conteur
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
conteur
Il a défait le lien du collier que je porterais encore.
-Plonge ou saute à l’eau et lave toi tu te sécheras au soleil.
J’ai sauté après être monté sur le pont et me suis lavé les fesses, que j’ai découverte plus souple et ma tronche du sperme d’Ali. Avant de remonter par la corde à nœud et m’allonger au soleil. J’avais toujours les pinces aux tétons mais je les sentais moins. Ils ont dû manger pendant ce temps et discuter entre eux et sur moi. Je me suis assis pour ne pas m’appuyer sur le torse et les poids et quand ils sont remontés j’étais sec.
-Dis-nous que tu aimes la façon dont tu es traité la chienne.
Les mots ont eu du mal à passer mais je n’ai pu que leur dire que j’aimais me sentir un jouet sexuel.
-C’est parfait nous on a à disposition une lopette masochiste et tu n’es qu’au début du dressage. Enfile ça on va le lacer derrière, ça fera ressortir tes tétons. Passe les pinces par-dessus.
Ils ont tiré à deux sur les liens qui m’ont fait rentrer le ventre et en effet ressortir ma poitrine et mes tétines. Le string qu’ils m’ont tendu était fin, de couleur rouge comme le corset et la ficelle passait entre mes fesses. Mes poils repoussaient un peu et me donnaient envie de me gratter souvent.
-Passe cette jupette plissée et mets là juste à la taille.
Si courte dès que je me pencherais on verrait mes fesses et la ficelle.
-Dis-nous quand tu as faim on te fera avaler du liquide plein de protéine.
Ils ont ri et j’ai bien compris de quel liquide ils parlaient.
-T’es parfaite comme ça, une vraie pute mâle.
Son portable a sonné et il a changé de ton aussitôt.
-Bonjour Monsieur… Oui on est amarré du côté de Saint Quentin. Je dois vous informer que j’ai viré mon équipier, il buvait mais j’avais prévu et un remplaçant attendait dans un bar près du port. Dès que possible je vous envoie ses coordonnées. Il parle le flamand, l’allemand et le néerlandais…A Strasbourg ?... Oui en navigant jour et nuit on peut y être demain dans la soirée je pense…Oui j’ai vu ses papiers et vous enverrait tout au passage d’une écluse. Bien Monsieur… Au revoir Monsieur.
-C’était ton patron ? Enfin le nôtre quoi.
-Oui et faut qu’on fonce ils nous attendent, un besoin de pièces détachées pour le flux tendu d’une usine et on est les seuls disponibles dans le coin. Je démarre la machine, toi tu défais l’amarre avant et lui il défera celle de derrière.
Comme toujours j’ai obéi, pas habitué a manier les cordages mais une fois la pointe et libérée et Ali remonté, il a fait une marche arrière donnant du mou et j’ai pu remonter avec l’amarre .
-Je n’ai pas trop dormi la nuit dernière mais je prends la barre pour un moment, je te laisse t’amuser avec notre bâtard.
-Ok toi, suis-moi. Je vais descendre dans la cale et attacher ma male à un cordage et je remonte t’aider à la remonter une fois tout à l’intérieur.
D’en bas il a pris le temps de tout ranger matant par-dessous ma jupe et bien évidemment j’ai bandé malgré le cordage de crin autour du gland. Une fois revenu et la male hissée il l’a descendu avec moi jusqu’à la cabine.
-Depuis quand tu ne t’es pas branlé bâtard ?
Je n’ai jamais eu l’occasion de le faire depuis que je suis sur la péniche.
-Tu vas le faire mais en mettant dans ta main un tampon vert. Je suis sur que tu vas apprécier.
J’ai essayé mais la douleur du frottement m’a stoppée.
Il est passé derrière moi et a pris mon poignet serré sur le tampon.
-Recommence, tu vas devoir associer la douleur et le plaisir.
Il a lui-même accompagné mon poignet me faisant gémir de plus en plus fort, jusqu’à jouir dans le string qu’il m’avait fait garder. Il a fouiné dans la malle ouverte et a sorti un objet en métal. J’ai reconnu une cage de sexe mais curieuse.
