Corinne à la neige
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Corinne à la neige
Un nouveau récit pour tester l'écriture de mon imagination.
J'ai toujours adoré le ski, aussi après avoir arrêter mes études de médecine, j'ai décidé de passer mon diplôme de moniteur. Pour cela, je devais suivre des stages de formations sous la direction de moniteurs diplômés.
Je me souviens comme si c'était hier du jour où j'ai débarquée dans cette petite station de Haute-Savoie. On m'avait accueillie plutôt fraîchementJe m'appelle Corinne.
C'est toi la nouvelle ?... Magne-toi, tu commences dans une demi-heure !
J'ai compris plus tard qu'elle m'en voulait parce que je devais partager sa chambre. Elle s’appelait Arielle et elle m'avait refilé les gamins débutants... pour une première journée, j'étais gâtée !
Le soir je suis rentrée crevée ! J'avais envie de prendre une douche. Mais la salle de bains était occupée. En entendant qu'il y avait plusieurs voix, je me suis discrètement approchée... La porte n'étant fermée complètement, par l’entrebâillement, j'ai découvert Arielle en compagnie d'un autre moniteur. Elle recevait ses petits amis dans la chambre. Je comprenais pourquoi ma présence la dérangeait.
Dis donc, j'ai aperçu la nouvelle... Elle est bandante, la minette !
Tu aimerais bien lui mettre ta grosse bite, hein ?
J'essaierai d'arranger ça. Puisque je partage ma chambre avec elle, je peux aussi partager ta queue...
J'étais révoltée qu'ils parlent de moi comme d'un objet ! Pourtant malgré ma colère j'ai continué à regarder Arielle sucer cette grosse bite. Peut-être était-ce dû à la fatigue de cette première journée, mais j'étais si troublée, que je me suis caressée à travers mon pantalon de ski, pendant qu'elle se faisait enculer.
Salaud, ce qu'elle est bonne ta queue !
Je vais t'envoyer toute ma purée !
Jute-moi dessus, salaud !
Tiens, ma grande salope !
Dès qu'ils ont joui,j'ai regagné le rez-de-chaussée pour laisser à Victor le temps de quitter la chambre. Finalement j'ai pu prendre ma douche et défaire mon sac. Durant le repas, je me suis sentie seule, je ne connaissais personne et Arielle très courtisée ne s 'occupait pas de moi. Après le dîner, elle est sortie avec des copains tandis que je suis montée coucher.
Je pensais m'endormir tout de suite, mais j'étais trop énervée par ma nouvelle existence. Aussi, lorsque Arielle est rentrée, fort tard, je lisait encore. Elle s'est déshabillée sans aucune pudeur. J'avais même l’impression qu'elle jouait à s'exhiber.
Alors, la nouvelle ça t'as excitée ce que Victor m'a fait dans la salle de bain ?
Mais comment savait-elle?Et voilà maintenant qu'elle s’assit nue sur son lit et écarte les jambes me laissant bien voir sa chatte.
Je t'ai vue dans le miroir du lavabo... C'est ça que tu veux voir ? Tiens, rince-toi l’œil ! Tu as vu, je viens de me faire mettre !... Je dégouline de foutre ! C'étaient deux hollandais, ils m'ont baissée dans leur voiture... J'ai commencé par les branler, puis je les ai sucé tous les deux ensemble. Ensuite, pendant que l'un me baisait, je pompais l'autre.
Emportée par son récit, elle s'est mise à se masturber. Ses doigts s'enfonçaient dans sa chatte avec un bruit visqueux et ressortaient couvert de sperme et de mouille.
Je suis sûre que ta moule est humide !
Elle avait raison, j'étais toute émoustillée. Elle s'est caressée comme si elle était seule ! Je l'entendais gémir et j'avais du mal à ne pas faire comme elle.
Le lendemain, j'ai commencé véritablement les cours sous la surveillance d'Arielle. Elle n'a fait aucune allusion à ce qui c'était passé la veille. Les leçons s'arrêtaient à midi et reprenaient à 14h. Dès qu'elle avait fini de manger, Arielle entraînait un de ses amants dans notre chambre et cela sans se soucier si j'étais là ou pas. Parfois Victor se joignait à elle et ils faisaient ça à trois. Ça me dégouttait pourtant, je l'espionnais presque tous les jours. Je l'ai vue se faire prendre par tous les trous, parfois même deux bites dans la chatte. Quand elle avait pris son pied, elle leur demandait de lui jouir dessus. Ils lui mettaient du sperme plein le visage, le cou et les seins.
Mais en dehors des leçons, Arielle agissait comme si je n'existais pas. Je pensais qu'elle allait me fiche la paix, mais je me trompais... Un soir, Arielle est entrée dans la salle de bains alors que je prenais une douche.
Allons, fais pas la mijaurée, je sais ce que c'est qu'une nana à poil ! Tu es d’ailleurs bien roulée ! Tu sais que tu plais à mon copain Victor ? Il aimerait bien coucher avec loi. Qu'est-ce que tu en dis ? Souvent il me présente des types et moi je lui envoie mes copines...
Ça va pas ? J'ai pas envie de sortir avec lui ! Je ne le connais même pas !
Il ne veut pas t'épouser ! Juste tirer un coup ! On peut le faire à trois si tu préfères !
Mais tu es dingue ! Il n'en n'est pas question !
Tout en se caressant, elle sembla réfléchir quelques secondes et se tourna vers moi.
C'est dommage... tu aurais fait une excellente monitrice...
Qu'est-ce que tu veux dire ?
Simple ; si tu n'es pas gentille, je ferais un mauvais rapport sur ton carnet de stage. Juste assez pour dire adieu à ton monitorat !
C'est dégueulasse ! Tu n'as pas le droit...
Je vais me gêner !... Allons laisse-toi faire...
J'étais tellement abattue que je ne songeais pas à la repousser. C'était la première fois qu'une fille me touchait. Elle m'a rejoint sous la douche et m'a savonné les épaules, puis les seins. J'éprouvais une étrange sensation de gène. Malgré ma honte, mes tétons devenaient gros et durs. J'ai tremblé de tout mon corps lorsqu'elle m'a lavé les fesses. Elle glissait ses doigts dans ma raie, frôlant ma rondelle. Ensuite elle m'a lavé la chatte. Ses doigts pressaient mon clitoris et frottaient mes lèvres vaginales. J'étais toute molle, je n'arrivais pas à me dégager.
Tu vois, je ne suis pas méchante. Tout ce que je veux c'est que tu me laisses m'amuser avec toi... comme une grosse poupée...
Je me suis laissée faire et elle fini par me faire jouir en me doigtant la chatte.
Peu après dans la chambre, elle m'a relancée.
Ça t'a amusé que je te tripote, pas vrai ? Tu dois être gouine, c'est pour ça que tu ne veux pas baiser avec Victor !
J'aime les mecs ! Je suis normale, moi !
Et elle recommença en faisant glisser de mes épaules les bretelles de ma nuisette.
Moi aussi je préfère les queues, mais il n'y a pas de mal à s'amuser entre filles...
Laisse-moi !
Allons tu as déjà oublié que je pouvais te faire échouer à ton stage !... Alors sois bien sage... On va s'amuser toutes les deux !
Le contact de cette main de femme me révoltait et m'excitait tout à la fois.
Écarte les cuisses, ma grosse poupée, laisse-moi faire joujou...tu vas aimer !...
Elle me caressa à travers ma culotte et me fit mouiller. C'était vrai malgré ma honte, j'étais excitée ! Elle me retira ma nuisette et ses doigts entraient et sortaient de ma chatte avec un clapotement obscène. Mes tétons étaient bandés... Jamais je n'avais imaginé avoir autant de plaisir avec une femme.
