Conséquence d'un couple en manque de libido 2 - histoire érotique

Juliette lui aspire, le clito. Olivia pousse un hurlement, une jouissance fabuleuse la fait cabrer, son corps tremble. Sa chatte ne peut retenir un flot de cyprine. Juliette se redresse, elle est souriante, elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main. Olivia git sur le canapé, jupe retroussée, jambes écartées, elle halète fortement.
Marc délaisse les seins, il a toujours sa verge hors du pantalon, le coquin bande terriblement. Il retire son pantalon, agite son membre gonflé de désir et prend place entre les cuisses accueillantes de sa tante, qui dans l'état d'excitation ou elle est, ne peut refuser l'estocade.

Il frotte son gland qu'il a pris soin de décalotter, contre la fente dégoulinante, et pousse. Olivia en gémissant s'accroche à son neveu.
Lentement, la verge puissante s'enfonce dans son ventre. En s'enfonçant, le gland, en raclant les parois sensibles du conduit, fait geindre de plaisir la tante.
Son vagin n'a pas été sondé depuis de nombreux mois, est enfin visité par un membre puissant.

Olivia se demande comment qu'elle a pu rester sans sexe depuis tout ce temps, car elle avait sous la main la bite vigoureuse de son neveu.
Elle est comblée de bonheur, ce qu'elle ressent est indescriptible. Accrochée à son neveu comme un rapace sur sa proie, elle agite doucement son bassin en murmurant :

-Oui, oui, Marc, oh mon chéri, j'en ai besoin, prends-moi à fond, oui, oui, comme ça, c'est si bon mon chéri !


Elle souffle comme un taureau qui va charger. Elle donne, elle aussi, des coups de reins, pour être totalement empalée sur le pieu de son jeune amant.
Juliette regarde, émerveillée, la bite de son frère coulisser dans le ventre de sa tante, elle frissonne.
Olivia grogne à chaque coup de reins, elle a les yeux presque exorbités, son souffle est rapide. La verge, plantée en elle, lui fait pousser des gémissements de bêtes blessées. Marc lui malmène le col de l'utérus, son gland le martèle comme pour le défoncer. Pour Olivia, c'est le plaisir total, elle hurle :

-Oui, oui, tape fort mon chéri, vas-y, vas-y oh que c'est bon !

Juliette, ne reste pas inactive, elle pose sa main sur le clito bien gonflé de sa tante, le presse fortement en faisant grimacer. À chaque pression sur sa boule de chair, la tante se cabre. Juliette commence à agiter le clito comme une petite bite, l'effet est immédiat. Sa tante se tend comme un arc qui va décocher sa flèche. Elle ouvre la bouche en cherchant de l'air, et se met à délirer :

-Oh mes chéris, vous me faites mourir mon Dieu, c'est trop bon, n'arrêtez pas encore, encore !

Marc la défonce comme un forcené, lui qui rêvait de culbuter sa tante, eh bien, voila, c'est fait. Le bougre s'agrippe à ses hanches et donne de violents coups de boutoir. Olivia est au bord de la syncope. Florian en a fini avec sa maitresse, il la conduit, la porte, l'embrasse, elle disparait. Il passe devant le salon, les gémissements l'attirent. Il ouvre la porte, et reste sans voix en voyant sa femme, subir les assauts de son neveu, pendant que sa nièce lui martyrise le clito.

Il sourit en se disant, enfin, elle a sauté le pas, mais il ne comprend pas le choix de ses amants. Olivia semble sur un nuage, il s'avance toujours avec le sourire. Sa femme a les yeux vitreux, elle geint comme une agonisante, en se cramponnant à son neveu. Juliette, en voyant son oncle, cesse de branler le clito. Marc lui arrête de pilonner le ventre de sa tante. Florian dit :

-Continuez, continuez, faites comme si je n'étais pas là, allez-y, allez-y elle est au bord de l'explosion !

Malgré la gêne causée par le nouveau venu, Juliette reprendre le branlage de la boule sensible, et Marc reprend la défonce du ventre de sa tante. Plus les minutes passent, plus Olivia gémit. Une violente jouissance la fait hurler, elle se cambre le plus qu'elle peu, ses yeux sont révulsés, son visage est déformé par un rictus affreux. Marc serre les dents, il accélère le pilonnage. Il se raidit et en poussant un grognement de fauve remplit le ventre de sa tante avec sa semence épaisse. Puis avant de se retirer, il donne encore quelques estocades.

