Conversion de mon beau-frère
Récit érotique écrit par de la taille [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Conversion de mon beau-frère
Conversion de mon beau-frère
mon beau-frère.
Le mari de ma sœur est très chaleureux et sympathique, avec lequel je m’entends bien. A ce jour je n’ai pas encore dit que je suis homosexuel. Eliot n’est pas homophobe, mais il J’ai attendu un petit moment pour écrire cette histoire que j’ai fait vivre à ne faut pas trop aborder le sujet. Dans mon attitude ou mon comportement rien ne transparait de mon orienta-tion.
Il a sept ans de moins que moi. Il est sportif, joliment musclé avec son mètre quatre-vingt-douze. Ses cheveux sont châtain clair légèrement bou-clés et coupés de façon impeccable.
Il n’a pas tout à fait un corps de statue grecque, mais il n’en est pas loin.
Nous discutons souvent ensemble, puis un jour j’ai un appel de ma sœur me demandant si je pouvais héberger Eliot, car il doit assister à une for-mation toute proche de chez moi. Bien évidemment j’accepte.
Lors d’un petit-déjeuner, alors que nous sommes en robe de chambre avant de partir chacun travailler il me dit : « toi, tu as de la chance », et pourquoi ???
« Tu n’as pour ainsi dire pas de poils sur le corps !!! » - Effectivement, j’ai beaucoup de chance car Dame Nature m’a fait un torse glabre et des jambes et bras démunis de poils mais seulement un duvet à peine visible (et il ne sait pas encore que je me rase mais surtout me fais épiler les par-ties intimes).
Il rajoute : « Parfois ta sœur me fait remarquer que ma toison est disgra-cieuse, bien qu’elle me passe sa douce main caressante sur mon torse.., et puis, elle râle qu’elle en trouve dans la literie, et me fait allusion que sans poils, la peau est lisse et douce. Alors avant de partir en vacances, je vou-drais lui faire plaisir. Tu comprends ? ? Que me conseilles-tu ?? »
Dans mon for intérieur, inconsciemment, cette confidence me fait plaisir et m’excite en même temps – je lui rétorque :« Je peux te donner l’adresse de l’Institut et le prénom celui qui me fait les soins » et, là, de but en blanc il me répond : « évidemment pour des gars comme toi c’est normal ces adresses ! ! ! ! » Je ne réponds pas sur le coup, puis, « Lors de ma pro-chaine séance je peux lui en parler si tu veux – tu verras, il est très pro-fessionnel et à l’écoute et il sait calmer ton angoisse. Cela est plus confor-table pour toi d’être sans poils »
« Me faire raser par un professionnel, c’est du travail propre ».
Vicieux que je suis, je ne relève pas le mot – raser -, car c’est une épila-tion à la cire, et avec ce qu’il a sur le corps, il va déguster. Hummm !!!
Il est d’accord pour que je prenne rendez-vous et parle à l’esthéticien de sa crainte, mais surtout de se trouver éventuellement nu devant celui-ci (je le sais coincé, mais pas à ce point)
Quelques jours après je me rends à ma séance mensuelle et parle à Jean-Gabriel de mon beau-frère. Il faut savoir que Jean-Gabriel a trente-deux ans un physique à faire damné autant les femmes que les hommes, avec une morphologie irréprochable que beaucoup d’agences de mannequinat pourraient s’arracher pour ses cheveux blond foncé, ses yeux bleus, un sourire d’ange à la dentition régulière et blanche comme neige, ses jambes musclées mais très bien fuselées, sans oublier dans son pantalon blanc as-sez ajusté un entre-jambe contenant un paquet au galbe intéressant et impressionnant dû à des attributs presque hors du commun. (Vous verrez tout à l’heure).
Le rendez-vous est pris pour Eliot et connaissant très bien Jean-Gabriel depuis toutes ces années je lui précise qu’il faut convaincre mon beau-frère pour une épilation totale, et avec la gentillesse que je lui connais, il arrivera à le convaincre. Après lui avoir donné toutes les précisions pour cette séance initiatrice, je rajoute que je souhaite assister à cette épilation pour voir le comportement de mon beau-frère lors des soins intimes. « Edouard, nous nous connaissons depuis si longtemps, pas de soucis, à côté de cette cabine c’est mon bureau avec une glace sans tain, tu peux profiter des soins et probablement te branler comme je te connais. » Je le quitte assez émoustillié
J’appelle Eliot pour lui confirmer le rendez-vous à l’Institut avec Jean-Gabriel et que celui-ci lui expliquera le déroulement de cette première séance qui risque de durer une bonne heure.
Le jour J arrive enfin. Je me présente un bon moment avant le rendez-vous pour prendre place dans ce bureau assez confortable d’où j’ai un bel angle de vision sur la cabine. En fermant la porte du bureau Jean-Gabriel me sourit avec un clin d’œil avec ces mots « tu es bien placé, tu vas bien en profiter ».
Trente minutes après, mon beau-frère entre dans la cabine, et respecte les instructions données par Jean-Gabriel, il commence à se dévêtir, en res-tant en slip CK. Je peux profiter de son splendide corps sculpté, malheu-reusement recouvert de poils foncé dans le dos, le thorax les épaules, et bien évidemment bras et jambes. J’imagine déjà les poils collés sur les bandes de cire. En attendant, Eliot s’adosse à la table. Ah ! il a tout de même un joli petit cul, quant à son paquet, il est tout à fait normal. Jean-Gabriel pénètre dans la cabine et la ferme à clef. Il demande de sa voix douce à Eliot de s’allonger sur le dos. « nous allons commencer sur les par-ties du corps les plus faciles c’est-à-dire vos bras et vos jambes. Pendant qu’il prend place, Jean-Gabriel se tourne vers la petite commode où ses outils de travail sont disposés. Au moment où l’esthéticien prend de la cire dans le bac chaud avec sa spatule et s’avance du corps d’Eliot. A ce mo-ment mon beau-frère l’interpelle :« S’il vous plait, que faites-vous ?» « C’est pour vous épiler, c’est bien le but de votre rendez-vous ? » « Effec-tivement, c’est pour une épilation, et, c’est Edouard qui a pris rendez-vous pour moi. Vous ne le faites pas avec un rasoir, ce n’est pas ce qui est con-venu ? » « Non pas du tout, en institut, c’est à la cire vous verrez ça dure plus longtemps et c’est surtout plus doux. Edouard ne vous l’a pas dit ? C’est pour cela qu’il vient depuis de sept ans ici. » « Toute l’épilation va être à la cire ? » « Bien évidemment, monsieur, allez on y va ! ! »
Jean-Gabriel prend la main d’Eliot pour lui faire ouvrir le bras et y déposer immédiatement la cire avec la spatule. Quelques secondes s’écoulent et l’esthéticien tire d’un coup sec sur la bande. Je vois Eliot qui fait une gri-mace au moment de l’extraction. Mais il ne dit rien. Jean-Gabriel opère sur le second bras, puis sur la face externe de chacune des jambes. A chaque bande soulevée et enlevée, mon beau-frère fronce le fond ou sursaute. « il va falloir vous retourner que j’effectuer l’autre côté de vos jambes et j’en profiterai pour m’occuper en même temps de votre dos – Tournez-vous s’il vous plaît » Tout se passe normalement pour la seconde parie des jambes qui de mon poste d’observation constate aucune ombre sur les jambes qui doivent être toutes lisses. Jean-Gabriel y dépose la traditionnelle crème, puis commence la pose des bandes sur son joli dos musclé, au moment de l’arrachage des deux dernières bandes, Eliot se soulève un peu. L’esthéticien pose la crème apaisante sur cette grande surface devenue nette et glabre
Jean-Gabriel de son guéridon « Tout ça est bien net, nous allons effectuer maintenant vos épaules sur cette chaise, je pourrais plus facilement tra-vailler sur vos épaules.
