Contrat, dette.. 1
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Contrat, dette.. 1
Je me nomme Melissa,
J’ai hérité de pas mal d’argent depuis ma naissance, et il m’est arrivé de faire des prêts, mais parfois avec des clauses « spéciales » dans les contrats.
Je profitais de mes privilèges, c’est peut-être difficile à croire, mais la vie était parfois ennuyante !
Trois personnes étaient arrivées à l’expiration de leur contrat, la dette n’était pas remboursée, elles reçurent chaque une invitation à se rendre dans ma maison de campagne.
Elles arrivèrent plus ou moins toutes les trois en même temps.
J’avais choisie trois femmes de plus ou moins la même tranche d’âge, plus ou moins la même taille et la même couleur de cheveux : trois brunes.
Elles étaient ceci dit physiquement très différentes.
Catherine, la plus petite des trois mesurait 1m54, un peu en surpoids restait tout de même mignonne, une jeune femme très sensible, mais qui était plutôt contrariante et capricieuse.
Marie, une jeune femme qui porte des lunettes, plutôt un air d’intello, 1m60, plutôt mince, une petite poitrine, et un joli fessier, très réservée pour sa part.
Stéphanie, 1m60 aussi pour un 90b, la plus ouverte des trois, pas toute fine, mais loin d’être grosse, elle se situe entre les deux autres au niveau des tailles, sexuellement, en redemande toujours.
Les trois femmes présentes, elles savent pourquoi elles sont là, ou du moins en partie, je les fais descendre dans la cave, aménagées pour l’évènement, je les vois un peu interrogatrices, je leur signale que tout sera dit une fois en bas.
Lorsque nous avons fait les contrats, elles ont rempli des formulaires.
Pour Catherine par exemple, les hommes sont tous des connards, elle à un sexfriends depuis 3 années, mais ne lui autorise que pénétration avec ses doigts, son sexe ou se laisser léchée.
Marie, quant à elle, ne suce pas, elle la stipuler assez souvent dans le formulaire.
Stéphanie, elle sera réticente à la sodomie.
J’avais donc deux filles qui ne sucent pas, et une qui ne veut pas se faire sodomiser, aucune n’avale… J’allais refaire leur éducation.
Elles étaient toutes les trois face à moi, on aurait pu former un losange au vu de nos positions, au milieu de nous se trouvait un gros récipient.
- Mesdemoiselles, j’imagine que vous savez toutes pourquoi vous êtes là ? Vous venez pour une reconnaissance de dettes, remplir la ligne du contrat où vous vous offrez à moi, je vous ai fait parvenir une liste de règle à respecter, comme je vois, vous les avez bien lut et vous avez commencé à les appliquer. J’aimerais surtout que vous reteniez deux, qui en sont les principales, ne pas discuter et obéir. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui ! Disent-elles en cœur.
- Oui qui ?
- Oui, madame.
- Très bien, nous allons commencer.
Je me mis à passer derrière chacune d’entre elles, j’imaginais le nombre de questions qui tournait dans leur tête et finit par m’arrêter derrière Catherine, notre « petite grosse », en posant mon index sur son épaule.
- Toi !
- Oui, madame ?
- Dénude-toi, tu peux garder ton dessous, je ne veux rien d’autre.
- Bi… Bien madame. Dit-elle d’une voix nerveuse.
Elle cherchait du regard, du soutien hors des deux autres qui baissaient la tête.
- Les filles, relever la tête et regardée là se déshabillée.
- Oui, madame. Répondirent-elles toutes deux.
Catherine retirait son tee-shirt, laissant apparaitre un soutien-gorge blanc avec une petite fleur qui sourit du côté de son sein droit, s’en suivit de son pantalon, lorsqu’elle se relevait, on put voir apparaitre la même fleur sur son sexe, je me mis à rire, la mettant encore plus mal à l’aise, elle retirait ses chaussettes, laissant apparaitre de jolis petits pieds, je fis signe du doigt que son soutien-gorge devait être bougé. Elle le retirait, n’ayant plus l’air de savoir où se mettre.
- Va dans le bol.
- Oui, madame. Dit-elle regardant le récipient.
Je m’approchais d’elle et levait ses mains en l’air, les attachant à des menottes, elle se retrouvait sur la pointe des pieds.
- Bien mise ?
- Non, madame.
