Copain comme cocu (2) - histoire érotique

Quelques semaines après avoir couché avec Aline, la petite amie de mon pote Dimitri, Maxime et Claire, un couple d'amis, m'invitent chez eux un samedi midi pour un barbecue.
Sur leur terrasse, Maxime et moi prenons tranquillement l'apéro pendant que sa nana s'affaire en cuisine. Nous discutons de tout et de rien, quand soudain il me demande des nouvelles de Dimitri. Je lui révèle alors mon aventure avec la copine de ce dernier.
- Non t'es sérieux, tu as rendu Dimitri cocu ?
- Bah ouais, je sais bien que ça ne se fait pas, mais je n'ai pas pu résister.
- Mais ça s'est passé quand et comment ?
Je lui raconte en détail ce qu'il s'est produit ce jour-là, Maxime hallucine.
- Putain c'est une sacrée cochonne celle-là, on ne dirait pas pourtant.
- Oui, j'avoue que je ne la voyais pas aussi chaude, mais je ne regrette pas, je me suis régalé.
- Tu m'étonnes. En tout cas, j'espère que Dimitri ne l'apprendra pas.
- Je ne m'inquiète pas, elle ne dira rien.
- Et tu n'as pas eu de remords ?
- Non pas vraiment et pour tout te dire, ce n'est pas la première fois que ça arrive.
- C'est à dire ?
- Bah je l'ai déjà fait cocu.
- Non ?
- Si, avec Isabelle, quelques mois avant leur divorce.
- Oh t'abuses.
- Qu'est ce que tu veux que je te dise, j'imaginais pas ça non plus, mais c'est arrivé.
- Et alors, c'était bon ?
- Ouais c'était pas mal du tout, elle était bien coquine aussi.
- Vas-y raconte.
Je prends une gorgée de bière et je lui explique ceci:

Un jour, Isabelle m'appelle en sanglots et me demande si je peux passer la voir car elle a besoin de me parler. Je comprends immédiatement que quelque chose ne va pas et lui réponds que je suis au travail, mais que je passe la voir sur ma pause déjeuner.
Aux alentours de midi, j'arrive chez elle et Isabelle me reçoit dans une belle robe blanche à fleur. Après les salutations d'usage, elle m'invite à la suivre dans la cuisine, elle m'offre un verre de coca et nous commençons à discuter debout, près du comptoir. Je lui demande :
- Bon alors, dis-moi, pourquoi tu m'as dit de venir ?
- Et bien voilà, ça ne va, je ne me sens pas bien.
- Qu'est ce qui t'arrive ?
- En fait, ça ne va plus du tout avec Dim', on s'est encore disputé.
- A propos de quoi ?
- Pour des conneries comme d'habitude, mais j'en ai marre, tu sais moi je suis toujours là pour lui, je l'aime et...
- Mais lui aussi il t'aime, il me le dit souvent.
- Bah il le montre mal en tout cas et pour tout te dire, j'ai l'impression qu'il a quelqu'un d'autre.
- Non, je ne pense pas.
- Bah je me demande, ça m'inquiète.
- Et pourquoi tu penses qu'il te trompe ?
- Je ne sais pas, je trouve qu'il a changé depuis quelques temps, il ne me regarde plus comme avant, il est moins attentionné, moins investit dans notre relation, c'est pour ça que je me pose des questions et que je me demande s'il n'a pas rencontré une autre nana.
- Non, franchement si c'était le cas, il me l'aurait dit.
- T'es sûr ? Alors pourquoi il a moins envie de moi ces derniers temps ?
- Je ne sais pas, je ne peux pas te dire. Mais vous le faites quand même de temps en temps ?
- Ouais 2-3 fois par mois, alors qu'avant c'était plutôt 2-3 par semaine.
- Et je suppose que ça te manque.
- Oui beaucoup.
- S'il ne veut plus de toi, moi je veux bien le remplacer.
- C'est vrai ? C'est peut-être avec toi que j'aurais dû me marier.
- Je plaisantais et désolé mais le mariage ce n'est pas pour moi.