Cet échange commence à m’intéresser et m’exciter en attaquant des par-ties plus délicates et aussi de sentir Eliot un peu désemparé. L’esthéticien approche sa spatule et dépose la cire sur une partie de la première épaule. Il tapote sur la bande qu’il vient d’étaler pour qu’elle adhère bien, puis avec deux doigts soulève un coin de la bandelette et d’une main sûre tire d’un coup sec pour enlever les poils avec leur bulbe de cette partie du corps. Eliot est très surpris et pousse un cri. « Cette fois-ci c’est terrible ce que vous me faites » - « Vous avez des poils foncé et épais c’est pour cela que le bulbe est plus gros et doit franchir le port de votre peau »
« Et çà va être aussi douloureux durant toute la séance ? », « Ne vous in-quiétez pas je mets tout de suite de la crème apaisante » Ne se laissant pas intimider, Jean-Gabriel continue son travail sur les épaules, et à chaque bande Eliot pousse un cri aigu, ou un aïe, aïe. Dans mon pantalon mon sexe s’agite tellement je commence à être excité. Maintenant les épaules sont bien nettes, et laissent entrevoir une peau blanche, n’ayant pas vue le soleil avec cette toison. Jean-Gabriel l’invite à toucher ses épaules pour constater que c’est tout lisse et très doux et lui montre éga-lement dans une glace le résultat. Eliot demande à l’esthéticien une ser-viette pour s’éponger le front tellement il a de sueur suite à cette seconde épreuve. Eliot lui confie que c’est très doux « Mon épouse va être contente et surprise de cette nouvelle sensation » « Et pour vous aussi » lui ré-torque Jean-Gabriel. « Maintenant vous allez de nouveau vous allonger sur le dos, lever les bras, je vais faire les aisselles et le thorax et ensuite … nous verrons »
Comme les fois précédentes le tortionnaire prend de la cire et l’étale dans le creux de la première aisselle. Il appuie bien avec ses longs doigts et pour être sûr que les deux soient faites, il se penche avec sa spatule pour faire de même pour la seconde. Il revient sur la première et décolle l’angle de la bande, prend appui sur la table et tire cette large bande de cire séchée. Et là, Eliot, ne pousse pas de cri mais hurle sa douleur, en voulant abaisser son bras pendant qu’il essaie de s’asseoir sur la table. « Mais vous êtes fou, vous êtes malade, et essaie avec les doigts de sa main opposée de calmer la douleur, ou même ce qui pourrait ressembler à une brûlure. Sur la bande, nous pouvons constater que toute sa touffe de poils y est bien collée ! ! C’est vrai il déguste, connaissant ce processus, qui peut par pré-caution s’effectuer en plusieurs prises, mais là Jean-Gabriel n’est pas allé de mains mortes. Comme cela mon beau-frère ne peut plus dire, que les homos sont des chechetes. Jean-Gabriel se penche maintenant pour ôter la bande de l’autre aisselle. « non, non, vous n’allez pas encore tirer, vous coupez ou rasez, çà fait trop mal » « Ce n’est pas possible tout est collé, il n’y a aucune prise, il faut absolument enlever la bande » et sur ces mots il tire toujours d’un coup énergique pour faire venir l’intégralité de la touffe noire. Je ne vous raconte pas les cris d’Eliot. Je lui mettrai bien ma queue toute raide en bouche pour le faire taire. Toujours aussi imperturbable Jean-Gabriel lui dit qu’il va s’occuper de son thorax qui n'est pas qu’un seul filet, mais tout un paillasson épais de poils. Le beau-frère lui dit « non, non,ça suffit maintenant, cela est trop douloureux » « Vous ne pouvez-pas, Edouard vous offre cette séance d’épilation intégrale, et je crois que vous voulez faire une surprise à votre épouse pour vos prochaines va-cances, alors ayez un peu de courage Eliot. » « Non, ce n’est pas pos-sible ! ! Et vous me dites épilation intégrale c’est quoi encore çà ? » « C’est ce que je suis en train de vous faire, rien de plus, être lisse » Ah s’il sait qu’après il va falloir qu’il subisse le pubis et l’anus, et je pense qu’il va chanter pour ces parties encore plus sensibles. Jean-Michel n’attend pas et pose une belle quantité de cire sur le haut du thorax, qui correspond au décolleté. La cire refroidit en se collant bien sur le paillasson de poils sombres. Jean—Gabriel prend appui en se mettant sur la pointe des pieds, comme pour prendre son élan et tirer non pas la bande, mais la plaque de cire. Je vois l’extrémité des poils accrochées à la cire, et leurs racines qui soulèvent l’épiderme, les bulbes rencontrant des difficultés à franchir les ports de la peau. D’un geste professionnel, Jean-Gabriel s’y reprend pour cette importante extraction. Cela laisse la peau sensible et très rouge ; c’est un puissant hurlement rauque et là, Eliot se tort de douleur et croise ses bras comme pour se calmer puis ce sont ses jambes qui font des bat-tements. « Non, non, c’est de la torture, je ne reviendrais plus ». « Mais si, mais si, plus vous viendrez plus vos poils seront souples et moins épais ; c’est pour cela qu’aujourd’hui la séance sera d’une heure et demie. » « non, non c’est trop atroce » –« mais comme pour certains de mes clients, si vous le souhaitez, je peux vous sangler les jambes et bras afin de moins bouger » « Et quoi encore, vous êtes complètement malade, c’est pour vos pédés de clients comme mon beau-frère, quelle tapette celui-là. – Non, moi je suis hétéro, vous avez compris ». Le voilà qu’il se fâche le sa-laud qui m’a traité de pédé, je suis vexé, mais excité de le voir souffrir pour être lisse comme moi. Puis d’un seul coup je constate le devant du pantalon blanc de Jean-Gabriel qui a pris de sacrées formes sur le devant. Moi, pour éviter cela j’ai sorti ma queue pour me la caresser sans plus. Après les interjections d’Eliot, Jean-Gabriel continue la déforestation du poitrail de mon beau-frère avec le même processus sans se laisser intimi-der. A un moment Eliot laisse ses mains pendre hors de la table de soins, ce qui apparemment gêne certains gestes de l’esthéticien qui ne peut plus prendre