Couple appartenant à un Noir - histoire érotique

Je tiens tout d'abord avant de vous permettre de lire cette histoire, dédié cette histoire a une jeune femme. Cette jeune femme est une lectrice qui m'a contacté par mail. Cette femme (qui est une bonne salope blanche voulant de la bite noire) a pris une énorme place dans ma vie. Cette lectrice se reconnaitra. Je t'aime.

C'est un vendredi soir typique chez nous. Je travaille dans une société de logiciels et je suis souvent en déplacement dans le cadre de mon travail. Ma femme Lucie et moi sommes mariés depuis six ans. Nous avons acheté cette belle maison environ un an après nous être mariés, à la sortie de l'université. Nous vivons à la campagne. La maison est isolée et située derrière des arbres sur un terrain d'une quarantaine d'hectares. Nous avons cinq chambres et une chambre d'amis. On peut dire que nous avons eu la maison de nos rêves très tôt dans notre mariage.

Il y a quelques mois, nous avons assisté à une vente aux enchères de chevaux en ville. Lucie voulait avoir des chevaux et nous avions une grange et beaucoup de terrain clôturé pour plusieurs chevaux. Nous avons acheté quatre chevaux en à peu près autant de semaines et nous avons vite constaté que s'occuper de ces merveilleux animaux demandait plus de temps et de travail que ce que nous pensions au départ.

Après tout, Lucie n'était intéressée que par l'équitation. Elle ne savait rien de l'entretien de ces grands animaux, et moi non plus. Je m'appelle Franck. Ma femme Lucie a vingt-huit ans. J'approche de la quarantaine et je me considère comme un homme très chanceux. Lucie est ma femme trophée.

Un week-end, j'étais au magasin d'alimentation pour acheter des fournitures pour le troupeau lorsqu'un homme s'est approché de moi et nous avons commencé à parler. C'était un homme noir, grand et mince. Il s'est approché, m'a serré la main et s'est présenté sous le nom de Tyrone.

« Vous vivez dans la vieille maison de Monsieur Johnson, n'est-ce pas, Franck ? »

J'ai souri en jetant un sac de nourriture dans mon camion. « Oui, c'est ça. Le grand blanc au bout du chemin de terre ».

Tyrone sourit en appuyant son bras sur mon camion. « Eh bien, je connais bien ce vieil endroit, tu sais. J'y ai travaillé pendant plusieurs années avant que le vieux Johnson ne décède. »

Je me suis retourné, l'intérêt se lisant sur mon visage. Je me suis retourné : « Oh, vraiment ? Qu'est-ce que tu as fait pour les Johnson, Tyrone ? »

Tyrone sourit en m'aidant à mettre les derniers sacs de fourrage à l'arrière du camion.

« On peut dire que j'étais tout pour eux. Je m'occupais des animaux, du terrain et j'ai même travaillé comme homme à tout faire dans la maison ».

Tyrone rit avant d'ajouter. « Je conduisais même Mme Johnson en ville lorsqu'elle allait faire des courses, alors on peut dire que j'étais aussi leur chauffeur ! »

« Alors, que fais-tu maintenant que les Johnson sont partis ? »

Tyrone soupire. « Eh bien, j'ai travaillé ici et là pour gagner un peu d'argent quand je le pouvais, mais je pense que je vais retourner en Alabama, d'où vient ma famille, et voir quel genre d'emploi je peux trouver là-bas ».

J'ai commencé à réfléchir. J'aurais bien besoin de quelqu'un comme Tyrone chez moi. Nous avions beaucoup de place et Tyrone pourrait peut-être s'installer dans la chambre d'amis où il avait l'habitude de vivre. Nous avons parlé pendant un long moment et je lui ai dit que j'en parlerais à ma femme. Lucie se sentait soulagée et excitée à l'idée d'avoir enfin de l'aide pour s'occuper de nos chevaux et de la ferme.

Tyrone a emménagé la semaine suivante. Je ne peux pas vous dire à quel point Tyrone a travaillé dur pour arranger les choses dans la maison. Lucie a même accepté qu'il la conduise en ville pour faire des courses une fois par semaine.

Tyrone a pratiquement pris les rênes de la maison en quelques mois. Nous pouvions toujours compter sur lui pour les plus petites choses. Tyrone s'assurait que tout fonctionnait comme une machine bien réglée et nous en étions ravis.

