De son autre main elle rabat le drap. Elle fabrique de la sorte une fenêtre, où elle dirige le faisceau de lumière et là surprise, un peu honteuse d’elle, elle l’aperçoit. Oui, une belle queue bandée. Elle ne résiste pas à la tentation d’avancer ses doigts, de la toucher. Poussée par une exhortation incontrôlable la voilà qui se met à masser ta queue.
Comblé, elle retourne dans sa chambre. Et une fois dans son lit, elle s’adonne à une masturbation réparatrice. La vue des clichés de ta verge ancrée dans son esprit additionné à celle de l’odeur que ta queue, qui a laissé malgré elle, son arôme sur ses doigts inquisiteurs de ta mère, la mette dans un tel état qu’elle ne met pas longtemps pour trouver l’orgasme.
-Et c’est tout ?
-Non, malheureusement non ! Elle a remit ça. Jusqu’au jour où l’excitation la pousser à lui faire faire une chose inimaginable en temps normale. Ce soir là, la tentation la pousse à aller encore plus loin. A enrouler ta verge de ses doigts. Mais alors qu’elle exerce un mouvement de branle à son poignet, avec une envie folle de t’emmené jusqu’à la jouissance, c’est alors que l’incroyable se produit. Ce fut ses propres mots ! Tu as fait un mouvement du bassin d’avant en arrière. Te branlant, oui c’est le mot, entre les doigts de maman. Elle aurait pu tout arrêter, et retourner sagement dans sa chambre. Mais la curiosité la pousse à poursuivre. Mieux encore, sans savoir comment, sa main comme autonome se met à s’activer sur ta queue énergiquement. C’est alors que de nouveau l’envie folle la submerge, et là encore plus fort. Celle de voir ta queue déversée son plaisir. Ça fait tellement longtemps que ta maman n’a pas eu la chance à toucher, de sentir du sperme. Et pour ça la coquine y met tout son cœur, et bien sûr récompenser par le ciel de son effort. Elle n’est pas mécontente de voir surgir des salves de ton foutre jaillir du méat. A l’aide de sa culotte, elle essuie le plus gros du préjudice. Et file dans sa chambre. Qu’une fois à l’abri dans son lit, la voilà qu’elle s’autorise à inhaler le précieux cocktail alors qu’avec sa main elle se masturbe. Poussé par une excitation hors norme, elle se laisse même charmé par l’envie de goûter la récompense de son œuvre, à petits coups de langue.
-Eh bien ! Si je m’attendais à ça !
-Tu ne veux pas entendre la suite ?
-Parce que ce n’est pas fini ?
-Non ! Mais si tu veux que je m’arrête là, je peux !
-Allons-y, alors elle a fait quoi encore!
-Eh bien… je pense que je t’en es dit trop…
-Ou alors pas assez…
-Si tu veux…
J’effleure ses cuisses, ses hanches, puis ma main se rapproche de son sexe, touche sa toison mouillée. J’y enfonce mes doigts à l’intérieur de sa fente. Enterre l’index et le médius le plus loin possible, je peux à peine me maîtriser tant je suis dans une telle excitation.
Je m’englue dans cette chatte onctueuse, j’y vais comme un malade, je la branle vicieusement. Elle étouffe ses gémissements. L’odeur de son cul envahit mes narines. Et tandis que mes doigts pianotent rythmiquement dans ce con moelleux, de l’autre main je lui titille le clito qui peu à peu bourgeonne. Je le sens se gonfler comme une minuscule bite.
Odile râle, éructe. Ses paupières tremblotent, ses mains se crispent. Elle ondule des hanches. Elle aime qu’on la touche. Son visage exprime le désir. Tranquillement elle met ses seins à l’air en écartant les pans de son chemisier. Les nichons jaillissent sur les côtés. Elle se pelote la poitrine. Elle se tortille d’aise. J’entends ses gémissements.
Son odeur forte de femelles en rut sature mes narines. L’orgasme est si violent qu’elle se laisse tomber en arrière. Elle mouille abondamment. Le moment me paraît absolument céleste. Je ne touche plus terre et ne contrôle plus mes sens.
Elle est vite rattrapée par un nouvel orgasme. Un violent spasme traverse son corps. Pendant que j’actionne ma main à lui donner encore du plaisir. Elle est au bord de la folie quand elle me souffle :
- Tout de suite, Alain ! Prends-moi tout de suite. Viens me la mettre.
Docile, je l’ajuste et présente mon gland aux portes de la délicieuse caverne, juteuse et enflammée. Odile râle d’impatience :
- Vite ! Je la veux !
