Coups rapides au sauna - histoire érotique

Majeur depuis deux mois, mes envies de mecs me submergent. Je suis à la gare et j'ai trop envie de tester le sauna à deux rues de là… je prendrai mon train plus tard.

Dès les vestiaires, j'essaie de jouer le mec habitué pour cacher mon hésitation.
Ces corps d'hommes nus sous la douche qui se savonnent, je ne peux me retenir, je bande, je me tourne pour échapper aux regards. Tout ruisselant, je me dirige vers le hammam. Dans la moiteur de l'endroit, un mec en suce un autre et mon excitation monte encore d'un cran. A la vue de tous, sans la moindre gêne, j'envie cette liberté et le plaisir qu'ils prennent.
Une main vient toucher mes fesses et je ne sais pas comment réagir, d'autant que deux autres mecs se rapprochent en même temps. Bien visible, devant les autres, si vite, c'est trop.

Je ressors, frustré de m'être sauvé, de n'avoir pas su comment réagir. Le sauna sec à côté me permet de calmer un instant mes ardeurs et de me sécher. Là aussi, je mate les hommes présents. L'un d'eux, fort bien équipé, après mon regard sur lui, se régale de voir mon sexe raidir et se relever. Je rêverais de le sucer mais, pudique, l'éclairage me gêne….
La chaleur excessive finit par m'étouffer, hélas. L'homme sort aussi et se dirige, comme moi, vers le labyrinthe tout à côté. L'obscurité de l'endroit, surprenante et brutale, me perturbe un peu mais je me sens mieux.

Les halètements que l'on entend d'un mec qui se fait démonter dans un box à proximité ne fait qu'amplifier mon désir de sexe et me prouvent qu'il s'y passe des choses intéressantes. Un peu à tâtons, je cherche mon chemin. L'homme qui me suivait me pousse dans un recoin et me bloque. Pris d'un désir ardent, il m'impose, me roule une pelle baveuse, d'une intensité rare. Plaqué entre la cloison et son corps, je subis son désir, qui me submerge. Son sexe rigide, dur comme de l'acier, qu'il imprime contre moi par des mouvements de son bassin, me fait chavirer et je me fait femelle pour lui.
Il me faisait envie, si mâle, si viril, si mûr… Il a eut raison de prendre l'initiative.
Son corps se frotte au mien, ses bras puissants m'enveloppent, pendant que sa langue fouille mon palais. L'effet est si agréable, si chaud…. je minaude, me tortille, pour l'exciter encore plus, lui faire comprendre mon approbation.

Il se dégage de sa serviette et enlève la mienne. Ma main sur son sexe, j'hallucine, je disjoncte d'y être arrivé et passe en roue libre. Sa bite est magnifique, raide, relevée, épaisse. Il me désire autant que moi j'ai envie de lui. Nos salives se mêlent, ses mains caressent mes fesses et se régalent du galbe de mon corps. Son dos puissant, sa poitrine velue ne m'effraient pas. Ses cuisses musclées dotées de poils raides et son crâne chauve m'excitent encore plus.

D'une pression sur mes épaules, il veut se faire sucer. Quel cadeau, quel merveilleux moment! Je ne pouvais rêver mieux, une belle bite à l'abri des regards, que je distingue à peine, qui m'émerveille tant elle remplie ma main.
Il repousse énergiquement ceux qui tentent de s'incruster et, d'une main ferme, il saisit ma tête et l'oriente vers sa queue dressée.
L'homme est solidement doté et certainement très fier de son attribut. Mes doigts enserrent le manche et mes lèvres se referment sur le gland qui suinte le lubrifiant. C'est presque trop et je perçoit les limites de la manœuvre. Cette odeur qu'il dégage, ce sexe sublime me rend fou. Je le suçote, je le déguste; il m'oblige à prendre plus. Je n'ose pas le contrarier… je ferme les yeux, ouvre ma bouche à m'en faire mal et il s'enfonce en moi… jamais je n'aurais cru sucer si belle queue.

