Coup de chaud sur la plage Ep1
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Coup de chaud sur la plage Ep1
Coup de chaud sur la plage Ep1
Il faisait un temps magnifique, un temps de saison. Il était temps on était presque en été. J'en profitais pour parfaire mon bronzage. Le groupe qui s'amusait pas loin de l'endroit ou j'étais installé n'avait pas besoin de bronzage. Ils avaient tous les cinq une peau très foncé qui virait presque au noir profond pour le plus jeune.
C'était sans doute pour être vus de loin que ces cinq hommes portaient tous un maillot de bain blanc.
Remarquez, ça leur allait bien. Ils avait tous les cinq une belle tablette de chocolat, à la bonne couleur en plus miam, et une jolie bosse bien visible au niveau de leur slip de bain. Ils étaient magnifiques.
Il y avait quatre adultes et un enfant, enfin, enfant peut être pas … Disons un adolescent. Il était plus petit que les autres. Il devait être un peu plus petit que moi mais je ne suis pas très grand, à peine un mètre soixante dix, lui devait faire à peine plus d'un mètre soixante. Ses camarades faisaient une bonne tête de plus que moi.
Ils étaient tous minces et musclés. Le plus jeune avait un corps un peu plus ramassé sur lui même.
La plage ou nous étions n'obligeait pas le maillot de bain aussi moi, j'étais à poil. Enfin j'avais juste sur moi ma cage à bite blanche... et un chapeau … et des lunettes de soleil … à vers correcteur … Oui je sais, je suis précis mais la précision dans le descriptif est nécessaire … enfin peut être …
Bref j'étais pénard, un peu à l'écart, le nez dans mon livre et un œil qui partait dans la direction de mes cinq voisins, je dis voisins même s'il étaient à une distance respectable.
A les voir bouger quand ils couraient ou quand ils s'échangeaient le ballon, ma queue réagissait dans sa cage. Il n'y avait aucune chance qu'elle ne s'échappe mais elle semblait y croire. Ces cinq corps étaient vraiment magnifiques, même le plus jeune était bien formé. Seule sa taille laissait supposer qu'il était plus jeune que les autres.
Ils avaient un corps lisse, totalement dépourvu de poil, ils avaient aussi les cheveux très court, je me demandais même si plusieurs ne se rasaient pas la tête. Les muscles fins et fermes roulaient sous les peaux ébènes.
Je ne lisait plus rien depuis un moment, mais c'est vrai aussi, comment voulez que je me concentre sur un livre avec ce que j'avais sous les yeux. C'était bandant … pas le livre bien sûr.
Je ne me faisais par remarquer, j'étais allongé sur le sable dans un creux avec une petite barrière de pierres autour de moi. Ma queue protestait, ce n'était pas douloureux même pas désagréable mais je la sentais bien qui protestait dans sa cage. Je sentais les barreaux l'écraser douillettement. Cette sensation, vous savez à la longue, devient agréable, devient rassurante, même si elle reste toujours un peu frustrante.
L'après midi se passait lentement, paisiblement, par moment je somnolais presque et quand je me réveillais totalement les cinq voisins magnifiquement sexy avaient disparus.
Je les recherchais encore un peu du regard au moment ou je me rhabillais pour remonter de la plage.
Le lendemain, il faisait toujours très beau, je m'installais au même endroit que la veille. Rapidement je somnolais. Je me réveillais au moment ou je sentais une hombre passer devant moi. C'était le gamin de la veille.
Là j'ai vu ma méprise, c'était pas un gamin même pas un adolescent, c'est sa taille qui m'avait trompé, il était tout petit et les autres eux, étaient très grands.
– Salut ! Me lançait-il.
Il était là, à mes pieds à me regarder, il était entièrement nu et il en avait une belle je vous jure. La bosse que j'avais remarqué la veille aurait du me prévenir mais même prévenu. J'étais bluffé, impressionné, surpris, un peu effrayé mais à peine, j'y croyais pas … Il avait une queue énorme !
Elle pendait lourdement entre ses cuisses, je pense que là il devait déjà bandé, enfin c'était à espérer, même s'il ne bandait pas totalement. Il avait une grosse molle quoi. Molle à moitié, pas plus, mais grosse ça oui et complètement grosse pas à moitié.
– C'est quoi ce truc que tu portes ? Me demandait-il sur un ton directe.
– Ah oui … Ça ? Demandais-je en remuant ma nouille et sa cage. C'est pour rester sage.