J’engloutie ma verge totalement en elle. Je m’immobilise pour profiter de la chaleur humide qui m’enveloppe. Mais Odile me supplie de m’activer. Alors je donne de violents coups de reins en plaquant mes deux mains sur ses hanches. Elle gémit de plaisir, se laisse aller en remuant son cul au rythme imposé par mon coït. Puis je sens très vite que je flotte dans son vagin, complètement dilaté et engraissé, à me faire débander. J’enlève brusquement ma verge du vagin, pour le diriger vers son intimité voisin. Elle comprend très vite et se relève, tentant de se dégager.
- Non ! Pas aujourd’hui !
Ma verge glacée de sécrétion, l’embroche déjà, perçant la résistance du sphincter et m’enfonçant jusqu’au scrotum dans l’anus qui crispé, l’enserre dans un étau velouté et chaud.
- Salaud ! Susurre-t-elle.
Je la prends par la taille, la maintenant dans une position surélevée et par de furieux assauts, lui défonce le fondement à coups redoublés.
Elle crie de plus en plus fort, mais surement pas pour demander grâce.
- Oui ! Éructe-t-elle, enfonce-toi loin, plus loin ! C’est bon… tu me fais du bien !
Je lui claque les fesses, ce qui la fit piailler et se tordre de plus belle. Ses seins mous bringuebalent lourdement. Elle porte une main à son sexe, se masturbe. Elle dégouline littéralement de plaisir. Je la laboure plus généreusement que jamais. Retirant ma verge presque tout entier pour aussitôt la réintroduire jusqu’à la garde dans le fourreau étroit et palpitant.
Je la sodomise, pendant un long moment. Elle halète et frétille.
- Continue comme ça, crie-t-elle. Tu vas me faire mourir…
Elle précipite les aller et retours de ses doigts sur son sexe. Tout son corps se contracte et sa respiration devient plus syncopée. Le sphincter anal se resserre autour de mon membre. À me l’étrangler…
Il m’en faut pas plus pour me déverser. Le temps de reprendre notre souffle et alors que je m’apprête qui quitter son appartement, voilà qu’elle me lâche :
-Alain, encore une chose !
-Oui, je t’écoute…
-Bien si ta mère te propose une tisane fait semblant de la boire.
-Pourquoi ça.
-Conseil de salope.
-Je ne suis pas étonné de toi…
-C’est tout ce que tu as dire ?
-Quoi d’autre ? Tiens pour ma part j’ai quelqu’un qui veut que te présente à lui. Ne bouge pas, veux-tu !
Elle me revient quelques instants plus tard et là m’exhibe un fort joli godemiché rose, très réaliste. Vingt centimètres, un gland bien renflé, une tige épaisse striée de veines en relief.
-Alors ? Me fait-elle.
-Il a été plus gâté par la nature que moi.
Pour toute réponse, elle entreprend de le sucer, minant une succulente fellation. Lorsqu’il fut parfaitement humidifiée, tout en me défiant du regard, elle écarte la dentelle qui couvre son sexe jusqu’alors et ouvre largement ses grosses cuisses et glisse son nouvel amant le long de sa fente dissimulée sous une épaisse toison frisottée.
Elle le fait glisser entre les grandes lèvres. Puis lentement, centimètre après centimètre, elle fléchit le bras, rapprochant à chaque seconde un peu plus le gode de son intimité inondée de désir. Quand il entre en contact avec les tendres pétales nacrés, je vois l’intimité d’Odile s’ouvrir en corolle, comme pour accueillir un sexe.
Centimètre par centimètre, je vis disparaitre dans le ventre brûlant et offert de la femme. Ses doigts crispés sur le silicone, celle-ci pousse un long feulement rauque et se cambre pour s’ouvrir encore davantage intrusion.
Par mouvement de va-et-vient lents et progressifs, elle enterre l’engin profondément. Odile bascule la tête en arrière et râle de plaisir. Toujours en me défiant du regard, Odile accélère le rythme de son poignet. Lubrifié par l’abondante source vaginale, le gode glisse avec aisance sur toute sa longueur. Avec une technique avérée et une connaissance intime de son partenaire, elle manie le gode avec art.
Celle-ci accompagne le mouvement du gode à coups de reins, sa croupe bascule d’avant en arrière. Les yeux révulsés, la tête renversée, elle gémit et se mord la lèvre inférieure. Son entrecuisse suinte de liquide. Soudain, un jet de liquide incolore jaillit de son sexe.