appui sur les rebords de la table pour tirer énergiquement les bandes de cire. Eliot continue son concert de cris, d’hurlements, de gémis-sements : aïe, aïïee, non, noonn, nooonnn, arrêtez, arrrêêtez ahhhh ça brûle, ça brûle ; pour moi c’est excitant de le savoir souffrir. Le praticien lui dépose maintenant la crème adoucissante et du bout de ses doigts masse délicatement les rougeurs du thorax en s ‘approchant de la table et je peux constater à ma stupéfaction qu’une des mains d’Eliot est au con-tact de la grosseur du pantalon blanc. Ah ? ? Maintenant Jean-Gabriel va-t-il continuer par mettre à nu le pubis ou de s’occuper des fesses et plus d’Eliot. Quelle énigme ! ! ! Eh bien il fait de nouveau retourner mon beau-frère. « Maintenant que vous êtes sur le ventre, je vais vous enlever votre C K Soulevez-vous un peu, je vais terminer par votre fessier ». Eliot se soulève un peu et le sous-vêtement est enlevé par Jean-Gabriel. La pâte jaunâtre de la cire est étalée sur les muscles fessiers et débarrassés de tout poil. Et maintenant l’esthéticien fait positionner son patient le bassin un peu relevé et d’une main lui écarte une fesse. Il dépose de la cire sur la rosette de mon beau-frère. « Les fesses cela suffisait déjà, que faites-vous sale vicieux ?? » « Seulement je termine le travail avec votre anus » « je ne suis pas une tarlousse, je ne fais pas enculer comme eux, je suis marié, je vous ai déjà dit » « mais comme cela vous serez net de partout , il n’y en a que pour quelques minutes maintenant » Avec sa gentillesse et son flegme Jean-Gabriel dépose la cire qui fait crier ‘Le bof’ . Mais quand la bande est enlevée c’est une réussite pour des cris et hurlements de dou-leur. Le paquet de Jean-Gabriel a encore pris du volume, je sais que ces séances lui plaisent énormément, j’en ai eu l’expérience. Maintenant avec sa pince à épiler il extrait les derniers poils qui n’ont pas été collés sur la bande. Et à chaque arrachage, mon Eliot supplie et crie toute sa douleur et sa rage. La tête de Jean-Gabriel s’avance, il sort sa langue pointue et l’introduit dans l’orifice bien net de son client. Il lui donne des petits coups et à certains moments lape cette belle rosette « non, non, pas çà c’est ré-servé à ma femme » « c’était pour constater si le travail était bien fait, si je n’avais pas laissé un poil qui pourrait la gêner – tout est bien, elle va être contente » Puis il enduit ses doigts de crème apaisante et Jean-Gabriel masse cet endroit un peu endolori malgré le léchage. D’où je suis, je vois le doigts qui masse et progressivement, un qui entre dans l’orifice. « Non, non, ce n’est pas de la crème, vous me doigtez, non, non » Jean-Gabriel ne se laisse pas perturber et accélère un peu le va et vient de son doigt et en même temps en ajoute un second. Il a écarté au maximum les longues jambes d’Eliot, ce qui lui permet de s’approcher davantage de son patient complètement allongé à plat maintenant. Comme par hasard, je n’entends plus de plaintes. Eliot tourne la tête vers l’arrière pour constater la pénétration des trois doigts de Jean-Gabriel. Il a remis de la crème sur ses doigts et les fait tourner à l’intérieur de l’antre qui a l’air de s’ouvrir. Et si mon ouïe est bonne j’ai l’impression d’entendre un Ouiiii ! Ouiii ! mais commencerait-il à aimer cela ? Je savais, Jean-Gabriel y faire pour perver-tir les soi-disant hétéros mariés. « Oh c’est bon, ouiii ! c’est bon conti-nuez » De son autre main Jean-Gabriel ouvre le bouton de ceinture de son pantalon blanc, et baisse sa fermeture éclair ce qui fait descendre douce-ment sans mouvements brusques le vêtement. Comme d’habitude il est nu. Par un petit mouvement du pied, il pousse le pantalon au sol. Là je ne vois pas tout, je me bouge un peu pour admirer la bosse que je connais qui s’est complètement développée pour un outillage de plus de vingt-deux centimètre, mais c’est surtout avec ses sept à huit centimètres de dia-mètre, qui fait ressembler cet appareil génital à une matraque au-dessus de deux beaux abricots complètement lisses. Il enduit son gland, qui est plutôt un véritable champignon de Paris. Toujours avec délicatesse il change le rythme de ses doigts pour les extraire progressivement et les remplacer par cet appareil génital très exceptionnel, l’autre va le senti « Ah non, ! pas çà, ! les doigts c’est un accident » « Vous allez connaitre autre chose et il faut que je profite de mon travail de désherbage. » Jean-Gabriel positionne son large mandrin face à la rosette entrouverte et commence à pousser pour essayer de faire pénétrer cet énorme champi-gnon. « je ne veux pas être un enculé, je vais être déformé, plus rien ne va se refermer avec votre machin de dingue - non, non» Jean-Gabriel avec sa main appuie sur le dos d’Eliot et commence à pousser. « Vous me déchirez, çà fait mallll, non, je vais éclater » De mon côté, mon beau-frère presque embroché de la sorte que je me suis mis à me caresser la queue toute raide et dure oh, elle n’est pas aussi importante que celle de Jean-Gabriel, je me contente de mes dix-huit centimètres et d’un volume régu-lier qui me donnent toujours du plaisir. Pendant ce temps la matraque con-tinue d’entrer sous les injures et hurlements de douleur d’Eliot, le cham-pignon est entré, il endure mieux et probablement apprécie. Je constate un coup de reins plus fort, et là, le gland est entré, de ce fait toute la lon-gueur de l’anaconda va le remplir plus facilement, l’ouverture est faite et tous les passages des sphincters ouverts. Je constate que les couilles de Jean-Gabriel viennent enfin taper le fessier du beau-frère. Jean-Gabriel effectue des mouvements amples de va et vient sur toute la longueur, mais par gentillesse ne ressort pas son gland voulant probablement appor-ter maintenant du plaisir et aussi peut -être s’il y arrive a faire jouir du cul Eliot pour qu’il découvre cet orgasme peu connu des hétéros mariés.