– J'en ai déjà entendu parler ces trucs mais c'est la première fois que je voix quelqu'un qui en porte un …
Il me regardait fixement, enfin il regardait ma cage fixement.
– Je peux ?
Rajoutait-il et sans attendre la réponse s'asseyait juste à côté de moi, à ma gauche. Il me souriait, il allongeait la jambe droite et repliait son autre jambe. Je pouvais admirer sa très belle queue qui s'étalait sur sa cuisse. Il me semblait qu'elle avait un peu grossi.
– Ça fait mal ?
– Bien sûr que non ! Lui répondais-je.
– Pas pour moi ça, le truc est trop petit !
– Il en font des plus gros tu sais !
– C'est pas pour moi quand même.
Je sentais la présence de son corps, il me frôlait le bras.
– Ça te fait de supers grosses couilles ! Me faisait-il remarquer. Je peux ? Demandait-il de nouveau.
Et de nouveau il n'attendait pas la réponse, mais je ne m'en plaindrai pas. Il posait sa main sur ma cage et mes couilles et inspectait le truc avec autant de curiosité que de délicatesse.
Je sentais ma queue protester, mes couilles tombaient lourdement, c'était la chaleur qui faisait cet effet.
C'est sans rien lui demander que je posais ma main sur sa queue, c'était un gros morceau, elle était moelleuse, moitié dure, moitié molle mais je la sentais durcir entre mes doigts. Ses couilles s'étalaient et glissaient entre ses cuisses mais sa queue se redressait au creux de ma main. Enfin quand je dis au creux de ma main, elle en dépassait.
Rapidement je ne pouvais plus en faire le tour avec les doigts, elle était énorme, elle était tout à fait à mon goût. Je la massais avec douceur, il me laissait faire et lui me massait les couilles avec douceur.
Ma queue tentait maintenant une érection violente et s'écrasait contre les barreaux de sa cage. En longueur elle ne tenait pas, en largeur elle ne tenait plus, l'anneau de maintient, le cock-ring me serrait de plus en plus fort sous les couilles, là c'était presque douloureux.
En tous cas, ça semblait l'amuser …
Je refermais ma main sur sa queue et doucement je le masturbais. Il me souriait. Il calmait mes ardeurs, il ne voulait pas jouir tout de suite. Au bout d'un moment il allait chercher ses affaires, je le voyais revenir avec une très grosse molle qui pendait et se balançait entre ses cuisses quand il arrivait.
Il était beau à voir, vraiment beau, un peu effrayant quand j'imaginais que cette affaire allait probablement se retrouver dans mon cul avant la fin de la journée. J'avais presque mal au cul, rien que d'y penser mais je restais volontaire. J'aurais peut être mal au cul mais je n'attendais que ça.
On s'est retrouvé blottis l'un contre l'autre, je le caressais, il me tripotait les couilles. Nous nous embrassions. Puis, sans prévenir je me repliais, lui donnais au passage quelques baisers sur le torse et sur le ventre avant de m'arrêter au niveau de son sexe, je lui suçait le gland comme je le pouvais mais rapidement il me faisait savoir que je m'y prenais bien.
Il répondait à chacun de mes coups de langues par un gémissement doux et discret. Je parvenais lui gober le gland, enfin presque, et à le lui caresser avec douceur. Je faisait une tentative un peu plus profond mais avec une taille comme la sienne, ça n'allait pas bien profond.
Mais j'aimais, j'adorais même tripoter cette énorme queue qui restait toujours un tout petit peu molle, juste en surface pour le reste elle restait ferme. Je m'amusais avec sa bite, avec ses couilles, je lui suçais aussi les couilles, il en avait retiré les poils et ça aussi, ça me plaisait.
Au bout d'un moment, de nouveau il calmait mes ardeurs. Je l'aurais bien fait jouir mais lui n'était pas pressé. Il avait tout son temps, il avait raison. J'espérais seulement que ce serait pour moi. J'avais envie de le sentir trembler, vibrer dans mes bras.
Cette queue énorme devait être juteuse. Je m'imaginais le visage couvert de sperme, je m'imaginait sa queue bien à fond, calée dans ma bouche, même si ce ne serait pas possible.
Par moment sa queue devenait très dure, vraiment ferme. C'était à ce moment qu'il calmais mes ardeurs et me repoussait doucement. Il respirait fort, son cœur battait vite, il tremblait mais là il me retenais à distance, je ne pouvais plus le toucher, je ne pouvais plus lui tripoter les couilles.