Je lui mis une claque sur la fesse, ce qui lui fit pousser un petit cri.
Je partis sur le côté, près de la petite table, je pris un verre et lui servit ce qu’il y avait dans la carafe.
- Tiens bois, tu dois avoir la gorge sèche avec le stress.
- Merci, madame..
Et elle but tout.
- Mesdemoiselles, que pensez-vous de notre petite grosse ?
Je la vis surprise d’être appelée ainsi, et honteuse.
- Je ne sais pas.. Dit Marie baissant les yeux.
- Regarde là ! N’aie pas honte, tu la trouves gracieuse ?
- Grasse plus tôt… Dis Stéphanie.
- Très bien, et toi l’intello tu la baiserais si t’étais un mec ?
- Non madame.
- Pourquoi ?
- Elle n’a pas l’air propre, je ne sais pas expliquer.
- Et toi la salope ?
- Propre, je crois qu’elle l’est, mais je n’aime pas son corps tout flasque.
- La petite grosse, tu veux qu’on t’appelle comment ? Dis-je.
Elle ne répondit pas.
- Tu réponds ou tu préfères une claque ?
- J’ai mal au ventre, madame… Dit-elle baissant les yeux.
- Tu dois faire caca grosse dose ?
Elle se mit à pleurer et je tournais la tête vers Stéphanie.
- À toi salope, déshabille-toi.
- Oui, madame.
Son tee-shirt décolleté fut vite enlevé, son soutien-gorge suivit sans complexe, une jolie poitrine, elle fit glissé son pantalon en même temps que son dessous, s’en finit par ses bas, je passais derrière elle et prit les menottes sur la table, je les lui mis, les mains attachées dans le dos.
Je pris un petit flacon sur la table et lui en induit les seins et son sexe, je finis par lui mettre une ceinture de chasteté fermée à clés. Mise à genoux par terre, très vite ses seins et son sexe chauffaient. Je la laissais ainsi.
Alors que j’allais m’adresser à l’intello, Catherine ne sut plus se retenir et souilla toute sa petite culotte blanche. Elle pleurait, ça coulait le long de ses jambes jusqu’à dans le bocal.
En rigolant, je dis alors.
- Ben alors ma grosse, on ne sait pas se retenir ?
- …
- Je n’ai rien entendue.
- Non madame.
- T’es sale.
Je tournais la tête vers Marie.
- Alors Marie, que vais-je faire de toi ?
Elle baissait les yeux.
- Déshabille-toi.
- Oui, madame.
Elle portait un débardeur et déboutonna les boutons, tremblotantes, elle fit glissée sa jupe et retirait alors son soutien-gorge, alors que Catherine tentait de se ravoir, Stéphanie elle, n’en manquait pas une miette, s’excitant de plus en plus.
Elle fit glisser sa petite culotte et s’apprêtait à se défaire de ses chaussures à talons.
- Garde-les, ça te donne un petit air salope, ça te changera.
- Oui, madame.
- Je vois que la salope te relooke, va te mettre devant elle et écarte les jambes qu’elle voit de plus près.
Toute timide, elle allait se mettre devant Stéphanie, celle-ci semblait prêtre à se faire prendre par le première qui viendrait.
- Alors la salope, tu as envie de la léchée ?
- Oui madame !
Je repassais derrière elle et lui remit un peu de « pommade » sur ses tétons.
- Alors qu’est-ce que tu attends ? Bouffe-lui la chatte.
Et elle se jetait entre les jambes de Marie la léchant.
Étonnant, celle-ci semblait plus excitée que ce que j’avais prévu, elle se laissait faire, elle semblait en vouloir plus…
- Tiens-lui bien la tête contre ta chatte.
Et elle mit sa main derrière la tête de Stéphanie et la poussait contre sa chatte.
- Assez ! Criais-je.
Elles s’arrêtèrent, les deux avaient envie de plus.
- Marie, vois-tu la porte derrière moi ?
- Oui, madame. Dit-elle reprenant son souffle.
- Peux-tu aller chercher ce qui se trouve à l’intérieur ?
- Oui, madame, de suite.
Elle y allait en se dépêchant, on entendait le bruit de ses talons claqués contre le béton, elle ouvrit et du voir le papier inscrit.
Elle revient alors avec Bryan, qu’elle tenait en laisse et avançait à quatre pattes. Elle le mit à côté de moi et il restait à genou, le dos bien droit.
