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Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
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-Bonjour je suppose que je dois être le barreur pour vous aider !
-Oui l’ancien débarque ici. Il picole et n’est plus assez sur. Sur ton annonce tu disais parler l’allemand et le hollandais, c’est vrai ?
-Naturlich patron. Et lui, c’est qui ?
-Comme j’ai marqué, ma chienne, à ta disposition aussi. Il cherchait un maître et je l’ai trouvé. Il en aura deux !
-Ok ça me va. Je ne bois pas ma religion l’interdit mais vous ? Une bière ?
-C’est bon et un verre d’eau pour lui.
Il est allé au bar commander une pression, une sans alcool et un verre d’eau. De dos il avait de petites fesses et il ne devait pas être plus vieux que moi vu son visage. En revenant il m’a fixé droit dans les yeux.je n’ai pu soutenir son regard et baissant les yeux j’ai vu la bosse que son sexe faisait dans le jean. J’ai eu un frisson. Il s’est assis à côté de moi et sans gêne a posé la main entre mes cuisses.
-Ecarte les !
J’ai dû étouffer un cri il écrasait mes couilles et j’ai posé la main sur son poignet le temps que le barman mette les verres devant nous.
-Bon on a convenu d’un salaire et je suis ok avec les services de la gamine.
-J’avais vu ça comme ça moi aussi.
-Il supporte bien la douleur ?
-Je ne l’ai jamais entendu protester. Mais il y a encore du boulot pour la perfection.
Cette fois il a passé la main entre la poche de poitrine et ma ceinture. Tirant sur mon sac de boules j’ai esquissé un son, bouche grande ouverte.
Il a trinqué avec mon maître et moi j’ai bu mon verre d’eau.
-Bon Je pense qu’ils ont fini la péniche d’avant ce sera notre tour.
-Bah le sable de Seine va être aspiré vite fait. On charge quoi après ?
-On sera lège jusqu’à l’étape suivante j’attends les instructions de la compagnie.
-Génial on aura toute la cale vide. Bon, on y va ? J’ai mon sac et du matos qu’il portera.
-Ok, toi prends la malle.
Elle était lourde et un peu encombrante mais au début avec les roulettes j’ai pu la tirer ce n’est que pour passer de péniche en péniche que j’ai eu besoin d’aide. Je suis descendu dans la cabine ou je me suis mis nu. Pas à poil, je n’avais plus que mes cheveux.
Ils ont démarré et ont placé la péniche à quai sous une grue. La cale ouverte, avec la grue ils ont passé un tuyau qui a aspiré tout le sable Maître était descendu signer les connaissements seul avec le beur qui me matait du poste de pilotage je n’en menais pas large.
Une fois fini on est reparti cales fermées sauf une.
-Bon on le fait descendre Éric ?
-Sans problème qu’on s’amuse un peu Ali.
-Tu as compris ? Sors de là et descend on va te passer la malle avec un bout.
Une fois au fond j’ai retenu la malle pour ne pas la faire toucher les bords.
Le temps qu’Ali descende j’ai regardé le vaste espace entièrement dégagé. Seul de petits croisillons insérés dans le fond devait servir à retenir du matériel.
-Plus loin tu verras un ponton pour t’amarrer je viendrais t’aider. Je prépare la chienne. Fais-moi passer un sac avec ton matos à toi.
Le sac est descendu au bout d’un bout.
-Toi, tu t’accroupis le cou à hauteur d’un croisillon.
Il a pris l’anneau du collier et avec une chaîne l’a fixé. Je ne pouvais plus me redresser. Il a pris les pinces croco du sac et les a posés à mes tétons me faisant grimacer.
-Ne descend pas la tête ! Tes tétons seront de vraies tétines.
Il a posé des attaches en cuir à mes chevilles et les a fait tenir bien écartées en les liant à des croisillons du fond de la coque.
-Maintenant tu vas rester sage je monte aider Éric pour nous amarrer et on revient tous les deux.
Je l’ai vu disparaître. L’air passait entre mes fesses et sur mes couilles lisses je me retenais des bras pour que les poids des tétons ne touchent pas le sol. J’ai entendu le raclement des pneus contre la coque et l’ai entendait parler pour bien fixer la péniche. Puis je les ai vus descendre.