Elle enleva mon dernier rempart, ma culotte.
Mets-toi sur le lit, on va faire autre chose...
J’obéissais comme une esclave docile. Arielle aurait pu me demander n’importe quoi ! Elle m'a léché les seins, puis elle a glissé sa tête entre mes cuisses. Quand j'ai senti sa langue sur ma chatte, j'étais si excitée, que j'ai joui tout de suite. Elle me suçait le clitoris, me passait la langue sur toute la fente, l'enfilait dans ma vulve... et moi, je n'arrêtais pas e jouir.
C'est alors que Victor nous à surprises. Nous n'avions pas pour habitude de fermer la porte à clé. Mais j'étais dans un tel état d'excitation, que j'ai tout accepté.
Eh bien, on s'emmerde pas les filles !
Il n’attendit pas de réponses qu'il enlevait déjà sa chemise et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il était à poil avec nous.
Rien de tel qu'une queue après s'être gouiné !
Surtout quand elle est aussi grosse et dure que la tienne ! Viens goûter la bite de mon copain, ma poupée.
Ma soumission me dégoûtait, mais c'était plus fort que moi, j'avais envie de cette queue.
Suce le gros bout rouge !
Nous sucions maintenant ensemble, mêlant nos salives sur la queue qui grossissait encore.
Regarde comme il aime qu'on suce sa grosse bite, ce salaud !
Et il ne put plus se retenir, jouissant sur mon visage.
Tiens ! Prends son jus sur ta petit gueule ! Tu aimes ça, hein, te faire asperger de foutre ?
Arielle s'est mise à lécher le sperme qui coulait sur mon visage et j'étais tellement excitée que nous avons ensuite échangé ce foutre en nous embrassant. Victor s'est remis à bander en nous regardant.
Vous avez assez fait les gouines ! Il y a trop longtemps que j'ai envie de te la mettre !
Sa muflerie, son machisme ne me gênait pas, j'avais trop envie de me faire baiser.
Regarde comme elle en a envie, cette salope ! Sa chatte est béante et pleine de mouille ! Allez, Victor, remplis-là bien !
Doucement ! Ta bite est trop grosse !
Ne l'écoute pas, défonce-la !
Victor m'enfonçait son membre jusqu'à la garde. Ses couilles frappaient contre la raie de mes fesses avec un bruit humide. J'avais l'impression d'être une poupée gonflable sur laquelle il se déchaînait. C'est alors que Arielle s'en à nouveau manifesté.
Suce-moi la moule ! J'ai envie de jouir moi aussi !
Sa chatte était toute baveuse. Je trouvais ça dégoûtant, pourtant, j'ai passé ma langue sur ses chairs trempées. Son goût salé m'a envahi la bouche.
Oh, elle me léché bien, la petite salope !
Prise de folie sexuelle, je lui enfonçais ma langue dans la chatte.
JE VIENS !
Lorsqu'elle a joui, sa mouille a coulé dans ma bouche comme si elle m'envoyait un petit jet de pisse ! Avec un plaisir pervers,j'ai avalé cette liqueur chaude et salée. Un peu plus tard, c'est Victor qui a eu u orgasme. J’étais fascinée de sa grosse queue décharger, jamais je n'avais vu un homme jouir autant ! Il m'a copieusement aspergée de sperme. J'en avais de la chatte jusque sur les seins.
Ensuite Arielle a suivi Victor dans sa chambre. J'étais soulagée de me retrouvée seule, car l'excitation retombée, j'éprouvais un violent mépris pour moi-même.
Cette nuit-là, j'ai fais des rêves obscènes. Plusieurs fois, je me suis réveillée la chatte trempée et je me suis masturbée nerveusement, partagée entre la honte et l'excitation.
Le lendemain, lorsque j'ai croisé Victor au petit déjeuner, il n'a fait aucun commentaire. Arielle agissait également comme si rien n'était arrivé. J'essayais d'être aussi insouciante qu'eux, mais je n'arrêtais pas de penser à la nuit dernière. J'avais l'impression d'être devenue une putain. Pendant une semaine, il ne s'est rien passé. Je me persuadais qu'Arielle ne pouvait rien faire pour que j'échoue à mon stage. Je commençais oublier ce qui m'était arrivé.
Puis un jour, alors que Arielle et moi prenions les télésiège en compagnie d'un inconnu, elle fut directe. L'homme était assis entre nous et elle plongea ses mains sur son pantalon.
Vous permettez ? J'ai oublié mes gants...
Sans attendre de réponse, elle sorti son sexe et commença à le branler.
Rien de tel qu'une bonne branlette pour se réchauffer ! Si tu m'aidais ?
Tu es folle, on pourrait nous voir !
L'inconnu bandait déjà bien et se sexe en érection ne me laissait pas indifférente.
Allons, sois obéissante, ma petite poupée,branle la queue du monsieur.
C'était plus fort que moi, quand elle m'appelait sa petite poupée, je n'avais plus aucune volonté.
Tu as vu comme ses couilles sont grosses et poilues !
Je me suis mise à branler cet homme que je ne connaissais pas.
Dépêche-toi de lui vider les couilles, on arrive !
Je lui ai secoué la bite jusqu'à ce qu'il décharge son sperme, qui est tombé en contre-bas sur la piste de skis.Plus tard elle me dit...
Tu as été très obéissante, ma petite poupée. Tu auras une bonne note sur ton carnet de stage. Ainsi qu'une petite surprise ce soir.
Et ce fut après le dîner que Arielle est venue me chercher pour aller chez Victor.
Ça ne me dit rien, je suis fatiguée...
Fatiguée ou pas, tu vas venir sinon...
Elle faisait de nouveau pression sur moi et une fois de plus, je cédais lâchement. Elle m'a obligée à me changer et à mettre des bas et un porte-jarretelles.
Mets ça, je veux que ma poupée soit sexy ! Et tâche d'être très gentille...
Je l'ai accompagné jusqu'à la chambre de Victor et il était là en compagnie de Raoul, un autre moniteur que je connaissais de vue.
Quelle bonne surprise ! Venez trinquez avec nous !
Arielle s'est installée entre eux, très à l'aise. Tout en parlant, elle posait les mains sur leurs cuisses. Je me suis assise sur le bord du lit en face d'eux et j'ai accepté un verre d'alcool pour me donner de l'aplomb.
Corinne, montre leur le joli porte-jarretelles que je t'ai prêté ! Déshabille-toi !
Surprise, pas vraiment, je me doutais de ce qui allait se passer. J'ai obéi sans même protester...
Vous avez vu ? Je lui ai interdit de mettre un soutif !...
Et elle n'a pas de slip non plus !
Dis donc, elle a une grosse touffe, ta protégée ! J'aime les poils, ça retient les odeurs !
Leurs commentaires vicieux me fustigeait. Mais l'ivresse qui n'était pas du à l'alcool, m'empêchait de me rebeller. Puis Arielle m'a ordonné de me masturber devant eux.
Ouvre les cuisses, on ne voit rien ! Et écarte les poils ! Fais-nous voir ta moule !
J'ai relevé les jambes et posé les pieds sur le lit, ils avaient ainsi une vue directe sur ma chatte. Je mouillais comme une folle malgré moi.
Ne fais pas semblant ! Branle-toi à fond !
Les deux moniteurs avaient quitté leur vêtements et me regardaient me caresser pendant que Arielle branlait leurs queues en érection.