Lucie a bougé ses fesses rondes et galbé sur le lit pendant que j'embrassais la fente de ses joues et que je lui donnais quelques claques sur les fesses. Elle a poussé un cri de plaisir et a tourné la tête pour essayer de me regarder en parlant.

« Allez, bébé, arrête de me taquiner et baise mon cul ».

Je l'ai frappée à nouveau, mais beaucoup plus fort, et j'ai regardé sa chair blanche glousser au contact de ma main nue. J'ai utilisé mes deux mains sur le cul de ma femme cette fois-ci, j'ai saisi chaque joue et je les ai serrées fort.

Lucie ne pouvait pas bouger beaucoup. Ses deux mains étaient menottées à l'avant du lit. Je me suis baissé juste assez pour enfouir ma langue entre les joues de son cul et j'ai approché ma langue de son trou du cul. Lucie a arqué ses hanches en essayant de repousser son corps contre mon visage. Ses hanches se balançaient d'un côté à l'autre tandis que je maintenais ses joues écartées.

Je me suis penché sur les fesses rondes de ma femme, sentant la chair blanche et chaude contre mes cuisses, et j'ai tendu la main vers les mamelons de ma femme. J'ai pincé chacun d'eux très fort, ce qui l'a fait crier de joie. Elle adorait être traitée comme une salope. Elle était ma femme et ma putain.

Nous aimions ce genre de jeux fantastiques. C'est quelque chose que nous aimions depuis que nous sortions ensemble. J'ai continué à jouer avec les tétons durs de Lucie et à pétrir ses gros seins avec chaque main, ce qui l'a fait gémir de plaisir.

Je me suis redressé et j'ai frappé son cul très fort, ce qui l'a fait trembler et elle m'a crié d'en faire plus.

« S'il te plaît, bébé. J'ai besoin que tu me baises. Je veux sentir ta bite dans mon cul... S'il te plaît ! »

J'étais solide comme un roc. J'ai pris mon tube de lubrifiant et j'en ai frotté une petite quantité sur la tête de ma bite et autour de ma queue. J'ai taquiné Lucie pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'elle me supplie de lui donner ma bite.

Je l'ai soigneusement dirigée vers son petit cul serré et j'ai fait pénétrer la tête à l'intérieur. Je ne suis pas très grand, alors j'ai glissé assez facilement une fois la tête insérée. J'ai ensuite saisi le cul de Lucie et je l'ai chevauchée comme si c'était un cheval.

J'ai continué à lui enfoncer ma bite dans le cul pendant qu'elle se débattait avec les menottes que j'avais attachées à la tête de lit. Je n'ai pas fait long feu et j'ai tiré ma queue dans son cul en quelques minutes, laissant ma femme suspendue et insatisfaite alors que ma bite se réduisait à sa taille.

« Maudit, sois-tu, Franck ! Allez, fais-moi jouir ! J'ai besoin de jouir bébé... S'il te plaît ! »

J'étais haletant et j'essayais de reprendre mon souffle pendant que je déverrouillais chaque menotte pour libérer les bras de Lucie un par un. Elle s'est rapidement retournée en posant ses fesses sur le lit, a arqué ses jambes en arrière et a commencé à jouer avec sa chatte.

Je savais ce qu'elle voulait, alors je me suis déplacé sur le lit et j'ai enfoui mon visage entre ses cuisses blanches et crémeuses et j'ai commencé à aimer. Mon visage n'arrêtait pas de heurter sa main qui stimulait son clitoris. J'ai rapidement remonté mon visage jusqu'à ce que je puisse éloigner ma main de sa chatte et que ma langue prenne le relais pour stimuler son clitoris dur.

Le corps de Lucie bougeait et se secouait tout autour du lit pendant que je travaillais avec ma langue sur sa chatte. J'ai amené ma femme à trois orgasmes avant d'en finir, la laissant finalement molle et épuisée sur le lit, tandis que je me levais et attrapais une serviette pour m'essuyer le visage.

Je me suis retourné et j'ai vu quelque chose du coin de l'œil. J'avais oublié que la porte de la chambre était ouverte. Le couloir était sombre, mais j'ai pu voir la silhouette sombre d'un homme qui se tenait dans l'obscurité. Il m'a regardé et je l'ai regardé à mon tour. C'était Tyrone.

