Coups d'un soir - histoire érotique

J'ai pris pour habitude de me livrer aux 'coups d'un soir'. Je trouve ça beaucoup plus
excitant, beaucoup plus naturel ... Cette histoire est considérée comme un coup d'un
soir malgré le fait qu'elle se déroule en pleine journée ...
J'étais dans ma chambre, entrain de lire un livre paisiblement lorsque j'ai entendu
des pas dans le couloir menant à celle ci. Quelques secondes plus tard, la porte
s'ouvrit violement. Je vis apparaître Johan, le meilleur ami de mon frère ainé. Je fus
tout d'abord surprise, puis je m'exclamais :
-Loic n'est pas là, il devrait rentrer dans une heure.
Ce à quoi il me répondit :
-C'est toi que je venais voir.
Il vint rapidement vers moi pour s'emparer de mon livre qu'il jeta à travers la pièce.
J'étais plongée dans l'incompréhension totale. Il me saisit les épaules et me colla
avec force et rage à la porte. Sa bouche était à quelques milimètres de la mienne, je
sentais son souffle chaud, son odeur enhivrante. Après quelques secondes il m'embrassa
passionnément. Sa langue cherchait la mienne, nos souffles s'accéléraient, ses mains
pressaient mes hanches. Je passais les miennes dans ses cheveux, m'accrochant à lui.
Il souleva ma robe courte pour passer ses mains sur mes fesses. Peu après, il vint me
coller sur mon armoire en face de la porte, faisant au passage tomber tout ce qui y
était posé. Mon dos en ressentit les effets. Ses mains étaient de plus en plus
baladeuses. Il s'écarta de moi quelques secondes à peine pour retirer son T-shirt. Je
sentais l'exitation m'envahir. Mes mains se baladaient sur son torse musclé qui me
faisait tant fantasmé. Ses lèvres vinrent trouver mon cou alors qu'une multitudes de
frissons m'envahissaient. M'embrassant le cou, il déchira ma robe d'une traite. Je
commençait à déboutonner son jeans lorsqu'il me poussa violement sur le lit. Je
n'avais même pas eu le temps de réagir qu'il était à califourchon sur moi. Nos regards
se croisèrent, et sans un mot, il repris. Il fit voler son jeans à travers la pièce
alors que mes mains s'accrochaient à son dos. Il enleva mon soutient-gorge à la
vitesse de l'éclair et s'empara aussitôt de mes seins, jouant avec. Je voulu retirer
son boxer mais il me coupa aussitôt. Il voulait commander. Je me laissais donc faire.
Il m'embrassa fougueusement, tripotant chaque partie de mon corps. Ses lèvres
descendirent sur mon ventre , passant par mes seins. Je sentis ses dents arracher mon
string. Mon souffle se faisait court, l'envie s'emparaissait de moi chaques secondes
de plus en plus. Ses mains écartèrent mes cuisses vivement, puis les carèssèrent. Je
sentis soudain sa langue jouer avec mon clitoris. Ses mains virent écarter mes lèvres
du bas, et sa langue s'y glissa délicatement. Mon souffle s'accélérait de plus en
plus; j'étais au bord de l'extase. Sa langue tournait en moi, explorait tout ce
qu'elle pouvait. Il se retira d'une traite ce qui me fit gémir. Un sourire apparut sur
son visage en m'entendant. Il retira son boxer, me laissant voir tout ses membres.
J'étais figée, tellement sa sculpture était merveilleuse. Il me redressa, fier de son
effet, et me mit à genoux approchant son pieu de ma bouche. Mes mains s'en emparèrent
débutant des vas et viens. Ma bouche vint ensuite s'y ajouter. Ma langue tournait
autour de son gland savoureux. Il agrippa mes cheveux, pousant ma tête pour accélérer
les vas et viens. Il me l'enfonça jusqu'au fond de ma gorge plusieurs fois dont une où
je toussais. Il aimait ça. Il me retourna violement, me mettant à quatre pattes. Il
vint se coller à moi. Mon excitation était immense, je n'avais qu'une envie, qu'il
entre enfin en moi. Ses mains agripèrent mes seins, les malaxant, alors qui mordait
rageusement mon épaule. Son corps chaud contre moi me donnait des frissons d'une
intensité incroyable. Je n'avais jamais ressentie cette sensation auparavant. Il me
retourna une nouvelle fois, j'étais sur le dos, lui au dessus de moi. Je voyais
l'envie dans ses yeux. Moi aussi j'avais envie, plus que tout. Il aggripa mes cheveux
et vint coller ses lèvres contre les miennes. Il n'était pas délicat, sans pour autant
être un parfait bourin; tout ce que j'aimais. Ma langue s'introduit dans sa bouche,
lui caressant le palais. Il souleva mes jambes et me pénétra d'une traite. Ses lèvres
s'écartèrent des miennes à ce moment là, laissant entendre mon cri étouffé. Son visage
s'illuminait. Il débuta les vas et viens à sa vitesse maximum, me faisant jouir sans
peine. J'avais l'impression que son engin allait plus loin à chaque accoups. Je
prenais mon pied. Jamais quelqu'un ne m'avait fait l'amour comme ça. J'agonisais
presque. Je pus apercevoir que son souffle à lui aussi était court. Ses coups de reins
étaient incroyable. Soudainement, il s'assit, m'entrainant avec lui. C'est donc en
m'agripant les hanches que nous continuâmes les vas et viens. Je n'avais vraiment
jamais ressentie autant de plaisir et d'envie. Je vis son visage se deformer, il
éjacula. Nous nous étions arretés, assis l'un sur l'autre, pour reprendre notre
souffle. Un peu plus tard, il se retira, mon frère venait d'arriver.