Coup de coeur entre artistes. - histoire érotique

1. Elle.

Ce matin, comme chaque jour, c’est Ice, mon husky qui me réveille en tirant doucement sur le coin de la couette. Quand j’ouvre les yeux, il retourne s’asseoir sur son coussin près de la porte de la chambre et me fixe de ses yeux vairons. Je détourne les yeux des siens pour regarder l’heure affichée sur mon portable : 8h45. Je suis loin d’être en avance. Je dois être à la papeterie où je travaille certains jours pour payer mes études d’art dans 45 minutes.

Je me dirige dans la salle de bains et me glisse sous l’eau chaude de la douche. En sortant de la cabine, je passe une serviette autour de mes cheveux et une autour de la taille. Je me maquille légèrement, me sèche rapidement, enfile mes sous-vêtements et frotte vigoureusement mes cheveux avant de les relever en un chignon négligé.

De retour dans ma chambre, je choisis rapidement ma tenue : un jean slim et un t-shirt manches trois quarts bordeaux. Je complète ma tenue par une paire de converse blanches.

J’avale vite mon café et deux petits beurres et je file à la papeterie au volant de ma focus rouge. J’arrive devant la porte de la boutique au moment où monsieur Garitze glisse la clé dans la serrure.

Bonjour Julie, me lance-t-il avec son accent typique du pays basque. Pile à l’heure.
Bonjour Monsieur Garitze. Oui, il était moins une, heureusement que Ice est plus ponctuel que moi.

Monsieur Garitze est un vieil homme qui a depuis longtemps dépassé l’âge de la retraite, mais il aime sa boutique plus que tout. Son père l’a ouverte en 1948, avec sa femme qui avait quitté l’est de la France quelques années plus tôt pour échapper à la bataille qui y faisait rage. Monsieur Garitze, que tout le monde surnomme Peyo à Biarritz, vit toujours dans l’appartement qui l’a vu grandir au-dessus de la boutique.

Je passe le seuil de la porte, et tout de suite l’odeur des papiers, peintures, pastels et autres encres emplit mes narines. Sur les étagères, il y a toutes sortes de papiers aux teintes, formats, grains différents. Il y a les papiers de soie, vitrail, carton plume, bristol, à dessin, parchemin, papier photo, toile, carnet à esquisse. On trouve également des gouaches, des peintures acryliques ou à l’huile, des pastels secs, des crayons de cire, des fusains… tout pour faire rêver les artistes en herbe ou confirmés. Tout pour me faire rêver.

La boutique se situe sur la grande rue menant droit à la plage. Quand à 18h Peyo me dit que je peux m’en aller, j’attrape mon carton à dessin et marche d’un pas décidé vers la plage. Je m’installesur un banc et commence à croquer le paysage : la mer, les maisons du littoral, la villa Belza, le rocher de la vierge, la plage où flânent des amoureux, courent des joggeurs, un homme dont je ne distingue pas les traits photographie un chien qui gambade sur le sable.

1. Lui.

Ce matin, je me réveille dans un lit qui n’est pas le mien, comme bien souvent. Une petite blonde est venue à mon studio photo hier en fin d’après-midi faire un shooting en bikini pour tenter sa chance comme mannequin.

Je suis pas du genre à me la raconter comme certains , mais je dois reconnaître que je suis plutôt bien foutu, athlétique, et que j’ai tendance à attirer les filles. Ce qui m’arrange bien, vu que je n’ai pas envie de me poser pour le moment. J’ai envie de profiter de la vie, et des rencontres qui s’offrent à moi.

Et cette nana a été comme toutes les autres : elle m’a fait du rentre dedans. D’abord elle tenté une approche en discutant, puis plus je la prenais en photo, plus elle prenait des poses sexy. A la fin de la séance, elle m’a proposé de la rejoindre en soirée dans un bar irlandais où elle comptait passer la soirée avec des amies.

