Copines de ma copine
Récit érotique écrit par Lyat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Copines de ma copine
1 mois plus tard.
Nous allons chercher Caro à la gare sous le chaud soleil. Lucie est arrivée à midi et nous accompagne. Caro sort du train, habillée très légèrement avec une petite robe à pois assez courte et décolletée. L'immense sourire dont elle me gratifie quand je lui fais la bise et qu'elle s'aperçoit que mon regard plonge dans sur sa poitrine fait monter ma température qui n'avait pas besoin de ça déjà!
On les installe dans la chambre à côté avec leurs bagages. Anne-So est à peine partie leur préparer un petit goûter que ces petites garces commencent à m'allumer un peu en se trémoussant sur le lit, jouant avec leur robe tout en riant… Le ton est donné pour ce début de séjour. La journée se passe au mieux avec un petit apéro sur le coup des 18h, barbecue dans le parc, discussion ensuite à la belle étoile…
Nous finissons par nous coucher et je fais l’amour avec Anne-Sophie en n’oubliant pas que les deux coquines ne sont pas très loin. Voulant un peu à mon tour les allumer et jouer, je m’active tellement qu’Anne-So hurle de plaisir malgré le fait qu’elle essaie désespérément de se contrôler. Une fois épuisés, je ricane en pensant à nos voisines et au spectacle sonore dont elles ont bénéficié.
Le lendemain matin, comme je le pense je suis le premier à me lever.
Je prépare la table pour le petit-déj avec pain, pain grillé, beurre, confiture, lait, etc…
A peine ai-je fini que j’entends Caro arriver et qui ouvre la porte avec un grand sourire. Je la prie de s’installer à table :
- « Mademoiselle est servie. Que souhaiteriez-vous qui ne soit pas sur la table ? » dis-je avec un air serviable.
Et là, du tac-au-tac, sans prévenir :
- « Que tu sois mon esclave sexuel et que tu me lèches pendant que je petit-déjeune » avec un air assez autoritaire et froid.
Je suis assez interloqué par sa demande mais le regard qu’elle me lance me fait plier. Et j’avoue trouver ça très excitant.
Je contourne la table, je relève la nappe et me place entre ses cuisses. Il faut dire qu’il s’agit d’une grande table de ferme avec une nappe qui descend jusqu’au sol, ce qui fait qu’on ne peut me voir si on n’est pas assis à côté de Caro.
Je sens son intimité. Quelle douce odeur, mêlant des senteurs intimes à celle du gel douche aux fruits exotiques. Je veux prendre mon temps mais je sens la main de Caro derrière ma nuque et qui me plaque. Je n’ai d’autres choix que de me mettre en action. Je la lèche avec application, voulant lui donner un maximum de plaisir et pourquoi pas la déconcentrer pendant qu’elle boit son café. C’est vraiment délicieux. Je passe ma langue le long de ses grandes lèvres, ma langue agace son clito et de mes lèvres je le suçote et l’aspire tout en faisant tourner ma langue autour.
Mon pouce commence a doucement la caresser et sans crier gare, je l’enfonce dans son vagin. Je sens un soubresaut parcourir Caro d’un coup qui manque de s’étouffer. Je continue mon œuvre. Elle coule de plus en plus dans ma bouche. Je la sens s’agiter de plus en plus. J’en profite pour lui caresser ses jambes si douces et si fines. Je m’arrête deux secondes pour reprendre mon souffle et je lui branle son clito ce qui la fait sursauter et pousser un petit cri.
- « Qu’est ce qui t’arrive ? C’est de me voir qui te fait sursauter ainsi !? »
Lucie venait d’arriver. Je vois que Caro est tout cramoisie.
- « Euh tu m’as surprise en fait. «
Et disant cela, elle rabat la nappe pour que je ne sois pas visible.