Marie retournait à sa place, je tendis un pied à Bryan, il l’embrassait, puis l’autre, il fit de même.
- Voyez-vous mes demoiselles, lui aussi avait une reconnaissance de dette, il la payée et à décider de rester auprès de moi, car il préférait être ici qu’ailleurs. Vous apprendrez de vous-même.
Alors que Stéphanie regardait le sexe de Bryan, Marie elle, aurait voulu se cacher, mal à l’aise d’être vue ainsi devant un homme, Catherine elle, s’sanglotait toujours.
- Marie, mets-toi devant lui comme devant la salope.
- Oui, madame.
Elle était devant lui, il avait sa chatte devant les yeux, il la fixait, elle savait plus où se mettre.
- Alors mon grand, comment est sa chatte.
- Très jolie madame.
- Plus belle que la mienne ?
- Non madame.
- Tu vas quand même lui lécher devant ses deux amies.
- Si vous le désirez.
- Je le désire.
Et il se mit à la léchée, très vite, elle prit sa tête et la poussait contre sa chatte, mais je ne mis pas d’arrêt, elle finit par terre à genou avec un orgasme.
- T’es une salope qui se cache toi.
- Oui, madame… Dit-elle honteuse regardant le sol.
- Je pense que tu peux le remercier, non ?
- Oui madame.
Puis tournait la tête vers lui.
- Merci…
- Non pas ainsi, tu vas le sucer à ton tour. Dis-je.
Elle fit de grands yeux, et oui, sucer ce n’était pas son truc.
- Aller vous mettre devant l’autre salope, et suce-le.
- Bien madame…
Ils se mirent tout deux devant Stéphanie et elle se mit à caresser son sexe sous ses yeux, passer sa langue lentement dessus, elle n’osait pas, elle retardait le moment.
- Dans ta bouche espèce de conne !
Et ni une ni deux, le sexe de Bryan finit dans sa bouche, je la laissais sucer un bon moment et quand je vis qu’il risquait d’arriver, les fit arrêter.
- Bryan, branle-toi devant la salope à côté de toi.
Ce qu’il fit, lorsqu’il sentit que ça venait il tournait la tête vers moi, je fis signe d’y aller et il lui crachait tout au visage, sur sa poitrine.
Je le fis s’essuyer sur le cul de l’intello qui semblait dégoutée.
- Bryan, va chercher le tuyau d’arrosage et nettoie-moi la petite grosse.
- Oui madame.
Il partit à 4 pattes et revint avec le tuyau d’arrosage dans sa bouche qu’il tirait, il retirait le bol en dessous de Catherine, il y avait une plaque d’égout, elle appuyait ses doigts de pied justes en dehors, lui faisant écartée les jambes et il commençait ensuite à l’arroser, elle se mit à crier et bouger comme elle pouvait, il en faisait le tour, elle était arrosée de la tête au pied.
- C’est bon ainsi, détache là.
Il la détachait, elle avait un peu du mal à tenir sur ses jambes.
- Retire ta culotte et met toi à 4 pattes au-dessus de la taque d’égout.
Il lui arrosait alors le cul et la chatte.
- Voilà, t’es propre espèce de puante.
- Merci, madame…
- Maintenant, nettoie l’autre salope.
Elle se levait et cherchait après un essuie, mais n’en trouvait pas.
- Avec ta langue puante.
Elle s’approchait de Stéphanie, qui était dégoulinante de sperme et surtout super excitée, approchait son visage du sien et puis se mit à la léchée à tous les endroits où Bryan lui avait mis son sperme, descendait sur son corps, sa poitrine, Stéphanie n’en pouvait plus.
- Très bien boule !
- Marie, tu sais faire une couche ?
- Oui, madame…
- Vas mettre une couche à la petite puante, j’aurais peur qu’elle se refasse dessus.
Dis-je en indiquant l’autre table du doigt.
Elles partirent toutes les deux, fit se coucher Catherine sur la table et lui mit une couche, elles revinrent toutes les deux, Stéphanie avait un petit sourire à regarder Catherine ainsi.
- Marie, va la mettre dans sa chambre et ferme à clé.
Lui dis-je en montrant une cage avec un petit bol d’eau dedans.
Une fois fait, elle revint, et je m’adressais à Stéphanie.
- T’as envie de baise, toi, pas vrai ?