Je respectais, mais à regrets, je l'avais senti trembler, je l'avais senti vibrer et s'il n'éjaculais pas c'était parce qu'il se retenait. Quelques gouttes de liquide séminal perlaient, puis plus, bien plus, il jutais, un liquide translucide. Ce n'était pas du sperme, il se retenait.
D'une main il me retenait en arrière pour que je ne puisse pas le stimuler, avec l'autre main il me tripotait les couilles, il y allait un peu fort et me faisait un peu mal, j'ai supporter sans rien dire.
Puis il se calmais, la grimace sur son visage disparaissait. C'était l'effort pour se retenir la concentration qui l'avait provoquée, maintenant il retrouvait son sourire. Et continuait à me tripoter les couilles, continuait à me faire mal. Enfin un peu, juste un peu …
Brusquement il me lâchait les couilles, il retombait sur le dos également.
– C'est pas passé loin là ! Me disait-il avec le sourire.
Maintenant que je le tenais dans mes bras, il n'avait plus du tout l'air d'un adolescent. Il faut dire aussi qu'il avait presque trente ans, c'était lui le plus vieux du groupe. Un corps superbe, noir profond qui prenait bien le soleil, des muscles doux et nombreux un peu partout et surtout cette magnifique bite de compétition qui demanderait à un moment ou à un autre un cul pour s'entraîner.
Et arrivé à ce moment de l'histoire je voulais que ce soit le mien.
Ça pouvait faire mal, mais ça ne me faisait pas peur … Ne vous détrompez pas, là je frime. À chaque fois que je l'imaginais me pénétrer le cul j'avais la trouille. J'ai des godes de sa taille, mais c'est pas pareil.
Avec un gode on contrôle tout avec une queue énorme et un bonhomme au bout, c'est lui qui contrôle. On subit. J'aime bien subir mais pas trop tout de même.
Il ne débandait pas et moi je me souvenais à ce moment que je bandais aussi. Rien de spectaculaire ne se voyait pour moi mais je bandais tout de même. Ma queue était à son niveau de pression maximum. J'avais oublié un petit moment que j'avais une bite et qu'elle protestait, au moment ou je pensais qu'il allait éjaculer j'avais oublié ma queue mais là elle se rappelait à mon souvenir et ce n'était pas vraiment agréable.
On profitait du calme de cette plage relativement déserte. Je le caressais régulièrement mais il me limitait, il me retenait si je voulais trop lui caresser la queue et les couilles. Il ne se privait pas de me tripoter les couilles, de bien me les malaxer, au risque de me faire jouir. Par contre moi je décidais de le laisser faire, s'il me faisait un peu mal je ne disais rien, et si le plaisir devait monter jusqu'à une érection … Le plaisir n'est pas monté jusqu'à une érection.
La plage s'était vidée, il bandait mou …
– Si on terminait cette journée ailleurs ? Me demandait-il.
– Tu penses à quoi ?
– Pas chez moi, il y aura mes cousins !
– Chez moi, ça peut se faire
Il se relevait rapidement et sortait son téléphone. Je l'entendais dire '' Non c'est pas la peine de venir me chercher … ''.
On se rhabillait, là encore il prenait son temps, il faisait traîner. Il avait cette grosse molle qui se balançait lourdement entre ses cuisses et ne la cachait pas. Moi j'avais ce petit truc avec deux grosse couilles qui pendouillaient, ça l'amusait.
Il me suivait on discutait.
– Donc si j'ai bien compris, tu es passif ?
– Mais qu'est ce qui te fait penser une chose pareille ? Répondais-je.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il faisait un temps magnifique, un temps de saison. Il était temps on était presque en été. J'en profitais pour parfaire mon bronzage. Le groupe qui s'amusait pas loin de l'endroit ou j'étais installé n'avait pas besoin de bronzage. Ils avaient tous les cinq une peau très foncé qui virait presque au noir profond pour le plus jeune.
C'était sans doute pour être vus de loin que ces cinq hommes portaient tous un maillot de bain blanc.
Remarquez, ça leur allait bien. Ils avait tous les cinq une belle tablette de chocolat, à la bonne couleur en plus miam, et une jolie bosse bien visible au niveau de leur slip de bain. Ils étaient magnifiques.