Je suis fasciné par ce spectacle. Après cette apothéose orgasmique arrosée. Odile sombre dans un état de calme béat. Elle est apaisée et son visage reflète une indicible paix.
Après avoir récupérer la voilà qu’elle laisse tomber.
-J’ai moi aussi quelque chose à te confier…
-Je t’écoute ?
-Je ne sais pas si je suis la bonne personne pour te confier cela.
-Je pense que c’est trop tard pour en décider, non ?
-Oui mais… je ne sais pas comment tu vas prendre ça…
-Je t’écoute, et après, tu peux compter sur moi pour te dire ce que j’en pense…
-Eh bien cela à avoir avec ta mère.
-Elle a un amant ?
-Non ! Tu sais bien que ce n’est pas du genre à ta mère de remplacer ton père comme ça d’un coup de tête, malgré ces cinquante ans. Non…non c’est autre chose…
-Aller Odile nous n’allons pas passer la nuit !
-Bon tu l’auras voulu. Comme tu sais aussi bien que moi, une femme normalement composée à besoin de tant en tant de ce satisfaire sexuellement…
Et blabla… et blabla… jusqu’à arrivé à :
-Voilà qu’une nuit (parlant toujours de ma mère), une envie pressante la sort de son lit. Assise sur son bidet une drôle de pensée chahute son cerveau. Dans un premier temps elle essai de le chasser de son esprit. Mais voilà qui s’accroche au point de lui faire faire l’impensable. Elle s’avance comme téléguider jusqu’à la porte de ta chambre. Là elle tend l’oreille. Le cœur battant, elle écoute si tu ronfles oui ou non. Comme c’est oui, la voilà tout tremblante qui franchit le pas de la porte, pour se retrouver dans ta chambre dans la pénombre. Comme tu ronronnes, elle s’agenouille et s’autorise à tâtons sur la table de nuit de se saisir de ta torche carré. Elle a les doigts qui tremblent, à en avoir mal de pousser sur le bouton. Quand enfin le faisceau apparaît, elle place sa main devant le faisceau pour tamiser la lueur. De son autre main elle rabat le drap. Elle fabrique de la sorte une fenêtre, où elle dirige le faisceau de lumière et là surprise, un peu honteuse d’elle, elle l’aperçoit. Oui, une belle queue bandée. Elle ne résiste pas à la tentation d’avancer ses doigts, de la toucher. Poussée par une exhortation incontrôlable la voilà qui se met à masser ta queue.
Comblé, elle retourne dans sa chambre. Et une fois dans son lit, elle s’adonne à une masturbation réparatrice. La vue des clichés de ta verge ancrée dans son esprit additionné à celle de l’odeur que ta queue, qui a laissé malgré elle, son arôme sur ses doigts inquisiteurs de ta mère, la mette dans un tel état qu’elle ne met pas longtemps pour trouver l’orgasme.
-Et c’est tout ?
-Non, malheureusement non ! Elle a remit ça. Jusqu’au jour où l’excitation la pousser à lui faire faire une chose inimaginable en temps normale. Ce soir là, la tentation la pousse à aller encore plus loin. A enrouler ta verge de ses doigts. Mais alors qu’elle exerce un mouvement de branle à son poignet, avec une envie folle de t’emmené jusqu’à la jouissance, c’est alors que l’incroyable se produit. Ce fut ses propres mots ! Tu as fait un mouvement du bassin d’avant en arrière. Te branlant, oui c’est le mot, entre les doigts de maman. Elle aurait pu tout arrêter, et retourner sagement dans sa chambre. Mais la curiosité la pousse à poursuivre. Mieux encore, sans savoir comment, sa main comme autonome se met à s’activer sur ta queue énergiquement. C’est alors que de nouveau l’envie folle la submerge, et là encore plus fort. Celle de voir ta queue déversée son plaisir. Ça fait tellement longtemps que ta maman n’a pas eu la chance à toucher, de sentir du sperme. Et pour ça la coquine y met tout son cœur, et bien sûr récompenser par le ciel de son effort. Elle n’est pas mécontente de voir surgir des salves de ton foutre jaillir du méat. A l’aide de sa culotte, elle essuie le plus gros du préjudice. Et file dans sa chambre. Qu’une fois à l’abri dans son lit, la voilà qu’elle s’autorise à inhaler le précieux cocktail alors qu’avec sa main elle se masturbe. Poussé par une excitation hors norme, elle se laisse même charmé par l’envie de goûter la récompense de son œuvre, à petits coups de langue.