- Oui madame.
- La bite à Bryan serait bien non ?
- Oui madame ! Dit-elle ne cachant pas son émotion.
- Y aura de la baise, SI, tu me supplies de te fesser.
- Fessée moi svp !
- Combien en veux-tu ?
- 25 !
- Très bien, je vais te faire plaisir.
Je la fis se relever et lui retirait sa cage de chasteté.
Je la fis se pencher contre la table.
- T’as un joli cul, il faudra l’ouvrir ! Tu vas compter chaque fessée.
Et je lui mis la première, « 1… » et ainsi de suite jusqu’à 25, elle avait ses fesses rouges, elle avait mal, mais avait tenue face à la douleur, elle restait couchée sur la table comme je l’avais mise, son cul en évidence, et je lui remis la cage de chasteté.
Je la fis se remettre par terre à genou, je lui mis un bâillon boule en caoutchouc et regardait Marie.
- L’intello, viens te coucher jambe écartée juste ici devant la salope.
- Oui, madame…
Et elle se plaçait devant, Stéphanie semblait comprendre, elle aussi d’ailleurs.
- Marie, je vois que t’as envie de te faire prendre, demande à Bryan qu’il te baise comme la salope que tu es.
- Bryan, tu veux bien me prendre stp ?
- Pas comme ça ! Dis-je en levant la voix.
Rajoutant.
- J’ai dit comment ?
- Pardon madame, pardon !
- Recommence, et t’auras 25 fessées de chaque personne ici, même de l’autre puante dans sa cage.
- Bryan, baise-moi comme la petite salope que je suis !
Il regardait vers moi et je fis signe de la tête que oui.
Il allait vers elle, entre ses jambes et plaçait son sexe, elle en avait envie, Stéphanie faisait de gros yeux, elle aurait voulu y être et il se mit à lui mettre des coups de reins, il la retournait dans tous les sens, tantôt en missionnaire, tantôt en levrette, elle ne cachait plus son plaisir, Stéphanie bavait avec son bâillon, tellement prise dans la scène qu’elle ne s’en rendait pas compte.
Il finit par venir en elle, serrant ses seins très forts, lui arrachant un cri et se retira.
- Essuie-toi où tu le souhaites.
Il partit vers Catherine dans sa petite cage, celle-ci avait regardé la scène, à genou, ne sachant pas se relever plus, il passait son sexe à travers les barreaux et s’essuyait sur ses joues.
Les trois filles étaient exténuées.
- Marie, debout.
Elle se levait, le sperme coulant le long de ses jambes. Je partis deux secondes et revint.
- Tiens, mets cette tenue, je ne voudrais pas que tu attrapes froid.
- Je peux m’essuyer, madame ?
Je fronçais les sourcils et elle enfilait la tenue.
J’avais ma soubrette, petite jupe très courte cachant à peine sa chatte, laissant entre voir son cul par-dessous, et un haut qui faisait ressortir ses seins au moindre mouvement. Pas de sous-vêtement.
- J’ai vu en toi ma parfaite petite femme de ménage, et tu seras ouverte à quiconque voudrait.
- Merci madame.
Je m’approchais de Stéphanie et l’aidait à se relever, les mains toujours attachées dans le dos, je dis alors :
- Toi, tu vas venir avec moi.
Puis tournait la tête vers Bryan.
- Si tu dois te soulager, c’est là.
Dis-je en indiquant la position de Catherine, il allait vers elle et elle se mit à pleurer.
- Non, non svp !
- Je rigole, il sait où elles sont.
Je me dirigeais vers la porte, tirant Stéphanie par le bras, et suivi par Marie.
- Je vous laisse tous les deux ici, j’ai confiance en Bryan, il s’occupera de toi, il se pourrait qu’il ait envie que tu le suces, ou se branler sur ta gueule, tu le laisseras faire.
- D’accord madame.
- Ça lui fera un peu de compagnies, dommage que je lui laisse la grosse, mais bon, il s’en fou, une chienne, c’est une chienne.
Et je sortis en prenant soin de fermer la porte derrière moi.
J’amenais Stéphanie dans ma chambre, attachée au pied du lit et redescendait dans le salon où Marie restait debout en attendant mes ordres.
- Alors, c’était si dur de sucer ?
- Non, madame.
- Tu as aimée ?
- Oui, madame.