- Je sais bien, je plaisante aussi, et puis tu as Virginie, même si ça ne t'empêche pas de tremper ta nouille ailleurs.
- Oui c'est vrai, mais tu sais comment on fonctionne et tant qu'elle est d'accord, je ne me prive pas. C'est l'avantage d'être libertin, on peut coucher avec qui on veut.
- C'est fou comment vous vous comprenez, vous êtes tellement complices tous les deux, j'aimerais bien qu'on soit comme ça, mais comme je t'ai dit, j'ai l'impression que Dimitri n'a plus trop envie de moi, peut-être parce que j'ai un peu grossi.
- Tu rigoles ? Tu es magnifiques, tu as de superbes formes.
- C'est vrai ? Tu me trouves jolie ?
- Bah oui et je l'ai toujours dit à Dimitri. Et je trouve pas que tu as grossi, je me souviens de toi l'été dernier en maillot de bain, il n'y avait rien à redire.
- Moi je trouve que j'ai des grosses fesses, dit-elle en se retournant vers moi pour me les montrer.
- Arrête, elles sont très bien comme ça.
Elle remonte sa jupe pour me dévoiler ses fesses, son string rose et ses bas noirs.
- Regarde ça, c'est pas terrible quand-même.
- Bah si, elles sont belles, elles sont encore bien fermes en plus. Franchement tu ne devrais pas te plaindre, tu as un beau corps.
- Merci, c'est gentil. Et mes seins, tu les trouves comment ?
- Je les ai jamais vu, mais tu as une belle poitrine généreuse.
- 95C, c'est pas mal non ?
- C'est même très bien.
Elle baisse le haut de sa robe pour me montrer ses seins cachés sous un soutien-gorge du même rose que son string.
- Ils ne sont pas trop petits ?
- Non franchement, tu as vraiment tout ce qu'il faut, là où il faut et j'avoue que de voir tout ça ne me laisse pas indifférent...
- C'est vrai ? Ca te donne envie ?
- Un peu, je dois bien l'avouer.
- Je te fais bander ?
- Ouais, on ne peut rien te cacher.
- Hi, hi, hi, je peux toucher ?
- Oui, si ça peut te faire plaisir.
Elle pose sa main sur la bosse formée sous mon pantalon et s'enthousiasme.
- Hum intéressant.
Dans l'euphorie de l'instant, je la colle contre moi, passe mes mains sous sa jupe pour caresser ses fesses et je lui dis:
- Tu veux que je te réconforte un peu ?
- Oui, j'en ai bien besoin.
- Tu as l'air d'avoir besoin d'affection.
- Oui et j'ai besoin d'autre chose aussi.
- C'est à dire ?
- Que j'ai très envie de faire une folie.
- Hum, c'est pas cool pour Dimitri, mais je ne suis pas contre l'idée.
- Tant pis pour lui, il n'a qu'à s'occuper de moi plus souvent, dit-elle avant de s'accroupir devant moi.

Isabelle défait mon pantalon, baisse mon boxer et saisit ma queue pour me branler doucement d'une main et cajoler mes couilles de l'autre.
- Hum j'adore.
- C'est vrai, elle te plaît ?
- Oh oui, j'ai très envie de la goûter.
- Je t'en prie.
Aussitôt, la brune aux longs cheveux engloutit entièrement mon sexe dans sa bouche. Je frissonne au contact de sa langue sur mon gland et à la chaleur de sa bouche. Elle me suce tendrement en tenant mon sexe avec sa main gauche sur laquelle je peux admirer son alliance et ses beaux ongles vernis de rouge. Cela me fait sourire un instant en me disant que la femme de mon pote est en train de me tailler une pipe. Et le pire, c'est qu'elle aime ça, elle accélère le rythme petit à petit et mes premiers râles de plaisir apparaissent.
- Hum, c'est bon ma belle, tu vas voir, je vais t'en donner de l'attention, dis-je en enfonçant ma bite le plus profond possible. Elle s'étouffe à moitié, mais cela semble l'exciter, elle crache sur mon pieu et me pompe comme une goulue.
