Coup de main!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Coup de main!
-Alain, déjà bonjour, me fait Daniela, alors que je viens tout juste de franchir le pas de son bureau. Serais-tu disposé à me rendre un petit service?
-Je t’écoute, où faut-il que j’aille ?
-Je parle d’un service hors boulot !
-Oui, vas-y, je t’écoute !
-J’ai reçu la chambre à coucher de ma dernière, mais voilà il se trouve qu’elle est en kit.
-Oui, je vois parfaitement le topo.
-Donc hier, avec Jérôme (son compagnon), nous avons, je dis bien essayé de la monter. Et tout de suite, cela a été une prise de tête entre nous. Ne pigeant pas très bien le sens u mode de montage. À un tel point que cela nous a amené à faire chambre à part, pour te dire.
-Et donc, tu comptes sur moi pour vous réconcilier ?
-Pas forcément, mais surtout pour le montage de la chambre au plus vite. Je suis obligé de la faire dormir avec sa sœur.
-Je devine le tableau.
-Peut-être, mais tu es loin de deviner la merde où je me trouve. Surtout que c’est de ma faute.
-Comment ça ?
-Jérôme, n’étant pas bricoleur pour un sou, a voulu que ce soit le magasin qui se charge de la livraison et du montage. Et moi, pour une affaire d’économie, j’ai assisté auprès de Jérôme pour la livraison ainsi que pour le montage. Qu’on serait capable, à nous deux, de réussir l'assemblage. Mais je me suis trompée, et tu connais la suite.
-Et je dois me rendre chez toi quand ?
-Le plus vite possible.
-La chambre comprend bien sûr le lit, l’armoire…
-Plus un bureau, avec aussi une table de chevet.
-Ouah ! Mais c’est des heures de montage tout ça !
-Ne me dis pas que tu ne peux pas.
-Je dis seulement qu’il va falloir un certain temps.
-Tu es disponible quand, toi ?
-Ma pauvre, il va falloir pour te venir en aide que je le prenne ce temps.
-Je pose mon après-midi ?
-Tu parles de celui qui vient ?
-Ne me dis pas que tu ne peux pas ?
-Je pense que si je m’active à tout ce que j’ai à faire ce matin, ça peut se faire, oui…
-Je ne sais pas à quel point cela me ferait plaisir.
-Bon, à plus tard…
Et alors que je m’apprête à sortir du bureau, elle interpelle pour me lancer un merci Alain.
-Attends, je n’ai rien fait encore…
-Mais enfin, tu te proposes à m’aider…
Un peu plus tard dans la matinée, je prends un coup de fil de Daniela.
-Cela te dirait de manger un bout avec moi, chez moi.
-Ce serait avec plaisir, oui…
-Une pizza, ça te va ?
-Parfait…
Et elle raccroche.
Je reconnais, qu’avec même mon vécu sur les montages de meuble. Que les siens nous ont tenu en haleine jusqu’à la dernière vise. Mais après quatre heures, la chambre était enfin debout.
-J’en connais une qui va être ravie, ce soir en poussant la porte de sa chambre.
-Je veux bien te croire.
-Cela mérite une coupe de champagne, tu ne crois pas ?
-Tu ne préfères pas trinquer avec Jérôme.
-Laisse-le celui-là. Il fait encore la gueule. Lâche-t-elle en quittant la pièce.
Alors que je rassemble les cartons, j’entends qu’elle m’appelle.
-Viens au salon, c’est prêt !
Effectivement, il se tient sur la table basse, un seau à champagne avec sa bouteille, deux coupes, une assiette de gâteaux.
-Je te laisse t’occuper de l’ouverture de la bouteille.
-Tu me mets encore à contribution à ce que je vois.
-Pour la dernière fois, promis…
-Avant la prochaine ?
Cela la fait bien glousser. La première gorgée fut un régal, tant j’avais la gorge sèche due à la température surchauffée de l’appartement.
-Une autre coupe ?
-Je ne sais pas si je dois.
-Aller pour la route.