J’ai l’habitude de ce genre de filles, elles prétendent ne rien attendre de plus qu’une nuit de cul, puis elles vous harcèlent parce que ce qu’elles veulent vraiment c’est à se caser avec un beau mec prêt à céder à tous leurs caprices.

Je la jauge rapidement : joli visage, des bons petits seins ronds qui pointent sous les triangles de tissus, une taille fine, un cul de rêve bien rebondi qui ne demande qu’à être fessé. Elle est plutôt bandante en fait. Typiquement le genre de fille que j’aime avoir à mon tableau de chasse.

J’accepte de la rejoindre vers 22h sur la terrasse du pub. Après s’être rhabillée, elle revient me saluer : elle minaude comme une ado de 15 ans qui vient d’avoir son premier rencard avec le capitaine de l’équipe de foot du bahut. D’ailleurs elle ne doit pas avoir guère plus de 19 ans…

En sortant du studio, je suis passé chez moi prendre une douche et me changer. J’en profite pour récupérer Max, mon berger australien et le déposer chez Chris mon meilleur ami : je sais déjà que je ne vais pas passer la nuit à la maison.

J’arrive au pub vers 22h15, sur le terrasse je repère rapidement ma petite blonde. Elle est assise au milieu de ses copines. Elles sont toutes plus jeunes les unes que les autres, j’ai facilement 10 ans de plus que ces nanas.

Les filles, je vous présente Thomas, le photographe qui a pris les clichés pour mon book.

Je réalise alors que je ne sais même pas comment elle s’appelle, et qu'au final, je m’en fous totalement. Je n’ai accepté cette soirée que pour une seule chose : la baiser.

On passe 3h à la terrasse à boire quelques verres. Je m’emmerde à mourir à les écouter parler de la fac, de shopping, de manucure… Au bout d’un moment, je fixe ma future conquête : elle porte un débardeur très décolleté offrant une vue plongeante sur ses seins. Je me vois déjà les caresser, glisser ma langue le long de leur courbe, sucer ses tétons pointus, les mordiller… Je sors de ma rêverie pour continuer d’examiner la tenue de la petite blonde : elle a mis une jupe plus que mini qui ne cache que le minimum, laissant apparaître une tortue maori tatouée sur le haut de sa cuisse.

Je pose ma main sur ses reins, elle tourne son visage vers moi et me sourit avant de reprendre sa conservation avec ses amies. Je la pose alors sur son genou et remonte doucement le long de sa cuisse. Elle me murmure alors :

Ça te dit d’aller danser un peu ?

Ce n’est pas que j’attendais, mais le gérant passe un peu de musique caliente, ça permettra au moins un début de rapprochement. D’un signe de tête j’accepte. Elle attrape ma main et m’entraîne derrière elle.

Tout de suite elle passe ses mains derrière ma nuque, colle son corps contre le mien. Je vois le regard des autres mecs se poser sur elle avec envie. Désolé les gars, mais ce soir ce petit cul est pour moi. Je pose alors mes mains juste au dessus de ses fesses comme pour marquer mon territoire. Je sens qu’elle ondule doucement contre moi. J’aimerais lui faire comprendre que je la veux maintenant mais vu son jeune âge j’ai peur de la brusquer.

Elle pose ses lèvres sur les miennes et je réponds à son baiser tout en faisant glisser mes mains sur son petit cul. Elle les attrape et je pense être aller trop vite. Mais en fait elle se tourne pour me faire dos, place mes mains sur ses hanches et se déhanche en frottant ses fesses contre ma queue. Cette fille est finalement plus chaude qu’il n’y paraît.

Tout en suivant les mouvements de son bassin, je lui chuchote :

Et si on allait entamer un autre genre de danse dans un endroit plus confortable et intime que celui-ci ?
On va chez moi alors.

Ça me convient parfaitement : ainsi je peux m’éclipser au petit matin quand mes partenaires d’une nuit dorment encore.

Comme elle est venue avec une de ses copines, c’est avec ma voiture que nous nous rendons dans son appartement dans la banlieue de Biarritz, probablement financé par papa maman.