-Eh bien ! Si je m’attendais à ça !
-Tu ne veux pas entendre la suite ?
-Parce que ce n’est pas fini ?
-Non ! Mais si tu veux que je m’arrête là, je peux !
-Allons-y, alors elle a fait quoi encore!
-Eh bien… je pense que je t’en es dit trop…
-Ou alors pas assez…
-Si tu veux…
J’effleure ses cuisses, ses hanches, puis ma main se rapproche de son sexe, touche sa toison mouillée. J’y enfonce mes doigts à l’intérieur de sa fente. Enterre l’index et le médius le plus loin possible, je peux à peine me maîtriser tant je suis dans une telle excitation.
Je m’englue dans cette chatte onctueuse, j’y vais comme un malade, je la branle vicieusement. Elle étouffe ses gémissements. L’odeur de son cul envahit mes narines. Et tandis que mes doigts pianotent rythmiquement dans ce con moelleux, de l’autre main je lui titille le clito qui peu à peu bourgeonne. Je le sens se gonfler comme une minuscule bite.
Odile râle, éructe. Ses paupières tremblotent, ses mains se crispent. Elle ondule des hanches. Elle aime qu’on la touche. Son visage exprime le désir. Tranquillement elle met ses seins à l’air en écartant les pans de son chemisier. Les nichons jaillissent sur les côtés. Elle se pelote la poitrine. Elle se tortille d’aise. J’entends ses gémissements.
Son odeur forte de femelles en rut sature mes narines. L’orgasme est si violent qu’elle se laisse tomber en arrière. Elle mouille abondamment. Le moment me paraît absolument céleste. Je ne touche plus terre et ne contrôle plus mes sens.
Elle est vite rattrapée par un nouvel orgasme. Un violent spasme traverse son corps. Pendant que j’actionne ma main à lui donner encore du plaisir. Elle est au bord de la folie quand elle me souffle :
- Tout de suite, Alain ! Prends-moi tout de suite. Viens me la mettre.
Docile, je l’ajuste et présente mon gland aux portes de la délicieuse caverne, juteuse et enflammée. Odile râle d’impatience :
- Vite ! Je la veux !
J’engloutie ma verge totalement en elle. Je m’immobilise pour profiter de la chaleur humide qui m’enveloppe. Mais Odile me supplie de m’activer. Alors je donne de violents coups de reins en plaquant mes deux mains sur ses hanches. Elle gémit de plaisir, se laisse aller en remuant son cul au rythme imposé par mon coït. Puis je sens très vite que je flotte dans son vagin, complètement dilaté et engraissé, à me faire débander. J’enlève brusquement ma verge du vagin, pour le diriger vers son intimité voisin. Elle comprend très vite et se relève, tentant de se dégager.
- Non ! Pas aujourd’hui !
Ma verge glacée de sécrétion, l’embroche déjà, perçant la résistance du sphincter et m’enfonçant jusqu’au scrotum dans l’anus qui crispé, l’enserre dans un étau velouté et chaud.
- Salaud ! Susurre-t-elle.
Je la prends par la taille, la maintenant dans une position surélevée et par de furieux assauts, lui défonce le fondement à coups redoublés.
Elle crie de plus en plus fort, mais surement pas pour demander grâce.
- Oui ! Éructe-t-elle, enfonce-toi loin, plus loin ! C’est bon… tu me fais du bien !
Je lui claque les fesses, ce qui la fit piailler et se tordre de plus belle. Ses seins mous bringuebalent lourdement. Elle porte une main à son sexe, se masturbe. Elle dégouline littéralement de plaisir. Je la laboure plus généreusement que jamais. Retirant ma verge presque tout entier pour aussitôt la réintroduire jusqu’à la garde dans le fourreau étroit et palpitant.
Je la sodomise, pendant un long moment. Elle halète et frétille.
- Continue comme ça, crie-t-elle. Tu vas me faire mourir…
Elle précipite les aller et retours de ses doigts sur son sexe. Tout son corps se contracte et sa respiration devient plus syncopée. Le sphincter anal se resserre autour de mon membre. À me l’étrangler…
Il m’en faut pas plus pour me déverser. Le temps de reprendre notre souffle et alors que je m’apprête qui quitter son appartement, voilà qu’elle me lâche :
-Alain, encore une chose !
-Oui, je t’écoute…
-Bien si ta mère te propose une tisane fait semblant de la boire.
-Pourquoi ça.
-Conseil de salope.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon conseil ! à suivre !