Maintenant la bouteille au-dessus du verre, elle se plie pour emplir les coupes. Et cela, tout en poursuivant ses papotages, comme si elle n’était pas lucide de la vision qu’elle m’offre. C’est-à-dire ses jambes élancées emballées de nylon. Mais surtout un sexe, à peine caché sous le même nylon, sans culotte en dessous. Par transparence je peux m’émerveiller devant son buisson à forte intensité de poils.
-Des gâteaux?
Je ne peux répondre que par un grognement, ma bouche devenue pâteuse d’un coup. Pour saisir l’assiette, la voilà qu’elle reprend la même position que pour le service. Elle prend son temps. Je peux à loisir détailler son entrecuisse, mais surtout son pompon. Je pense qu’elle n’a pas manqué de déceler mon regard sur son entrejambe. D’ailleurs, à peine installée, la voilà qu’elle laisse tomber un :
-Je crève de chaud, pas toi ?
-Je confirme que oui… il fait combien dans ton appartement ?
-Je ne sais pas. Mais par contre j’empeste littéralement, vivement une bonne douche !
-Je vais alors te laisser…
-Non…non ! Me lâche-t-elle, en se débarrassant de tout ce qui la gêne.
Elle se retrouve en collant et soutien-gorge.
-Sens moi ça, sous mes bras, une vraie infection ! Fait-elle en collant son nez sur son aisselle. Cela n’a pas l’air de t’intéresser, je me trompe ? Ajoute-t-elle.
-Je préfère la chose qui se cache sous ton collant. Fais-je, d’une voix légèrement chevrotante.
-Comme ça tu es insensible devant les chattes ?
-Je n'aime pas, j’en raffole…
-Je ne te croyais pas comme ça, toi Alain.
-C’est-à-dire ?
-Je te voyais plus être un baiseur qu’un suceur.
-Comme quoi ! Les apparences sont trompeuses !
-Je ne te le fais pas dire ! Me dit-elle, avant d’ajouter, cela te dirait de voir la mienne ?
Sans prendre la peine d’attendre ma réponse, la voilà qu’elle roule sur ses cuisses l’élastique de son collant. Ses poils englués de sueur et de pisse se redressent à fur et à mesure de leurs libérations. Avec convoitise, je rampe jusqu’à elle, et fourre sans y être invité mon nez et ma langue au milieu de son buisson odorant. Pendant que je me saoule de ses fragrances, elle se débarrasse de son collant mais aussi de son soutien-gorge. Alors qu’elle le laisse choir sur le tapis, je me saisis de son collant. Le retourne avec hâte, et frictionne le côté souillé par sa chatte sur mon visage.
Pris d’une pulsion folle, je place le seau à champagne entre ses cuisses.
-Pisse dedans…
-Qu’est-ce que tu me fais faire là! Heureusement pour toi que j’ai une grosse envie !
Par saccades, la pisse jaillit de sa vulve. Les jets brûlants d’un jaune prononcé qui se mélangent avec l’eau du sceau. Je respire l’odeur acide qui s’en dégage. Elle prend son temps à se vider. J’adore !
Puis je m'occupe de son sexe. Tour à tour, j’approche mon nez, ma bouche, voir un doigt. Je commence à la lécher par petits coups. Scindant de ma langue les chairs. L’odeur fauve me pique les narines.
-Je pus ? Me fait-elle.
-Plus c’est sale, plus j’aime !
-Je constate…
Écartant les chairs, je fais émerger son bouton.
-Il est gros…
Je le titille très vite de la pointe de la langue. Puis l’aspire et le noie de salive. Puis, je le tiens délicatement entre les incisives. L’écrasant sous ma langue. Tout de suite, ma chère Daniela est rejointe par un orgasme.
Je profite qu’elle cuve son plaisir pour écarter ses fesses, et je me mets à lui lécher le cul. Tout en grognant de satisfaction. Similairement, je fais voyager mon index le long de sa raie, et descends pour remonter l’instant d’après, dans un long mouvement langoureux en marquant un temps d’arrêt sur le petit trou qui palpite tout seul. Je ne m’occupe alors plus, que de son cul. Au bout d’un moment, mon doigt se fige plus précisément autour de son anus. Et cela, d’un index très léger, sur la peau de son anus. Je tourne doucement en rond sans appuyer. Puis, je commencer à frotter directement l’orifice qui se met naturellement à s’entrouvrir. Alors seulement là, je glisse le bout de l’index à l’intérieur.
