Consequence, d'un couple en manque de libido. - histoire érotique

Florian et Olivia, sont très accros au sexe, mais le désir diminue de jour en jour. Leur couple, sexuellement, bat de l'aile. Mariés depuis de nombreuses années, la routine s'installe petit à petit. Bien qu'ils s'aiment, ils font l'amour de moins en moins. Leur libido décline à grande vitesse, et finie par s'éteindre complètement. Maintenant question sexe, c'est la Bérézina, ils ne touchent pratiquement plus, ils font chambre à part.

Ils ont parlent souvent, se revoient la faute l'un à l'autre, les scènes de ménage sont fréquentes. Après de nombreux palabres, les deux font un deal. C'est de prendre une maitresse ou un amant et venir avec, s'éclater à la maison. Cela semble convenir au deux. Il est vrai que le sexe est très important dans un couple. Florian rapidement à une maitresse, il incite Olivia à en faire de même. Très réservée, Olivia hésite, n'ose pas, elle manque de courage.

Florian amène souvent sa maitresse, chez lui, et s'enferme avec elle dans la chambre. Pendant des heures, les deux font l'amour. C'est si violent qu'Olivia les entend gémir de plaisir. Elle serre les poings, rumine, puis éclate en sanglot, en se jetant sur le canapé. Cela fait plusieurs semaines que le manège dure.
Olivia veut, elle aussi, sauter le pas, mais elle ne sait comment faire.
Le manque de sexe se fait ressentir de plus en plus. Pour calmer ses pulsions, le soir, seule dans son lit, Olivia se masturbe férocement, à la recherche de plusieurs orgasmes. Les jours où son mari amène sa maitresse, les entendre geindre, la met dans un état pas possible. Elle s'arrache presque le clito en gémissant sur le canapé.

Souvent son neveu Marc, 22 ans, et sa nièce Juliette, 21 ans, lui rendent visite. Les deux sont très fusionnelles avec le tonton et la tata, ils n'ont jamais rien remarqué. Un jour, ils la trouvent haletante sur le canapé. Ils s'assoient de chaque côté d'elle, en se posant beaucoup de questions. Olivia enserre dans ses bras Juliette, et appuie sa tête contre son épaule.

Marc est le premier à parler :

-Mais qu'est-ce que tu as Tante !

En reniflant fortement, elle dit qu'elle ne peut plus rester comme cela, elle dit aussi que Florian et sa maitresse sont dans la chambre et s'ébattent. Les deux apprennent, que la tante aime faire l'amour, mais elle n'a plus de désir sexuel pour Florian, et c'est réciproque pour Lui. Les deux en fait un deal. Olivia, raconte tout. Juliette et Marc sont sans voix. Juliette ose :

-Mais tante, puisque vous êtes d'accord, fais comme lui, éclate-toi, tu es très jolie, tu trouveras vite un amant !

Marc en la toisant dit :

-Oui, je suis d'accord avec ma sœur, tu as tout ce qu'il faut là où il faut !

Le bougre en rajoute une couche :

-Je suis sûr que tu dois être une bombe au lit, et une sacrée gourmande, je me trompe ?

Olivia arrive à sourire, elle regarde son neveu et lui dit :

-Qu'est-ce qui te fait dire cela, petit vicieux !

Il réplique en souriant :

-Avec un cul pareil, on ne peut qu'aimer se faire défoncer !

Olivia se pince les lèvres, elle s'essuie les perles salées qui coulent sur ses joues. Elle dit avec un peu de gêne :

-C'est vrai, qu'avec Florian, nos ébats étaient fougueux !

Les yeux de Juliette s'illuminent, elle demande :

- C'est quoi pour toi fougueux, tata !

En se raclant la gorge et en reniflant, Olivia dit :

-Eh bien, nous n'avions aucun tabou ou presque !

Juliette semble ne pas bien comprendre :

-Tu veux dire, tu veux dire, que tout était permis ?

Olivia répète :

-Oui ma chérie, enfin presque tout, voila, tu sais maintenant !

Marc ajoute :

-Je m'en doutais que tu étais une chaude du cul, hum, j'adore entendre ça. Tante, j'aimerai te rendre service, si tu le souhaites, je peux être ton amant, tu sais j'en suis capable !

Olivia sursaute, elle fronce les sourcils et dit :

-Toi mon amant, mais je pourrais être ta maman, ne me dis pas que te fais de l'effet ?