Avec la position d’Eliot, je constate malgré ses cris de contestation et de douleur une belle érection. Son sexe est de proportions normales de dix-sept centimètres sur un bon quatre de diamètre, dommage que les poils lui recouvrent une partie du pubis. Les mouvements de Jean-Gabriel sont lents et amples, sans jamais ressortir son champignon de gland, qu’il a bien entré après une longue défloration du beau-frère. Jean-Gabriel fait bien coulisser sa matraque, mais à chaque fois allant buter au plus pro-fond.je suis certain que c’est bien calculé par mon esthéticien pour aller progressivement atteindre la prostate d’Eliot. C’est pour cela, j’ai l’impression que les hurlements et cris ont changés et deviennent plus doux, comme des bruits de contentement. Eliot a-t-il accepté certains gestes aux fortes sensations nouvellement découvertes. Jean-Gabriel ac-célère légèrement le rythme en tenant les hanches du patient. De la queue raide d’Eliot un mince filet de pré cum s’écoule. Ses joues sont toutes rouges, il a la bouche légèrement entrouverte, sa tête se relève un peu à chaque à-coup. Cela devient très intéressant puis là j’entends un OH Oui, Oh
Oui. Cela doit exciter notre ami l’esthéticien car il accélère ses va et vient qui sont plus rapprochés et plus secs. J’entends : « hum, hum, ouiiiii ! ! » j’ai l’impression qu’il y prend goût. Jean-Gabriel jette d’un coup sa tête en arrière, ce n’est pas possible, il jouit. Effectivement il décule presque sans précaution d’un coup sec, le champignon fait ouvrir la rosette, ce qui fait pousser un Aïïïïeee à Eliot. La grosse lance éjecte au même moment quatre jets d’un sperme blanchâtre très épais, comme de gros grumeaux. Mais Jean-Gabriel ne perd pas son sang- froid et immédiatement met trois de ses doigts dans le fondement du beau-frère et lui masse et travaille la prostate. Et croyez-moi, ce n’est qu’un concert de mots, de cris, d’onomatopées, de gloussements de plaisir qui sortent de sa bouche ou-verte et qui bave. Là, il prend un réel plaisir. Les doigts s’agitent et se posi-tionnent parfaitement sur cette glande que peu d’hommes mariés connais-sent, ne sachant pas quel plaisir elle peut donner et produire. Eliot par moment bascule la tête en criant « encore, encore, ouiii, ouiii , c’est trop bon , c’est trop bon »
Toutes ces caresses massant de la prostate durent pendant plus d’une de-mie heure. Jean-Gabriel est très habile et sait mener, guider et contrôler le plaisir. Durant tout ce temps les doigts agissent de façon avertie. Par mo-ment Jean-Gabriel effectue des mouvements de va et vient plus ou moins rapides avec ses trois doigts tout en effectuant également des mouve-ments circulaires pour calmer l’excitation de la prostate. Eliot est cramoisi et en sueur. Malgré la position de mon beau-frère j’arrive à voir sa verge qui pend malgré ses testicules exhibant tout de même ses dix-sept centi-mètres camouflés un peu par sa toison pubienne. Je constate qu’un mince filet de pré-cum se met tranquillement à s’écouler. Notre ami l’esthéticien est toujours à l’œuvre pour travailler cette subtile glande donnant un plai-sir caché. Quelques minutes après, Jean-Gabriel se mord par instant les lèvres. Le rythme a changé, il effectue un important soupir, les lèvres sont pincées et c’est à ce moment-là que les jambes d’Eliot de mettent à net-tement trembler, des mouvements de tête d’avant en arrière et de droite à gauche puis également ses bras s’agitent dans tous les sens en criant : je, je, je, je jouis, jee joouuiiss, c’esttt booonn oouuii, oouuiiiii, de sa bite s’écoule sa semence suprême qui est une véritable fontaine abondante qui s’est mise à couler. D’abord une substance un peu épaisse et au fur et à mesure qui devient plus visqueuse et plus transparente, mais toujours aussi abondante, ce qui inonde le drap de la table de soins, il y a même du sperme qui s’étale sur le sol. Les mouvements de membres se calment un peu mais le corps est pris de convulsions en se soulevant de plus en plus de la table avec d’importantes vociférations de plaisir, c’est bon, !! c’est bon !! çà coule, c’est bon. Cette démonstration de fort orgasme ne dure pas moins de quinze minutes ininterrompues. Pendant ce temps d’orgasme convulsif, Jean-Gabriel nettoie et essuie son splendide sexe de toutes les traces de son jus épais. Quant à moi, dès l’éruption de la semence fécon-dante de mon beau-frère, j’ai accéléré mon mouvement masturbatoire pour soulager toute la tension de ma verge. Tout est allé très vite et j’ai éjaculé trois gros jets libérant mon excitation et l’évacuation de mon sperme se répandant sur le sol du bureau. La queue à la main, je sors du bureau en me nettoyant pour venir remercier Jean-Gabriel du spectacle qu’il m’a offert avec les soins donnés à mon beau-frère. Après avoir essuyé notre matériel que nous rangeons l’un et l’autre, Jean-Gabriel s’approche d’Eliot qui revient que très progressivement à lui. « Merci, merci vous avez raison d’insister » Jean-Gabriel lui caresse la raie. Se tournant vers moi, « salaut tu avais tout calculé, mais que c’est bon, c’est incroyable, je ne sais pas que tant de plaisir avec un tel orgasme excite. Peu d’hétéros doi-vent connaitre une telle excitation mais surtout cette puissance d’éjaculation et cet immense et indescriptible plaisir intérieur » Il se tourne vers Jean-Gabriel pour prendre rendez-vous dans un mois.
Maintenant il est tout lisse, tout net et recherche cet orgasme prostatique qu’il vante et décrit à ses collègues mariés.