Mon clitoris était dressé, ma chatte dégoulinait et mes doigts y coulissaient en faisant des bruits de clapotis.
Les queues des deux types étaient dures et gonflées, leurs glands devenaient écarlates.
Lorsque j'ai atteins l'orgasme, ma jouissance a été bien plus forte que celle que je me procurais à l'abri des regards.
Maintenant que tu as joui, viens nous les sucer !
Léche-moi le gland...
Malgré le plaisir que j'avais eu mon excitation n'était pas retombée.
Pas de jaloux, Léche-moi aussi !
C'est bien ma petite poupée, tu deviens aussi salope que moi !
Tout en leur tripotant les couilles, je les ai sucés ensemble. J'imaginais que leurs deux queues réunies étaient celle d'un homme monstrueusement membré ! Victor à joui en premier m'aspergeant tout le visage. J'en avais jusque dans les cheveux. Ça coulait dans mon cou et sur mes seins. Quand Raoul est venu il m'a inondé la bouche. Il me tenait par les cheveux, m'obligeant à boire son sperme.
Tu es sûre de n'oublier personne, ma poupée chérie ? Viens lécher ta maîtresse de stage...
Non... Laissez-moi !
Allons, fais-lui une petite langue dans la chatte si tu veux qu'elle te mette de bonnes appréciations !
Je n'avais pas trop le choix. J'ai donc enfoui ma tête entre ses cuisses.
Ça m'a drôlement fait mouiller de te regarder les pomper. Tu vas te régaler avec ma chatte !
Son odeur de femme m'excitait, elle me saoulait... Sous le regard des deux moniteurs, j'ai passé ma langue sur sa chatte lapant sa mouille épaisse.
Haaa ! C'est bon ! Cette petite salope me fait jouir !
Puis je lui ai aspiré le clitoris tout en la fouillant de mes doigts.
Les deux moniteurs n'ont pas tardé à rebander. Victor m’a alors enfoncé sa grosse queue dans la chatte et Raoul s'est assis au-dessus du visage de Arielle. Je voyais qu'elle lui léchait les couilles et la raie du cul. Elle lui à même enfilé la langue dans l'anus.
Ensuite ils m'ont obligée à l'empaler sur la bite de Raoul.
Viens t'empaler la-dessus !
Fais la disparaître jusqu'aux couilles.
Arielle s'occupa ensuite de mon petit trou.
Je vais te le dilater, ma chérie !
La langue de Arielle me fouillait le cul. J'avais beau me contrôler, je sentais que mon orifice anal s'ouvrait. Petit à petit, j'éprouvais une drôle de sensation, comme l'envie d'être remplie de ce côté là.
Regarde comme je te l'ai ouverte, Victor. Ça va entrer tout seul !
Non, pas ça ! Pas dans le cul !
Malgré mes protestations, je ne me suis pas débattue. Parce que Raoul me maintenait contre lui, mais aussi parce que la perversité des trois devenait contagieuse.
J'étais surprise que le gland entre aussi facilement. Victor m'a enfilé le reste de sa queue centimètre par centimètre ? Je sentais mon anus s’agrandir.
Ce qu'elle est étroite ! Son cul me serre merveilleusement !
Montre-lui ce que c’est que le slalom combiné !
Quand Victor a coulissé entre mes fesses, j'ai éprouvé une sensation extraordinaire. J'étais remplie des deux côtés ! Les queues se frottaient en moi et je ne savais pas laquelle me procurait le plus de plaisir. J'ai à nouveau joui quand le sperme chaud de Raoul a inondé ma chatte. Puis Victor m'a aspergé les fesses. Son jus à sauté jusque sur mes épaules.
Alors que Arielle m'a nettoyée avec sa langue. Elle est même venue boire le sperme de Raoul qui suintait de ma vulve. Quand à moi, j'ai débarbouillé les deux queues. Mais ensuite nous avons fais l'amour une bonne partie de la nuit, essayant toutes les combinaisons que notre quatuor pouvait former. Je n'éprouvais plus ni honte, ni retenue.
Mon stage de monitrice se poursuivait, mon stage de vice aussi. J'étais devenue la poupée vicieuse de Arielle. Elle me faisait faire ce qu'elle voulait. Victor profitait lui aussi de ma nature soumise. Dès qu'il le pouvait, il m’entraînait dans un coin pour me baiser. J'adorais recevoir ses copieuses rasades de sperme sur mon visage.Souvent même, il amenait un copain avec lui. Et parfois Arielle organisait une soirée partouze dans notre chambre. Plusieurs moniteurs profitaient de ce que j'étais devenue la putain de l'école de ski. J'avais plis l'habitude de cette vie dissolue. Je découvrais ma vraie nature ; j'étais faite pour le vice et la soumission. D’ailleurs mon goût pour les femmes s'était aussi affirmé. Arielle possédait un gode ceinture qu'elle enfilait de temps à autre pour me prendre comme une homme.
Un jour je suis passée à un stade supérieur. Arielle m'a emmenée en cours particuliers avec un couple de skieurs.
C'est plus tranquille qu'un cours collectif. Et puis, il y a pas mal d'argent à se faire !
On ne prends pas nos skis ?
Pas besoin. Tu verras !...
Nous sommes allées dans une résidence de grand standing. Ce n'était pas la première fois que Arielle y venait et je me demandait où elle m’entraînait. Dans l'ascenseur, elle m'a recommandé de faire ce qu'on me demanderait, ses yeux brillaient d'excitation.
Nos hôtes étaient des gens d'une quarantaine d'années, riches et bronzés. La femme me détaillait avec insistance. J'avais la désagréable impression d'être de la marchandise.
Bonjour Arielle. Votre jeune amie est très séduisante !
Elle m'a observée en silence, me déshabillant littéralement du regard.
Je pense que ma femme sera satisfaite... Allez vous changer.
Il nous tendis une liasse de billets et un bagage. Arielle,prit le tout et m'emmena dans une pièce à côté.
Qu'est-ce que ça veut dire ? Tu me vends comme une pute, maintenant !
Il n'y a pas de raison de faire ça gratuitement ! Ils sont pleins de fric, pourquoi ne pas en profiter ? Allez, mets ça !
Mais tu es vraiment une salope !
Tu ne vaux pas mieux que moi !
Mais qu'est-ce que ce fringues !?
Tu vas voir, on va bien s'amuser !
À la sortie de cette pièce, j’avais l'allure d'une petite écolière. Quant à Arielle, elle tenait le rôle de ma gouvernante anglaise !
Bonjour, ma chérie. Tu as été sage ?
J'étais sensée être la fillette du couple !
Figurez-vous que cette jeune personne montre sa culotte à ses petits camarades !
Mais c'est très vilain ! Il faut la punir Miss Arielle !
Grimpez là dessus, mademoiselle! À quatre pattes !
J’avais l’impression d'être dans une mauvaise pièce de théâtre.
Relevez votre jupe,que je vous donne la fessée que vous méritez !
Enlevez-lui sa culotte, Miss Arielle, qu'elle sente bien chaque coup !
Même si Arielle m’avait promis de ne pas frapper fort, j'avais peur d'avoir mal. Mais par un étrange phénomène, cette appréhension m'émoustillait !
Les premiers coups m'ont fait l’effet d'une morsure. Mon cul s'est mis à chauffer. Arielle frappait une fesse après l'autre pour bien me faire rougir l'arrière train.
Allez-y franchement Miss Arielle, je veux que cette jeune coquine se souvienne de la leçon !