-Tu seras plus à l’aise avec ça. Il a défait les nœuds de mon gland et de mes couilles avant de faire passer mon sac dans un anneau et me l’a fait tenir.
-Garde la tête haute je vais insérer la sonde dans ta queue et poser la cage avant de le cadenasser.
La sonde était longue et faisait partie de la cage qu’il a eu du mal à poser, elle était toute petite et je ne pourrais pas bander avec. Le clic du cadenas a mis fin à la vie de ma queue. Une fois en place j’ai pu la toucher et la voir. Petite et brillante je pouvais toucher la peau à travers les anneaux et j’ai senti au bout le bout du tube de la sonde, déjà humide. Par contre mon sac de couilles était bien en évidence.
-Cette fois fini la branlette, tu devras demander mais tu jouiras vite sans bander tu verras. Mets toi à genoux et suce moi. Fait gaffe avec tes dents.
Cette fois je savais la taille et l’épaisseur du sexe et j’ai bien ouvert en grand pour refermer derrière le gland. Il a donné des coups de reins rapide mais il ne voulait pas jouir dans ma bouche et c’est appuyé aux marches pour accéder au poste de barre qu’il a forcé mes reins. J’en aurais couiné mais il a posé sa main sur ma bouche le temps qu’il me bourre le cul de sa queue. Il n’a pas été trop long à jouir et a mis un plug sorti de sa malle dans mon cul. Avec son jus c’est entré tout seul.
-Je pionce un peu. Monte voir ton maître si il a besoin de toi.
Je l’ai trouvé, assis la clope au bec un pied sur la barre.
-Alors bâtard, Ali te plait ?
Si je le satisfais oui il me plaît.
-Soulève ta jupe ! Pas mal cette cage et tu baves déjà lopette. De l’autre pied il a soulevé mes couilles. Ouais c’est fait pour toi. Il t’a mis une sonde ?
Oui maître.
-Tu es content d’avoir trouvé un vrai dominant ?
C’est mieux que ce que je pensais maître. Je me sens constamment femelle contrainte tout en restant un homme, enfin un sous homme quoi.
-Plonge ou saute à l’eau et lave toi tu te sécheras au soleil.
J’ai sauté après être monté sur le pont et me suis lavé les fesses, que j’ai découverte plus souple et ma tronche du sperme d’Ali. Avant de remonter par la corde à nœud et m’allonger au soleil. J’avais toujours les pinces aux tétons mais je les sentais moins. Ils ont dû manger pendant ce temps et discuter entre eux et sur moi. Je me suis assis pour ne pas m’appuyer sur le torse et les poids et quand ils sont remontés j’étais sec.
-Dis-nous que tu aimes la façon dont tu es traité la chienne.
Les mots ont eu du mal à passer mais je n’ai pu que leur dire que j’aimais me sentir un jouet sexuel.
-C’est parfait nous on a à disposition une lopette masochiste et tu n’es qu’au début du dressage. Enfile ça on va le lacer derrière, ça fera ressortir tes tétons. Passe les pinces par-dessus.
Ils ont tiré à deux sur les liens qui m’ont fait rentrer le ventre et en effet ressortir ma poitrine et mes tétines. Le string qu’ils m’ont tendu était fin, de couleur rouge comme le corset et la ficelle passait entre mes fesses. Mes poils repoussaient un peu et me donnaient envie de me gratter souvent.
-Passe cette jupette plissée et mets là juste à la taille.
Si courte dès que je me pencherais on verrait mes fesses et la ficelle.
-Dis-nous quand tu as faim on te fera avaler du liquide plein de protéine.
Ils ont ri et j’ai bien compris de quel liquide ils parlaient.
-T’es parfaite comme ça, une vraie pute mâle.
Son portable a sonné et il a changé de ton aussitôt.
-Bonjour Monsieur… Oui on est amarré du côté de Saint Quentin. Je dois vous informer que j’ai viré mon équipier, il buvait mais j’avais prévu et un remplaçant attendait dans un bar près du port. Dès que possible je vous envoie ses coordonnées. Il parle le flamand, l’allemand et le néerlandais…A Strasbourg ?... Oui en navigant jour et nuit on peut y être demain dans la soirée je pense…Oui j’ai vu ses papiers et vous enverrait tout au passage d’une écluse. Bien Monsieur… Au revoir Monsieur.