-T’as un beau petit cul de chienne. Mais avant de s’en occuper, même si tu aimes avoir le cul rempli on va te casser moralement et physiquement. Il avait ouvert la malle et j’ai entendu le sifflement de la cravache avant le coup sur les fesses. J’ai eu un sursaut. Qui a fait remuer les tétons. Je n’ai pas eu de sursis une autre claque cette fois m’est tombé sur les fesses. Les coups de cravache suivant me sont tombés sur les épaules et le dos. J’allais surement avoir des marques et les fesses rouges. J’ai commencé par couiner puis crier et au moment d’arrêt je ne sais pas lequel a mis un bâillon boule derrière les dents avant de reprendre les coups.
J’ai hurlé dans le bâillon. Hon-hon.
-Tu en as assez salope ?
J’ai hoché la tête. Enfin ils ont cessé.
-Tu as compris qui tu étais.
J’ai à nouveau hoché la tête.
Sans prévenu j’ai reçu un coup sur les couilles. Je ne tenais plus et ai laissé mon torse reposer sur la cale. Deux mains ont redressé mon bassin.
-Tu vas te voir.
Ils ont installé un Pc portable et la caméra fixé sur ma gueule je me voyais les larmes aux yeux. La vue a changé et avec un portable j’ai vu mes fesses et mon dos avec de grandes marques. Puis le portable a été dirigé vers mes fesses et mes couilles. J’ai vu un mince filet de bave pendant surement de ma bite. Deux mains ont écarté mes fesses, je voyais mon trou encore entrouvert de la sodomie des mecs du matin. Il (je ne voyais pas qui) a entouré mon sac de couilles serré avec de la corde en crin qui me piquait faisant une seule vraie boule sous mon cul. J’ai entendu Ali et senti qu’il me tirait sur les cheveux.
-Regarde ce que tu auras à chacune de mes envies dans ton cul ou dans ta bouche.
Le mec était monté comme je n’avais même pas encore vu sur le net. Il a ôté le bâillon et a passé le gland découvert sur mes lèvres baveuses.
-Ouvre grand !
Il m’a craché dans la bouche.
-Avale et ouvre encore plus ou je te mets un truc de dentiste qui te tiendra la bouche ouverte !
J’ai avalé et ouvert un maximum et j’ai senti son sexe passer entre mes dents.
-Ne serre pas les dents mais les lèvres. Il faut t’habituer à en sucer des énormes, pire que la mienne sans faire mal. Tu vas baver mais c’est normal. Regarde par le côté ton cul qu’Éric prépare.
J’avais senti ses doigts et j’étais surpris d’en avoir deux déjà qui me branlait le cul.
-La aussi tu peux mieux faire.
Mettant un produit qui filait dans ses doigts il a introduit un troisième. Le produit était gras et surement un peu anesthésiant car c’est entré là encore facilement. Je ne voyais pas toujours, la vue bouchée par le corps d’Ali qui se branlais dans ma bouche, contre mes lèvres. Je me sentais le jouet d’hommes et je sentais que j’aimais ça. Je me devais de ma plier aux exigences des hommes.
J’ai senti un flot de sperme passer contre mes lèvres et finir dans ma gorge sans qu’il arrête de me faire sucer. J’ai avalé et d’un grognement j’ai compris qu’il aimait le mouvement de ma langue quand j’ai avalé.
-Cette fois je vais te faire un masque facial.
Il s’est dégagé de ma bouche que j’ai refermé un peu douloureusement avant de se branler face à moi, faisant coulisser son prépuce sur le gland avec ses doigts. J’ai fermé les yeux quand j’ai entendu ses halètements plus rapide et pas tardé à recevoir son jus sur le front et les joues. Il a étalé son jus sur mon visage.
J’ai été étonné de voir sur l’écran les cinq doigts d’Éric enfoncé dans mes fesses.
-Détend toi lopette il te faudra bien recevoir un jour deux bites de black ensemble.
Le jeu commençait à les fatiguer et Éric m’a laissé le cul ouvert et face à mon trou qui se contractait avec des spasmes il a joui de mon dos à mes couilles.
-Petite chienne tu manques de marques de ce que tu es réellement. Désormais tu porteras un corset et un string en nylon. Comme je n’en ai qu’un seul tu le laveras dans ta bouche de lopette. Tu auras comme ça le goût de ta bave, de nos jus et du tien car tu jouis quand on te maltraite.
