Corinne t notre témoin - histoire érotique

Cela faisait maintenant plus de 2 ans que nous avions découvert les plaisirs du candaulisme. Mais depuis plusieurs mois, et le suivi de stage de Corinne avec Jérôme, il ne s’était rien passé.
Pour booster notre libido, nous avions toutefois fait une petite vidéo de nos ébats. Et parfois nous revisionnions cette cassette – A l’époque, le smartphone ne nous avait pas encore envahi –
J’avais disposé la caméra sur un pied et j’avais demandé à Corinne de faire un strip-tease pendant que je me caressais à l’arrière plan. Elle entamait ensuite une séance avec Marc, son sex-toy préféré que nous avions appelé ainsi en souvenir de notre première expérience de candaulisme avec notre ami Marc. La scène se poursuivait par une pipe et une bonne baise dans plusieurs positions. Enfin rien de bien original, et certainement moins bien filmé que les films érotiques qui passaient à l’époque sue canal+ , mais cela nous excitait bien.

Jusqu’au coup de fil de Julien, qui nous annonçait son passage dans notre région, et son intention de nous faire un petit coucou. Julien était un vieil ami, qui nous avait servi de témoin, lors de notre mariage. Comme il avait changé de région nous nous voyions que très rarement. A l’époque c’était un joyeux drille, bel homme, et qui ne comptait plus ses conquêtes féminines. Pour tout dire je l’enviais un peu. Marié, puis divorcé depuis plus d’un an, il n’avait pas retrouvé de compagne.

Quand j’annonçai sa venue à Corinne elle eut un petit sourire coquin, En effet quand nous avions joué au jeu des souvenirs érotiques avant de découvrir notre passion commune pour le candaulisme, Corinne m’avait avoué qu’en cherchant sa jarretière quand nous nous étions mariés, Julien en avait profité pour effleurer sa petite culotte. Volontairement ou accidentellement ? Toujours est-il que Corinne en conservait un souvenir agréable.

Julien devait passer nous voir le vendredi soir et j’avais insisté pour qu’il passe la nuit chez nous. Sans arrière pensée. Pendant l’apéro, il nous raconte son divorce qui n’a pas été facile. Depuis il est seul, et sauf une petite aventure d’un soir, sans suite, côté sexe, c’est l’abstinence.
Après avoir dégusté quelques pizzas et une bonne bouteille chianti, j’invite Julien à s’installer dans le séjour, en attendant que Corinne finisse son rangement. J’avais remarqué une petite lueur que je connaissais bien dans l’œil de ma chérie, et je me demandais si elle n’avait pas une petite idée derrière la tête. (Ou plutôt dans sa petite culotte) Toujours est-il qu’il me vint moi-même à l’idée de provoquer un peu les choses.

Je propose à Julien de visionner la cassette de nos dernières vacances en Corse. En fait , j’insère dans le lecteur la cassette de notre petite séance érotique, et m’éclipse sous prétexte d’aller chercher un petit digestif. Je dis en passant à Corinne d’aller voir ce qui se passe dans le séjour. Elle me regarde d’un air interrogatif, et à peine arrivée dans le salon, elle m’appelle interloquée  en découvrant sa séance d’effeuillage sur l’écran.
- Pierre qu’est-ce que tu a mis ?
- Mince je me suis trompé de cassette ! Julien désolé, tu ne m’en veux pas,,,
- Pas le moins du monde, au contraire, c’est mieux que les vacances,
- Tu veux regarder toute la cassette ?
- Oui, oui, c’est très bien

Les yeux de Corinne brillent, je l’invite à venir s’asseoir sur le canapé et luis fais une place entre Julien et moi.
- C’est rudement sexy votre vidéo finit par dire Julien
- Je vois que ça t’excite, tu n’as pas changé, ton petit oiseau est toujours prêt Julien !
- Oh oui, elle est déjà bien raide...euh excuse-moi Corinne !
- Ne t’excuses pas , n’est-ce pas ma chérie. Tu m’as l’air bien excitée toi aussi. Depuis le temps que Julien n’a pas vu de petite chatte, si tu nous montrais la tienne en vrai, après l’avoir vu en vidéo. Tu veux bien !
- Mais enfin Pierre, ça ne va pas ! Réplique-telle en rougissant

Pourtant quand je pose ma main sur sa cuisse et tout doucement je soulève sa jupe jusqu’à la petite culotte qui ne cache pas grand chose de sa toison, elle ne proteste pas. Au passage je lui écarte légèrement les jambes, qu’elle avait serrées instinctivement
- Mais tu es toute mouillée ma chérie, C’est Julien qui te fait cet effet
Julien fixe la petite culotte que je baisse pour caresser doucement l’entrecuisse de ma belle. Il finit par approcher sa main et m’interroge du regard :
- Je peux toucher ?
- Elle n’attend que ça, ma petite salope chérie. Tu sais nous sommes un couple libre. Tout ce qui fait plaisir à Corinne m’enchante aussi.