Si vous ne connaissez pas cette caresse, essayez !!!!!!
mon beau-frère.
Le mari de ma sœur est très chaleureux et sympathique, avec lequel je m’entends bien. A ce jour je n’ai pas encore dit que je suis homosexuel. Eliot n’est pas homophobe, mais il J’ai attendu un petit moment pour écrire cette histoire que j’ai fait vivre à ne faut pas trop aborder le sujet. Dans mon attitude ou mon comportement rien ne transparait de mon orienta-tion.
Il a sept ans de moins que moi. Il est sportif, joliment musclé avec son mètre quatre-vingt-douze. Ses cheveux sont châtain clair légèrement bou-clés et coupés de façon impeccable.
Il n’a pas tout à fait un corps de statue grecque, mais il n’en est pas loin.
Nous discutons souvent ensemble, puis un jour j’ai un appel de ma sœur me demandant si je pouvais héberger Eliot, car il doit assister à une for-mation toute proche de chez moi. Bien évidemment j’accepte.
Lors d’un petit-déjeuner, alors que nous sommes en robe de chambre avant de partir chacun travailler il me dit : « toi, tu as de la chance », et pourquoi ???
« Tu n’as pour ainsi dire pas de poils sur le corps !!! » - Effectivement, j’ai beaucoup de chance car Dame Nature m’a fait un torse glabre et des jambes et bras démunis de poils mais seulement un duvet à peine visible (et il ne sait pas encore que je me rase mais surtout me fais épiler les par-ties intimes).
Il rajoute : « Parfois ta sœur me fait remarquer que ma toison est disgra-cieuse, bien qu’elle me passe sa douce main caressante sur mon torse.., et puis, elle râle qu’elle en trouve dans la literie, et me fait allusion que sans poils, la peau est lisse et douce. Alors avant de partir en vacances, je vou-drais lui faire plaisir. Tu comprends ? ? Que me conseilles-tu ?? »
Dans mon for intérieur, inconsciemment, cette confidence me fait plaisir et m’excite en même temps – je lui rétorque :« Je peux te donner l’adresse de l’Institut et le prénom celui qui me fait les soins » et, là, de but en blanc il me répond : « évidemment pour des gars comme toi c’est normal ces adresses ! ! ! ! » Je ne réponds pas sur le coup, puis, « Lors de ma pro-chaine séance je peux lui en parler si tu veux – tu verras, il est très pro-fessionnel et à l’écoute et il sait calmer ton angoisse. Cela est plus confor-table pour toi d’être sans poils »
« Me faire raser par un professionnel, c’est du travail propre ».
Vicieux que je suis, je ne relève pas le mot – raser -, car c’est une épila-tion à la cire, et avec ce qu’il a sur le corps, il va déguster. Hummm !!!
Il est d’accord pour que je prenne rendez-vous et parle à l’esthéticien de sa crainte, mais surtout de se trouver éventuellement nu devant celui-ci (je le sais coincé, mais pas à ce point)
Quelques jours après je me rends à ma séance mensuelle et parle à Jean-Gabriel de mon beau-frère. Il faut savoir que Jean-Gabriel a trente-deux ans un physique à faire damné autant les femmes que les hommes, avec une morphologie irréprochable que beaucoup d’agences de mannequinat pourraient s’arracher pour ses cheveux blond foncé, ses yeux bleus, un sourire d’ange à la dentition régulière et blanche comme neige, ses jambes musclées mais très bien fuselées, sans oublier dans son pantalon blanc as-sez ajusté un entre-jambe contenant un paquet au galbe intéressant et impressionnant dû à des attributs presque hors du commun. (Vous verrez tout à l’heure).
Le rendez-vous est pris pour Eliot et connaissant très bien Jean-Gabriel depuis toutes ces années je lui précise qu’il faut convaincre mon beau-frère pour une épilation totale, et avec la gentillesse que je lui connais, il arrivera à le convaincre. Après lui avoir donné toutes les précisions pour cette séance initiatrice, je rajoute que je souhaite assister à cette épilation pour voir le comportement de mon beau-frère lors des soins intimes. « Edouard, nous nous connaissons depuis si longtemps, pas de soucis, à côté de cette cabine c’est mon bureau avec une glace sans tain, tu peux profiter des soins et probablement te branler comme je te connais. » Je le quitte assez émoustillié
J’appelle Eliot pour lui confirmer le rendez-vous à l’Institut avec Jean-Gabriel et que celui-ci lui expliquera le déroulement de cette première séance qui risque de durer une bonne heure.
Le jour J arrive enfin. Je me présente un bon moment avant le rendez-vous pour prendre place dans ce bureau assez confortable d’où j’ai un bel angle de vision sur la cabine. En fermant la porte du bureau Jean-Gabriel me sourit avec un clin d’œil avec ces mots « tu es bien placé, tu vas bien en profiter ».
Trente minutes après, mon beau-frère entre dans la cabine, et respecte les instructions données par Jean-Gabriel, il commence à se dévêtir, en res-tant en slip CK. Je peux profiter de son splendide corps sculpté, malheu-reusement recouvert de poils foncé dans le dos, le thorax les épaules, et bien évidemment bras et jambes. J’imagine déjà les poils collés sur les bandes de cire. En attendant, Eliot s’adosse à la table. Ah ! il a tout de même un joli petit cul, quant à son paquet, il est tout à fait normal. Jean-Gabriel pénètre dans la cabine et la ferme à clef. Il demande de sa voix douce à Eliot de s’allonger sur le dos. « nous allons commencer sur les par-ties du corps les plus faciles c’est-à-dire vos bras et vos jambes. Pendant qu’il prend place, Jean-Gabriel se tourne vers la petite commode où ses outils de travail sont disposés. Au moment où l’esthéticien prend de la cire dans le bac chaud avec sa spatule et s’avance du corps d’Eliot. A ce mo-ment mon beau-frère l’interpelle :« S’il vous plait, que faites-vous ?» « C’est pour vous épiler, c’est bien le but de votre rendez-vous ? » « Effec-tivement, c’est pour une épilation, et, c’est Edouard qui a pris rendez-vous pour moi. Vous ne le faites pas avec un rasoir, ce n’est pas ce qui est con-venu ? » « Non pas du tout, en institut, c’est à la cire vous verrez ça dure plus longtemps et c’est surtout plus doux. Edouard ne vous l’a pas dit ? C’est pour cela qu’il vient depuis de sept ans ici. » « Toute l’épilation va être à la cire ? » « Bien évidemment, monsieur, allez on y va ! ! »
Jean-Gabriel prend la main d’Eliot pour lui faire ouvrir le bras et y déposer immédiatement la cire avec la spatule. Quelques secondes s’écoulent et l’esthéticien tire d’un coup sec sur la bande. Je vois Eliot qui fait une gri-mace au moment de l’extraction. Mais il ne dit rien. Jean-Gabriel opère sur le second bras, puis sur la face externe de chacune des jambes. A chaque bande soulevée et enlevée, mon beau-frère fronce le fond ou sursaute. « il va falloir vous retourner que j’effectuer l’autre côté de vos jambes et j’en profiterai pour m’occuper en même temps de votre dos – Tournez-vous s’il vous plaît » Tout se passe normalement pour la seconde parie des jambes qui de mon poste d’observation constate aucune ombre sur les jambes qui doivent être toutes lisses. Jean-Gabriel y dépose la traditionnelle crème, puis commence la pose des bandes sur son joli dos musclé, au moment de l’arrachage des deux dernières bandes, Eliot se soulève un peu. L’esthéticien pose la crème apaisante sur cette grande surface devenue nette et glabre
Jean-Gabriel de son guéridon « Tout ça est bien net, nous allons effectuer maintenant vos épaules sur cette chaise, je pourrais plus facilement tra-vailler sur vos épaules.