Il y avait quatre adultes et un enfant, enfin, enfant peut être pas … Disons un adolescent. Il était plus petit que les autres. Il devait être un peu plus petit que moi mais je ne suis pas très grand, à peine un mètre soixante dix, lui devait faire à peine plus d'un mètre soixante. Ses camarades faisaient une bonne tête de plus que moi.
Ils étaient tous minces et musclés. Le plus jeune avait un corps un peu plus ramassé sur lui même.
La plage ou nous étions n'obligeait pas le maillot de bain aussi moi, j'étais à poil. Enfin j'avais juste sur moi ma cage à bite blanche... et un chapeau … et des lunettes de soleil … à vers correcteur … Oui je sais, je suis précis mais la précision dans le descriptif est nécessaire … enfin peut être …
Bref j'étais pénard, un peu à l'écart, le nez dans mon livre et un œil qui partait dans la direction de mes cinq voisins, je dis voisins même s'il étaient à une distance respectable.
A les voir bouger quand ils couraient ou quand ils s'échangeaient le ballon, ma queue réagissait dans sa cage. Il n'y avait aucune chance qu'elle ne s'échappe mais elle semblait y croire. Ces cinq corps étaient vraiment magnifiques, même le plus jeune était bien formé. Seule sa taille laissait supposer qu'il était plus jeune que les autres.
Ils avaient un corps lisse, totalement dépourvu de poil, ils avaient aussi les cheveux très court, je me demandais même si plusieurs ne se rasaient pas la tête. Les muscles fins et fermes roulaient sous les peaux ébènes.
Je ne lisait plus rien depuis un moment, mais c'est vrai aussi, comment voulez que je me concentre sur un livre avec ce que j'avais sous les yeux. C'était bandant … pas le livre bien sûr.
Je ne me faisais par remarquer, j'étais allongé sur le sable dans un creux avec une petite barrière de pierres autour de moi. Ma queue protestait, ce n'était pas douloureux même pas désagréable mais je la sentais bien qui protestait dans sa cage. Je sentais les barreaux l'écraser douillettement. Cette sensation, vous savez à la longue, devient agréable, devient rassurante, même si elle reste toujours un peu frustrante.
L'après midi se passait lentement, paisiblement, par moment je somnolais presque et quand je me réveillais totalement les cinq voisins magnifiquement sexy avaient disparus.
Je les recherchais encore un peu du regard au moment ou je me rhabillais pour remonter de la plage.
Le lendemain, il faisait toujours très beau, je m'installais au même endroit que la veille. Rapidement je somnolais. Je me réveillais au moment ou je sentais une hombre passer devant moi. C'était le gamin de la veille.
Là j'ai vu ma méprise, c'était pas un gamin même pas un adolescent, c'est sa taille qui m'avait trompé, il était tout petit et les autres eux, étaient très grands.
– Salut ! Me lançait-il.
Il était là, à mes pieds à me regarder, il était entièrement nu et il en avait une belle je vous jure. La bosse que j'avais remarqué la veille aurait du me prévenir mais même prévenu. J'étais bluffé, impressionné, surpris, un peu effrayé mais à peine, j'y croyais pas … Il avait une queue énorme !
Elle pendait lourdement entre ses cuisses, je pense que là il devait déjà bandé, enfin c'était à espérer, même s'il ne bandait pas totalement. Il avait une grosse molle quoi. Molle à moitié, pas plus, mais grosse ça oui et complètement grosse pas à moitié.
– C'est quoi ce truc que tu portes ? Me demandait-il sur un ton directe.
– Ah oui … Ça ? Demandais-je en remuant ma nouille et sa cage. C'est pour rester sage.
– J'en ai déjà entendu parler ces trucs mais c'est la première fois que je voix quelqu'un qui en porte un …
Il me regardait fixement, enfin il regardait ma cage fixement.
– Je peux ?
Rajoutait-il et sans attendre la réponse s'asseyait juste à côté de moi, à ma gauche. Il me souriait, il allongeait la jambe droite et repliait son autre jambe. Je pouvais admirer sa très belle queue qui s'étalait sur sa cuisse. Il me semblait qu'elle avait un peu grossi.
– Ça fait mal ?
– Bien sûr que non ! Lui répondais-je.
– Pas pour moi ça, le truc est trop petit !
– Il en font des plus gros tu sais !
– C'est pas pour moi quand même.
Je sentais la présence de son corps, il me frôlait le bras.
– Ça te fait de supers grosses couilles ! Me faisait-il remarquer. Je peux ? Demandait-il de nouveau.