- Alors, elle est bonne ma queue?
- Oh oui
Je la prends alors par les cheveux et je lui baise la bouche.
- Tiens, suce-la bien alors si elle est si bonne.
Elle se laisse faire, docile et je comprends alors que je vais pouvoir faire ce que je veux d'elle.
- Vas-y, occupes-toi de mes boules aussi.
Elle obéit sans rechigner, elle les embrasse, les lèche, les gobe en continuant de me branler, puis elle me suce à nouveau avec une volonté de fer. Je grogne un peu plus.
- Hum, c'est que tu sais y faire, Dimitri ne m'a jamais que sa femme était une grosse cochonne.
- Oui je suis une grosse cochonne et j'adore la bite.
Ses paroles m'excitent et je lui dis:
- Allez relèves-toi, je vais te montrer ce que je sais faire aussi.
Je l'allonge sur la table de la cuisine et lui ordonne d'écarter les jambes. Je n'ai pas besoin de lui dire 2 fois pour qu'elle s'exécute.
- Vas-y, montres-moi ta chatte.
Isabelle me sourit et décale l'élastique de son string sur le côté pour m'exhiber sa belle chatte intégralement épilée. Je m'agenouille, glisse mes mains sous ses fesses pour relever un peu son bassin et entreprends un cunilingus.
Sa chatte est déjà bien mouillée et après quelques coups de langue, l'épouse infidèle pousse ses premiers soupirs de bonheur. Vu que ça à l'air de lui plaire, je passe à la vitesse supérieure. Je lui enlève son string, et je replonge ma tête entre ses cuisses. Je crache sur sa chatte, je la lappe rapidement, remonte sur son clito que je suce, aspire, mordille. La coquine gémit de plus en plus fort en caressant ses seins.
- Oh oui, han, han, han.
Ses mains se posent sur ma tête et caressent mes cheveux, pendant que ma langue s'agite rapidement, j'introduis un doigt, puis un second pour la rendre folle.
- Oh oui, ça fait du bien, oh c'est trop bon.
- Hum oui, c'est trop bon, j'adore ça, j'adore jouer avec ma langue.
- Tu m'excites trop Chris, redonnes-moi ta bite.
Allongée sur la table, la tête vers le bas, je lui redonne ma queue et Isabelle me suce à nouveau comme une dingue, elle est déchaînée et les bruits de succion me galvanisent.
- Hum, tu es trop bonne, je vais te baiser.
Le temps que je prenne une capote et que je la déroule sur ma verge, Isabelle descend de la table. Je la plaque ensuite contre le mur de la cuisine, je soulève sa robe et je la pénètre afin de la prendre en levrette. Je la possède doucement au départ, puis mes va-et-vient deviennent plus rapides.
- Oh oui, encore, me dit-elle.
J'accélère le rythme et tape bien fort dans le fond de sa chatte en la tenant par les épaules. Sa joie retentit dans toute la pièce, sa main se faufile entre ses cuisses par dessous pour flirter avec son bouton d'amour pendant que je la lime avec entrain.
Nous avons de plus en plus chaud, nos vêtements volent sur le plancher, je suis à poil et Isabelle n'a plus que ses bas et ses chaussures à talons. J'aperçois enfin ses gros seins nus et je me jette dessus pour les embrasser et les câliner.
Nous profitons de ce moment pour changer de position.

Je m'allonge sur la table de la cuisine et ma partenaire vient s'empaler sur moi à califourchon. Mes mains posées sur ses fesses, Isabelle me chevauche comme une tigresse.
- Et bien, ça se voit que tu étais en manque.
- Ne m'en parle pas, ça fait presque 10 jours que je n'ai pas baisé.
Elle remue énergiquement sur mon chibre, ses gros nichons, que je gobe par moment, ballotent de haut en bas. Je presse ses fesses, y met également quelques bonnes fessées pour l'encourager à gigoter encore plus, puis je titille son anus du bout du doigt et comme cela ne la dérange pas que j'explore cette zone, je lui enfonce mon majeur dans le fion. La maîtresse de maison part alors dans un orgasme incontrôlable, mais elle ne s'arrête pas pour autant et elle continue de se baiser avec une fougue insoupçonnée.
