Consultation (2/3) - histoire érotique

En continuant à balader ses doigts de droite à gauche entre mes hanches, il m'explique que les premières fois sont souvent décevantes et laborieuses car les deux partenaires manquent d'expérience.
Pour faire un examen complet il me demande de me dévêtir complément.
Un peu surprise, je fais glisser ma culotte le long de mes jambes et ne sachant pas ou la poser je la roule en boule dans ma main.

N'ayant aucune notion sur la suite de la consultation, je me réinstalle sur la table en m'assoyant les cuisses serrées.
Il revient vers moi avec une allure plus dominatrice. Je vois qu'il regarde ma vulve se dessiner entre mes cuisses fermées.
J'ai une particularité anatomique le 'thigh gap', j'ai beau tenir mes pieds et genoux collés, il reste toujours un écart d'environ 5cm entre mes cuisses. Cela fait un peu ma fierté, lorsque je porte un pantalon moulant. Mon copain me dit à chaque fois que je suis sexy, le regard verrouillé sur mes jambes.

Le médecin se positionne face moi. Je ne sais pas ce qu'il attend et je suis surprise lorsqu'il pose ses mains sur mes genoux.
Sans un mot, il écarte fermement mes cuisses et continu à me scruter du regard. Je commence à rougir, je me sens très gênée d'ouvrir mon intimité à la vue du médecin. Il le sait et semble en jouer.
Il sourit en regardant cette vulve bien gonflée, très fermée et juste fendue d'un trait comme souvent pour une jeune fille.

Il installe mes pieds dans les étriers de la table d'osculation. Je me sens exposée mais je pense que c'est habituel et que c'est ainsi que l'on examine une femme.
Il me demande de me détendre car il allait insérer le bout d'un spéculum de petite taille pour vérifier ma perte de virginité.

Il prit son temps pour enfiler des gants d'examen de couleur bleue. Il fit couler une dose de lubrifiant sur l'extrémité de l’instrument.
Après avoir écarté légèrement mes lèvres pour introduire l'embout froid, je sentie un petit pincement. Il écarta à peine l'ouverture vaginale pour me confirmer que l'hymen était rompu.
Une fois le spéculum retiré il m'expliqua qu'il ne voyait aucun symptôme qui permettait d'expliquer les règles douloureuses. Il me dit qu'il allait faire un toucher vaginal.

Il me demande alors, 'tu es d’accord ?'. Je ne sais pas de quoi il parle et prise au dépourvu je me sens un peu idiote et je réponds 'oui' en hochant la tête.
Il reprend le tube de lubrifiant et commence à enduire son index et le majeur de liquide. Il prend son temps et semble mimer avec sa main l'examen à venir. Cela me tétanise.

Il se place latéralement à la table et de la main droite il pose une dose de lubrifiant sur ma vulve.
Il me dit qu'il allait me lubrifier pour rendre l'examen plus facile. Il plaque sa main droite sur mon entrejambe et commence une série de mouvements dans le sillon de ma vulve.
A chaque aller-retour il presse de plus en plus fortement sur mon clitoris. Je regarde le plafond mais chaque sollicitation est de plus en plus gênante.

Je suis rouge écarlate et je me mords mes lèves lorsqu'il me dit que j'ai une vulve de petite taille mais que les lèvres sont très bien gonflées.
Il sourit à chaque vague de tremblements du ventre de sa jeune patiente, il me dit 'on y va'. Il se positionne alors face à moi entre mes jambes ouvertes.

Je sens son index à l'entrée de mon vagin et il commence à enfiler son doigt de plus en plus profondément dans mon intimité. Il prend son temps et explore toutes les parois.
Il me regarde et me dit qu'il va utiliser un autre doigt pour palper le col de l'utérus.
Il introduit difficilement son index et il me dit que je suis effectivement très serrée. L'étroitesse de mon vagin expliquerait ma première expérience infructueuse avec mon copain.
Je sens sa main droite qui me dilate et me fouille pendant que sa main gauche me palpe le ventre au même rythme.

J'essaie de fermer les cuisses mais les étriers et la position du médecin ne le permette pas. Je trouve cet examen très intime et intrusif, je suis de plus en plus tendue.
Il m'explore de plus en plus fermement et il me finit par me dire que je n'ai aucune contre-indication pour avoir des relations sexuelles.

Je pensais que cette consultation éprouvante était finie mais il me regarda dans les yeux.
Il me saisit les hanches et me fit glisser en avant pour placer mes fesses à moitié en dehors de la table d'auscultation.
Les pieds coincés dans les étriers, je sentais mes genoux remonter vers ma poitrine.
Le spectacle était absolument obscène, on ne voyait plus que ma vulve propulsée en avant et offerte au maximum. Je ne savais plus quoi faire !

----> à suivre