Et de nouveau il n'attendait pas la réponse, mais je ne m'en plaindrai pas. Il posait sa main sur ma cage et mes couilles et inspectait le truc avec autant de curiosité que de délicatesse.
Je sentais ma queue protester, mes couilles tombaient lourdement, c'était la chaleur qui faisait cet effet.
C'est sans rien lui demander que je posais ma main sur sa queue, c'était un gros morceau, elle était moelleuse, moitié dure, moitié molle mais je la sentais durcir entre mes doigts. Ses couilles s'étalaient et glissaient entre ses cuisses mais sa queue se redressait au creux de ma main. Enfin quand je dis au creux de ma main, elle en dépassait.
Rapidement je ne pouvais plus en faire le tour avec les doigts, elle était énorme, elle était tout à fait à mon goût. Je la massais avec douceur, il me laissait faire et lui me massait les couilles avec douceur.
Ma queue tentait maintenant une érection violente et s'écrasait contre les barreaux de sa cage. En longueur elle ne tenait pas, en largeur elle ne tenait plus, l'anneau de maintient, le cock-ring me serrait de plus en plus fort sous les couilles, là c'était presque douloureux.
En tous cas, ça semblait l'amuser …
Je refermais ma main sur sa queue et doucement je le masturbais. Il me souriait. Il calmait mes ardeurs, il ne voulait pas jouir tout de suite. Au bout d'un moment il allait chercher ses affaires, je le voyais revenir avec une très grosse molle qui pendait et se balançait entre ses cuisses quand il arrivait.
Il était beau à voir, vraiment beau, un peu effrayant quand j'imaginais que cette affaire allait probablement se retrouver dans mon cul avant la fin de la journée. J'avais presque mal au cul, rien que d'y penser mais je restais volontaire. J'aurais peut être mal au cul mais je n'attendais que ça.
On s'est retrouvé blottis l'un contre l'autre, je le caressais, il me tripotait les couilles. Nous nous embrassions. Puis, sans prévenir je me repliais, lui donnais au passage quelques baisers sur le torse et sur le ventre avant de m'arrêter au niveau de son sexe, je lui suçait le gland comme je le pouvais mais rapidement il me faisait savoir que je m'y prenais bien.
Il répondait à chacun de mes coups de langues par un gémissement doux et discret. Je parvenais lui gober le gland, enfin presque, et à le lui caresser avec douceur. Je faisait une tentative un peu plus profond mais avec une taille comme la sienne, ça n'allait pas bien profond.
Mais j'aimais, j'adorais même tripoter cette énorme queue qui restait toujours un tout petit peu molle, juste en surface pour le reste elle restait ferme. Je m'amusais avec sa bite, avec ses couilles, je lui suçais aussi les couilles, il en avait retiré les poils et ça aussi, ça me plaisait.
Au bout d'un moment, de nouveau il calmait mes ardeurs. Je l'aurais bien fait jouir mais lui n'était pas pressé. Il avait tout son temps, il avait raison. J'espérais seulement que ce serait pour moi. J'avais envie de le sentir trembler, vibrer dans mes bras.
Cette queue énorme devait être juteuse. Je m'imaginais le visage couvert de sperme, je m'imaginait sa queue bien à fond, calée dans ma bouche, même si ce ne serait pas possible.
Par moment sa queue devenait très dure, vraiment ferme. C'était à ce moment qu'il calmais mes ardeurs et me repoussait doucement. Il respirait fort, son cœur battait vite, il tremblait mais là il me retenais à distance, je ne pouvais plus le toucher, je ne pouvais plus lui tripoter les couilles.
Je respectais, mais à regrets, je l'avais senti trembler, je l'avais senti vibrer et s'il n'éjaculais pas c'était parce qu'il se retenait. Quelques gouttes de liquide séminal perlaient, puis plus, bien plus, il jutais, un liquide translucide. Ce n'était pas du sperme, il se retenait.
D'une main il me retenait en arrière pour que je ne puisse pas le stimuler, avec l'autre main il me tripotait les couilles, il y allait un peu fort et me faisait un peu mal, j'ai supporter sans rien dire.
Puis il se calmais, la grimace sur son visage disparaissait. C'était l'effort pour se retenir la concentration qui l'avait provoquée, maintenant il retrouvait son sourire. Et continuait à me tripoter les couilles, continuait à me faire mal. Enfin un peu, juste un peu …
Brusquement il me lâchait les couilles, il retombait sur le dos également.