La maîtresse de maison venait de sortir la bite de son mari et elle commençait à le branler. De mon côté, la peau laiteuse de mes fesses se couvrait de zébrures écarlates.Mais je n'avais pas aussi mal que je l'aurais imaginé. Mon excitation était plus forte que la douleur. Et voir le couple se tripoter augmentait mon trouble. La femme a laissé tomber un long filet de bave sur la queue de son mari afin de mieux la faire coulisser dans sa main. Arielle a continué à me corriger mais cette fois à mains nues. Ses doigts claquaient bruyamment sur mes fesses. À chaque coup, je sursautais et mes seins nus se balançaient sous moi dans mon corsage.
Mais quand mes fesses ont été aussi rouge qu'une tomate, la femme a fait cesser la correction.
Ça suffit Miss Arielle ! Viens, ma chérie, je vais te consoler !
Elle me releva et commença à me déshabiller.
Montre ce qu'elle t'a fait la méchante Miss Arielle !
Elle me prit ensuite sur ses genoux et m'embrassa.
Je vais être très gentille pour te consoler.
Imaginer faire l'amour avec cette femme bien plus âgée que moi, m'excitait terriblement. Elle m'a léché et mordillé les seins. Mes mamelons devenaient gros comme des framboises.
Pendant ce temps, ma fausse gouvernante s'occupait de mari en lui suçant la queue.
Oh, ma petite... ma chérie !
Je sentais maintenant sa main se glisser entre mes cuisses et me caresser la fente. Arielle et l'homme ne s’embêtaient pas non plus... Elle se faisait coulisser sur la bite tendue du mari et je les entendaient gémir de plaisir. Après m'avoir bien fait mouiller, La femme s'est mise derrière moi et j'ai frissonné alors qu'elle me léchait les fesses. Sa langue suivait les zébrures laissées par la cravache de Arielle. Et quand elle m'a léché l'anus, j'ai eu un orgasme. Puis elle est passée sous moi . Elle me glissait sa langue partout sur le clito, dans la fente et entre les fesses. Ma mouille dégoulinait sur son visage et je l'entendais boire avec un bruit obscène.
De son côté Arielle recevait en elle les déchargent de l'homme. De grosses coulées de spermes s'échappaient de sa chatte. Puis il se mit à genoux devant elle.
Viens ! Donne-moi mon foutre !
Tenez, léchez votre sperme ! Avalez tout !
Oui ! Donne-moi tout ! Tout ! Tu entends !
L'homme ouvrait la bouche et avalait. Ça dégoulinait sue ses joues et dans son cou. Cela l'excitait car sa verge baveuse se gorgeait de sang et se redressait. Ce spectacle m'a tant excité que j'ai joui violemment.
Oh ma chérie, tu inonde de mouille mon visage.
La femme me conduisit ensuite vers son mari.
Vas-y ! Empale toi dessus !
Je me suis enfoncé la queue de l'homme jusqu'aux couilles. Une odeur de sperme flottait déjà dans toute la pièce. Après m'être fait glissé dessus un bon moment, il joui une seconde fois et me rempli la chatte. Alors que Arielle et la femme se faisaient jouir mutuellement avec leurs langues.
J'ai participé a plusieurs leçons particulières de cette sorte, m'enfonçant de plus en plus loin dans le vice. J'étais devenue la complice d'Arielle. Elle ne parlait plus de me faire recaler à mon stage. Au contraire, elle me donnait des conseils.
Quelques mois plus tard, j'ai obtenu mon monitorat de ski. Je me suis installé dans la région, dans un petit chalet que je louais à l'année. L'hiver, je vivais du ski et l'été, des randonnées en montagne.
Je revoyais souvent Arielle. Nous sommes devenues des amies et des amantes. Elle passait fréquemment la nuit chez moi. Parfois nous ramenions un type rencontré dans une boîte de nuit. Nous avions aussi acheté une panoplie de godemichés pour nous amuser entre nous lorsque nous n'avions pas envie de sortir draguer.
Je ne lui en ai jamais voulu d'avoir fait de moi une salope. En fait, deux ans plus tard, j'ai agi de la même façon qu'elle avec une stagiaire.
Bonjour, je m'appelle Lucie !
Dès que je l'ai vue avec ses petits seins et son cul plantureux, j'ai eu envie d'elle.
Laisse-toi faire, sinon je te mettrai une mauvaise appréciation de stage et tu n'auras plus qu'à le refaire !
Je n'ai pas mis longtemps à la faire basculer à mon tour dans le vice. J'ai commencé par lui caresser les seins et ensuite directement j'ai plonger une main sous sa culotte pour lui caresser la fente.
Mais tu es pleine de mouille ! J'étais sûre que ça te plairait. Viens chez moi ce soir. On continuera !
Lucie est arrivée après le repas. Je lisais de la crainte dans ses yeux verts. Ses seins se soulevaient lourdement au rythme de sa respiration soudain plus vive. Je sentais ma chatte se gorger de mouille. Elle a bu plusieurs verres pour se donner du courage.
Tu devrais enlever tout ça, tu vas avoir trop chaud !
La petite garce n'avait pas mit de soutien-gorge ! Ses seins très petits étaient fermes, ronds et durs, surmontés de tétons violets. L'alcool la rendait docile, ses mamelons devenaient gros et fermes comme des olives.
Ta vas voir, je vais être très douce. Tu vas beaucoup aimer.
Elle possédait une taille fine, des hanches larges, des cuisses pleines et un pubis rebondi décoré d'une petite touffe de poils. À travers sa fourrure, je devinais les lèvres roses de sa chatte. Son entre-cuisse dégageait une odeur chaude et épicée. Nous nous sommes vite retrouvées dans mon lit, couchées l'une à côté de l'autre nues.
Ta peau est douce, je vais te lécher partout !
Elle soupirait lourdement. Ses seins se couvraient de chair de poule sous mes caresses.
Oh non, je t »en prie, non, pas plus bas !
Malgré ses protestations, quand j'ai passé ma langue sur sa chatte. Elle a creusé les reins, frottant son sexe contre ma bouche. Je n'ai pas eu à insister beaucoup pour qu'elle me lèche elle aussi. Elle mouillait énormément, son jus avait un goût très fort.
Alors, ça t'a plu ?
Oui, mais je préfère les hommes , tu sais...
Je t'en présenterai des hommes,mais en attendant, je peux te satisfaire avec ça...
J'ai enfilé un de mes godes ceinture et elle est venue s'asseoir dessus.
Oh, oui ! C'est bon ! Je n'arrête pas de jouir ! C'est comme avec un merci !
Lucie est devenue ma poupée sexuelle comme j'avais été celle de Arielle.
C'est mieux qu'un mec parce que moi je peux te limer pendant des heures sans débander !
Dès la première nuit, je l'avais sodomisée. Son anus n'était pas très étroit et elle m'a avoué qu'elle se branlait souvent avec le manche d'un tournevis.
Par la suite je lui ai présenté de amis, avec lesquels je l'ai obligé de coucher. Et souvent j'en amenais même plusieurs et elle leur vidait les couilles sans rechigner ? Après leur départ, nous faisions l’amour toutes les deux, mous enfilant à tour de rôle avec les godemichés.
Bien entendu, j'ai présenté Lucie à mon amie Arielle et nous avons couché toutes les trois. Mes deux amies se sont tout de suite plues et nous avons passé tout un week-end à nous fouiner. On a essayé toutes les combinaisons possibles. Lucie était si excitée que nous lui avons enfilé deux godes dans la chatte.
Aujourd'hui nous vivons ensemble dans le même chalet. Nous sommes trois monitrices et qui sait peut-être un jour prendrez-vous des leçons de ski avec nous ?
