Cours d'éducation sexuelle. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2020 dans la catégorie Plus on est
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Cours d'éducation sexuelle. 3
La prof de science doit donner des cours d’éducation sexuelle. 3Olivier se penche et glisse une main dans chaque échancrure de nos corsages pour caresser nos seins doucement. Je mouille ma culotte plus que jamais et glisse ma main sous ma jupe pour recueillir un peu de ma cyprine sur mon index pour la faire goûter à Sylvie et en profite pour lui dérober le témoin.
Sans même réfléchir, je reviens gober cette formidable verge, ma langue tournoyant sur le bout de son gland. Il grimace de plus en plus
Suite : AGNES :Je le regarde droit dans les yeux, sa bite enfoncée dans ma gorge comme la dernière des putes. Mais Sylvie, comme moi, a un feu qui bouillonne dans son ventre brûlant et m’arrache de force pour prendre ma place. S’en suit un jeu de chaises musicales mais Olivier n’en peut plus et pendant que je laisse sa bite ressortir lentement de ma bouche pour reprendre mon souffle, nous voyons sa lance se contracter et tressauter comme douée d’une vie propre.
Olivier attrape ce gourdin sauvage comme pour le domestiquer et dirige son sperme qui gicle avec une telle puissance que j’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche. Un goût âcre et salé excite mes papilles avant de glisser dans ma gorge. Ce premier jet est suivi de beaucoup d’autres, longs et continus, qu’il partage équitablement entre Sylvie et moi. Son sperme liquide relie nos deux bouches, j’avale en femme experte la divine liqueur et me jette sur son membre pour le pomper jusqu’à la dernière goutte et bien lui vider ses couilles pour la deuxième fois. Il finit enfin de couler sur ma langue, mais je le suce tout de même encore un peu avant de sortir son chibre de ma bouche.
Je garde les lèvres fermées couvertes de sperme et déglutis une dernière fois, j’en ai aussi sur les seins mais Sylvie passe par là. Mon cœur bat à cent à l’heure.
Olivier secoue sa bite, remonte slip et pantalon et s’exclame :
-Bien, bien les filles… Rideau pour aujourd’hui… Pour une nouvelle représentation, il faudrait trouver un endroit plus discret, vous ne croyez-pas ?
- Huuummm, grogne de plaisir Sophie. En temps que tes professeurs, on devrait repousser une telle proposition, mais c’était trop bon, hein Agnès ! Olivier, t’es un beau pervers mais c’est si rare de nos jours de trouver un tel étalon, si ça te dis de te taper deux salopes, je te donne mon adresse…-Je ne sais pas qui est le plus pervers, la coupe Olivier. Vous êtes de vraies salopes mais tellement belles, je n’aurais jamais cru que vous puissiez être si chaudes et être intéressées par les petits jeunes.
Nous nous contentons de lui sourire, il est mignon dans son genre, mais là, il se fout carrément de nous. Je lui donne mon adresse quand soudain la sonnerie de la fin de cour résonne, Olivier nous colle une bise à chacune, puis ouvre la porte en nous envoyant :
-Tirez au sort la première que je vais troncher !
Petit con, va ! Mais sa question est à creuser… Sylvie m’interroge :-Alors ? Je ne t’avais pas menti ? Il est très prometteur… Tu avais déjà sucé un gars monté comme un âne ?
Je plisse mes jolis yeux et lui sourie, mes mamelons pointent toujours sous mes habits tellement il m’a chauffée.
- Je veux juste passer une nuit avec toi et lui pour voir s’il va pouvoir assouvir deux couguars !
Deux jours après, une heure avant l’heure prévue avec Olivier, je sonne chez Sylvie, elle m’ouvre et me fait entrer au salon. Cela fait des années que je rêve de la prendre dans mes bras, c’est le moment ou jamais pour la plier à mes désirs. Je lui montre mon Smartphone et lui passe un petit film très explicite de la séance de l’autre jour.
-Ma chère Sylvie, verrais-tu un inconvénient à ce que nous nous échauffions mutuellement en attendant Olivier ?
Elle proteste à peine, son corps déjà soumis. Je soulève sa jupe, descends collant et string en glissant mes doigts inquisiteurs à l’intérieur. Sans protester, Sylvie écarte docilement les cuisses en m’avouant que c’est la première fois qu’elle se fait caresser par une femme. Je l’excite, l’amenant proche de l’orgasme, mais sans jamais la laisser l’atteindre. Mon doigt glisse avec facilité dans son intimité, ma main cajole son clito, la rendant pantelante mais je maîtrise avec maestria les signes annonciateurs de son plaisir.
– Mets-toi à poil. Commence par déboutonner ton chemisier et déshabille-toi, je veux te voir! C’est cela, oui, mais dépêche-toi un peu !
Les mains de Sylvie se dirigent vers les boutons de son chemisier, les faisant sauter l’un après l’autre.
