Cour de perfectionnement pour Patricia.
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cour de perfectionnement pour Patricia.
Karim arrive mais pas seul.
Je suis toujours dans ma chambre avec Malia.
Elle m’a mis une fine couette sur moi car j’avais froid. En dessous, je suis nue, mon corps repose sur le côté avec encore et toujours le plug dans l’anus retenu par une grosse rondelle pour qu’il ne puisse pas s’enfoncer plus loin.
Je me suis habituée à sa présence dans mon cul. Je me sens remplie mais sans réelle douleur mais plutôt une gêne.
Malia me dit que Karin est en route et qu’il vient avec un de ses meilleurs amis qui s’appelle Ali.
Je ne te parle pas de Karim puisque tu le connais déjà. Par contre, Ali est très différent. Son unique passion est de perforé le cul des femmes. Le reste, les seins, la vulve ne l'intéresse pas du tout.
En plus, dit-elle, autant la bite de Karim est longue et fine, que celle d'Ali est énorme.
Je pense qu’ils vont te prendre tous les deux en même temps et soit sûr que Ali t’enculera.
Rassure toi , c’est moi qui l’aiderai à te besogner avec force.
C’est pour cette raison que je laisse le plug pour te dilater jusqu’au bout.
Je commence à angoisser énormément, il va me déchirer, dis-je. Elle me répond que non et que c’est un spécialistes dans ce domaine. Dans son pays, elle a déjà vu des culs de jeunes filles plus petit que le mien, s’élargir encore plus.
Bien sûr, je n’ai plus peur de les salir et d’avoir un accident, maintenant que je suis propre de l’intérieur. Je n’ai plus cette appréhension.
Soudain, j'entends Karim arrivé, il parle à l’autre homme. Ils commencent à monter les marches et arrivent dans la chambre.
Je les regarde tous les deux, Karim me sourit et l’autre me dit simplement bonjour.
Ali est encore plus grand et plus musclé que Karim, pas aussi beau.
Tu sais pourquoi nous sommes là, me dit Karim. Eh bien, c’est tout simplement pour finir ton éducation de femme blanche soumise.
Allez, commençons, il me tire la couette pour la mettre par terre et j’apparais nue avec ce tuyau et sa poire à son extrémité qui me sort de mes fesses. Je me sens ridicule dans cette posture.
Aucun, n’a rit. Tu vois dit Karim à Ali, je ne t’ai pas menti. C’est une femme avec des formes généreuses et surtout des fesses comme tu les aimes. Tu vas pouvoir t'en donner à cœur joie.
Les trois compères se déshabillent avec hâte et Malia récupère le flacon du liquide visqueux.
Ali s'approcha de mes fesses et tourne une petite vis à l'extrémité de la poire du plug.
Aussitôt, je sens le plug diminué de volume dans mon ventre et sors de mon cul tout seul.
Maintenant, me dit Karim, mets toi sur le dos et laisse toi guider par Ali.
C'est à ce moment que je vois la verge d'Ali. je pousse un cri d'effroi en la voyant. Elle bande à moitié et déjà son diamètre était de 5 cm.
Je referme les jambes en serrant les cuisses. Je crie comme une folle. Non, je ne veux pas, vous êtes fou, je vais avoir très mal.
Karim se positionna à califourchon sur mon visage et m'enfonça sa bite entière dans la bouche, je ne pouvais plus hurler. Maintenant, suce- moi, mais très doucement, je ne veux pas jouir de suite, nous avons le temps, n'est-ce pas Ali!
Malia prend dans sa main, une grande giclée de lubrifiant et commence à branler Ali doucement puis de plus en plus vite.
Le mandrin est en complète érection, dur comme du marbre et totalement dressé presque à la vertical.
Il a encore grossi mais peu, par contre, il a gagné en longueur. Je ne sais pas qu'un sexe d'homme pouvait être aussi gros et long.
Ali se positionna devant moi, il m'écarte les jambes et les poses sur ses avant-bras sans aucun effort. J'ai le bassin surélevé et lui présente ainsi ma vulve et mon anus.
Malia vient à côté de moi, m'écarte les fesses et m'injecte une bonne dosse de lubrifiant. Je sens que j'ai l'anus encore ouvert.
