Contre jour

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Contre jour Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)

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Contre jour
Je ne peux oublier la première fois où nous nous sommes vus. Elle était à contre jour, pile en face du soleil. Je voyais son corps par transparence, surtout ses jambes, magnifiques jambes. Je n'ai vu le reste que quand nous nous sommes croisés. Je la regardais tellement qu'elle s'arrêtait pour me demander pourquoi je la fixais ainsi.
Vous être très belle et ..... désirable. Elle en rougit avant de me donner une gifle. J'arrêtais sa main et la gardais.
Elle est toujours belle et désirable. Depuis que nous sommes ensemble nous faisons l'amour sans complexe.
Avant il faut que j'explique comment les événements ont évolué.
Après avoir gardé sa main je l'ai embrassé: elle me laisse faire et j'en profite pour m'approcher d'elle et en l'enlaçant je peux l'embrasser sur la bouche. Au début elle ne veut pas de mon baiser et enfin elle entrouvre ses lèvres. Nos langues se caressent et à ce moment je crois enfin que j'ai gagné la partie. Bernique la demoiselle est sage et ne veut pas se compromettre avec un type comme moi. Je lui prends le bras et elle se laisse conduire. Je ne vais pas loin: je lui offre un café qu'elle accepte. Enfin je suis assis près d'elle et nous bavardons. Il n'ai jamais question de sexe ni d'amour, sauf que je lui répète qu'elle est très belle et qu'elle me plait. elle semble heureuse de se faire flatter même par un homme que je trouve, moi, quelconque. En fait de café nous ne le buvons pas: il refroidi tout seul pendant que nous parlons. Au moment de le boire froid, nous éclatons de rire. Elle a un rire qui me donne encore plus envie d'elle. Je l'embrasse encore; cette fois elle ne se dérobe pas. Elle me semble que le point de craquer. Je pose une main sur sa cuisse. Elle me repousse, elle sait ce que je veux. Peut-être pense-t-elle comme moi. Je ne sais que penser. les femmes sont compliquées pour les conquérir. Elles savent faire traîner les galants pour mieux les accrocher par la suite.
C'est son cas. D'elle même elle me donne rendez-vous pour le lendemain après midi dans ce café justement vers 17 heures. Le temps me dure de la voir. J'en prends mon parti en espérant qu'enfin je pourrais aller plus loin que des baisers. Je passe une nuit agitée: j'ai envie de cette fille et je l'aurais un jour. Mais voilà quand ?
Le matin je me réveille avec la gaule, comme à peut près tout les jours. Je me lève avec la queue en l'air: je ne peux résister et je répond à cet appel de ma bite; je me branle en pensant à elle dont je ne connais même pas le nom.
Enfin je la retrouve à l'endroit voulu par elle. Je m'approche et elle me tend la main. Drôles de façons: je lui prends la main et la porte à ma bouche sa l'embrasser. Sensible à ce geste elle m'incite à m'asseoir. Nous prenons un simple thé. Je l'enlace et enfin je l'embrasse encore et encore. Nos lèvres semblent collées. Encore une fois je pose une main sur sa cuisse. Elle ne me repousse pas.
Je veux aller plus loin: elle se lève et me demande de la suivre. Je n'ose pas lui demander où. Je la suis. Cette fois elle me guide vers.... chez elle.
Je l'embrasse encore une fois et elle m'arrête pour m'embrasser le cou. Je profite d'elle en lui posant une main sur la poitrine. Elle se cabre: pas encore. Je ne vais pas rester avec une fille qui est d'accord à un moment et dit non de suite après.
J'ai tords: elle ne veux pas que je la touche de trop près, alors qu'elle pose sa main sur ma bite. Je bande et elle me caresse à travers le pantalon. Cette fois je n'hésite plus: je lui mets la main sur son bas ventre directement. Elle supporte ma privauté et j'en profite pour relever lentement la robe pour arriver à ses cuisses.
Elle ne me laisse pas le temps d'arriver à mon but quand elle me sort la queue et la branle pour de bon. Je suis saisi par le plaisir que me donne sa main. Elle s'arrête brusquement et je recommence mon expédition vers son sexe. Je n'ai pas le temps: elle se penche et sans ses mains elle descend mon prépuce et me lèche le gland.
Je ne sais où elle a appris à sucer, c'est en tout cas une merveille, ma reine de la pipe.
J'en oublie de continuer mes caresses. Elle n'oublie rien: elle me lâche et sans rien dire elle se déshabille totalement. Ce que j'avais vu à contre jour n'est rien par rapport à ce qu'elle offre: une véritable splendeur. Je me déshabille à mon tour: elle me regarde faire sans rien dire. Enfin elle vient se coller à moi et j'en profite pour enfin lui caresser les seins. J’embrasse ses aréoles tendrement et pose cette fois ma main pile sur son entrée de con. Elle écarte les jambes comme une invite à aller plus loin. je caresse son bouton et je la branle lentement. De son coté elle me prend la pine, la branle et me met un doigt dans le cul. J'aime bien ce qu'elle fait. Soudain elle gémit en jouissant. Elle ne m'attends pas mon orgasme et m'entraîne sur le lit: Nous sommes blottis et je recommence à la branler. Elle m'arrête pour venir me sucer. Elle recommence une fellation comme je n'en ai jamais connu. Elle s'arrête juste le temps de m'enjamber et me donner son petit truc à sucer. Je prends son abricot à pleine bouche et je goûte sa cyprine en m'en régale.
J'aspire complètement son clitoris et le lèche longuement. Je ne sais comment elle fait: nous jouissons ensemble. Elle avale mon sperme et s'en délecte comme mi avec sa mouille.
Nous revenons l'un contre l'autre: je lui caresse distraitement un sein. Elle s'occupe de ma queue et la mignote tant qu'elle me fait encore bander. Je m'apprête à la baiser. Pourtant elle ne veut pas encore. Elle me suce encore et n'ouvre ses jambes que quand elle me sent très dur. Enfin je peux la baiser. Elle pose ses talons sur mes fesses et dirige la cadence, lente au début et plus rapide vers la fin ai moment de jouissance. Elle sait que je n'ai pas jouit: elle se tourne légèrement et me donne ses fesses, bien mouillées entre les quelles je rentre sans difficulté. Je jouis enfin ans son anus.
Nous baisons toujours.

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Texte coquin : Contre jour
Histoire sexe : Une rose rouge
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