Cette mise en bouche dure un moment. Il repousse d'autres mecs qui voudraient participer. Je m'applique et essaie de lui faire la meilleure pipe possible, masse ses couilles charnues.

Il me teste, m'envoie son gland en fond de gorge pour que je me rende compte du potentiel de son membre. J'en ai des hauts le cœur mais il ne me voit pas et je n'ai pas envie qu'il propose sa queue à un autre.
Il est si raide que je m'attends à tout instant à recevoir son sperme dans ma bouche. J'ai déjà cogité que je vais tout prendre, que je vais avaler son jus tant ce mâle me plait.

Il me redresse, me roule une pelle baveuse que je lui accorde avec plaisir, me lèche la gueule et, avant que je ne réalise, il me retourne et m'enfonce un doigt dans l'anus. Mon plaisir est si fort que j'en couine d'aise. La tête à respirer fort dans mon cou, son corps contre mon dos, il me malaxe le conduit, il m'élargit de ses doigts vigoureux, me fait découvrir le bonheur. Avec ses doigts j'ai l'impression d'avoir une bite dans le cul.
Une bousculade à côté, un brouhaha, les mateurs ont compris qu'il va m'enculer. Je suis venu dans ce sauna pour ça mais je ne pensais pas que cela se passerais comme ça. Je ne maîtrise plus rien de ce qui se passe.

Ses bras refermés sur moi, il ajuste son corps sur le mien, simule une copulation et glisse son manche entre mes fesses. Sa queue raide calée dans mon œillet, il va m'enculer, il en a trop envie.
Sa main plaquée sur ma bouche, il va me baiser, de gré ou de force… Je réalise qu'il n'a pas dû mettre de capote, tente de vérifier mais il me bloque, impatient…

Nous cognons contre la paroi et, sa main sur ma bouche et l'autre bras à me retenir de force, son gland saccage ma rondelle. Je gémis, je subis le désir brûlant de ce mâle puissant en rut.
Il me laisse murmurer au travers de ses gros doigts pour que les autres, dans l'obscurité, sachent qu'il me taraude le cul, pour que cette sodomie virile les excite. Dominant, il jubile de niquer un jeune. Je couine mais, au fond de moi, je veux qu'il continue, qu'il me pénètre à fond. Tant pis s'il y a du monde à côté et tant pis s'il n'a pas mis de capote, c'est lui que je veux…

Il sait que sa queue est épaisse. Il joue de ma docilité, de mon envie de me faire enculer. Il réussit à récupérer du gel à un distributeur juste à côté de nous et me tartine le cul puis, sans attendre, se remet en position.
Aidé par le lubrifiant, son solide mandrin ouvre ma corolle, glisse et me pénètre. D'un cri de jeune minet, je vide mes poumons; il a passé ma rondelle et me loge sans attendre son braquemart dans le fondement.
Une bousculade se crée dans notre recoin avec des murmures de satisfactions pour l'action menée. Les plus vicieux, qui ont tâté sa bite majestueuse, savent ce que je viens de prendre dans mon petit cul.

Un mec, tout près, jouissif du moment, lui demande " Tu lui l'a mise? " et continue de marmonner " Il aime ça. Putain, ! Il l'a bien prise!

Vainqueur, excité par ce témoin vicieux, sans attendre, il force encore, s'impose en moi. Son pieu continue de glisser en moi…un plaisir intense mêlé à mon trou qui souffre… il m'encule jusqu'aux couilles. J'hallucine de l'adaptation de mon cul à cette bite bien calibrée. Je me surprend à avoir les larmes et d'être heureux. Mes jambes flageolent; je suis ouvert, défoncé, enculé, dominé mais, pour rien au monde, je ne laisserai ma place.