-Oh que c’est délicieux ! Laisse tomber Daniela. J’ai la tête qui fredonne de plaisir !
J’ai un ricanement en constatant qu’elle mouille.
-Jamais je n’ai éprouvé de telles sensations avant toi…
Encouragé, je lui astique le clitoris, caresse la vulve et les petites lèvres. J’empoigne ma verge et me masturbe avec frénésie, tout en ralentissant quand je sens venir l’orgasme.
Je suis à demi fou d’excitation. A me faire peur. Je me masturbe, de plus en plus vite, tout en regardant l’anus. Il est maintenant entrouvert. Je pointe alors mon gland à l’entrée. Elle pousse très fort comme si elle allait chier.
-Oh, comme il s’ouvre bien ton trou. Et comme ça vibre. Je vois tout dedans.
-Cela m’encourage à fouiller.
-Je t’en prie, fais-le…
Alors je m’introduis, tout en élargissant la paroi.
-Ah, c’est tout chaud dedans. Je laisse échapper.
-Tu me remplis autant que ce que j’ai chié ce matin.
Je m’excite de mes paroles et l’excite en retour quand mon gland progresse dans son conduit. Je tire sur ses mains nouées sous son ventre pour s’ouvrir plus et je m’enfonce encore.
Elle mouille du cul. Ma queue scintille à chaque fois que je la retire de l’anus dilaté, pour mieux m’y enfoncer de nouveau. Je suis au bord de l’évanouissement, tant que c’est bon. De son côté, elle donne des coups de reins pour que ma queue la défonce. Aille aussi, plus loin encore, dans son fion.
Puis vient l’éjaculation, qui me coupe le souffle. Ma queue se dresse, et mes jets de sperme lui aspergent le rectum. Dans une contraction des plus exquise, son anus se moule autour de ma queue et elle jouit à son tour, en criant. Je ne mets pas longtemps à rebander.
Nous avons fini le champagne au goulot. Emmanché sur le divan en chien de fusil, comme des bêtes.
-Je t’écoute, où faut-il que j’aille ?
-Je parle d’un service hors boulot !
-Oui, vas-y, je t’écoute !
-J’ai reçu la chambre à coucher de ma dernière, mais voilà il se trouve qu’elle est en kit.
-Oui, je vois parfaitement le topo.
-Donc hier, avec Jérôme (son compagnon), nous avons, je dis bien essayé de la monter. Et tout de suite, cela a été une prise de tête entre nous. Ne pigeant pas très bien le sens u mode de montage. À un tel point que cela nous a amené à faire chambre à part, pour te dire.
-Et donc, tu comptes sur moi pour vous réconcilier ?
-Pas forcément, mais surtout pour le montage de la chambre au plus vite. Je suis obligé de la faire dormir avec sa sœur.
-Je devine le tableau.
-Peut-être, mais tu es loin de deviner la merde où je me trouve. Surtout que c’est de ma faute.
-Comment ça ?
-Jérôme, n’étant pas bricoleur pour un sou, a voulu que ce soit le magasin qui se charge de la livraison et du montage. Et moi, pour une affaire d’économie, j’ai assisté auprès de Jérôme pour la livraison ainsi que pour le montage. Qu’on serait capable, à nous deux, de réussir l'assemblage. Mais je me suis trompée, et tu connais la suite.
-Et je dois me rendre chez toi quand ?
-Le plus vite possible.
-La chambre comprend bien sûr le lit, l’armoire…
-Plus un bureau, avec aussi une table de chevet.
-Ouah ! Mais c’est des heures de montage tout ça !
-Ne me dis pas que tu ne peux pas.
-Je dis seulement qu’il va falloir un certain temps.
-Tu es disponible quand, toi ?
-Ma pauvre, il va falloir pour te venir en aide que je le prenne ce temps.
-Je pose mon après-midi ?
-Tu parles de celui qui vient ?
-Ne me dis pas que tu ne peux pas ?