Cet échange commence à m’intéresser et m’exciter en attaquant des par-ties plus délicates et aussi de sentir Eliot un peu désemparé. L’esthéticien approche sa spatule et dépose la cire sur une partie de la première épaule. Il tapote sur la bande qu’il vient d’étaler pour qu’elle adhère bien, puis avec deux doigts soulève un coin de la bandelette et d’une main sûre tire d’un coup sec pour enlever les poils avec leur bulbe de cette partie du corps. Eliot est très surpris et pousse un cri. « Cette fois-ci c’est terrible ce que vous me faites » - « Vous avez des poils foncé et épais c’est pour cela que le bulbe est plus gros et doit franchir le port de votre peau »
« Et çà va être aussi douloureux durant toute la séance ? », « Ne vous in-quiétez pas je mets tout de suite de la crème apaisante » Ne se laissant pas intimider, Jean-Gabriel continue son travail sur les épaules, et à chaque bande Eliot pousse un cri aigu, ou un aïe, aïe. Dans mon pantalon mon sexe s’agite tellement je commence à être excité. Maintenant les épaules sont bien nettes, et laissent entrevoir une peau blanche, n’ayant pas vue le soleil avec cette toison. Jean-Gabriel l’invite à toucher ses épaules pour constater que c’est tout lisse et très doux et lui montre éga-lement dans une glace le résultat. Eliot demande à l’esthéticien une ser-viette pour s’éponger le front tellement il a de sueur suite à cette seconde épreuve. Eliot lui confie que c’est très doux « Mon épouse va être contente et surprise de cette nouvelle sensation » « Et pour vous aussi » lui ré-torque Jean-Gabriel. « Maintenant vous allez de nouveau vous allonger sur le dos, lever les bras, je vais faire les aisselles et le thorax et ensuite … nous verrons »
Comme les fois précédentes le tortionnaire prend de la cire et l’étale dans le creux de la première aisselle. Il appuie bien avec ses longs doigts et pour être sûr que les deux soient faites, il se penche avec sa spatule pour faire de même pour la seconde. Il revient sur la première et décolle l’angle de la bande, prend appui sur la table et tire cette large bande de cire séchée. Et là, Eliot, ne pousse pas de cri mais hurle sa douleur, en voulant abaisser son bras pendant qu’il essaie de s’asseoir sur la table. « Mais vous êtes fou, vous êtes malade, et essaie avec les doigts de sa main opposée de calmer la douleur, ou même ce qui pourrait ressembler à une brûlure. Sur la bande, nous pouvons constater que toute sa touffe de poils y est bien collée ! ! C’est vrai il déguste, connaissant ce processus, qui peut par pré-caution s’effectuer en plusieurs prises, mais là Jean-Gabriel n’est pas allé de mains mortes. Comme cela mon beau-frère ne peut plus dire, que les homos sont des chechetes. Jean-Gabriel se penche maintenant pour ôter la bande de l’autre aisselle. « non, non, vous n’allez pas encore tirer, vous coupez ou rasez, çà fait trop mal » « Ce n’est pas possible tout est collé, il n’y a aucune prise, il faut absolument enlever la bande » et sur ces mots il tire toujours d’un coup énergique pour faire venir l’intégralité de la touffe noire. Je ne vous raconte pas les cris d’Eliot. Je lui mettrai bien ma queue toute raide en bouche pour le faire taire. Toujours aussi imperturbable Jean-Gabriel lui dit qu’il va s’occuper de son thorax qui n'est pas qu’un seul filet, mais tout un paillasson épais de poils. Le beau-frère lui dit « non, non,ça suffit maintenant, cela est trop douloureux » « Vous ne pouvez-pas, Edouard vous offre cette séance d’épilation intégrale, et je crois que vous voulez faire une surprise à votre épouse pour vos prochaines va-cances, alors ayez un peu de courage Eliot. » « Non, ce n’est pas pos-sible ! ! Et vous me dites épilation intégrale c’est quoi encore çà ? » « C’est ce que je suis en train de vous faire, rien de plus, être lisse » Ah s’il sait qu’après il va falloir qu’il subisse le pubis et l’anus, et je pense qu’il va chanter pour ces parties encore plus sensibles. Jean-Michel n’attend pas et pose une belle quantité de cire sur le haut du thorax, qui correspond au décolleté. La cire refroidit en se collant bien sur le paillasson de poils sombres. Jean—Gabriel prend appui en se mettant sur la pointe des pieds, comme pour prendre son élan et tirer non pas la bande, mais la plaque de cire. Je vois l’extrémité des poils accrochées à la cire, et leurs racines qui soulèvent l’épiderme, les bulbes rencontrant des difficultés à franchir les ports de la peau. D’un geste professionnel, Jean-Gabriel s’y reprend pour cette importante extraction. Cela laisse la peau sensible et très rouge ; c’est un puissant hurlement rauque et là, Eliot se tort de douleur et croise ses bras comme pour se calmer puis ce sont ses jambes qui font des bat-tements. « Non, non, c’est de la torture, je ne reviendrais plus ». « Mais si, mais si, plus vous viendrez plus vos poils seront souples et moins épais ; c’est pour cela qu’aujourd’hui la séance sera d’une heure et demie. » « non, non c’est trop atroce » –« mais comme pour certains de mes clients, si vous le souhaitez, je peux vous sangler les jambes et bras afin de moins bouger » « Et quoi encore, vous êtes complètement malade, c’est pour vos pédés de clients comme mon beau-frère, quelle tapette celui-là. – Non, moi je suis hétéro, vous avez compris ». Le voilà qu’il se fâche le sa-laud qui m’a traité de pédé, je suis vexé, mais excité de le voir souffrir pour être lisse comme moi. Puis d’un seul coup je constate le devant du pantalon blanc de Jean-Gabriel qui a pris de sacrées formes sur le devant. Moi, pour éviter cela j’ai sorti ma queue pour me la caresser sans plus. Après les interjections d’Eliot, Jean-Gabriel continue la déforestation du poitrail de mon beau-frère avec le même processus sans se laisser intimi-der. A un moment Eliot laisse ses mains pendre hors de la table de soins, ce qui apparemment gêne certains gestes de l’esthéticien qui ne peut plus prendre