A peine arrivés dans l’ascenseur, je la plaque contre la paroi du fond, l’embrasse dans le cou, passe ma main sous sa jupe et constate qu’elle porte un tanga en dentelle.

Elle gémit, chuchote mon nom, chaque fois que je la touche.

Elle passe ses mains sous mon t-shirt, appuyant sur mes pectoraux. Quand je passe mon pouce sur le tissus qui couvre son clitoris, je peux ressentir les frissons qui parcourent son corps.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrent, elle m’entraîne jusqu’à la porte de son appartement. Je la claque derrière moi et retire mon t-shirt pendant qu’elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle me pousse pour que je m’assieds sur le canapé. Elle embrasse alors mon torse, faisant courir sur langue sur mes pectoraux et mes tétons. Je sens que je durci… Puis sa bouche descend le long de mes abdos, sa langue frôlant maintenant la limite de mon intimité matérialisé par l’élastique de mon boxer dépassant de mon jeans. Ma queue fini de gonfler, formant une bosse bien visible dans mon pantalon.

J’ouvre les boutons de mon jeans et laisse sortir ma bite. J’attire la blonde à moi pour qu’elle me chevauche. Je lui retire son débardeur libérant ses seins. Ses tétons pointent vers moi. Tout en suçant l’un d’eux, j’écarte le tissus de son tanga et assois ma conquête sur ma queue. Elle gémit à nouveau. Je mordille son téton, malaxe son sein gauche d’une main, pétri son cul de l’autre. Elle marmonne des « oh oui, encore, vas-y, oui, han… » . Putain elle parle trop… elle peut pas se contenter de se faire baiser ? Les nanas qui parlent beaucoup pendant qu’on baise ça me saoule.

Je la fais descendre de moi, me lève et l’agenouille devant moi. Elle ne se fait pas prier pour engloutir ma bite bien profondément dans sa bouche. Elle me suce goulûment. Je pose mes mains sur sa tête et entreprends un vas et vient. Elle fait de gros yeux mais ne se démonte pas et me suce de plus belle. Ça a l’air de lui plaire de se faire baiser la bouche. Je jouis dans sa bouche et elle avale jusqu’à la dernière goutte.

Alors qu’elle veut retirer sa bouche de ma bite, je l’en empêche. Elle continue alors de me sucer pendant que je me branle pour bander à nouveau. Je la relève en tirant sur ses cheveux.

Allons dans ta chambre, j’ai envie de te baiser la chatte maintenant…

Elle ne dit rien, et se dirige vers sa chambre. Je la soulève, elle passe mes jambes autour de ma taille et je l’appuie contre le mur. A chaque coup de reins, son cul cogne contre le mur. Après qu’elle ait jouit, je la jette sur son lit.

A 4 pattes poupée !

Elle s’exécute. De la voir avec le cul tendu ainsi, j’ai envie la prendre par le petit trou… mais il est fort probable qu’elle n’ait jamais pris de bite dans le cul. La prochaine fois que je chercherais un plan cul, faut vraiment que j’en choisisse une moins jeune.

J’écarte à nouveau le tissus de son tanga et la pénètre. Je pose une main sur son épaule, l’autre sur sa hanche et je la baise violemment. Elle jouit à nouveau et je me laisse aller à la jouissance à mon tour. Elle s’écroule à plat ventre, je me laisse glisser sur elle. En me redressant, j’embrasse son cul, elle pouffe comme une gamine.

Je m’allonge sur le dos, elle vient poser sa tête sur mon torse. Elle parcourt mon corps du bout de son index. Détendu, je m’endors rapidement.

Après m’être fait le récit de la soirée de la veille, je sors de la chambre, me rhabille et quitte l’appartement sans même laisser un mot. Il est 8h du matin.

Je retourne sur Anglet pour rentrer chez moi me doucher, relever mes mails pro et prendre mon appareil photo avant d’aller chez Chris. Je mange avec lui et sa femme avant de repartir avec Max. Je décide de passer l’après midi à la plage à jouer avec mon chien et prendre des photos.