-C’était ton patron ? Enfin le nôtre quoi.
-Oui et faut qu’on fonce ils nous attendent, un besoin de pièces détachées pour le flux tendu d’une usine et on est les seuls disponibles dans le coin. Je démarre la machine, toi tu défais l’amarre avant et lui il défera celle de derrière.
Comme toujours j’ai obéi, pas habitué a manier les cordages mais une fois la pointe et libérée et Ali remonté, il a fait une marche arrière donnant du mou et j’ai pu remonter avec l’amarre .
-Je n’ai pas trop dormi la nuit dernière mais je prends la barre pour un moment, je te laisse t’amuser avec notre bâtard.
-Ok toi, suis-moi. Je vais descendre dans la cale et attacher ma male à un cordage et je remonte t’aider à la remonter une fois tout à l’intérieur.
D’en bas il a pris le temps de tout ranger matant par-dessous ma jupe et bien évidemment j’ai bandé malgré le cordage de crin autour du gland. Une fois revenu et la male hissée il l’a descendu avec moi jusqu’à la cabine.
-Depuis quand tu ne t’es pas branlé bâtard ?
Je n’ai jamais eu l’occasion de le faire depuis que je suis sur la péniche.
-Tu vas le faire mais en mettant dans ta main un tampon vert. Je suis sur que tu vas apprécier.
J’ai essayé mais la douleur du frottement m’a stoppée.
Il est passé derrière moi et a pris mon poignet serré sur le tampon.
-Recommence, tu vas devoir associer la douleur et le plaisir.
Il a lui-même accompagné mon poignet me faisant gémir de plus en plus fort, jusqu’à jouir dans le string qu’il m’avait fait garder. Il a fouiné dans la malle ouverte et a sorti un objet en métal. J’ai reconnu une cage de sexe mais curieuse.
-Tu seras plus à l’aise avec ça. Il a défait les nœuds de mon gland et de mes couilles avant de faire passer mon sac dans un anneau et me l’a fait tenir.
-Garde la tête haute je vais insérer la sonde dans ta queue et poser la cage avant de le cadenasser.
La sonde était longue et faisait partie de la cage qu’il a eu du mal à poser, elle était toute petite et je ne pourrais pas bander avec. Le clic du cadenas a mis fin à la vie de ma queue. Une fois en place j’ai pu la toucher et la voir. Petite et brillante je pouvais toucher la peau à travers les anneaux et j’ai senti au bout le bout du tube de la sonde, déjà humide. Par contre mon sac de couilles était bien en évidence.
-Cette fois fini la branlette, tu devras demander mais tu jouiras vite sans bander tu verras. Mets toi à genoux et suce moi. Fait gaffe avec tes dents.
Cette fois je savais la taille et l’épaisseur du sexe et j’ai bien ouvert en grand pour refermer derrière le gland. Il a donné des coups de reins rapide mais il ne voulait pas jouir dans ma bouche et c’est appuyé aux marches pour accéder au poste de barre qu’il a forcé mes reins. J’en aurais couiné mais il a posé sa main sur ma bouche le temps qu’il me bourre le cul de sa queue. Il n’a pas été trop long à jouir et a mis un plug sorti de sa malle dans mon cul. Avec son jus c’est entré tout seul.
-Je pionce un peu. Monte voir ton maître si il a besoin de toi.
Je l’ai trouvé, assis la clope au bec un pied sur la barre.
-Alors bâtard, Ali te plait ?
Si je le satisfais oui il me plaît.
-Soulève ta jupe ! Pas mal cette cage et tu baves déjà lopette. De l’autre pied il a soulevé mes couilles. Ouais c’est fait pour toi. Il t’a mis une sonde ?
Oui maître.
-Tu es content d’avoir trouvé un vrai dominant ?
C’est mieux que ce que je pensais maître. Je me sens constamment femelle contrainte tout en restant un homme, enfin un sous homme quoi.
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