Fin...
J'ai toujours adoré le ski, aussi après avoir arrêter mes études de médecine, j'ai décidé de passer mon diplôme de moniteur. Pour cela, je devais suivre des stages de formations sous la direction de moniteurs diplômés.
Je me souviens comme si c'était hier du jour où j'ai débarquée dans cette petite station de Haute-Savoie. On m'avait accueillie plutôt fraîchementJe m'appelle Corinne.
C'est toi la nouvelle ?... Magne-toi, tu commences dans une demi-heure !
J'ai compris plus tard qu'elle m'en voulait parce que je devais partager sa chambre. Elle s’appelait Arielle et elle m'avait refilé les gamins débutants... pour une première journée, j'étais gâtée !
Le soir je suis rentrée crevée ! J'avais envie de prendre une douche. Mais la salle de bains était occupée. En entendant qu'il y avait plusieurs voix, je me suis discrètement approchée... La porte n'étant fermée complètement, par l’entrebâillement, j'ai découvert Arielle en compagnie d'un autre moniteur. Elle recevait ses petits amis dans la chambre. Je comprenais pourquoi ma présence la dérangeait.
Dis donc, j'ai aperçu la nouvelle... Elle est bandante, la minette !
Tu aimerais bien lui mettre ta grosse bite, hein ?
J'essaierai d'arranger ça. Puisque je partage ma chambre avec elle, je peux aussi partager ta queue...
J'étais révoltée qu'ils parlent de moi comme d'un objet ! Pourtant malgré ma colère j'ai continué à regarder Arielle sucer cette grosse bite. Peut-être était-ce dû à la fatigue de cette première journée, mais j'étais si troublée, que je me suis caressée à travers mon pantalon de ski, pendant qu'elle se faisait enculer.
Salaud, ce qu'elle est bonne ta queue !
Je vais t'envoyer toute ma purée !
Jute-moi dessus, salaud !
Tiens, ma grande salope !
Dès qu'ils ont joui,j'ai regagné le rez-de-chaussée pour laisser à Victor le temps de quitter la chambre. Finalement j'ai pu prendre ma douche et défaire mon sac. Durant le repas, je me suis sentie seule, je ne connaissais personne et Arielle très courtisée ne s 'occupait pas de moi. Après le dîner, elle est sortie avec des copains tandis que je suis montée coucher.
Je pensais m'endormir tout de suite, mais j'étais trop énervée par ma nouvelle existence. Aussi, lorsque Arielle est rentrée, fort tard, je lisait encore. Elle s'est déshabillée sans aucune pudeur. J'avais même l’impression qu'elle jouait à s'exhiber.
Alors, la nouvelle ça t'as excitée ce que Victor m'a fait dans la salle de bain ?
Mais comment savait-elle?Et voilà maintenant qu'elle s’assit nue sur son lit et écarte les jambes me laissant bien voir sa chatte.
Je t'ai vue dans le miroir du lavabo... C'est ça que tu veux voir ? Tiens, rince-toi l’œil ! Tu as vu, je viens de me faire mettre !... Je dégouline de foutre ! C'étaient deux hollandais, ils m'ont baissée dans leur voiture... J'ai commencé par les branler, puis je les ai sucé tous les deux ensemble. Ensuite, pendant que l'un me baisait, je pompais l'autre.
Emportée par son récit, elle s'est mise à se masturber. Ses doigts s'enfonçaient dans sa chatte avec un bruit visqueux et ressortaient couvert de sperme et de mouille.
Je suis sûre que ta moule est humide !
Elle avait raison, j'étais toute émoustillée. Elle s'est caressée comme si elle était seule ! Je l'entendais gémir et j'avais du mal à ne pas faire comme elle.
Le lendemain, j'ai commencé véritablement les cours sous la surveillance d'Arielle. Elle n'a fait aucune allusion à ce qui c'était passé la veille. Les leçons s'arrêtaient à midi et reprenaient à 14h. Dès qu'elle avait fini de manger, Arielle entraînait un de ses amants dans notre chambre et cela sans se soucier si j'étais là ou pas. Parfois Victor se joignait à elle et ils faisaient ça à trois. Ça me dégouttait pourtant, je l'espionnais presque tous les jours. Je l'ai vue se faire prendre par tous les trous, parfois même deux bites dans la chatte. Quand elle avait pris son pied, elle leur demandait de lui jouir dessus. Ils lui mettaient du sperme plein le visage, le cou et les seins.
Mais en dehors des leçons, Arielle agissait comme si je n'existais pas. Je pensais qu'elle allait me fiche la paix, mais je me trompais... Un soir, Arielle est entrée dans la salle de bains alors que je prenais une douche.
Allons, fais pas la mijaurée, je sais ce que c'est qu'une nana à poil ! Tu es d’ailleurs bien roulée ! Tu sais que tu plais à mon copain Victor ? Il aimerait bien coucher avec loi. Qu'est-ce que tu en dis ? Souvent il me présente des types et moi je lui envoie mes copines...
Ça va pas ? J'ai pas envie de sortir avec lui ! Je ne le connais même pas !
Il ne veut pas t'épouser ! Juste tirer un coup ! On peut le faire à trois si tu préfères !
Mais tu es dingue ! Il n'en n'est pas question !
Tout en se caressant, elle sembla réfléchir quelques secondes et se tourna vers moi.
C'est dommage... tu aurais fait une excellente monitrice...
Qu'est-ce que tu veux dire ?
Simple ; si tu n'es pas gentille, je ferais un mauvais rapport sur ton carnet de stage. Juste assez pour dire adieu à ton monitorat !
C'est dégueulasse ! Tu n'as pas le droit...
Je vais me gêner !... Allons laisse-toi faire...
J'étais tellement abattue que je ne songeais pas à la repousser. C'était la première fois qu'une fille me touchait. Elle m'a rejoint sous la douche et m'a savonné les épaules, puis les seins. J'éprouvais une étrange sensation de gène. Malgré ma honte, mes tétons devenaient gros et durs. J'ai tremblé de tout mon corps lorsqu'elle m'a lavé les fesses. Elle glissait ses doigts dans ma raie, frôlant ma rondelle. Ensuite elle m'a lavé la chatte. Ses doigts pressaient mon clitoris et frottaient mes lèvres vaginales. J'étais toute molle, je n'arrivais pas à me dégager.
Tu vois, je ne suis pas méchante. Tout ce que je veux c'est que tu me laisses m'amuser avec toi... comme une grosse poupée...
Je me suis laissée faire et elle fini par me faire jouir en me doigtant la chatte.
Peu après dans la chambre, elle m'a relancée.
Ça t'a amusé que je te tripote, pas vrai ? Tu dois être gouine, c'est pour ça que tu ne veux pas baiser avec Victor !
J'aime les mecs ! Je suis normale, moi !
Et elle recommença en faisant glisser de mes épaules les bretelles de ma nuisette.
Moi aussi je préfère les queues, mais il n'y a pas de mal à s'amuser entre filles...
Laisse-moi !
Allons tu as déjà oublié que je pouvais te faire échouer à ton stage !... Alors sois bien sage... On va s'amuser toutes les deux !
Le contact de cette main de femme me révoltait et m'excitait tout à la fois.
Écarte les cuisses, ma grosse poupée, laisse-moi faire joujou...tu vas aimer !...
Elle me caressa à travers ma culotte et me fit mouiller. C'était vrai malgré ma honte, j'étais excitée ! Elle me retira ma nuisette et ses doigts entraient et sortaient de ma chatte avec un clapotement obscène. Mes tétons étaient bandés... Jamais je n'avais imaginé avoir autant de plaisir avec une femme.