-Oui l’ancien débarque ici. Il picole et n’est plus assez sur. Sur ton annonce tu disais parler l’allemand et le hollandais, c’est vrai ?
-Naturlich patron. Et lui, c’est qui ?
-Comme j’ai marqué, ma chienne, à ta disposition aussi. Il cherchait un maître et je l’ai trouvé. Il en aura deux !
-Ok ça me va. Je ne bois pas ma religion l’interdit mais vous ? Une bière ?
-C’est bon et un verre d’eau pour lui.
Il est allé au bar commander une pression, une sans alcool et un verre d’eau. De dos il avait de petites fesses et il ne devait pas être plus vieux que moi vu son visage. En revenant il m’a fixé droit dans les yeux.je n’ai pu soutenir son regard et baissant les yeux j’ai vu la bosse que son sexe faisait dans le jean. J’ai eu un frisson. Il s’est assis à côté de moi et sans gêne a posé la main entre mes cuisses.
-Ecarte les !
J’ai dû étouffer un cri il écrasait mes couilles et j’ai posé la main sur son poignet le temps que le barman mette les verres devant nous.
-Bon on a convenu d’un salaire et je suis ok avec les services de la gamine.
-J’avais vu ça comme ça moi aussi.
-Il supporte bien la douleur ?
-Je ne l’ai jamais entendu protester. Mais il y a encore du boulot pour la perfection.
Cette fois il a passé la main entre la poche de poitrine et ma ceinture. Tirant sur mon sac de boules j’ai esquissé un son, bouche grande ouverte.
Il a trinqué avec mon maître et moi j’ai bu mon verre d’eau.
-Bon Je pense qu’ils ont fini la péniche d’avant ce sera notre tour.
-Bah le sable de Seine va être aspiré vite fait. On charge quoi après ?
-On sera lège jusqu’à l’étape suivante j’attends les instructions de la compagnie.
-Génial on aura toute la cale vide. Bon, on y va ? J’ai mon sac et du matos qu’il portera.
-Ok, toi prends la malle.
Elle était lourde et un peu encombrante mais au début avec les roulettes j’ai pu la tirer ce n’est que pour passer de péniche en péniche que j’ai eu besoin d’aide. Je suis descendu dans la cabine ou je me suis mis nu. Pas à poil, je n’avais plus que mes cheveux.
Ils ont démarré et ont placé la péniche à quai sous une grue. La cale ouverte, avec la grue ils ont passé un tuyau qui a aspiré tout le sable Maître était descendu signer les connaissements seul avec le beur qui me matait du poste de pilotage je n’en menais pas large.
Une fois fini on est reparti cales fermées sauf une.
-Bon on le fait descendre Éric ?
-Sans problème qu’on s’amuse un peu Ali.
-Tu as compris ? Sors de là et descend on va te passer la malle avec un bout.
Une fois au fond j’ai retenu la malle pour ne pas la faire toucher les bords.
Le temps qu’Ali descende j’ai regardé le vaste espace entièrement dégagé. Seul de petits croisillons insérés dans le fond devait servir à retenir du matériel.
-Plus loin tu verras un ponton pour t’amarrer je viendrais t’aider. Je prépare la chienne. Fais-moi passer un sac avec ton matos à toi.
Le sac est descendu au bout d’un bout.
-Toi, tu t’accroupis le cou à hauteur d’un croisillon.
Il a pris l’anneau du collier et avec une chaîne l’a fixé. Je ne pouvais plus me redresser. Il a pris les pinces croco du sac et les a posés à mes tétons me faisant grimacer.
-Ne descend pas la tête ! Tes tétons seront de vraies tétines.
Il a posé des attaches en cuir à mes chevilles et les a fait tenir bien écartées en les liant à des croisillons du fond de la coque.
-Maintenant tu vas rester sage je monte aider Éric pour nous amarrer et on revient tous les deux.
Je l’ai vu disparaître. L’air passait entre mes fesses et sur mes couilles lisses je me retenais des bras pour que les poids des tétons ne touchent pas le sol. J’ai entendu le raclement des pneus contre la coque et l’ai entendait parler pour bien fixer la péniche. Puis je les ai vus descendre.