- Tu me fascines, je ne sais pas pourquoi !
J’ai hérité de pas mal d’argent depuis ma naissance, et il m’est arrivé de faire des prêts, mais parfois avec des clauses « spéciales » dans les contrats.
Je profitais de mes privilèges, c’est peut-être difficile à croire, mais la vie était parfois ennuyante !
Trois personnes étaient arrivées à l’expiration de leur contrat, la dette n’était pas remboursée, elles reçurent chaque une invitation à se rendre dans ma maison de campagne.
Elles arrivèrent plus ou moins toutes les trois en même temps.
J’avais choisie trois femmes de plus ou moins la même tranche d’âge, plus ou moins la même taille et la même couleur de cheveux : trois brunes.
Elles étaient ceci dit physiquement très différentes.
Catherine, la plus petite des trois mesurait 1m54, un peu en surpoids restait tout de même mignonne, une jeune femme très sensible, mais qui était plutôt contrariante et capricieuse.
Marie, une jeune femme qui porte des lunettes, plutôt un air d’intello, 1m60, plutôt mince, une petite poitrine, et un joli fessier, très réservée pour sa part.
Stéphanie, 1m60 aussi pour un 90b, la plus ouverte des trois, pas toute fine, mais loin d’être grosse, elle se situe entre les deux autres au niveau des tailles, sexuellement, en redemande toujours.
Les trois femmes présentes, elles savent pourquoi elles sont là, ou du moins en partie, je les fais descendre dans la cave, aménagées pour l’évènement, je les vois un peu interrogatrices, je leur signale que tout sera dit une fois en bas.
Lorsque nous avons fait les contrats, elles ont rempli des formulaires.
Pour Catherine par exemple, les hommes sont tous des connards, elle à un sexfriends depuis 3 années, mais ne lui autorise que pénétration avec ses doigts, son sexe ou se laisser léchée.
Marie, quant à elle, ne suce pas, elle la stipuler assez souvent dans le formulaire.
Stéphanie, elle sera réticente à la sodomie.
J’avais donc deux filles qui ne sucent pas, et une qui ne veut pas se faire sodomiser, aucune n’avale… J’allais refaire leur éducation.
Elles étaient toutes les trois face à moi, on aurait pu former un losange au vu de nos positions, au milieu de nous se trouvait un gros récipient.
- Mesdemoiselles, j’imagine que vous savez toutes pourquoi vous êtes là ? Vous venez pour une reconnaissance de dettes, remplir la ligne du contrat où vous vous offrez à moi, je vous ai fait parvenir une liste de règle à respecter, comme je vois, vous les avez bien lut et vous avez commencé à les appliquer. J’aimerais surtout que vous reteniez deux, qui en sont les principales, ne pas discuter et obéir. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui ! Disent-elles en cœur.
- Oui qui ?
- Oui, madame.
- Très bien, nous allons commencer.
Je me mis à passer derrière chacune d’entre elles, j’imaginais le nombre de questions qui tournait dans leur tête et finit par m’arrêter derrière Catherine, notre « petite grosse », en posant mon index sur son épaule.
- Toi !
- Oui, madame ?
- Dénude-toi, tu peux garder ton dessous, je ne veux rien d’autre.
- Bi… Bien madame. Dit-elle d’une voix nerveuse.
Elle cherchait du regard, du soutien hors des deux autres qui baissaient la tête.
- Les filles, relever la tête et regardée là se déshabillée.
- Oui, madame. Répondirent-elles toutes deux.
Catherine retirait son tee-shirt, laissant apparaitre un soutien-gorge blanc avec une petite fleur qui sourit du côté de son sein droit, s’en suivit de son pantalon, lorsqu’elle se relevait, on put voir apparaitre la même fleur sur son sexe, je me mis à rire, la mettant encore plus mal à l’aise, elle retirait ses chaussettes, laissant apparaitre de jolis petits pieds, je fis signe du doigt que son soutien-gorge devait être bougé. Elle le retirait, n’ayant plus l’air de savoir où se mettre.
- Va dans le bol.
- Oui, madame. Dit-elle regardant le récipient.
Je m’approchais d’elle et levait ses mains en l’air, les attachant à des menottes, elle se retrouvait sur la pointe des pieds.
- Bien mise ?
- Non, madame.
Je lui mis une claque sur la fesse, ce qui lui fit pousser un petit cri.