– C'est pas passé loin là ! Me disait-il avec le sourire.
Maintenant que je le tenais dans mes bras, il n'avait plus du tout l'air d'un adolescent. Il faut dire aussi qu'il avait presque trente ans, c'était lui le plus vieux du groupe. Un corps superbe, noir profond qui prenait bien le soleil, des muscles doux et nombreux un peu partout et surtout cette magnifique bite de compétition qui demanderait à un moment ou à un autre un cul pour s'entraîner.
Et arrivé à ce moment de l'histoire je voulais que ce soit le mien.
Ça pouvait faire mal, mais ça ne me faisait pas peur … Ne vous détrompez pas, là je frime. À chaque fois que je l'imaginais me pénétrer le cul j'avais la trouille. J'ai des godes de sa taille, mais c'est pas pareil.
Avec un gode on contrôle tout avec une queue énorme et un bonhomme au bout, c'est lui qui contrôle. On subit. J'aime bien subir mais pas trop tout de même.
Il ne débandait pas et moi je me souvenais à ce moment que je bandais aussi. Rien de spectaculaire ne se voyait pour moi mais je bandais tout de même. Ma queue était à son niveau de pression maximum. J'avais oublié un petit moment que j'avais une bite et qu'elle protestait, au moment ou je pensais qu'il allait éjaculer j'avais oublié ma queue mais là elle se rappelait à mon souvenir et ce n'était pas vraiment agréable.
On profitait du calme de cette plage relativement déserte. Je le caressais régulièrement mais il me limitait, il me retenait si je voulais trop lui caresser la queue et les couilles. Il ne se privait pas de me tripoter les couilles, de bien me les malaxer, au risque de me faire jouir. Par contre moi je décidais de le laisser faire, s'il me faisait un peu mal je ne disais rien, et si le plaisir devait monter jusqu'à une érection … Le plaisir n'est pas monté jusqu'à une érection.
La plage s'était vidée, il bandait mou …
– Si on terminait cette journée ailleurs ? Me demandait-il.
– Tu penses à quoi ?
– Pas chez moi, il y aura mes cousins !
– Chez moi, ça peut se faire
Il se relevait rapidement et sortait son téléphone. Je l'entendais dire '' Non c'est pas la peine de venir me chercher … ''.
On se rhabillait, là encore il prenait son temps, il faisait traîner. Il avait cette grosse molle qui se balançait lourdement entre ses cuisses et ne la cachait pas. Moi j'avais ce petit truc avec deux grosse couilles qui pendouillaient, ça l'amusait.
Il me suivait on discutait.
– Donc si j'ai bien compris, tu es passif ?
– Mais qu'est ce qui te fait penser une chose pareille ? Répondais-je.
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui je sais mes les profs sont nuls. Il y a bien longtemps qu'ils ne savent plus enseigner l'ortographe et pour moi c'est trop tard, malgré le correcteur orthographique !
Dommage Beaucoup trop de fautes d’orthographe !
C’est l’heure de la sieste, je m’installe sur mon lit, la main gauche tient la tablette, la droite est libre
Plus je lis l’histoire plus je sens que ma queue devient dure sous mon boxer
Je ne sais comment ma main glisse sous le tissu Je me touche les couilles, je caresse ma tige
Je me connais bien Une grosse veine bleue marbre la peau de ma bite depuis les couilles jusqu’au gland. Je la frotte de bas en haut tout en lisant. Et là plein d’images de mes propres rencontres viennent dans mon cerveau
Et j’empoigne mon penis, je me branle à fond. Mes deux jambes se raidissent j’enlève mon boxer et je sens mon sperme chaud qui jaillit jusqu’au nombril
Merci l’auteur ! ❤️
C’est l’heure de la sieste, je m’installe sur mon lit, la main gauche tient la tablette, la droite est libre
Plus je lis l’histoire plus je sens que ma queue devient dure sous mon boxer
Je ne sais comment ma main glisse sous le tissu Je me touche les couilles, je caresse ma tige
Je me connais bien Une grosse veine bleue marbre la peau de ma bite depuis les couilles jusqu’au gland. Je la frotte de bas en haut tout en lisant. Et là plein d’images de mes propres rencontres viennent dans mon cerveau
Et j’empoigne mon penis, je me branle à fond. Mes deux jambes se raidissent j’enlève mon boxer et je sens mon sperme chaud qui jaillit jusqu’au nombril
Merci l’auteur ! ❤️