Elle prend le pieux d'Ali dans une de ses mains et le présente devant ma pastille. Elle me parle doucement à l'oreille et me dit de respirer amplement mais lentement et régulièrement.
Je sens la chaleur du gland sur mon anus. Pousse doucement, dit-elle à Ali. Mon cul s'écarte de lui-même et le dart s'enfonce doucement de quelques cm. A ma grande surprise, je ressens une petite douleur mais c’est très supportable. Merci le plug.
Je commence à trembler de tout mon corps, maintenant, c'est plus de la moitié du sexe qui est rentré.
Malia vient m'aider, elle remet du lubrifiant sur la queue et sur mon sexe. Elle commence à me branler le clitoris et toute la vulve.
J'ai quelques contractions et c'est à ce moment où je m'y attends le moins quelle demande à Ali de me pénétrer entièrement.
D'un coup de rein puisant, la barre me transperce jusqu'au bout. Ali brait comme un âne.
Je lâche le sexe que j'avais dans la bouche et crie de toutes mes forces. Mon bassin se soulève d'un coup, mes jambes se tétanisent et je pisse par saccades sans pouvoir me contrôler sur le ventre d'Ali qui se met à rire. Je n'avais pas joui mais c'était plutôt une réaction de défense de mon corps.
Une fois au fond, Ali reste sans bouger.
Eh bien, ma belle, quelle réaction. Ali ressort doucement son engin et s'essuya le ventre et son pénis avec une serviette de bain. Malia lui remet du liquide lubrifiant. Elle recommence avec moi et en rajoute dans mon anus encore grand ouvert.
Tu es prête, me dit-il? Aucune parole ne sort de ma bouche. Maintenant, je vais vraiment commencer à t'enculer.
Il se guide lui-même et enfonce à nouveau d'un seul coup son gros morceau de chair.
Ali commence à faire des allers-retours avec une grande amplitude. Doucement d'abord puis de plus en plus vite.
Karim et Malia regardent la scène en se masturbant tous les deux comme des fous.
Je les regarde aussi et cela m’excite beaucoup, un terrible parfum d’amour remplit la pièce en augmentant encore plus mon désir.
Moi, je ne sens plus mon cul, il s'ouvre tout seul, il me chauffe terriblement, mon corps se cabre plusieurs fois, je coule de sueur, je suis remplie de contractions, des sons violents sortent de ma bouche, des feulements, des crient, des paroles incompréhensibles. Est-ce que je jouis ? Je ne sais pas vraiment, c’est insoutenable, un peu par la douleur mais plutôt par la tension de tout mon corps.
Je ne suis pas sûr, mais je crois que mon sexe mouille et coule comme une fontaine de cyprine qui alimente en lubrifiant son énorme pénis en dessous.
Pendant un bon quart heure, Ali, m'encule en faisant varier la vitesse de se va et vient ainsi que sa profondeur de pénétration. Va-t-il s'arrêter un jour ?
Soudain, je sens mon vagin et surtout mon anus qui se resserrent tous les deux très violemment. Je ne sais plus où se trouve la limite de la douleur et du plaisir. Des sons rauques et puissants sortent de ma bouche, mes yeux se révulsent sous la puissance de cet orgasme destructeur. Les deux trous restent crispés et serrés, ce qui provoque chez Ali, un orgasme aussi phénoménal. Lui aussi, gueule dans sa langue maternelle des mots et des grognements que je ne comprends pas.
Par saccades, sa verge se vide en moi, dans mon cul, d’une quantité inimaginable de liqueur blanche et onctueuse.
Mon cul se détend doucement et s’est à ce moment qu’Ali profite de se retirer, libéré de sa prison.
Sa verge commence à redevenir un peu plus molle et moins arrogante.
N’ayant plus le contrôle de mes sphincters, un flot de sperme coule de mon trou béant et glisse le long de ma raie pour venir s’échouer sur ma serviette.
Tous les protagonistes ont joui, pas en même temps, mais presque. Karim et Malia ensemble sous leurs caresses réciproques et enfin moi et Ali.
On se sert ensemble sur le lit et l’on dort, complètement épuisé et fourbu.
Amis lecteurs, cette histoire peut se terminer là. Si vous voulez une suite, dites- le moi.