Je partis sur le côté, près de la petite table, je pris un verre et lui servit ce qu’il y avait dans la carafe.
- Tiens bois, tu dois avoir la gorge sèche avec le stress.
- Merci, madame..
Et elle but tout.
- Mesdemoiselles, que pensez-vous de notre petite grosse ?
Je la vis surprise d’être appelée ainsi, et honteuse.
- Je ne sais pas.. Dit Marie baissant les yeux.
- Regarde là ! N’aie pas honte, tu la trouves gracieuse ?
- Grasse plus tôt… Dis Stéphanie.
- Très bien, et toi l’intello tu la baiserais si t’étais un mec ?
- Non madame.
- Pourquoi ?
- Elle n’a pas l’air propre, je ne sais pas expliquer.
- Et toi la salope ?
- Propre, je crois qu’elle l’est, mais je n’aime pas son corps tout flasque.
- La petite grosse, tu veux qu’on t’appelle comment ? Dis-je.
Elle ne répondit pas.
- Tu réponds ou tu préfères une claque ?
- J’ai mal au ventre, madame… Dit-elle baissant les yeux.
- Tu dois faire caca grosse dose ?
Elle se mit à pleurer et je tournais la tête vers Stéphanie.
- À toi salope, déshabille-toi.
- Oui, madame.
Son tee-shirt décolleté fut vite enlevé, son soutien-gorge suivit sans complexe, une jolie poitrine, elle fit glissé son pantalon en même temps que son dessous, s’en finit par ses bas, je passais derrière elle et prit les menottes sur la table, je les lui mis, les mains attachées dans le dos.
Je pris un petit flacon sur la table et lui en induit les seins et son sexe, je finis par lui mettre une ceinture de chasteté fermée à clés. Mise à genoux par terre, très vite ses seins et son sexe chauffaient. Je la laissais ainsi.
Alors que j’allais m’adresser à l’intello, Catherine ne sut plus se retenir et souilla toute sa petite culotte blanche. Elle pleurait, ça coulait le long de ses jambes jusqu’à dans le bocal.
En rigolant, je dis alors.
- Ben alors ma grosse, on ne sait pas se retenir ?
- …
- Je n’ai rien entendue.
- Non madame.
- T’es sale.
Je tournais la tête vers Marie.
- Alors Marie, que vais-je faire de toi ?
Elle baissait les yeux.
- Déshabille-toi.
- Oui, madame.
Elle portait un débardeur et déboutonna les boutons, tremblotantes, elle fit glissée sa jupe et retirait alors son soutien-gorge, alors que Catherine tentait de se ravoir, Stéphanie elle, n’en manquait pas une miette, s’excitant de plus en plus.
Elle fit glisser sa petite culotte et s’apprêtait à se défaire de ses chaussures à talons.
- Garde-les, ça te donne un petit air salope, ça te changera.
- Oui, madame.
- Je vois que la salope te relooke, va te mettre devant elle et écarte les jambes qu’elle voit de plus près.
Toute timide, elle allait se mettre devant Stéphanie, celle-ci semblait prêtre à se faire prendre par le première qui viendrait.
- Alors la salope, tu as envie de la léchée ?
- Oui madame !
Je repassais derrière elle et lui remit un peu de « pommade » sur ses tétons.
- Alors qu’est-ce que tu attends ? Bouffe-lui la chatte.
Et elle se jetait entre les jambes de Marie la léchant.
Étonnant, celle-ci semblait plus excitée que ce que j’avais prévu, elle se laissait faire, elle semblait en vouloir plus…
- Tiens-lui bien la tête contre ta chatte.
Et elle mit sa main derrière la tête de Stéphanie et la poussait contre sa chatte.
- Assez ! Criais-je.
Elles s’arrêtèrent, les deux avaient envie de plus.
- Marie, vois-tu la porte derrière moi ?
- Oui, madame. Dit-elle reprenant son souffle.
- Peux-tu aller chercher ce qui se trouve à l’intérieur ?
- Oui, madame, de suite.
Elle y allait en se dépêchant, on entendait le bruit de ses talons claqués contre le béton, elle ouvrit et du voir le papier inscrit.
Elle revient alors avec Bryan, qu’elle tenait en laisse et avançait à quatre pattes. Elle le mit à côté de moi et il restait à genou, le dos bien droit.