Florian remarque que sa femme jouit plus avec son neveu qu'avec lui, cela le fruste un peu, mais il se fait une raison. Sa femme reprend peu à peu ses esprits, elle est gênée en voyant son mari face à elle, elle rabat brusquement sa jupe et dit en béguant :

-Oh Florian, j'ai honte de ce que tu viens de voir !

Il lui sourit et répond :

-Ma chérie, je suis heureux que tu aies enfin osé franchir le pas, et que tu as un amant, mais pourquoi notre neveu, et j'ai vu que notre nièce, n'est pas restée inactive ?

Olivia baisse la tête et répond :

-Pour tout te dire, je n'en sais rien, ce sont les circonstances !

Marc prend la parole et dit :

-J'ai un peu forcé la main à la tante, et j'avoue, ne pas le regretter, c'était si bon !

Florian en poussant un gros soupir demande :

-Il baise bien le neveu ma chérie ?

En ravalant sa salive, Olivia répond :

-Oh la vache, j'ai joui comme une dingue, c'est un fameux coup, et j'ajoute que Juliette, est une dévoreuse hors pair, avec elle aussi, j'ai joui à en mourir !

Tous se regardent un instant, Florian les invite à prendre un verre. Puisque les dés, sont jetés, Olivia, n'a pas ré-enfilée sa culotte, et sans aucun scrupule, monte à califourchon sur les genoux de son neveu. Le jeune étalon, n'a pas encore rangé son membre. Le gland lâche encore quelques perles de semence.
Olivia ondule du bassin, elle sent contre sa chatte le manche de chair qui reprend vie. Elle tient Marc par le cou en soupirant fortement.

Florian regarde sans dire un mot. Il se dit que sa femme cherche encore à se faire forer la chatte, et cela l'excite. Il prend place à côte de sa nièce, passe son bras autour de ses épaules et dit en lui souriant :

-Je suis sûr que tu es un bon coup Juliette !

Il pose sa main sur sa cuisse et la caresse doucement. Juliette frémit, son souffle s'accélère. La main avance lentement vers son intimité. Les doigts caressent avec douceur la culotte humide. La coquine, avec ce qu'elle a vu, et fait, a mouillé considérablement. Florian regarde Juliette, il lui murmure :


-Tu as envie que tonton te prenne très fort, ma chérie ?

Juliette sans répondre baisse la tête. Florian prend cela pour un oui. Il se place devant sa nièce et passe ses mains sous la jupe, elles agrippent la culotte est avec habileté, la font descendre lentement sur les longues jambes de Juliette, qui n'oppose aucune résistance. Olivia se met sur la pointe de ses pieds, saisit la verge de son neveu et la dirige vers sa chatte en ébullition. Elle s'empale jusqu'aux couilles en poussant un long gémissement rauque. Elle reste un instant sans faire de mouvements, avant de chevaucher sa monture comme une amazone. Son corps monte et descend sur le pal qui l'embroche. Ses gémissements sont bruyants, ses yeux embués.

Une fois la culotte de Juliette sur le sol, l'oncle ouvre doucement les jambes de sa nièce. Il observe les fines lèvres cernées par une fine toison. Sa queue enfle dans son pantalon. Il l'ôte ainsi que son slip. Juliette regarde le manche fortement veiné, qui semble redoutable. Ses yeux sont fortement écarquillés.


Olivia s'active sur son neveu qui geint autant que son amante. Il hurle :

-Je vais jouir, je vais jouir tante !

Rapidement, elle descend de sa monture, saisit la bite prête à exploser, et l'enfourne dans sa bouche, elle suce et tète comme une affamée. Marc pousse un grognement, et remplit de son sperme la bouche de sa tante. Elle repousse l'éjaculateur, en se pinçant les lèvres, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle regarde son mari et, en déglutissant bruyamment, avale la fabuleuse décharge. Florian n'en revient pas, elle qui a toujours refusé d'avaler, eh bien là, la salope le fait, et sans rechigner encore.

Olivia, rapidement, remonte sur son cheval, et plante la bite gluante de son neveu dans son ventre, elle reprend la chevauchée qu'elle avait arrêtée, avec plus d'ardeur. Elle gémit, s'accroche au cou de son jeune amant, et s'agite comme une hystérique sur la queue plantée en elle. Le résultat escompté ne tarde pas, elle pousse un hurlement monstrueux, et jouit comme une damnée.