- Oh putain je jouiiisss !!!
- Vas-y ma belle, lâche-toi.
- Hum ouuiii, que c'est bon ce petit doigt dans mon cul.
- Tu en veux plus ?
- Hum oui, avec plaisir.
Nous descendons de la table et je lui indique de se mettre à 4 pattes sur le sol. Aussitôt en position, je lui écarte les fesses pour lui prodiguer une bonne feuille de rose bien baveuse. J'enfonce ma langue le plus loin possible dans son trou du cul afin de bien le dilater et dès que j'estime que c'est bon, j'introduis ma queue. Le passage se fait sans difficulté, je fais des aller-retour lents et profonds et petit à petit j'augmente la cadence.
- Ah, ah, ah, continue, plus fort.
- Tu as envie que je te défonce le cul petite chienne hein ?
- Oui vas-y, défonce le bien.
J'attrape alors sa longue chevelure noire et je tire dessus pendant que je l'encule sauvagement. Isabelle hurle comme une folle et ça m'excite terriblement. Je lui bourre le cul encore quelques instants et soudain, je sens que je vais exploser.
Je me retire rapidement et pendant que j'enlève la capote, je lui demande de se mettre à genoux devant moi.
- Vas-y, prends tes seins, j'ai envie de jouir dessus.
Isabelle colle ses gros nibards l'un contre l'autre et attend sa récompense en me regardant me branler. Je m'astique le manche rapidement et d'un coup, j'arrose ses mamelles de jus blanc en grognant de plaisir. La coquine étale tout le sperme en se massant les seins, puis elle finit par prendre ma queue dans sa bouche pour se délecter des dernières gouttes.

Maxime est sidéré par mon récit.
- Alors là, je n'en reviens pas.
- C'est la vérité pourtant.
- C'est un truc de ouf.
- Oui j'avoue, je ne pensais pas que ça finirait comme ça, quand elle m'a appelée ce matin-là.
- Tu m'étonnes, et Dimitri ne l'a jamais su ?
- Je ne crois pas, en tout cas, il ne m'en a jamais parlé, il n'en a jamais fait allusion.
- Bah tant mieux. Tu me diras, maintenant qu'ils ont divorcé, il y a prescription.
-  Ouais et à mon avis, j'ai pas été le seul à me la faire à ce moment-là.
- Tu crois ?
- J'en suis sûr même.
- Putain la salope, je ne la voyais pas comme ça.
- Bah ouais, mais tu sais, c'est pas parce que tu connais bien une femme, que tu sais tout sur elle. Chaque femme a son jardin secret et pour les femmes des potes c'est pareil. Il ne faut pas croire que parce qu'elle est avec untel ou untel, qu'elle est prude, coincée ou fidèle. Il y en a qui sont de vraies chaudes du cul.
- Oui je me doute bien, mais c'est pas écrit sur leur front.
- Non et heureusement, c'est leur vie privée. Tiens par exemple, Sandra, la nana d'Hervé, et bien elle, ça fait plusieurs années qu'elle est devenue libertine comme moi et Virginie et je la baise régulièrement.
- Ha ouais, je ne savais pas. Et Hervé n'a rien dit ?
- Il n'est pas au courant.
- Oh putain, c'est chaud ça.
- Tu gardes ça pour toi hein ?
- Ouais, ouais t'inquiète pas. J'en connais une autre qui est un peu comme ça.
- Qui ça ?
- Géraldine, la nana de Damien, quand tu la vois comme ça, elle ne paraît pas, mais Claire, qui est super proche d'elle, m'a dit qu'elle ne pensait qu'à ça et que c'était une vraie nympho.
- Ouais je sais.
- Comment ça ?
- Bah...
- Tu l'as niqué elle aussi ?
- Ouais.

A suivre.