Marie retournait à sa place, je tendis un pied à Bryan, il l’embrassait, puis l’autre, il fit de même.
- Voyez-vous mes demoiselles, lui aussi avait une reconnaissance de dette, il la payée et à décider de rester auprès de moi, car il préférait être ici qu’ailleurs. Vous apprendrez de vous-même.
Alors que Stéphanie regardait le sexe de Bryan, Marie elle, aurait voulu se cacher, mal à l’aise d’être vue ainsi devant un homme, Catherine elle, s’sanglotait toujours.
- Marie, mets-toi devant lui comme devant la salope.
- Oui, madame.
Elle était devant lui, il avait sa chatte devant les yeux, il la fixait, elle savait plus où se mettre.
- Alors mon grand, comment est sa chatte.
- Très jolie madame.
- Plus belle que la mienne ?
- Non madame.
- Tu vas quand même lui lécher devant ses deux amies.
- Si vous le désirez.
- Je le désire.
Et il se mit à la léchée, très vite, elle prit sa tête et la poussait contre sa chatte, mais je ne mis pas d’arrêt, elle finit par terre à genou avec un orgasme.
- T’es une salope qui se cache toi.
- Oui, madame… Dit-elle honteuse regardant le sol.
- Je pense que tu peux le remercier, non ?
- Oui madame.
Puis tournait la tête vers lui.
- Merci…
- Non pas ainsi, tu vas le sucer à ton tour. Dis-je.
Elle fit de grands yeux, et oui, sucer ce n’était pas son truc.
- Aller vous mettre devant l’autre salope, et suce-le.
- Bien madame…
Ils se mirent tout deux devant Stéphanie et elle se mit à caresser son sexe sous ses yeux, passer sa langue lentement dessus, elle n’osait pas, elle retardait le moment.
- Dans ta bouche espèce de conne !
Et ni une ni deux, le sexe de Bryan finit dans sa bouche, je la laissais sucer un bon moment et quand je vis qu’il risquait d’arriver, les fit arrêter.
- Bryan, branle-toi devant la salope à côté de toi.
Ce qu’il fit, lorsqu’il sentit que ça venait il tournait la tête vers moi, je fis signe d’y aller et il lui crachait tout au visage, sur sa poitrine.
Je le fis s’essuyer sur le cul de l’intello qui semblait dégoutée.
- Bryan, va chercher le tuyau d’arrosage et nettoie-moi la petite grosse.
- Oui madame.
Il partit à 4 pattes et revint avec le tuyau d’arrosage dans sa bouche qu’il tirait, il retirait le bol en dessous de Catherine, il y avait une plaque d’égout, elle appuyait ses doigts de pied justes en dehors, lui faisant écartée les jambes et il commençait ensuite à l’arroser, elle se mit à crier et bouger comme elle pouvait, il en faisait le tour, elle était arrosée de la tête au pied.
- C’est bon ainsi, détache là.
Il la détachait, elle avait un peu du mal à tenir sur ses jambes.
- Retire ta culotte et met toi à 4 pattes au-dessus de la taque d’égout.
Il lui arrosait alors le cul et la chatte.
- Voilà, t’es propre espèce de puante.
- Merci, madame…
- Maintenant, nettoie l’autre salope.
Elle se levait et cherchait après un essuie, mais n’en trouvait pas.
- Avec ta langue puante.
Elle s’approchait de Stéphanie, qui était dégoulinante de sperme et surtout super excitée, approchait son visage du sien et puis se mit à la léchée à tous les endroits où Bryan lui avait mis son sperme, descendait sur son corps, sa poitrine, Stéphanie n’en pouvait plus.
- Très bien boule !
- Marie, tu sais faire une couche ?
- Oui, madame…
- Vas mettre une couche à la petite puante, j’aurais peur qu’elle se refasse dessus.
Dis-je en indiquant l’autre table du doigt.
Elles partirent toutes les deux, fit se coucher Catherine sur la table et lui mit une couche, elles revinrent toutes les deux, Stéphanie avait un petit sourire à regarder Catherine ainsi.
- Marie, va la mettre dans sa chambre et ferme à clé.
Lui dis-je en montrant une cage avec un petit bol d’eau dedans.
Une fois fait, elle revint, et je m’adressais à Stéphanie.
- T’as envie de baise, toi, pas vrai ?
- Oui madame.