Fier de sa virilité et ravi de m'avoir imposé son sexe, il respire dans mon oreille, me lèche, le temps que mon corps s'habitue à son solide barreau entré en moi. Mes gestes, mes plaintes de petit chat pour contenir les tiraillements de mon cul défoncé ne l'effraient pas et, de plus, ravissent l'entourage.

Le mec à côté continue ses commentaires et me demande si j'aime ça.
Il jubile de mes couinements, me couvre de paroles vulgaires comme quoi je l'ai bien prise, que je suis une future salope, sans attendre de réponse de ma part.

Mon enculeur m'enfonce deux doigts dans la bouche et commence à me forniquer. Toute la virilité de ce mâle puissant s'encastre en moi. Complètement ouvert, ma situation d'enculé est certifiée.

Il repousse sans égard un mec un peu trop tactile. Hé oui, sa grosse bite raide, il me l'a mise, et bien profond. Et maintenant, il veut profiter de son lot…
Les premiers va-et-vient sont virils, sans trop de douceur, pour m'assouplir à son désir.
Obéissant, obligé, l'inconfort s'estompe et, progressivement, cette baise virile irradie mes entrailles, me fait perdre toute retenue. C'est ce qu'il voulait, et, progressivement, il desserre son étreinte pour mieux percevoir les vibrations de mon corps.

Je bute dans la paroi à chaque coup de reins de sa part. Autoritaire, il m'appuie sur le dos pour que je me cabre et que je lui présente au mieux ma petite chatte de mec. Je m'accroche à un radiateur qui se trouve là, ses couilles claquent et font un bruit saccadé des plus érotique.
Vous savez, ce bruit de grosses couilles qui vient claquer sur un cul lubrifié…

Vaincu, dominé, je subis cette sodomie merveilleuse par ce sénior viril.
Je suis heureux et, tel une femelle en chaleur, je me prête à ce mâle…je crie mon extase sans pudeur pour lui faire partager mon plaisir…
A côté, le mec me traite de salope… et n'arrête pas de baver des "Oh Putain! en souhaitant sûrement m'en donner une tournée…
Je n'y prête pas attention, me laisse tripoter par des mains inconnues, laisse faire.

Tout le monde a compris que ce mâle me fait mon affaire.
Son braquemart coulisse en moi tel un vérin, prêt à me graisser Ce mâle rien que pour moi, je sens monter la jouissance, je vais rendre les armes… C'est l'extase totale!
Mon sexe s'apprête à gicler de bonheur…

Un mec s'accroupit et réussit à prendre ma queue en bouche. Débordé par la situation, je n'ai pas la force de m'y opposer. C'est trop; incapable de me retenir, je vacille, je jouis, je crie de dépit en crispant mes mains sur la tête de l'inconnu. Mon nœud gicle au fond de sa gorge pendant qu'il aspire sans retenue. Mon enculeur se raidit contre moi, ses cuisses vibrent... Il me remplit de son sperme, se vide les couilles… Il braille et gueule sa victoire pour épater l'entourage, lâche un soupir peu discret, finit par un "Ah, Putain", ravi de sa prestation…

Il se retire dès la saillie finie et je sens comme un vide entre mes fesses. Le mec accroupit tente de lui sucer la bite mais il le repousse sans ménagement. Cette prestation ne l'intéresse pas.
Il récupère sa serviette et se taille sans une parole, me laissant là, le cul ouvert et gluant.

Tout étourdi par ce qui vient de m'arriver, les couilles vides et le cul plein, je vérifie mon trou super dilaté; du sperme s'en échappe. Il ne m'a pas loupé. Un peu rapide depuis mon entrée mais j'ai adoré le moment et l'endroit.

Je récupère ma serviette moi aussi et essaie de reprendre mes esprits, de me dégager de là.
Le mec, celui qui s'extasiait de ma condition et qui me racontait des obscénités, trop excité, m'empêche de repartir et me tripote déjà le cul.