Le lendemain matin, je me suis rendue à l'étable où Tyrone nourrissait le cheval. Il m'a dit son bonjour habituel et nous avons échangé des sourires pendant que je buvais mon café. J'ai fait le tour de l'écurie en essayant de trouver quoi dire à l'homme.

« Je suppose que tu as tout vu la nuit dernière ? »

Tyrone a arrêté ce qu'il faisait et m'a regardé en disant. « Oh... Uh... Je suis vraiment désolé, Franck. Je suis rentré hier soir en pensant que quelque chose n'allait pas quand j'ai entendu Lucie crier. Tu sais que c'est toujours mieux de vérifier et de s'assurer que tout va bien ».

J'ai souri même si j'étais gênée par ce qu'il avait vu hier soir. « Oh, eh bien... Merci quand même, Tyrone. J'apprécie que tu t'inquiètes pour nous. »

Tyrone est retourné à ce qu'il faisait, puis il a hésité et s'est retourné, et ce qu'il a dit ensuite m'a fait tomber en état de choc.

« Toi, Franck. Je pourrais te donner quelques conseils sur la façon de dresser ta chienne. Oui, monsieur, je pourrais faire beaucoup de choses. » Tyrone remuait encore la pelle dans ses mains pendant qu'il parlait, mais il s'est arrêté net et m'a fixé d'un regard que je n'oublierai jamais.

« Ce dont elle a besoin, c'est d'une bonne bite noire dans son petit cul serré. » Il a continué avec audace en disant. « Tu me le dis, Franck, et je m'arrangerai pour que ça marche entre nous. »

Tyrone s'est approché jusqu'à ce que nous soyons face à face. « Je sais ce que c'est, Franck. Vous, les Blancs, vous êtes tous pareils quand il s'agit d'agir correctement et gentiment. J'ai entendu Lucie la semaine dernière d'ici tu sais. »

Mes yeux s'écarquillèrent en écoutant Tyrone parler. « Tu sais très bien de quoi je parle. La nuit où Lucie hurlait pour que tu la baises à fond et où elle n'arrêtait pas de te narguer en te disant qu'elle allait découvrir la taille de ma bite noire ! »

J'étais sous le choc ! J'ai essayé de secouer la tête et de faire comme s'il mentait, mais ça n'a pas marché. Tyrone m'a rappelé la nuit dont il parlait. Ce n'était que des paroles. Lucie aimait parler de choses désagréables quand on faisait l'amour et elle a parlé de Tyrone cette nuit-là.

« Lucie ne le pensait pas vraiment, Tyrone. »

Tyrone a secoué la tête en se remettant à travailler, puis il s'est arrêté une seconde et a ajouté. « Je sais que c'est mieux. Vous êtes tous pareils. Le vieux Johnson n'était pas différent. Il adorait me voir me taper sa femme au cul blanc. »

« Tu veux dire que tu avais une relation avec Mme Johnson ? »

« Bien sûr que oui. Cette salope m'appartenait et ils le savaient ! Pour une vieille salope blanche, elle pouvait baiser comme un vison, laisses-moi te dire ! »

Je ne me souviens pas exactement de ce qui s'est dit ensuite, mais nous avons entamé une discussion animée qui a tourné au vinaigre. Avant que tout ne soit dit et fait, j'étais là, dans le box des chevaux, à réfléchir à la proposition que Tyrone venait de me faire. Il m'a dit qu'il pouvait nous aider à améliorer notre vie sexuelle.

Ce que Tyrone voulait, c'était faire de ma femme sa salope. Sa pute, bien sûr, et il l'a dit avec passion et beaucoup d'assurance. Ce qu'il m'a dit ensuite m'a donné des frissons.

« Écoute. D'ici peu, ta femme se promènera dans cette écurie et te suppliera de lui donner une bite. Elle voudra que le feu s'éteigne dans sa chatte à chaque minute de la journée. »

Je l'ai cru, mais je me demandais qui la supplierait et qui éteindrait le feu entre ses jambes une fois qu'il l'aurait transformée en prostituée.

Oui, Tyrone était tout ce qui nous faisait fantasmer depuis son arrivée et il le savait. Il allait bientôt avoir l'occasion de faire de ma femme sa putain.