Elle enleva mon dernier rempart, ma culotte.
Mets-toi sur le lit, on va faire autre chose...
J’obéissais comme une esclave docile. Arielle aurait pu me demander n’importe quoi ! Elle m'a léché les seins, puis elle a glissé sa tête entre mes cuisses. Quand j'ai senti sa langue sur ma chatte, j'étais si excitée, que j'ai joui tout de suite. Elle me suçait le clitoris, me passait la langue sur toute la fente, l'enfilait dans ma vulve... et moi, je n'arrêtais pas e jouir.
C'est alors que Victor nous à surprises. Nous n'avions pas pour habitude de fermer la porte à clé. Mais j'étais dans un tel état d'excitation, que j'ai tout accepté.
Eh bien, on s'emmerde pas les filles !
Il n’attendit pas de réponses qu'il enlevait déjà sa chemise et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il était à poil avec nous.
Rien de tel qu'une queue après s'être gouiné !
Surtout quand elle est aussi grosse et dure que la tienne ! Viens goûter la bite de mon copain, ma poupée.
Ma soumission me dégoûtait, mais c'était plus fort que moi, j'avais envie de cette queue.
Suce le gros bout rouge !
Nous sucions maintenant ensemble, mêlant nos salives sur la queue qui grossissait encore.
Regarde comme il aime qu'on suce sa grosse bite, ce salaud !
Et il ne put plus se retenir, jouissant sur mon visage.
Tiens ! Prends son jus sur ta petit gueule ! Tu aimes ça, hein, te faire asperger de foutre ?
Arielle s'est mise à lécher le sperme qui coulait sur mon visage et j'étais tellement excitée que nous avons ensuite échangé ce foutre en nous embrassant. Victor s'est remis à bander en nous regardant.
Vous avez assez fait les gouines ! Il y a trop longtemps que j'ai envie de te la mettre !
Sa muflerie, son machisme ne me gênait pas, j'avais trop envie de me faire baiser.
Regarde comme elle en a envie, cette salope ! Sa chatte est béante et pleine de mouille ! Allez, Victor, remplis-là bien !
Doucement ! Ta bite est trop grosse !
Ne l'écoute pas, défonce-la !
Victor m'enfonçait son membre jusqu'à la garde. Ses couilles frappaient contre la raie de mes fesses avec un bruit humide. J'avais l'impression d'être une poupée gonflable sur laquelle il se déchaînait. C'est alors que Arielle s'en à nouveau manifesté.
Suce-moi la moule ! J'ai envie de jouir moi aussi !
Sa chatte était toute baveuse. Je trouvais ça dégoûtant, pourtant, j'ai passé ma langue sur ses chairs trempées. Son goût salé m'a envahi la bouche.
Oh, elle me léché bien, la petite salope !
Prise de folie sexuelle, je lui enfonçais ma langue dans la chatte.
JE VIENS !
Lorsqu'elle a joui, sa mouille a coulé dans ma bouche comme si elle m'envoyait un petit jet de pisse ! Avec un plaisir pervers,j'ai avalé cette liqueur chaude et salée. Un peu plus tard, c'est Victor qui a eu u orgasme. J’étais fascinée de sa grosse queue décharger, jamais je n'avais vu un homme jouir autant ! Il m'a copieusement aspergée de sperme. J'en avais de la chatte jusque sur les seins.
Ensuite Arielle a suivi Victor dans sa chambre. J'étais soulagée de me retrouvée seule, car l'excitation retombée, j'éprouvais un violent mépris pour moi-même.
Cette nuit-là, j'ai fais des rêves obscènes. Plusieurs fois, je me suis réveillée la chatte trempée et je me suis masturbée nerveusement, partagée entre la honte et l'excitation.
Le lendemain, lorsque j'ai croisé Victor au petit déjeuner, il n'a fait aucun commentaire. Arielle agissait également comme si rien n'était arrivé. J'essayais d'être aussi insouciante qu'eux, mais je n'arrêtais pas de penser à la nuit dernière. J'avais l'impression d'être devenue une putain. Pendant une semaine, il ne s'est rien passé. Je me persuadais qu'Arielle ne pouvait rien faire pour que j'échoue à mon stage. Je commençais oublier ce qui m'était arrivé.
Puis un jour, alors que Arielle et moi prenions les télésiège en compagnie d'un inconnu, elle fut directe. L'homme était assis entre nous et elle plongea ses mains sur son pantalon.
Vous permettez ? J'ai oublié mes gants...
Sans attendre de réponse, elle sorti son sexe et commença à le branler.
Rien de tel qu'une bonne branlette pour se réchauffer ! Si tu m'aidais ?
Tu es folle, on pourrait nous voir !
L'inconnu bandait déjà bien et se sexe en érection ne me laissait pas indifférente.
Allons, sois obéissante, ma petite poupée,branle la queue du monsieur.
C'était plus fort que moi, quand elle m'appelait sa petite poupée, je n'avais plus aucune volonté.
Tu as vu comme ses couilles sont grosses et poilues !
Je me suis mise à branler cet homme que je ne connaissais pas.
Dépêche-toi de lui vider les couilles, on arrive !
Je lui ai secoué la bite jusqu'à ce qu'il décharge son sperme, qui est tombé en contre-bas sur la piste de skis.Plus tard elle me dit...
Tu as été très obéissante, ma petite poupée. Tu auras une bonne note sur ton carnet de stage. Ainsi qu'une petite surprise ce soir.
Et ce fut après le dîner que Arielle est venue me chercher pour aller chez Victor.
Ça ne me dit rien, je suis fatiguée...
Fatiguée ou pas, tu vas venir sinon...
Elle faisait de nouveau pression sur moi et une fois de plus, je cédais lâchement. Elle m'a obligée à me changer et à mettre des bas et un porte-jarretelles.
Mets ça, je veux que ma poupée soit sexy ! Et tâche d'être très gentille...
Je l'ai accompagné jusqu'à la chambre de Victor et il était là en compagnie de Raoul, un autre moniteur que je connaissais de vue.
Quelle bonne surprise ! Venez trinquez avec nous !
Arielle s'est installée entre eux, très à l'aise. Tout en parlant, elle posait les mains sur leurs cuisses. Je me suis assise sur le bord du lit en face d'eux et j'ai accepté un verre d'alcool pour me donner de l'aplomb.
Corinne, montre leur le joli porte-jarretelles que je t'ai prêté ! Déshabille-toi !
Surprise, pas vraiment, je me doutais de ce qui allait se passer. J'ai obéi sans même protester...
Vous avez vu ? Je lui ai interdit de mettre un soutif !...
Et elle n'a pas de slip non plus !
Dis donc, elle a une grosse touffe, ta protégée ! J'aime les poils, ça retient les odeurs !
Leurs commentaires vicieux me fustigeait. Mais l'ivresse qui n'était pas du à l'alcool, m'empêchait de me rebeller. Puis Arielle m'a ordonné de me masturber devant eux.
Ouvre les cuisses, on ne voit rien ! Et écarte les poils ! Fais-nous voir ta moule !
J'ai relevé les jambes et posé les pieds sur le lit, ils avaient ainsi une vue directe sur ma chatte. Je mouillais comme une folle malgré moi.
Ne fais pas semblant ! Branle-toi à fond !
Les deux moniteurs avaient quitté leur vêtements et me regardaient me caresser pendant que Arielle branlait leurs queues en érection.
Mon clitoris était dressé, ma chatte dégoulinait et mes doigts y coulissaient en faisant des bruits de clapotis.
