conteur
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
conteur
Comme tu vois moi aussi j’ai bavé et tu vas commencer par lécher mon slip, après tu le descendras avec les dents. Fait attention à ne pas me faire mal.
Il a fait ça comme un bon bâtard qui sait faire plaisir, toujours menotté dans le dos. Ma queue soulevait l’élastique à la taille et en mordant le tissu il a pu faire sortir mon sexe.
Je ne te prendrais pas le cul avant que tu sois épilé mais tu vas goûter de la gorge profonde. Commence à la sucer, décalotte là avec les lèvres le gland pointe déjà. Salive en suçant de plus en plus loin. Il était marrant à voir, les pinces se balançaient sous lui à sa cadence, tirant sur les tétons. Il a eu un arrêt, réprimant un haut le cœur.
Crache et reprends je n’ai pas senti tes lèvres contre mon ventre. Il a repris ma queue en bouche, cette fois allant un peu plus loin et je n’ai pas résisté à appuyer sur son crâne, le maintenant bien au fond. Le nez sur mon ventre il pouvait à peine respirer quand je l’ai lâché. Tu progresses. Reprends ton souffle mais cette fois une fois au fond je vais jouir bien au fond
Il a levé la tête vers moi, les yeux humides avant de recommencer et cette fois collé contre moi qui le tenait, j’ai envoyé mon jus et me suis retiré en lâchant encore des jets dans sa bouche.
Il a tout avalé, crachant ensuite la salive qui coulait de ses lèvres.
Vous avez aimé maître ?
Son ton était suppliant.
Oui tu as fait ça bien tu apprends vite. Retourne-toi sur le dos. Je suis allé chercher la clé et j’ai défait les menottes et la cage, sa queue bavant n’a eu aucun mal à sortir du tube.
-Pardon maître mais j’ai bavé de plaisir.
Je vois ça, j’ai passé les doigts pour retirer la bave et les lui ai donnés à lécher. Recule-toi sur le lit, écarte en grand tes cuisses mais en rapprochant tes pieds. Oui comme ça. Branle-toi. Fais-moi plaisir, montre que tu as aimé. Va doucement. Branle toi en faisant coulisser ton prépuce. J’avais pris son sac de couilles dans la main et les faisait rouler dedans. Il me fixait intensément. J’ai tiré sur le sac, amenant sa queue à l’équerre, Il a ouvert la bouche pour faire : Oh et s’est tu. Presque de suite son jus a débordé du gland sous ses petites secousses nerveuses. Il me regardait mais les yeux un peu voilés.
Va te doucher lave bien partout et revient. Laisse la porte ouverte que je te voie, la douche à l’italienne ne va pas inonder la chambre.
Je le regardais et il était beau, dur et sensible à la fois. Près à toutes mes folies. Il découvrait et était partant pour tout, j’avais bien vu son comportement à l’accueil. J’vais beau l’avoir vu sur toutes les coutures il avait encore des réflexes de pudeur pour par exemple se laver les fesses un peu plus profondément.
Sèche-toi et viens t’agenouiller devant moi. Il faut que je te parle de ce qui se passera surement sous peu.
J’ai sorti le collier de dessous mon tee-shirt. Regarde-le de près.
-Ho ! Vous êtes le bâtard d’un mec vous aussi ?
Bruno n’est pas seulement mon maître comme je suis le sien parfois mais il est surtout le patron de la filière de Munich. Tu l’as vu partir en hélico de là où tu bossais.
-Ha d’accord. Je vous ai vu vous embrasser, vous vous aimez ? Ho pardon je n’aurais pas dû demander.
Pour cette fois ce n’est pas grave. Oui, nous nous aimons et il m’impose certaines contraintes à distance.
Il a ouvert la bouche mais il a stoppé aussitôt.
Tu te demandes lesquelles, c’est ça ?
Oui maître.
Regarde mieux dans la chambre, tu vas voir de toutes petites cams qui s’allument quand Bruno me voit. Ainsi il a vu ce que je faisais de toi. Elles se sont allumées un moment.
-Et, pardon, il entend aussi ?