Profitant de ce que Julien commence à caresser la chatte humide de ma femme, je glisse sa petite culotte jusqu’au chevilles, et je finis par l’enlever carrément. Julien a glissé un doigt dans la fente béante de désir et commence à s’activer. Je remarque que la main de mon aimée palpe la bosse qui est apparue sous le pantalon de notre ami. Comme la menotte insiste, Julien baisse lui-même la fermeture éclair et défait sa ceinture. Aussitôt la main de ma petite femme commence à masser la bosse sur le slip et rapidement elle disparaît à l’intérieur, et entreprend un mouvement de va et viens
Finalement elle sort la queue très raide de Julien à l’air libre et la branle vigoureusement tandis qu’il lui fouille le minou avec deux doigts. Ils se branlent mutuellement pendant plusieurs minutes.
N’y tenant plus je sors ma bite pour me branler moi aussi, avec la petite culotte toute mouillée de ma petite salope. Rapidement la bouche de Corinne remplace sa main pour pomper cette nouvelle queue. Julien les yeux fermés savoure.

Au bout d’un quart d’heure, je glisse à l’oreille de mon ami :
- Si tu veux tirer un coup avec Corinne pas de problème
Ma femme qui avait entendu se lève prend Julien par la main pour le conduire jusqu’à notre chambre :
- Nous serons mieux dans le lit, me confie-t-elle au passage. Tu nous rejoins dans un moment. En attendant branle-toi bien mon petit salaud, pendant que je vais me faire sauter par ton ami. Ca t’excite hein ! Et comme d’habitude un gros baiser sur la bouche.

Corinne me connaît bien, elle sait que ce que j’apprécie le plus c’est de me branler pendant qu’elle se fait baiser. C’est un plaisir inégalable, même si j’aime bien aussi m’astiquer en voyant un mâle s’activer entre les jambes de ma chérie, et surtout prendre aussitôt sa place pour inonder à mon tour sa chatte encore humide. Et Corinne aussi adore ça. C’est d’ailleurs ce que je fais quand je les rejoins dans la chambre. Julien vient juste de jouir et à voir le visage de Corinne elle a, elle aussi, bien profité de cette nouvelle queue. Il ne me faut pas longtemps, pour lui arracher encore quelques soupirs et m’épancher dans sa moule baveuse.

Après un petit quart d’heure de repos, Corinne reprend en main la queue de Julien pour tenter de la faire redresser. Ce qui ne tarde pas de se produire dès qu’elle eut commencé à la sucer. Puis elle se positionne sur lui et chevauche la belle queue ragaillardie.
Après quelques minutes, elle décide de changer de position . Elle se couche sur le flanc droit, et attire son amant dans la même position derrière elle. Docile, il lui enfile sa queue dans la chatte bien serrée, et commence à limer doucement. Je suis moi-même couché sur le flanc gauche, devant ma chérie qui me regarde droit dans les yeux en souriant. Pendant que l’autre la baise avec application, je lui tiens la main qu’elle serre très fort. La main de Julien lui caresse les seins, joue avec les tétons, puis descend vers le clitoris, qu’il masse tout en continuant ses va et viens .
En même temps Corinne me caresse doucement la bite. Elle se mord les lèvres, ouvre la bouche, gémit doucement, je vois ses yeux chavirer, et elle prend son pied en me fixant droit dans les yeux, pendant que je lui caresse doucement les cheveux. Julien ne tarde pas à gicler pour inonder pour la deuxième fois le nid d’amour de ma femme qui est aux anges.

Ils restent ainsi quelques minutes collés l’un à l’autre, puis Corinne accélère sa branlette sur ma queue et finit par se pencher pour la sucer avec entrain. Quand elle sent que ma jouissance est proche elle s’arrête et prend ma main qu’elle pose sur ma bite pour que je me finisse tout seul. En moins de 30 secondes je sens monter le plaisir et je me soulage sur mon ventre.
Après toutes ces émotions nous nous endormons tous les trois, côte à côte.

Le lendemain matin, les deux amants dorment encore quand je me lève, sans bruit, Je prépare un copieux petit déjeuner, et monte les avertir . En approchant de la chambre, surprise, j’entends quelques soupirs, j’entrebâille la porte, et je vois sous le drap un mouvement de va et viens significatifs. Ces deux là ont remis le couvert. Je m’éclipse en silence pour les laisser finir ce qu’ils ont entamé. J’avais depuis longtemps fini mon déjeuner quand ils se sont pointés un grand sourire aux lèvres.