-Je pense que si je m’active à tout ce que j’ai à faire ce matin, ça peut se faire, oui…
-Je ne sais pas à quel point cela me ferait plaisir.
-Bon, à plus tard…
Et alors que je m’apprête à sortir du bureau, elle interpelle pour me lancer un merci Alain.
-Attends, je n’ai rien fait encore…
-Mais enfin, tu te proposes à m’aider…
Un peu plus tard dans la matinée, je prends un coup de fil de Daniela.
-Cela te dirait de manger un bout avec moi, chez moi.
-Ce serait avec plaisir, oui…
-Une pizza, ça te va ?
-Parfait…
Et elle raccroche.
Je reconnais, qu’avec même mon vécu sur les montages de meuble. Que les siens nous ont tenu en haleine jusqu’à la dernière vise. Mais après quatre heures, la chambre était enfin debout.
-J’en connais une qui va être ravie, ce soir en poussant la porte de sa chambre.
-Je veux bien te croire.
-Cela mérite une coupe de champagne, tu ne crois pas ?
-Tu ne préfères pas trinquer avec Jérôme.
-Laisse-le celui-là. Il fait encore la gueule. Lâche-t-elle en quittant la pièce.
Alors que je rassemble les cartons, j’entends qu’elle m’appelle.
-Viens au salon, c’est prêt !
Effectivement, il se tient sur la table basse, un seau à champagne avec sa bouteille, deux coupes, une assiette de gâteaux.
-Je te laisse t’occuper de l’ouverture de la bouteille.
-Tu me mets encore à contribution à ce que je vois.
-Pour la dernière fois, promis…
-Avant la prochaine ?
Cela la fait bien glousser. La première gorgée fut un régal, tant j’avais la gorge sèche due à la température surchauffée de l’appartement.
-Une autre coupe ?
-Je ne sais pas si je dois.
-Aller pour la route.
Maintenant la bouteille au-dessus du verre, elle se plie pour emplir les coupes. Et cela, tout en poursuivant ses papotages, comme si elle n’était pas lucide de la vision qu’elle m’offre. C’est-à-dire ses jambes élancées emballées de nylon. Mais surtout un sexe, à peine caché sous le même nylon, sans culotte en dessous. Par transparence je peux m’émerveiller devant son buisson à forte intensité de poils.
-Des gâteaux?
Je ne peux répondre que par un grognement, ma bouche devenue pâteuse d’un coup. Pour saisir l’assiette, la voilà qu’elle reprend la même position que pour le service. Elle prend son temps. Je peux à loisir détailler son entrecuisse, mais surtout son pompon. Je pense qu’elle n’a pas manqué de déceler mon regard sur son entrejambe. D’ailleurs, à peine installée, la voilà qu’elle laisse tomber un :
-Je crève de chaud, pas toi ?
-Je confirme que oui… il fait combien dans ton appartement ?
-Je ne sais pas. Mais par contre j’empeste littéralement, vivement une bonne douche !
-Je vais alors te laisser…
-Non…non ! Me lâche-t-elle, en se débarrassant de tout ce qui la gêne.
Elle se retrouve en collant et soutien-gorge.
-Sens moi ça, sous mes bras, une vraie infection ! Fait-elle en collant son nez sur son aisselle. Cela n’a pas l’air de t’intéresser, je me trompe ? Ajoute-t-elle.
-Je préfère la chose qui se cache sous ton collant. Fais-je, d’une voix légèrement chevrotante.
-Comme ça tu es insensible devant les chattes ?
-Je n'aime pas, j’en raffole…
-Je ne te croyais pas comme ça, toi Alain.
-C’est-à-dire ?
-Je te voyais plus être un baiseur qu’un suceur.
-Comme quoi ! Les apparences sont trompeuses !
-Je ne te le fais pas dire ! Me dit-elle, avant d’ajouter, cela te dirait de voir la mienne ?