C'est une force de la nature. Sans me demander mon avis, il me tourne de force et glisse son sexe en feu entre mes fesses. L'introduction est brutale, d'une redoutable efficacité et je ne peux retenir un cri de jouissance en le sentant me pénétrer.
Lui aussi veut sa part du gâteau et profiter de mon cul.
Coincé contre la cloison, il m'a emmanché son appareil reproducteur. Je n'ai pas mal. Mon plaisir est même immédiat tant ça glisse bien. Pourtant, je le sens bien équipé, peut être mieux que le sénior.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'accepte, en silence. Son désir de me niquer est si fort, je le prend comme un honneur. La cloison vibre violemment à chaque coup de piston qu'il m'envoie que personne ne peut avoir de doute sur son énergie et ce qu'il me fait. Je l'imagine plus jeune, la trentaine, mais avec une volonté absolue de se soulager sexuellement.

Son plaisir est intense et il ne s'en cache pas. Il pousse brutalement un intrus qui tente de s'incruster, lui dit de dégager, et ce sans attendre. Puis, se sentant accepté, rien que nous deux, il devient plus câlin, me prévient qu'il va jouir en moi, me faire un petit, m'appelle même "mon chéri" …
Les coups de bite redoublent d'intensité, pour son plaisir et aussi pour le mien.

Sa grosse poigne saisit mon sexe et, dans un silence à peine croyable, je jouis une seconde fois, dans sa main, pendant qu'il m'ensemence bien profond. Son souffle libérateur, sa satisfaction accompagnée d'un "Oh Putain" semblent fabuleux. Sans bouger, nous laissons nos corps s'apaiser…

Il ne se sauve pas et me laisse me dégager de son sexe. Sa main s'essuie sur moi puis vient masser mon cul démoli. Il est ravi de m'avoir niqué et il ne s'en cache pas. C'est une fierté pour lui de m'avoir graissé. Son gros doigt dans mon cul, il jubile de sentir son foutre dans mon conduit. Sa tête contre la mienne, sa barbe de plusieurs jours me pique puis, dominant, il m'impose une pelle.
Sa langue fouille ma bouche. Il s'installe en moi là aussi, me salive le palais, savoure ma docilité.

Sa grosse main saisit mon bras et il m'entraine vers la sortie du labyrinthe.

Je découvre un mec, un homme charpenté, costaud, la trentaine comme j'avais imaginé. Jamais je n'aurais imaginé me faire baiser par pareil mec tatoué, pareil mec baraqué, à l'allure de macho confirmé. Aux douches, sans la moindre pudeur, sans la moindre gêne, il décide de s'occuper de moi, comme si j'étais son "chéri". Vu son gabarit, son physique, les autres regardent, laissent faire et, bien sûr, se rincent l'œil.

Il exige que je le savonne partout, rien que pour étaler sa puissance devant les autres. Les couilles y passent elles aussi et, bien sûr, son manche reprend de la vigueur entre mes mains. Un type tente de profiter du moment, de toucher sa queue raide mais il se fait repousser. Inutile d'insister, service privé qui m'est uniquement réservé.
J'admets que c'est super valorisant de s'occuper d'un mâle pareil et que mon excitation est à son maximum.

Exalté par mon attitude de passif consentant, feignant d'ignorer le regard des hommes du sauna, il m'emmène avec lui vers un box. Tous les témoins comprennent qu'il va me tringler, que je vais devoir le satisfaire. Un jeune comme moi nous regarde, envieux de ma position, admiratif du bambou dressé que je vais me prendre entre les fesses.

Pris pour un vide couilles, en effet, j'ai dû le satisfaire, le sucer, lui offrir à nouveau mon trou.
Je suis ressorti du box, comblé, repus de sexe, le cul plein, la bouche engluée. Oui, j'ai pris mon pied.
Ah, ce sauna, quelle aventure!


Caramel35
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