Tout oui. Fini les questions. Installe-toi sur le dos et écarte les cuisses Je vais attacher tes couilles de chaque côté de ta queue et finir en serrant le prépuce au-dessus du gland avec un lacet. Tu viendras manger avec nous comme ça.
-Ho, nu ?
Mais oui n’ai pas honte de ton corps. Les autres, qui mangent avec nous te regarderons par curiosité et surtout envie sachant que si tu es comme ça, tu es MON bâtard.
-Ho maître ! C’est vrai ?
Tu me parais apte à subir beaucoup et en plus à aimer ça, physiquement et psychologiquement.
-En fait je ne connaissais pas tout ça mais c’est vrai et vous êtes un bon maître.
Quand on est en dehors du plan sexe, appelle moi Éric comme tous ici.
-Je vais essayer de le faire m...Pardon Éric.
Le téléphone a sonné, c’était Elise qui prévenait qu’elle fermait la grille et nous souhaitais une bonne soirée. Je n’avais pas vu l’heure passer Mais une fois dans le couloir de l’étage qui nous était réservé J’ai senti l’odeur de ce qu’avait préparé Alain. Le chien me suivait docilement tenu en laisse jusqu’à la salle à côté de la cuisine où la table était dressée. Il y a eu un silence quand il est apparu.
Bon appétit à tous pour certains vous connaissez déjà mon chien. Pour les autres il n’a de prénom que « chien » et sur bien des points est meilleur que vous.
Alain nous a surpris en arrivant avec un plat de charcuterie. Elle avait mis un corsage rembourré et un simple tablier cachant son sexe mais pas ses fesses. Un instant chien a crû que c’était une fille et a fermé les yeux de honte
-Les garçons je ne vous ai pas mis ma saucisse vous l’auriez mangé sans sucer !
Chien a rouvert les yeux et vu la bosse de son sexe proéminent sous le tablier et a eu un sourire.
-Hé bien le chien tu n’as jamais vu de mec un peu fille ?
-Si mais j’ai cru un instant que vous étiez une vraie fille et j’ai eu honte d’être comme ça.
-Ma poulette t’en verras d’autre avec Éric. Sur ce mangez.
(Merci pour e commentaires!)
Il a fait ça comme un bon bâtard qui sait faire plaisir, toujours menotté dans le dos. Ma queue soulevait l’élastique à la taille et en mordant le tissu il a pu faire sortir mon sexe.
Je ne te prendrais pas le cul avant que tu sois épilé mais tu vas goûter de la gorge profonde. Commence à la sucer, décalotte là avec les lèvres le gland pointe déjà. Salive en suçant de plus en plus loin. Il était marrant à voir, les pinces se balançaient sous lui à sa cadence, tirant sur les tétons. Il a eu un arrêt, réprimant un haut le cœur.
Crache et reprends je n’ai pas senti tes lèvres contre mon ventre. Il a repris ma queue en bouche, cette fois allant un peu plus loin et je n’ai pas résisté à appuyer sur son crâne, le maintenant bien au fond. Le nez sur mon ventre il pouvait à peine respirer quand je l’ai lâché. Tu progresses. Reprends ton souffle mais cette fois une fois au fond je vais jouir bien au fond
Il a levé la tête vers moi, les yeux humides avant de recommencer et cette fois collé contre moi qui le tenait, j’ai envoyé mon jus et me suis retiré en lâchant encore des jets dans sa bouche.
Il a tout avalé, crachant ensuite la salive qui coulait de ses lèvres.
Vous avez aimé maître ?
Son ton était suppliant.
Oui tu as fait ça bien tu apprends vite. Retourne-toi sur le dos. Je suis allé chercher la clé et j’ai défait les menottes et la cage, sa queue bavant n’a eu aucun mal à sortir du tube.
-Pardon maître mais j’ai bavé de plaisir.