Les queues des deux types étaient dures et gonflées, leurs glands devenaient écarlates.
Lorsque j'ai atteins l'orgasme, ma jouissance a été bien plus forte que celle que je me procurais à l'abri des regards.
Maintenant que tu as joui, viens nous les sucer !
Léche-moi le gland...
Malgré le plaisir que j'avais eu mon excitation n'était pas retombée.
Pas de jaloux, Léche-moi aussi !
C'est bien ma petite poupée, tu deviens aussi salope que moi !
Tout en leur tripotant les couilles, je les ai sucés ensemble. J'imaginais que leurs deux queues réunies étaient celle d'un homme monstrueusement membré ! Victor à joui en premier m'aspergeant tout le visage. J'en avais jusque dans les cheveux. Ça coulait dans mon cou et sur mes seins. Quand Raoul est venu il m'a inondé la bouche. Il me tenait par les cheveux, m'obligeant à boire son sperme.
Tu es sûre de n'oublier personne, ma poupée chérie ? Viens lécher ta maîtresse de stage...
Non... Laissez-moi !
Allons, fais-lui une petite langue dans la chatte si tu veux qu'elle te mette de bonnes appréciations !
Je n'avais pas trop le choix. J'ai donc enfoui ma tête entre ses cuisses.
Ça m'a drôlement fait mouiller de te regarder les pomper. Tu vas te régaler avec ma chatte !
Son odeur de femme m'excitait, elle me saoulait... Sous le regard des deux moniteurs, j'ai passé ma langue sur sa chatte lapant sa mouille épaisse.
Haaa ! C'est bon ! Cette petite salope me fait jouir !
Puis je lui ai aspiré le clitoris tout en la fouillant de mes doigts.
Les deux moniteurs n'ont pas tardé à rebander. Victor m’a alors enfoncé sa grosse queue dans la chatte et Raoul s'est assis au-dessus du visage de Arielle. Je voyais qu'elle lui léchait les couilles et la raie du cul. Elle lui à même enfilé la langue dans l'anus.
Ensuite ils m'ont obligée à l'empaler sur la bite de Raoul.
Viens t'empaler la-dessus !
Fais la disparaître jusqu'aux couilles.
Arielle s'occupa ensuite de mon petit trou.
Je vais te le dilater, ma chérie !
La langue de Arielle me fouillait le cul. J'avais beau me contrôler, je sentais que mon orifice anal s'ouvrait. Petit à petit, j'éprouvais une drôle de sensation, comme l'envie d'être remplie de ce côté là.
Regarde comme je te l'ai ouverte, Victor. Ça va entrer tout seul !
Non, pas ça ! Pas dans le cul !
Malgré mes protestations, je ne me suis pas débattue. Parce que Raoul me maintenait contre lui, mais aussi parce que la perversité des trois devenait contagieuse.
J'étais surprise que le gland entre aussi facilement. Victor m'a enfilé le reste de sa queue centimètre par centimètre ? Je sentais mon anus s’agrandir.
Ce qu'elle est étroite ! Son cul me serre merveilleusement !
Montre-lui ce que c’est que le slalom combiné !
Quand Victor a coulissé entre mes fesses, j'ai éprouvé une sensation extraordinaire. J'étais remplie des deux côtés ! Les queues se frottaient en moi et je ne savais pas laquelle me procurait le plus de plaisir. J'ai à nouveau joui quand le sperme chaud de Raoul a inondé ma chatte. Puis Victor m'a aspergé les fesses. Son jus à sauté jusque sur mes épaules.
Alors que Arielle m'a nettoyée avec sa langue. Elle est même venue boire le sperme de Raoul qui suintait de ma vulve. Quand à moi, j'ai débarbouillé les deux queues. Mais ensuite nous avons fais l'amour une bonne partie de la nuit, essayant toutes les combinaisons que notre quatuor pouvait former. Je n'éprouvais plus ni honte, ni retenue.
Mon stage de monitrice se poursuivait, mon stage de vice aussi. J'étais devenue la poupée vicieuse de Arielle. Elle me faisait faire ce qu'elle voulait. Victor profitait lui aussi de ma nature soumise. Dès qu'il le pouvait, il m’entraînait dans un coin pour me baiser. J'adorais recevoir ses copieuses rasades de sperme sur mon visage.Souvent même, il amenait un copain avec lui. Et parfois Arielle organisait une soirée partouze dans notre chambre. Plusieurs moniteurs profitaient de ce que j'étais devenue la putain de l'école de ski. J'avais plis l'habitude de cette vie dissolue. Je découvrais ma vraie nature ; j'étais faite pour le vice et la soumission. D’ailleurs mon goût pour les femmes s'était aussi affirmé. Arielle possédait un gode ceinture qu'elle enfilait de temps à autre pour me prendre comme une homme.
Un jour je suis passée à un stade supérieur. Arielle m'a emmenée en cours particuliers avec un couple de skieurs.
C'est plus tranquille qu'un cours collectif. Et puis, il y a pas mal d'argent à se faire !
On ne prends pas nos skis ?
Pas besoin. Tu verras !...
Nous sommes allées dans une résidence de grand standing. Ce n'était pas la première fois que Arielle y venait et je me demandait où elle m’entraînait. Dans l'ascenseur, elle m'a recommandé de faire ce qu'on me demanderait, ses yeux brillaient d'excitation.
Nos hôtes étaient des gens d'une quarantaine d'années, riches et bronzés. La femme me détaillait avec insistance. J'avais la désagréable impression d'être de la marchandise.
Bonjour Arielle. Votre jeune amie est très séduisante !
Elle m'a observée en silence, me déshabillant littéralement du regard.
Je pense que ma femme sera satisfaite... Allez vous changer.
Il nous tendis une liasse de billets et un bagage. Arielle,prit le tout et m'emmena dans une pièce à côté.
Qu'est-ce que ça veut dire ? Tu me vends comme une pute, maintenant !
Il n'y a pas de raison de faire ça gratuitement ! Ils sont pleins de fric, pourquoi ne pas en profiter ? Allez, mets ça !
Mais tu es vraiment une salope !
Tu ne vaux pas mieux que moi !
Mais qu'est-ce que ce fringues !?
Tu vas voir, on va bien s'amuser !
À la sortie de cette pièce, j’avais l'allure d'une petite écolière. Quant à Arielle, elle tenait le rôle de ma gouvernante anglaise !
Bonjour, ma chérie. Tu as été sage ?
J'étais sensée être la fillette du couple !
Figurez-vous que cette jeune personne montre sa culotte à ses petits camarades !
Mais c'est très vilain ! Il faut la punir Miss Arielle !
Grimpez là dessus, mademoiselle! À quatre pattes !
J’avais l’impression d'être dans une mauvaise pièce de théâtre.
Relevez votre jupe,que je vous donne la fessée que vous méritez !
Enlevez-lui sa culotte, Miss Arielle, qu'elle sente bien chaque coup !
Même si Arielle m’avait promis de ne pas frapper fort, j'avais peur d'avoir mal. Mais par un étrange phénomène, cette appréhension m'émoustillait !
Les premiers coups m'ont fait l’effet d'une morsure. Mon cul s'est mis à chauffer. Arielle frappait une fesse après l'autre pour bien me faire rougir l'arrière train.
Allez-y franchement Miss Arielle, je veux que cette jeune coquine se souvienne de la leçon !