Marc répond :

-Si tu savais combien de fois, j'imaginais te prendre comme une bête en rut !

Olivia sursaute et dit en souriant :

-Eh bien, tu m'en diras tant, je suis sur mon cul, d'entendre que je peux attirer des jeunes mâles dans mon lit, c'est flatteur pour moi merci mon chéri !

Juliette se plaque contre elle et ronronne comme une chatte. Marc insiste :

-Alors tante ma proposition ne te tente pas, après tout, cela restera en famille !

Olivia le regarde tendrement et dit :

-Ne sois pas fou, tu sais que c'est impossible, j'aurai trop honte faire cela avec mon neveu, bien que cela soit tentant !


Marc vient de marquer un point. Sans aucune gêne, il sort sa verge et commence à la branler. Les yeux deux femmes restent figées sur l'engin, qui semble de bonne taille. En serrant les dents, le bougre veut montrer qu'il a de quoi, pour contenter une femme, qu'elle, qu'elle soit.

Olivia salive abondamment, elle déglutit bruyamment en regardant la bite prendre de plus en plus de volume.


Juliette, en ne quittant pas du regard la verge qui augmente au rythme du branlage, pose sa main sur la cuisse de sa tante, et lentement la glisse sous la jupe. Olivia se raidit, elle s'agrippe à sa nièce en soufflant. La main avance progressivement sous la jupe et bute contre l'aine. Le bout des doigts de l'audacieuse nièce, glissent doucement vers l'entrejambe, et passe sur la culotte. Juliette ne peut s'empêcher de dire :

-Mais ta culotte est mouillée, tante :

Olivia baisse les yeux et dit :

-Je me suis masturbée, avant que vous ne veniez, écoutez comme les deux gémissent dans la chambre, en prenant du bon temps, c'est plus fort que moi, il faut que je me caresse !

Juliette tend l'oreille et dit :

-Oh la vache, j'aimerai voir ça !

Juliette, excitée, passe sa main sur le ventre plat de la tante, qui frémit. Elle rejette la tête en arrière en soupirant plusieurs fois. Automatiquement, elle ouvre les jambes. Juliette saisit à pleine main la vulve qui humidifie de plus en plus la culotte. Elle la presse fortement en faisant grimacer la tante devenue conciliante. Marc souffle comme un taureau, sa bite est opérationnelle. Il s'approche et ouvre le corsage de sa tante, il lui extirpe du soutien-gorge les seins. Il admire un long moment, les mamelons larges et épais, qui trônent au centre de grosses aréoles brunes. Il les roule entre ses doigts, les étire fortement. Olivia grimace, mais elle est trop excitée pour refuser les attouchements, même émanant de son neveu et de sa nièce. Elle laisse de côté les préjugés, inceste ou pas, elle se laisse aller.

La main agile de Juliette continue de lui pétrir la vulve, qui laisse échapper un filet constant de cyprine. Juliette dit faiblement :

-Tu aimes ce que je te fais, tata !

C'est en gémissant, qu'Olivia répond :

-Oh oui ma chérie, c'est divin, n'arrête pas, n'arrête pas, c'est trop bon !

Elle se cabre, lorsque la bouche de son neveu se pose sur ses mamelons et les suce voracement.
Juliette s'agenouille face à sa tante, et habilement lui retire la culotte. Avec douceur, elle lui ouvre les jambes et avance sa main entre les cuisses pour atteindre le fruit juteux. Elle saisit la boule de chair qui est grosse comme une cerise. La presse doucement, et commence un doux branlage méticuleux. Olivia ne peut retenir ses gémissements qui augmentent en tonalité, au fur et à mesure que Juliette branle. Elle dit faiblement :

-Oh mes chéris, vous me faites mourir !

Juliette accélère le mouvement, la tante se cabre comme un cheval. Elle pousse un hurlement et explose de jouissance. Sa chatte rejette sa cyprine comme un geyser. Juliette plaque sa bouche sur la chatte en folie, et avale tout ce qu'elle peut, avant d'enfoncer sa langue dans le brasier. Olivia gémit en se cambrant comme un pont un jour de tempête.
La langue agile fouille profondément le puits détrempé, en extirpant des gémissements bruyants à Olivia. Assaillit par deux bouches, elle défaille. Ses mamelons, devenus énormes, sont douloureux, les aspirations puissantes de Marc les font durcir davantage.