- La bite à Bryan serait bien non ?
- Oui madame ! Dit-elle ne cachant pas son émotion.
- Y aura de la baise, SI, tu me supplies de te fesser.
- Fessée moi svp !
- Combien en veux-tu ?
- 25 !
- Très bien, je vais te faire plaisir.
Je la fis se relever et lui retirait sa cage de chasteté.
Je la fis se pencher contre la table.
- T’as un joli cul, il faudra l’ouvrir ! Tu vas compter chaque fessée.
Et je lui mis la première, « 1… » et ainsi de suite jusqu’à 25, elle avait ses fesses rouges, elle avait mal, mais avait tenue face à la douleur, elle restait couchée sur la table comme je l’avais mise, son cul en évidence, et je lui remis la cage de chasteté.
Je la fis se remettre par terre à genou, je lui mis un bâillon boule en caoutchouc et regardait Marie.
- L’intello, viens te coucher jambe écartée juste ici devant la salope.
- Oui, madame…
Et elle se plaçait devant, Stéphanie semblait comprendre, elle aussi d’ailleurs.
- Marie, je vois que t’as envie de te faire prendre, demande à Bryan qu’il te baise comme la salope que tu es.
- Bryan, tu veux bien me prendre stp ?
- Pas comme ça ! Dis-je en levant la voix.
Rajoutant.
- J’ai dit comment ?
- Pardon madame, pardon !
- Recommence, et t’auras 25 fessées de chaque personne ici, même de l’autre puante dans sa cage.
- Bryan, baise-moi comme la petite salope que je suis !
Il regardait vers moi et je fis signe de la tête que oui.
Il allait vers elle, entre ses jambes et plaçait son sexe, elle en avait envie, Stéphanie faisait de gros yeux, elle aurait voulu y être et il se mit à lui mettre des coups de reins, il la retournait dans tous les sens, tantôt en missionnaire, tantôt en levrette, elle ne cachait plus son plaisir, Stéphanie bavait avec son bâillon, tellement prise dans la scène qu’elle ne s’en rendait pas compte.
Il finit par venir en elle, serrant ses seins très forts, lui arrachant un cri et se retira.
- Essuie-toi où tu le souhaites.
Il partit vers Catherine dans sa petite cage, celle-ci avait regardé la scène, à genou, ne sachant pas se relever plus, il passait son sexe à travers les barreaux et s’essuyait sur ses joues.
Les trois filles étaient exténuées.
- Marie, debout.
Elle se levait, le sperme coulant le long de ses jambes. Je partis deux secondes et revint.
- Tiens, mets cette tenue, je ne voudrais pas que tu attrapes froid.
- Je peux m’essuyer, madame ?
Je fronçais les sourcils et elle enfilait la tenue.
J’avais ma soubrette, petite jupe très courte cachant à peine sa chatte, laissant entre voir son cul par-dessous, et un haut qui faisait ressortir ses seins au moindre mouvement. Pas de sous-vêtement.
- J’ai vu en toi ma parfaite petite femme de ménage, et tu seras ouverte à quiconque voudrait.
- Merci madame.
Je m’approchais de Stéphanie et l’aidait à se relever, les mains toujours attachées dans le dos, je dis alors :
- Toi, tu vas venir avec moi.
Puis tournait la tête vers Bryan.
- Si tu dois te soulager, c’est là.
Dis-je en indiquant la position de Catherine, il allait vers elle et elle se mit à pleurer.
- Non, non svp !
- Je rigole, il sait où elles sont.
Je me dirigeais vers la porte, tirant Stéphanie par le bras, et suivi par Marie.
- Je vous laisse tous les deux ici, j’ai confiance en Bryan, il s’occupera de toi, il se pourrait qu’il ait envie que tu le suces, ou se branler sur ta gueule, tu le laisseras faire.
- D’accord madame.
- Ça lui fera un peu de compagnies, dommage que je lui laisse la grosse, mais bon, il s’en fou, une chienne, c’est une chienne.
Et je sortis en prenant soin de fermer la porte derrière moi.
J’amenais Stéphanie dans ma chambre, attachée au pied du lit et redescendait dans le salon où Marie restait debout en attendant mes ordres.
- Alors, c’était si dur de sucer ?
- Non, madame.
- Tu as aimée ?
- Oui, madame.
- Tu me fascines, je ne sais pas pourquoi !
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