Je suis toujours dans ma chambre avec Malia.
Elle m’a mis une fine couette sur moi car j’avais froid. En dessous, je suis nue, mon corps repose sur le côté avec encore et toujours le plug dans l’anus retenu par une grosse rondelle pour qu’il ne puisse pas s’enfoncer plus loin.
Je me suis habituée à sa présence dans mon cul. Je me sens remplie mais sans réelle douleur mais plutôt une gêne.
Malia me dit que Karin est en route et qu’il vient avec un de ses meilleurs amis qui s’appelle Ali.
Je ne te parle pas de Karim puisque tu le connais déjà. Par contre, Ali est très différent. Son unique passion est de perforé le cul des femmes. Le reste, les seins, la vulve ne l'intéresse pas du tout.
En plus, dit-elle, autant la bite de Karim est longue et fine, que celle d'Ali est énorme.
Je pense qu’ils vont te prendre tous les deux en même temps et soit sûr que Ali t’enculera.
Rassure toi , c’est moi qui l’aiderai à te besogner avec force.
C’est pour cette raison que je laisse le plug pour te dilater jusqu’au bout.
Je commence à angoisser énormément, il va me déchirer, dis-je. Elle me répond que non et que c’est un spécialistes dans ce domaine. Dans son pays, elle a déjà vu des culs de jeunes filles plus petit que le mien, s’élargir encore plus.
Bien sûr, je n’ai plus peur de les salir et d’avoir un accident, maintenant que je suis propre de l’intérieur. Je n’ai plus cette appréhension.
Soudain, j'entends Karim arrivé, il parle à l’autre homme. Ils commencent à monter les marches et arrivent dans la chambre.
Je les regarde tous les deux, Karim me sourit et l’autre me dit simplement bonjour.
Ali est encore plus grand et plus musclé que Karim, pas aussi beau.
Tu sais pourquoi nous sommes là, me dit Karim. Eh bien, c’est tout simplement pour finir ton éducation de femme blanche soumise.
Allez, commençons, il me tire la couette pour la mettre par terre et j’apparais nue avec ce tuyau et sa poire à son extrémité qui me sort de mes fesses. Je me sens ridicule dans cette posture.
Aucun, n’a rit. Tu vois dit Karim à Ali, je ne t’ai pas menti. C’est une femme avec des formes généreuses et surtout des fesses comme tu les aimes. Tu vas pouvoir t'en donner à cœur joie.
Les trois compères se déshabillent avec hâte et Malia récupère le flacon du liquide visqueux.
Ali s'approcha de mes fesses et tourne une petite vis à l'extrémité de la poire du plug.
Aussitôt, je sens le plug diminué de volume dans mon ventre et sors de mon cul tout seul.
Maintenant, me dit Karim, mets toi sur le dos et laisse toi guider par Ali.
C'est à ce moment que je vois la verge d'Ali. je pousse un cri d'effroi en la voyant. Elle bande à moitié et déjà son diamètre était de 5 cm.
Je referme les jambes en serrant les cuisses. Je crie comme une folle. Non, je ne veux pas, vous êtes fou, je vais avoir très mal.
Karim se positionna à califourchon sur mon visage et m'enfonça sa bite entière dans la bouche, je ne pouvais plus hurler. Maintenant, suce- moi, mais très doucement, je ne veux pas jouir de suite, nous avons le temps, n'est-ce pas Ali!
Malia prend dans sa main, une grande giclée de lubrifiant et commence à branler Ali doucement puis de plus en plus vite.
Le mandrin est en complète érection, dur comme du marbre et totalement dressé presque à la vertical.
Il a encore grossi mais peu, par contre, il a gagné en longueur. Je ne sais pas qu'un sexe d'homme pouvait être aussi gros et long.
Ali se positionna devant moi, il m'écarte les jambes et les poses sur ses avant-bras sans aucun effort. J'ai le bassin surélevé et lui présente ainsi ma vulve et mon anus.
Malia vient à côté de moi, m'écarte les fesses et m'injecte une bonne dosse de lubrifiant. Je sens que j'ai l'anus encore ouvert.
Elle prend le pieux d'Ali dans une de ses mains et le présente devant ma pastille. Elle me parle doucement à l'oreille et me dit de respirer amplement mais lentement et régulièrement.