appui sur les rebords de la table pour tirer énergiquement les bandes de cire. Eliot continue son concert de cris, d’hurlements, de gémis-sements : aïe, aïïee, non, noonn, nooonnn, arrêtez, arrrêêtez ahhhh ça brûle, ça brûle ; pour moi c’est excitant de le savoir souffrir. Le praticien lui dépose maintenant la crème adoucissante et du bout de ses doigts masse délicatement les rougeurs du thorax en s ‘approchant de la table et je peux constater à ma stupéfaction qu’une des mains d’Eliot est au con-tact de la grosseur du pantalon blanc. Ah ? ? Maintenant Jean-Gabriel va-t-il continuer par mettre à nu le pubis ou de s’occuper des fesses et plus d’Eliot. Quelle énigme ! ! ! Eh bien il fait de nouveau retourner mon beau-frère. « Maintenant que vous êtes sur le ventre, je vais vous enlever votre C K Soulevez-vous un peu, je vais terminer par votre fessier ». Eliot se soulève un peu et le sous-vêtement est enlevé par Jean-Gabriel. La pâte jaunâtre de la cire est étalée sur les muscles fessiers et débarrassés de tout poil. Et maintenant l’esthéticien fait positionner son patient le bassin un peu relevé et d’une main lui écarte une fesse. Il dépose de la cire sur la rosette de mon beau-frère. « Les fesses cela suffisait déjà, que faites-vous sale vicieux ?? » « Seulement je termine le travail avec votre anus » « je ne suis pas une tarlousse, je ne fais pas enculer comme eux, je suis marié, je vous ai déjà dit » « mais comme cela vous serez net de partout , il n’y en a que pour quelques minutes maintenant » Avec sa gentillesse et son flegme Jean-Gabriel dépose la cire qui fait crier ‘Le bof’ . Mais quand la bande est enlevée c’est une réussite pour des cris et hurlements de dou-leur. Le paquet de Jean-Gabriel a encore pris du volume, je sais que ces séances lui plaisent énormément, j’en ai eu l’expérience. Maintenant avec sa pince à épiler il extrait les derniers poils qui n’ont pas été collés sur la bande. Et à chaque arrachage, mon Eliot supplie et crie toute sa douleur et sa rage. La tête de Jean-Gabriel s’avance, il sort sa langue pointue et l’introduit dans l’orifice bien net de son client. Il lui donne des petits coups et à certains moments lape cette belle rosette « non, non, pas çà c’est ré-servé à ma femme » « c’était pour constater si le travail était bien fait, si je n’avais pas laissé un poil qui pourrait la gêner – tout est bien, elle va être contente » Puis il enduit ses doigts de crème apaisante et Jean-Gabriel masse cet endroit un peu endolori malgré le léchage. D’où je suis, je vois le doigts qui masse et progressivement, un qui entre dans l’orifice. « Non, non, ce n’est pas de la crème, vous me doigtez, non, non » Jean-Gabriel ne se laisse pas perturber et accélère un peu le va et vient de son doigt et en même temps en ajoute un second. Il a écarté au maximum les longues jambes d’Eliot, ce qui lui permet de s’approcher davantage de son patient complètement allongé à plat maintenant. Comme par hasard, je n’entends plus de plaintes. Eliot tourne la tête vers l’arrière pour constater la pénétration des trois doigts de Jean-Gabriel. Il a remis de la crème sur ses doigts et les fait tourner à l’intérieur de l’antre qui a l’air de s’ouvrir. Et si mon ouïe est bonne j’ai l’impression d’entendre un Ouiiii ! Ouiii ! mais commencerait-il à aimer cela ? Je savais, Jean-Gabriel y faire pour perver-tir les soi-disant hétéros mariés. « Oh c’est bon, ouiii ! c’est bon conti-nuez » De son autre main Jean-Gabriel ouvre le bouton de ceinture de son pantalon blanc, et baisse sa fermeture éclair ce qui fait descendre douce-ment sans mouvements brusques le vêtement. Comme d’habitude il est nu. Par un petit mouvement du pied, il pousse le pantalon au sol. Là je ne vois pas tout, je me bouge un peu pour admirer la bosse que je connais qui s’est complètement développée pour un outillage de plus de vingt-deux centimètre, mais c’est surtout avec ses sept à huit centimètres de dia-mètre, qui fait ressembler cet appareil génital à une matraque au-dessus de deux beaux abricots complètement lisses. Il enduit son gland, qui est plutôt un véritable champignon de Paris. Toujours avec délicatesse il change le rythme de ses doigts pour les extraire progressivement et les remplacer par cet appareil génital très exceptionnel, l’autre va le senti « Ah non, ! pas çà, ! les doigts c’est un accident » « Vous allez connaitre autre chose et il faut que je profite de mon travail de désherbage. » Jean-Gabriel positionne son large mandrin face à la rosette entrouverte et commence à pousser pour essayer de faire pénétrer cet énorme champi-gnon. « je ne veux pas être un enculé, je vais être déformé, plus rien ne va se refermer avec votre machin de dingue - non, non» Jean-Gabriel avec sa main appuie sur le dos d’Eliot et commence à pousser. « Vous me déchirez, çà fait mallll, non, je vais éclater » De mon côté, mon beau-frère presque embroché de la sorte que je me suis mis à me caresser la queue toute raide et dure oh, elle n’est pas aussi importante que celle de Jean-Gabriel, je me contente de mes dix-huit centimètres et d’un volume régu-lier qui me donnent toujours du plaisir. Pendant ce temps la matraque con-tinue d’entrer sous les injures et hurlements de douleur d’Eliot, le cham-pignon est entré, il endure mieux et probablement apprécie. Je constate un coup de reins plus fort, et là, le gland est entré, de ce fait toute la lon-gueur de l’anaconda va le remplir plus facilement, l’ouverture est faite et tous les passages des sphincters ouverts. Je constate que les couilles de Jean-Gabriel viennent enfin taper le fessier du beau-frère. Jean-Gabriel effectue des mouvements amples de va et vient sur toute la longueur, mais par gentillesse ne ressort pas son gland voulant probablement appor-ter maintenant du plaisir et aussi peut -être s’il y arrive a faire jouir du cul Eliot pour qu’il découvre cet orgasme peu connu des hétéros mariés.