Je vois ça, j’ai passé les doigts pour retirer la bave et les lui ai donnés à lécher. Recule-toi sur le lit, écarte en grand tes cuisses mais en rapprochant tes pieds. Oui comme ça. Branle-toi. Fais-moi plaisir, montre que tu as aimé. Va doucement. Branle toi en faisant coulisser ton prépuce. J’avais pris son sac de couilles dans la main et les faisait rouler dedans. Il me fixait intensément. J’ai tiré sur le sac, amenant sa queue à l’équerre, Il a ouvert la bouche pour faire : Oh et s’est tu. Presque de suite son jus a débordé du gland sous ses petites secousses nerveuses. Il me regardait mais les yeux un peu voilés.
Va te doucher lave bien partout et revient. Laisse la porte ouverte que je te voie, la douche à l’italienne ne va pas inonder la chambre.
Je le regardais et il était beau, dur et sensible à la fois. Près à toutes mes folies. Il découvrait et était partant pour tout, j’avais bien vu son comportement à l’accueil. J’vais beau l’avoir vu sur toutes les coutures il avait encore des réflexes de pudeur pour par exemple se laver les fesses un peu plus profondément.
Sèche-toi et viens t’agenouiller devant moi. Il faut que je te parle de ce qui se passera surement sous peu.
J’ai sorti le collier de dessous mon tee-shirt. Regarde-le de près.
-Ho ! Vous êtes le bâtard d’un mec vous aussi ?
Bruno n’est pas seulement mon maître comme je suis le sien parfois mais il est surtout le patron de la filière de Munich. Tu l’as vu partir en hélico de là où tu bossais.
-Ha d’accord. Je vous ai vu vous embrasser, vous vous aimez ? Ho pardon je n’aurais pas dû demander.
Pour cette fois ce n’est pas grave. Oui, nous nous aimons et il m’impose certaines contraintes à distance.
Il a ouvert la bouche mais il a stoppé aussitôt.
Tu te demandes lesquelles, c’est ça ?
Oui maître.
Regarde mieux dans la chambre, tu vas voir de toutes petites cams qui s’allument quand Bruno me voit. Ainsi il a vu ce que je faisais de toi. Elles se sont allumées un moment.
-Et, pardon, il entend aussi ?
Tout oui. Fini les questions. Installe-toi sur le dos et écarte les cuisses Je vais attacher tes couilles de chaque côté de ta queue et finir en serrant le prépuce au-dessus du gland avec un lacet. Tu viendras manger avec nous comme ça.
-Ho, nu ?
Mais oui n’ai pas honte de ton corps. Les autres, qui mangent avec nous te regarderons par curiosité et surtout envie sachant que si tu es comme ça, tu es MON bâtard.
-Ho maître ! C’est vrai ?
Tu me parais apte à subir beaucoup et en plus à aimer ça, physiquement et psychologiquement.
-En fait je ne connaissais pas tout ça mais c’est vrai et vous êtes un bon maître.
Quand on est en dehors du plan sexe, appelle moi Éric comme tous ici.
-Je vais essayer de le faire m...Pardon Éric.
Le téléphone a sonné, c’était Elise qui prévenait qu’elle fermait la grille et nous souhaitais une bonne soirée. Je n’avais pas vu l’heure passer Mais une fois dans le couloir de l’étage qui nous était réservé J’ai senti l’odeur de ce qu’avait préparé Alain. Le chien me suivait docilement tenu en laisse jusqu’à la salle à côté de la cuisine où la table était dressée. Il y a eu un silence quand il est apparu.
Bon appétit à tous pour certains vous connaissez déjà mon chien. Pour les autres il n’a de prénom que « chien » et sur bien des points est meilleur que vous.
Alain nous a surpris en arrivant avec un plat de charcuterie. Elle avait mis un corsage rembourré et un simple tablier cachant son sexe mais pas ses fesses. Un instant chien a crû que c’était une fille et a fermé les yeux de honte
-Les garçons je ne vous ai pas mis ma saucisse vous l’auriez mangé sans sucer !
Chien a rouvert les yeux et vu la bosse de son sexe proéminent sous le tablier et a eu un sourire.
-Hé bien le chien tu n’as jamais vu de mec un peu fille ?
-Si mais j’ai cru un instant que vous étiez une vraie fille et j’ai eu honte d’être comme ça.
-Ma poulette t’en verras d’autre avec Éric. Sur ce mangez.
(Merci pour e commentaires!)
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