- « Oh, Dés a vraiment pensé à tout ! Quel ange ! Remarque, après le début de nuit qu’il nous a fait endurer, on mérite bien
ça non ? Faudra penser à nous venger ! »
Lucie s’installe à côté de Caroline, sans me toucher pour autant. J’ai bien entendu arrêté toute activité, attendant que cela se calme. De toute manière, Caro m’avait repoussé à l’arrivée de Lucie.
Je sens sa main repasser derrière ma nuque pour m’inviter à reprendre.
D’un coup, j’ai une idée. Les si jolies jambes de Lucie sont juste à portée et je commence à la caresser du bout des doigts. Elle se laisse faire croyant qu’il s’agit de Caro. Je continue à la lécher et mon index et mon majeur rentrent en elle très facilement après mes exercices buccaux précédents. Elle se met à respirer très bruyamment et Lucie soulève la nappe pour me trouver en pleine action, le visage tout barbouillé, ma barbe toute brillante.
- « Et bien dites donc vous deux ! Dès le matin, vous ne vous ennuyez pas !! »
De ma main de libre, je lui fais ouvrir les cuisses et commence à lui caresser l’entrejambe. Elle aussi est nue sous son tee-shirt long qui lui sert de nuisette. Et ainsi débute un ballet où je passe de l’une à l’autre de mes doigts, de mes lèvres, de ma bouche, batifolant, suçotant, caressant tantôt furtivement tantôt sensuellement avec mes deux petites garces qui gémissent et se trémoussent sous mes efforts. Cela dure quelques minutes quand j’entends la porte qui s’ouvre. Mes deux coquines s’arrêtent immédiatement. Moi de même.
- « Vous savez où est Dés les filles ? »
- « Non » répondent-elles toutes deux la bouche en cœur. « Il doit être dehors. »
- « Bon, ce n’est pas grave, je vais prendre ma douche et je reviens prendre mon petit déj’. A toute les filles ! »
Et la voilà repartie. Les filles me préviennent que je peux sortir. Je prends une serviette en papier pour m’essuyer un peu le visage, je vais ensuite à l’évier pour me passer un peu d’eau, et hop ! A table pour manger maintenant… Ni vu ni connu… pour le moment…
Nous allons chercher Caro à la gare sous le chaud soleil. Lucie est arrivée à midi et nous accompagne. Caro sort du train, habillée très légèrement avec une petite robe à pois assez courte et décolletée. L'immense sourire dont elle me gratifie quand je lui fais la bise et qu'elle s'aperçoit que mon regard plonge dans sur sa poitrine fait monter ma température qui n'avait pas besoin de ça déjà!
On les installe dans la chambre à côté avec leurs bagages. Anne-So est à peine partie leur préparer un petit goûter que ces petites garces commencent à m'allumer un peu en se trémoussant sur le lit, jouant avec leur robe tout en riant… Le ton est donné pour ce début de séjour. La journée se passe au mieux avec un petit apéro sur le coup des 18h, barbecue dans le parc, discussion ensuite à la belle étoile…
Nous finissons par nous coucher et je fais l’amour avec Anne-Sophie en n’oubliant pas que les deux coquines ne sont pas très loin. Voulant un peu à mon tour les allumer et jouer, je m’active tellement qu’Anne-So hurle de plaisir malgré le fait qu’elle essaie désespérément de se contrôler. Une fois épuisés, je ricane en pensant à nos voisines et au spectacle sonore dont elles ont bénéficié.
Le lendemain matin, comme je le pense je suis le premier à me lever.
Je prépare la table pour le petit-déj avec pain, pain grillé, beurre, confiture, lait, etc…
A peine ai-je fini que j’entends Caro arriver et qui ouvre la porte avec un grand sourire. Je la prie de s’installer à table :
- « Mademoiselle est servie. Que souhaiteriez-vous qui ne soit pas sur la table ? » dis-je avec un air serviable.
Et là, du tac-au-tac, sans prévenir :
- « Que tu sois mon esclave sexuel et que tu me lèches pendant que je petit-déjeune » avec un air assez autoritaire et froid.