Je sens la chaleur du gland sur mon anus. Pousse doucement, dit-elle à Ali. Mon cul s'écarte de lui-même et le dart s'enfonce doucement de quelques cm. A ma grande surprise, je ressens une petite douleur mais c’est très supportable. Merci le plug.
Je commence à trembler de tout mon corps, maintenant, c'est plus de la moitié du sexe qui est rentré.
Malia vient m'aider, elle remet du lubrifiant sur la queue et sur mon sexe. Elle commence à me branler le clitoris et toute la vulve.
J'ai quelques contractions et c'est à ce moment où je m'y attends le moins quelle demande à Ali de me pénétrer entièrement.
D'un coup de rein puisant, la barre me transperce jusqu'au bout. Ali brait comme un âne.
Je lâche le sexe que j'avais dans la bouche et crie de toutes mes forces. Mon bassin se soulève d'un coup, mes jambes se tétanisent et je pisse par saccades sans pouvoir me contrôler sur le ventre d'Ali qui se met à rire. Je n'avais pas joui mais c'était plutôt une réaction de défense de mon corps.
Une fois au fond, Ali reste sans bouger.
Eh bien, ma belle, quelle réaction. Ali ressort doucement son engin et s'essuya le ventre et son pénis avec une serviette de bain. Malia lui remet du liquide lubrifiant. Elle recommence avec moi et en rajoute dans mon anus encore grand ouvert.
Tu es prête, me dit-il? Aucune parole ne sort de ma bouche. Maintenant, je vais vraiment commencer à t'enculer.
Il se guide lui-même et enfonce à nouveau d'un seul coup son gros morceau de chair.
Ali commence à faire des allers-retours avec une grande amplitude. Doucement d'abord puis de plus en plus vite.
Karim et Malia regardent la scène en se masturbant tous les deux comme des fous.
Je les regarde aussi et cela m’excite beaucoup, un terrible parfum d’amour remplit la pièce en augmentant encore plus mon désir.
Moi, je ne sens plus mon cul, il s'ouvre tout seul, il me chauffe terriblement, mon corps se cabre plusieurs fois, je coule de sueur, je suis remplie de contractions, des sons violents sortent de ma bouche, des feulements, des crient, des paroles incompréhensibles. Est-ce que je jouis ? Je ne sais pas vraiment, c’est insoutenable, un peu par la douleur mais plutôt par la tension de tout mon corps.
Je ne suis pas sûr, mais je crois que mon sexe mouille et coule comme une fontaine de cyprine qui alimente en lubrifiant son énorme pénis en dessous.
Pendant un bon quart heure, Ali, m'encule en faisant varier la vitesse de se va et vient ainsi que sa profondeur de pénétration. Va-t-il s'arrêter un jour ?
Soudain, je sens mon vagin et surtout mon anus qui se resserrent tous les deux très violemment. Je ne sais plus où se trouve la limite de la douleur et du plaisir. Des sons rauques et puissants sortent de ma bouche, mes yeux se révulsent sous la puissance de cet orgasme destructeur. Les deux trous restent crispés et serrés, ce qui provoque chez Ali, un orgasme aussi phénoménal. Lui aussi, gueule dans sa langue maternelle des mots et des grognements que je ne comprends pas.
Par saccades, sa verge se vide en moi, dans mon cul, d’une quantité inimaginable de liqueur blanche et onctueuse.
Mon cul se détend doucement et s’est à ce moment qu’Ali profite de se retirer, libéré de sa prison.
Sa verge commence à redevenir un peu plus molle et moins arrogante.
N’ayant plus le contrôle de mes sphincters, un flot de sperme coule de mon trou béant et glisse le long de ma raie pour venir s’échouer sur ma serviette.
Tous les protagonistes ont joui, pas en même temps, mais presque. Karim et Malia ensemble sous leurs caresses réciproques et enfin moi et Ali.
On se sert ensemble sur le lit et l’on dort, complètement épuisé et fourbu.
Amis lecteurs, cette histoire peut se terminer là. Si vous voulez une suite, dites- le moi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres bien
Vivement la suite
Non on n’en veut pas votre histoire parle de drogue et viol au départ sans oublier le racisme anti blanc donc NON.