Sans prendre la peine d’attendre ma réponse, la voilà qu’elle roule sur ses cuisses l’élastique de son collant. Ses poils englués de sueur et de pisse se redressent à fur et à mesure de leurs libérations. Avec convoitise, je rampe jusqu’à elle, et fourre sans y être invité mon nez et ma langue au milieu de son buisson odorant. Pendant que je me saoule de ses fragrances, elle se débarrasse de son collant mais aussi de son soutien-gorge. Alors qu’elle le laisse choir sur le tapis, je me saisis de son collant. Le retourne avec hâte, et frictionne le côté souillé par sa chatte sur mon visage.
Pris d’une pulsion folle, je place le seau à champagne entre ses cuisses.
-Pisse dedans…
-Qu’est-ce que tu me fais faire là! Heureusement pour toi que j’ai une grosse envie !
Par saccades, la pisse jaillit de sa vulve. Les jets brûlants d’un jaune prononcé qui se mélangent avec l’eau du sceau. Je respire l’odeur acide qui s’en dégage. Elle prend son temps à se vider. J’adore !
Puis je m'occupe de son sexe. Tour à tour, j’approche mon nez, ma bouche, voir un doigt. Je commence à la lécher par petits coups. Scindant de ma langue les chairs. L’odeur fauve me pique les narines.
-Je pus ? Me fait-elle.
-Plus c’est sale, plus j’aime !
-Je constate…
Écartant les chairs, je fais émerger son bouton.
-Il est gros…
Je le titille très vite de la pointe de la langue. Puis l’aspire et le noie de salive. Puis, je le tiens délicatement entre les incisives. L’écrasant sous ma langue. Tout de suite, ma chère Daniela est rejointe par un orgasme.
Je profite qu’elle cuve son plaisir pour écarter ses fesses, et je me mets à lui lécher le cul. Tout en grognant de satisfaction. Similairement, je fais voyager mon index le long de sa raie, et descends pour remonter l’instant d’après, dans un long mouvement langoureux en marquant un temps d’arrêt sur le petit trou qui palpite tout seul. Je ne m’occupe alors plus, que de son cul. Au bout d’un moment, mon doigt se fige plus précisément autour de son anus. Et cela, d’un index très léger, sur la peau de son anus. Je tourne doucement en rond sans appuyer. Puis, je commencer à frotter directement l’orifice qui se met naturellement à s’entrouvrir. Alors seulement là, je glisse le bout de l’index à l’intérieur.
-Oh que c’est délicieux ! Laisse tomber Daniela. J’ai la tête qui fredonne de plaisir !
J’ai un ricanement en constatant qu’elle mouille.
-Jamais je n’ai éprouvé de telles sensations avant toi…
Encouragé, je lui astique le clitoris, caresse la vulve et les petites lèvres. J’empoigne ma verge et me masturbe avec frénésie, tout en ralentissant quand je sens venir l’orgasme.
Je suis à demi fou d’excitation. A me faire peur. Je me masturbe, de plus en plus vite, tout en regardant l’anus. Il est maintenant entrouvert. Je pointe alors mon gland à l’entrée. Elle pousse très fort comme si elle allait chier.
-Oh, comme il s’ouvre bien ton trou. Et comme ça vibre. Je vois tout dedans.
-Cela m’encourage à fouiller.
-Je t’en prie, fais-le…
Alors je m’introduis, tout en élargissant la paroi.
-Ah, c’est tout chaud dedans. Je laisse échapper.
-Tu me remplis autant que ce que j’ai chié ce matin.
Je m’excite de mes paroles et l’excite en retour quand mon gland progresse dans son conduit. Je tire sur ses mains nouées sous son ventre pour s’ouvrir plus et je m’enfonce encore.
Elle mouille du cul. Ma queue scintille à chaque fois que je la retire de l’anus dilaté, pour mieux m’y enfoncer de nouveau. Je suis au bord de l’évanouissement, tant que c’est bon. De son côté, elle donne des coups de reins pour que ma queue la défonce. Aille aussi, plus loin encore, dans son fion.
Puis vient l’éjaculation, qui me coupe le souffle. Ma queue se dresse, et mes jets de sperme lui aspergent le rectum. Dans une contraction des plus exquise, son anus se moule autour de ma queue et elle jouit à son tour, en criant. Je ne mets pas longtemps à rebander.
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