-T’as un beau petit cul de chienne. Mais avant de s’en occuper, même si tu aimes avoir le cul rempli on va te casser moralement et physiquement. Il avait ouvert la malle et j’ai entendu le sifflement de la cravache avant le coup sur les fesses. J’ai eu un sursaut. Qui a fait remuer les tétons. Je n’ai pas eu de sursis une autre claque cette fois m’est tombé sur les fesses. Les coups de cravache suivant me sont tombés sur les épaules et le dos. J’allais surement avoir des marques et les fesses rouges. J’ai commencé par couiner puis crier et au moment d’arrêt je ne sais pas lequel a mis un bâillon boule derrière les dents avant de reprendre les coups.
J’ai hurlé dans le bâillon. Hon-hon.
-Tu en as assez salope ?
J’ai hoché la tête. Enfin ils ont cessé.
-Tu as compris qui tu étais.
J’ai à nouveau hoché la tête.
Sans prévenu j’ai reçu un coup sur les couilles. Je ne tenais plus et ai laissé mon torse reposer sur la cale. Deux mains ont redressé mon bassin.
-Tu vas te voir.
Ils ont installé un Pc portable et la caméra fixé sur ma gueule je me voyais les larmes aux yeux. La vue a changé et avec un portable j’ai vu mes fesses et mon dos avec de grandes marques. Puis le portable a été dirigé vers mes fesses et mes couilles. J’ai vu un mince filet de bave pendant surement de ma bite. Deux mains ont écarté mes fesses, je voyais mon trou encore entrouvert de la sodomie des mecs du matin. Il (je ne voyais pas qui) a entouré mon sac de couilles serré avec de la corde en crin qui me piquait faisant une seule vraie boule sous mon cul. J’ai entendu Ali et senti qu’il me tirait sur les cheveux.
-Regarde ce que tu auras à chacune de mes envies dans ton cul ou dans ta bouche.
Le mec était monté comme je n’avais même pas encore vu sur le net. Il a ôté le bâillon et a passé le gland découvert sur mes lèvres baveuses.
-Ouvre grand !
Il m’a craché dans la bouche.
-Avale et ouvre encore plus ou je te mets un truc de dentiste qui te tiendra la bouche ouverte !
J’ai avalé et ouvert un maximum et j’ai senti son sexe passer entre mes dents.
-Ne serre pas les dents mais les lèvres. Il faut t’habituer à en sucer des énormes, pire que la mienne sans faire mal. Tu vas baver mais c’est normal. Regarde par le côté ton cul qu’Éric prépare.
J’avais senti ses doigts et j’étais surpris d’en avoir deux déjà qui me branlait le cul.
-La aussi tu peux mieux faire.
Mettant un produit qui filait dans ses doigts il a introduit un troisième. Le produit était gras et surement un peu anesthésiant car c’est entré là encore facilement. Je ne voyais pas toujours, la vue bouchée par le corps d’Ali qui se branlais dans ma bouche, contre mes lèvres. Je me sentais le jouet d’hommes et je sentais que j’aimais ça. Je me devais de ma plier aux exigences des hommes.
J’ai senti un flot de sperme passer contre mes lèvres et finir dans ma gorge sans qu’il arrête de me faire sucer. J’ai avalé et d’un grognement j’ai compris qu’il aimait le mouvement de ma langue quand j’ai avalé.
-Cette fois je vais te faire un masque facial.
Il s’est dégagé de ma bouche que j’ai refermé un peu douloureusement avant de se branler face à moi, faisant coulisser son prépuce sur le gland avec ses doigts. J’ai fermé les yeux quand j’ai entendu ses halètements plus rapide et pas tardé à recevoir son jus sur le front et les joues. Il a étalé son jus sur mon visage.
J’ai été étonné de voir sur l’écran les cinq doigts d’Éric enfoncé dans mes fesses.
-Détend toi lopette il te faudra bien recevoir un jour deux bites de black ensemble.
Le jeu commençait à les fatiguer et Éric m’a laissé le cul ouvert et face à mon trou qui se contractait avec des spasmes il a joui de mon dos à mes couilles.
-Petite chienne tu manques de marques de ce que tu es réellement. Désormais tu porteras un corset et un string en nylon. Comme je n’en ai qu’un seul tu le laveras dans ta bouche de lopette. Tu auras comme ça le goût de ta bave, de nos jus et du tien car tu jouis quand on te maltraite.
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