La maîtresse de maison venait de sortir la bite de son mari et elle commençait à le branler. De mon côté, la peau laiteuse de mes fesses se couvrait de zébrures écarlates.Mais je n'avais pas aussi mal que je l'aurais imaginé. Mon excitation était plus forte que la douleur. Et voir le couple se tripoter augmentait mon trouble. La femme a laissé tomber un long filet de bave sur la queue de son mari afin de mieux la faire coulisser dans sa main. Arielle a continué à me corriger mais cette fois à mains nues. Ses doigts claquaient bruyamment sur mes fesses. À chaque coup, je sursautais et mes seins nus se balançaient sous moi dans mon corsage.
Mais quand mes fesses ont été aussi rouge qu'une tomate, la femme a fait cesser la correction.
Ça suffit Miss Arielle ! Viens, ma chérie, je vais te consoler !
Elle me releva et commença à me déshabiller.
Montre ce qu'elle t'a fait la méchante Miss Arielle !
Elle me prit ensuite sur ses genoux et m'embrassa.
Je vais être très gentille pour te consoler.
Imaginer faire l'amour avec cette femme bien plus âgée que moi, m'excitait terriblement. Elle m'a léché et mordillé les seins. Mes mamelons devenaient gros comme des framboises.
Pendant ce temps, ma fausse gouvernante s'occupait de mari en lui suçant la queue.
Oh, ma petite... ma chérie !
Je sentais maintenant sa main se glisser entre mes cuisses et me caresser la fente. Arielle et l'homme ne s’embêtaient pas non plus... Elle se faisait coulisser sur la bite tendue du mari et je les entendaient gémir de plaisir. Après m'avoir bien fait mouiller, La femme s'est mise derrière moi et j'ai frissonné alors qu'elle me léchait les fesses. Sa langue suivait les zébrures laissées par la cravache de Arielle. Et quand elle m'a léché l'anus, j'ai eu un orgasme. Puis elle est passée sous moi . Elle me glissait sa langue partout sur le clito, dans la fente et entre les fesses. Ma mouille dégoulinait sur son visage et je l'entendais boire avec un bruit obscène.
De son côté Arielle recevait en elle les déchargent de l'homme. De grosses coulées de spermes s'échappaient de sa chatte. Puis il se mit à genoux devant elle.
Viens ! Donne-moi mon foutre !
Tenez, léchez votre sperme ! Avalez tout !
Oui ! Donne-moi tout ! Tout ! Tu entends !
L'homme ouvrait la bouche et avalait. Ça dégoulinait sue ses joues et dans son cou. Cela l'excitait car sa verge baveuse se gorgeait de sang et se redressait. Ce spectacle m'a tant excité que j'ai joui violemment.
Oh ma chérie, tu inonde de mouille mon visage.
La femme me conduisit ensuite vers son mari.
Vas-y ! Empale toi dessus !
Je me suis enfoncé la queue de l'homme jusqu'aux couilles. Une odeur de sperme flottait déjà dans toute la pièce. Après m'être fait glissé dessus un bon moment, il joui une seconde fois et me rempli la chatte. Alors que Arielle et la femme se faisaient jouir mutuellement avec leurs langues.
J'ai participé a plusieurs leçons particulières de cette sorte, m'enfonçant de plus en plus loin dans le vice. J'étais devenue la complice d'Arielle. Elle ne parlait plus de me faire recaler à mon stage. Au contraire, elle me donnait des conseils.
Quelques mois plus tard, j'ai obtenu mon monitorat de ski. Je me suis installé dans la région, dans un petit chalet que je louais à l'année. L'hiver, je vivais du ski et l'été, des randonnées en montagne.
Je revoyais souvent Arielle. Nous sommes devenues des amies et des amantes. Elle passait fréquemment la nuit chez moi. Parfois nous ramenions un type rencontré dans une boîte de nuit. Nous avions aussi acheté une panoplie de godemichés pour nous amuser entre nous lorsque nous n'avions pas envie de sortir draguer.
Je ne lui en ai jamais voulu d'avoir fait de moi une salope. En fait, deux ans plus tard, j'ai agi de la même façon qu'elle avec une stagiaire.
Bonjour, je m'appelle Lucie !
Dès que je l'ai vue avec ses petits seins et son cul plantureux, j'ai eu envie d'elle.
Laisse-toi faire, sinon je te mettrai une mauvaise appréciation de stage et tu n'auras plus qu'à le refaire !
Je n'ai pas mis longtemps à la faire basculer à mon tour dans le vice. J'ai commencé par lui caresser les seins et ensuite directement j'ai plonger une main sous sa culotte pour lui caresser la fente.
Mais tu es pleine de mouille ! J'étais sûre que ça te plairait. Viens chez moi ce soir. On continuera !
Lucie est arrivée après le repas. Je lisais de la crainte dans ses yeux verts. Ses seins se soulevaient lourdement au rythme de sa respiration soudain plus vive. Je sentais ma chatte se gorger de mouille. Elle a bu plusieurs verres pour se donner du courage.
Tu devrais enlever tout ça, tu vas avoir trop chaud !
La petite garce n'avait pas mit de soutien-gorge ! Ses seins très petits étaient fermes, ronds et durs, surmontés de tétons violets. L'alcool la rendait docile, ses mamelons devenaient gros et fermes comme des olives.
Ta vas voir, je vais être très douce. Tu vas beaucoup aimer.
Elle possédait une taille fine, des hanches larges, des cuisses pleines et un pubis rebondi décoré d'une petite touffe de poils. À travers sa fourrure, je devinais les lèvres roses de sa chatte. Son entre-cuisse dégageait une odeur chaude et épicée. Nous nous sommes vite retrouvées dans mon lit, couchées l'une à côté de l'autre nues.
Ta peau est douce, je vais te lécher partout !
Elle soupirait lourdement. Ses seins se couvraient de chair de poule sous mes caresses.
Oh non, je t »en prie, non, pas plus bas !
Malgré ses protestations, quand j'ai passé ma langue sur sa chatte. Elle a creusé les reins, frottant son sexe contre ma bouche. Je n'ai pas eu à insister beaucoup pour qu'elle me lèche elle aussi. Elle mouillait énormément, son jus avait un goût très fort.
Alors, ça t'a plu ?
Oui, mais je préfère les hommes , tu sais...
Je t'en présenterai des hommes,mais en attendant, je peux te satisfaire avec ça...
J'ai enfilé un de mes godes ceinture et elle est venue s'asseoir dessus.
Oh, oui ! C'est bon ! Je n'arrête pas de jouir ! C'est comme avec un merci !
Lucie est devenue ma poupée sexuelle comme j'avais été celle de Arielle.
C'est mieux qu'un mec parce que moi je peux te limer pendant des heures sans débander !
Dès la première nuit, je l'avais sodomisée. Son anus n'était pas très étroit et elle m'a avoué qu'elle se branlait souvent avec le manche d'un tournevis.
Par la suite je lui ai présenté de amis, avec lesquels je l'ai obligé de coucher. Et souvent j'en amenais même plusieurs et elle leur vidait les couilles sans rechigner ? Après leur départ, nous faisions l’amour toutes les deux, mous enfilant à tour de rôle avec les godemichés.
Bien entendu, j'ai présenté Lucie à mon amie Arielle et nous avons couché toutes les trois. Mes deux amies se sont tout de suite plues et nous avons passé tout un week-end à nous fouiner. On a essayé toutes les combinaisons possibles. Lucie était si excitée que nous lui avons enfilé deux godes dans la chatte.
Aujourd'hui nous vivons ensemble dans le même chalet. Nous sommes trois monitrices et qui sait peut-être un jour prendrez-vous des leçons de ski avec nous ?
Fin...
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