Avec la position d’Eliot, je constate malgré ses cris de contestation et de douleur une belle érection. Son sexe est de proportions normales de dix-sept centimètres sur un bon quatre de diamètre, dommage que les poils lui recouvrent une partie du pubis. Les mouvements de Jean-Gabriel sont lents et amples, sans jamais ressortir son champignon de gland, qu’il a bien entré après une longue défloration du beau-frère. Jean-Gabriel fait bien coulisser sa matraque, mais à chaque fois allant buter au plus pro-fond.je suis certain que c’est bien calculé par mon esthéticien pour aller progressivement atteindre la prostate d’Eliot. C’est pour cela, j’ai l’impression que les hurlements et cris ont changés et deviennent plus doux, comme des bruits de contentement. Eliot a-t-il accepté certains gestes aux fortes sensations nouvellement découvertes. Jean-Gabriel ac-célère légèrement le rythme en tenant les hanches du patient. De la queue raide d’Eliot un mince filet de pré cum s’écoule. Ses joues sont toutes rouges, il a la bouche légèrement entrouverte, sa tête se relève un peu à chaque à-coup. Cela devient très intéressant puis là j’entends un OH Oui, Oh
Oui. Cela doit exciter notre ami l’esthéticien car il accélère ses va et vient qui sont plus rapprochés et plus secs. J’entends : « hum, hum, ouiiiii ! ! » j’ai l’impression qu’il y prend goût. Jean-Gabriel jette d’un coup sa tête en arrière, ce n’est pas possible, il jouit. Effectivement il décule presque sans précaution d’un coup sec, le champignon fait ouvrir la rosette, ce qui fait pousser un Aïïïïeee à Eliot. La grosse lance éjecte au même moment quatre jets d’un sperme blanchâtre très épais, comme de gros grumeaux. Mais Jean-Gabriel ne perd pas son sang- froid et immédiatement met trois de ses doigts dans le fondement du beau-frère et lui masse et travaille la prostate. Et croyez-moi, ce n’est qu’un concert de mots, de cris, d’onomatopées, de gloussements de plaisir qui sortent de sa bouche ou-verte et qui bave. Là, il prend un réel plaisir. Les doigts s’agitent et se posi-tionnent parfaitement sur cette glande que peu d’hommes mariés connais-sent, ne sachant pas quel plaisir elle peut donner et produire. Eliot par moment bascule la tête en criant « encore, encore, ouiii, ouiii , c’est trop bon , c’est trop bon »
Toutes ces caresses massant de la prostate durent pendant plus d’une de-mie heure. Jean-Gabriel est très habile et sait mener, guider et contrôler le plaisir. Durant tout ce temps les doigts agissent de façon avertie. Par mo-ment Jean-Gabriel effectue des mouvements de va et vient plus ou moins rapides avec ses trois doigts tout en effectuant également des mouve-ments circulaires pour calmer l’excitation de la prostate. Eliot est cramoisi et en sueur. Malgré la position de mon beau-frère j’arrive à voir sa verge qui pend malgré ses testicules exhibant tout de même ses dix-sept centi-mètres camouflés un peu par sa toison pubienne. Je constate qu’un mince filet de pré-cum se met tranquillement à s’écouler. Notre ami l’esthéticien est toujours à l’œuvre pour travailler cette subtile glande donnant un plai-sir caché. Quelques minutes après, Jean-Gabriel se mord par instant les lèvres. Le rythme a changé, il effectue un important soupir, les lèvres sont pincées et c’est à ce moment-là que les jambes d’Eliot de mettent à net-tement trembler, des mouvements de tête d’avant en arrière et de droite à gauche puis également ses bras s’agitent dans tous les sens en criant : je, je, je, je jouis, jee joouuiiss, c’esttt booonn oouuii, oouuiiiii, de sa bite s’écoule sa semence suprême qui est une véritable fontaine abondante qui s’est mise à couler. D’abord une substance un peu épaisse et au fur et à mesure qui devient plus visqueuse et plus transparente, mais toujours aussi abondante, ce qui inonde le drap de la table de soins, il y a même du sperme qui s’étale sur le sol. Les mouvements de membres se calment un peu mais le corps est pris de convulsions en se soulevant de plus en plus de la table avec d’importantes vociférations de plaisir, c’est bon, !! c’est bon !! çà coule, c’est bon. Cette démonstration de fort orgasme ne dure pas moins de quinze minutes ininterrompues. Pendant ce temps d’orgasme convulsif, Jean-Gabriel nettoie et essuie son splendide sexe de toutes les traces de son jus épais. Quant à moi, dès l’éruption de la semence fécon-dante de mon beau-frère, j’ai accéléré mon mouvement masturbatoire pour soulager toute la tension de ma verge. Tout est allé très vite et j’ai éjaculé trois gros jets libérant mon excitation et l’évacuation de mon sperme se répandant sur le sol du bureau. La queue à la main, je sors du bureau en me nettoyant pour venir remercier Jean-Gabriel du spectacle qu’il m’a offert avec les soins donnés à mon beau-frère. Après avoir essuyé notre matériel que nous rangeons l’un et l’autre, Jean-Gabriel s’approche d’Eliot qui revient que très progressivement à lui. « Merci, merci vous avez raison d’insister » Jean-Gabriel lui caresse la raie. Se tournant vers moi, « salaut tu avais tout calculé, mais que c’est bon, c’est incroyable, je ne sais pas que tant de plaisir avec un tel orgasme excite. Peu d’hétéros doi-vent connaitre une telle excitation mais surtout cette puissance d’éjaculation et cet immense et indescriptible plaisir intérieur » Il se tourne vers Jean-Gabriel pour prendre rendez-vous dans un mois.
Maintenant il est tout lisse, tout net et recherche cet orgasme prostatique qu’il vante et décrit à ses collègues mariés.
Si vous ne connaissez pas cette caresse, essayez !!!!!!
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