Nous avons passé la matinée du samedi à nous balader, avant de nous faire un petit resto. De retour à la maison, comme souvent le samedi après-midi, Corinne sait que j’aime bien regarder un match de rugby.
- Tu veux regarder ton match, me susurra-t-elle innocemment ?
- Oui , Toulouse joue et je ne veux pas rater ça
- Moi je préfère faire une petite sieste, j’ai besoin de récupérer. Et toi Julien, tu veux voir le match, ou tu préfères faire une sieste ?
- Oh moi tu sais, le rugby ! Je vais plutôt faire une petite sieste avec toi.
J’avoue que j’ai eu du mal à me concentrer sur la première mi-temps, en pensant à ce qui se passait dans ma chambre. A la mi-temps je monte tout doucement voir où ils en sont. En fait ils dorment nus tous les deux sur le lit complètement défait, témoin de la vigueur de leurs ébats.
Quelle santé ce Julien !

Mais ce n’étais pas fini. Vers 18 h mes deux tourtereaux redescendent après une bonne douche, ils sont tout frais et souriant.
- Quel bon WE lançai-je à la cantonade
- Super, oui confirme Julien, vous êtes super tous les deux
- Et si tu restais jusqu’à demain suggère Corinne,
Elle n’en avait pas eu assez la salope. Mais finalement j’aime bien ça.

Vers 19 h, nouvel apéro, l’atmosphère est détendue. Nous parlons de choses et d’autres, finalement Corinne lui parle de la fameuse jarretière, et Julien tout rouge, avoue que sa petite caresse n’était pas tout à fait accidentelle. Ce à quoi Corinne réplique qu’elle en garde un souvenir ému, et que cela m’avait bien fait bander quand elle me l’avait avoué.

Le ton est donné, on parle de sexe ! Julien complimente ma femme sur sa façon de sucer qu’il a vraiment appréciée. Corinne qui me semble à nouveau très excitée déclare tout de go en me regardant :
- Tu veux que je te montre comment j’ai sucé ton ami ?
Sans attendre ma réponse, elle s’agenouille devant notre Julien et démarre une pipe d’enfer, là dans le salon devant moi ! Vous vous doutez bien de ce que je fais moi-même en matant le spectacle.
Finalement Corinne s’allonge sur la moquette, soulève sa jupe, écarte sa culotte, et Roger s’allonge sur elle. Je vois distinctement ma chérie saisir dans sa main la bite bien bandée pour la guider vers son minou, Elle adore faire ça, je le sais. Et pendant près d’un quart d’heure Julien la lime à même le sol, devant moi, jusqu’à la jouissance. Quand il a enfin déchargé, ma chérie reste allongée, cuisse écartées, et me regarde dans les yeux :
- Oh que ça fait du bien une bonne bite ! A toi mon chéri, viens tirer ton coup dans ma chatte encore trempée ! Ca t’excite de me voir sucer la queue de Julien et de baiser avec lui, hein ! A ton tour de te vider les couilles. Vas-y enfonce ta queue jusqu’au fond, baise moi bien, encore, encore, c’est bon, fais moi jouir, … Et ainsi de suite jusqu’à la jouissance finale. Je n’avais jamais vu ma Corinne se déchaîner ainsi. Un vrai bonheur !

Le soir j’ai laissé la chambre à Corinne et Julien Et j’ai dormi dans la chambre d’ami après m’être encore une fois bien branlé. Le lendemain matin , Julien nous a quitté en nous remerciant.
Nous avons passé presque tout l’après-midi du dimanche à nous reposer.

Le soir au lit Corinne m’a avoué qu’elle avait pris beaucoup de plaisir durant ces deux jours :
- Tu sais hier matin, pendant que tu préparais le petit déjeuner, il m’a encore sautée, et cet après-midi on a encore baisé avant de faire la sieste( bien sûr j’ai fait l’étonné). Et le soir, il a voulu que je le suce à nouveau avant de tirer un dernier coup avant de s’endormir. Je suis sûre que pendant ce temps tu t’es bien astiqué la bite toi aussi.
- Bien sûr hier soir j’ai bien pensé à toi en me branlant pendant un bon moment, avant de décharger sur ta petite culotte que j’avais emmenée avec moi au lit. Ma chérie tu es une vraie bête de sexe, une bonne petite salope, et une vraie suceuse de bites. C’est comme ça que je t’aime.
-Et toi mon mon petit salaud vicieux , tu es un sacré roi de la branlette, et aussi un bon baiseur, c’est comme ça que je t’aime.

Ce soir là nous n’avons pas baisé. C’est vrai que Corinne avait pris pas moins de huit coups de bite et s’était fait plusieurs fois brouter le minou, en deux jours, sans compter les pipes et les branlettes.
Je crois que c’est son record.
Encore de beaux souvenirs pour exciter notre libido pour plusieurs mois .

Petite précision, Julien s’était fait tester à la suite de sa dernière relation, et depuis n’avait pas eu d’aventure. Nous avons toute confiance en lui. Bien sûr il m’était difficile d’insérer cette info dans ma narration, mais c’est important de le souligner.