Je suis assez interloqué par sa demande mais le regard qu’elle me lance me fait plier. Et j’avoue trouver ça très excitant.
Je contourne la table, je relève la nappe et me place entre ses cuisses. Il faut dire qu’il s’agit d’une grande table de ferme avec une nappe qui descend jusqu’au sol, ce qui fait qu’on ne peut me voir si on n’est pas assis à côté de Caro.
Je sens son intimité. Quelle douce odeur, mêlant des senteurs intimes à celle du gel douche aux fruits exotiques. Je veux prendre mon temps mais je sens la main de Caro derrière ma nuque et qui me plaque. Je n’ai d’autres choix que de me mettre en action. Je la lèche avec application, voulant lui donner un maximum de plaisir et pourquoi pas la déconcentrer pendant qu’elle boit son café. C’est vraiment délicieux. Je passe ma langue le long de ses grandes lèvres, ma langue agace son clito et de mes lèvres je le suçote et l’aspire tout en faisant tourner ma langue autour.
Mon pouce commence a doucement la caresser et sans crier gare, je l’enfonce dans son vagin. Je sens un soubresaut parcourir Caro d’un coup qui manque de s’étouffer. Je continue mon œuvre. Elle coule de plus en plus dans ma bouche. Je la sens s’agiter de plus en plus. J’en profite pour lui caresser ses jambes si douces et si fines. Je m’arrête deux secondes pour reprendre mon souffle et je lui branle son clito ce qui la fait sursauter et pousser un petit cri.
- « Qu’est ce qui t’arrive ? C’est de me voir qui te fait sursauter ainsi !? »
Lucie venait d’arriver. Je vois que Caro est tout cramoisie.
- « Euh tu m’as surprise en fait. «
Et disant cela, elle rabat la nappe pour que je ne sois pas visible.
- « Oh, Dés a vraiment pensé à tout ! Quel ange ! Remarque, après le début de nuit qu’il nous a fait endurer, on mérite bien
ça non ? Faudra penser à nous venger ! »
Lucie s’installe à côté de Caroline, sans me toucher pour autant. J’ai bien entendu arrêté toute activité, attendant que cela se calme. De toute manière, Caro m’avait repoussé à l’arrivée de Lucie.
Je sens sa main repasser derrière ma nuque pour m’inviter à reprendre.
D’un coup, j’ai une idée. Les si jolies jambes de Lucie sont juste à portée et je commence à la caresser du bout des doigts. Elle se laisse faire croyant qu’il s’agit de Caro. Je continue à la lécher et mon index et mon majeur rentrent en elle très facilement après mes exercices buccaux précédents. Elle se met à respirer très bruyamment et Lucie soulève la nappe pour me trouver en pleine action, le visage tout barbouillé, ma barbe toute brillante.
- « Et bien dites donc vous deux ! Dès le matin, vous ne vous ennuyez pas !! »
De ma main de libre, je lui fais ouvrir les cuisses et commence à lui caresser l’entrejambe. Elle aussi est nue sous son tee-shirt long qui lui sert de nuisette. Et ainsi débute un ballet où je passe de l’une à l’autre de mes doigts, de mes lèvres, de ma bouche, batifolant, suçotant, caressant tantôt furtivement tantôt sensuellement avec mes deux petites garces qui gémissent et se trémoussent sous mes efforts. Cela dure quelques minutes quand j’entends la porte qui s’ouvre. Mes deux coquines s’arrêtent immédiatement. Moi de même.
- « Vous savez où est Dés les filles ? »
- « Non » répondent-elles toutes deux la bouche en cœur. « Il doit être dehors. »
- « Bon, ce n’est pas grave, je vais prendre ma douche et je reviens prendre mon petit déj’. A toute les filles ! »
Et la voilà repartie. Les filles me préviennent que je peux sortir. Je prends une serviette en papier pour m’essuyer un peu le visage, je vais ensuite à l’évier pour me passer un peu d’eau, et hop ! A table pour manger maintenant… Ni vu ni connu… pour le moment…
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