Elle se tient bien droite devant moi, le rouge lui monte aux joues.
-Retire-le, bien, maintenant ton soutien-gorge.
Sylvie obtempère, retire son chemisier et dégrafe son soutien-gorge, dévoilant sa poitrine généreuse avec de grosses aréoles au centre de jolis seins fermes et opulents, se retrouvant nue jusqu’à la ceinture.
-La jupe maintenant.
Sans un mot, Sylvie ouvre sa jupe et la laisse glisser sur le sol.
–Maintenant enlève le reste !
Sylvie retire ses collants et sa culotte et se tient maintenant, debout, nue, devant moi, attendant la suite.
– Met tes fesses contre la table et pose tes mains dessus pour faire ressortir ta poitrine.
Je viens admirer le spectacle et lui pince un téton.
-On dirait que ça te plait de t’exhiber, tes tétons sont déjà tout durs.
Elle ne me répond pas, elle ne veut pas l’admettre mais je vois bien que ça l’excite. Je pince plus fort la pointe des seins jusqu’à ce qu’elle gémisse.
- Réponds-moi !
- Non, je ne peux pas dire que je suis folle de ce traitement.
Elle a beau nier, son corps dit le contraire, je la sens excitée par ce traitement et son sexe s’humidifie sous ma main exploratrice.
-Allonge-toi sur la table et ouvre le compas de tes cuisses,Elle m’obéit et s’allonge sur le dos en écartant largement ses cuisses qu’elle tire à elle de ses mains pour les maintenir bien relevées dévoilant ainsi une vulve accueillante et bombée à souhait.
-J’en rêve depuis l’école de te faire jouir…regarde ce que j’ai apporté.
Je sors de mon sac une belle bite vibrante que je graisse avec du gel, je mets l’engin en marche avant de l’enfourner sans façon dans le sexe déjà luisant de Sylvie. Il ne lui faut pas longtemps avant qu’elle ne se trémousse en proie à un orgasme forcé. Elle explose tellement de jouissance que sa mouille dégouline dans la fente de ses fesses agitées de soubresauts. Elle est couverte de sueur, abattue mais comblée, la pointe de ses seins dure comme du granit, une main entre ses cuisses, la belle essaie de prolonger la chose.
Sylvie se redresse et me prend dans ses bras, me murmurant l’oreille en me serrant fort.
-Merci Agnès. Je ne suis pas lesbienne mais j’ai apprécié. Pour moi, ce n’était qu’un fantasme, même si je préfère les hommes.
Je lui souris puis me recule, la regardant droit dans les yeux.
-Je suis contente de ta réaction, je lui rétorque, mes bras entourant sa nuque, tu dois me prendre pour une gouine qui…Sylvie pose un doigt sur mes lèvres :- Plutôt une belle salope, Sylvie, jolie performance, ça promet pour tout à l’heure !
OLIVIER :C’est « Le jour J), je me suis levé super tôt, il devait être 6 heures du matin et je n’avais pas très bien dormi en pensant à ce qui allait se passer ce samedi. J’ai pris une douche pour être propre. Je n’en mène quand même pas large en sonnant à la porte de ma prof. Dans ma tête, je me refais le film de ces deux couguars assoiffées de ma bite, j’en ai déjà des picotements dans mon boxer.
Je sonne et Agnès vient m’ouvrir, me colle une bise et me fait entrer dans le salon où se prélasse Sophie dans un divan, complètement nue… Elle fait tourner une petite culotte en soie dans sa main droite puis me l’envoie en disant d’une manière provocante :
-Respire le parfum de ma choupinette et dis-moi si ça te mets en appétit, tu crois que ta bite pourra éteindre le feu de ma chatte en chaleur?
Agnès rigole, elle porte une mini-jupe, des bas noirs qui contrastent avec un top blanc où pointent déjà ses tétons. Elle vient se coller contre moi, caresse mon cul puis ma verge à travers le pantalon.
-Tu n’es pas encore dur, mais pour que tu assures, je vais passer un collier à Popaul !
Je n’ai même pas le temps de réagir qu’en deux temps, trois mouvements, je me retrouve la bite à l’air, et la salope commente la manip…
-Je vais te passer ce joint en caoutchouc de plomberie de 48 millimètre de diamètre autour de la verge, d’abord une boule, puis la deuxième, ensuite je plie ta queue pour passer le gland dans l’anneau et tout faire passer jusqu’à ce que l’anneau soit glissé le plus loin possible. Maintenant, tu vas bander comme jamais quand je vais sucer ta bite.
Elle y va carrément. Je suis debout, le pantalon baissé à mi-cuisses, avec ma queue qui grossit à une vitesse folle dans la bouche de ma prof qui me pompe avec application, et j’apprécie beaucoup.
Puis elle me déshabille sans se presser. Ma queue est remplie à ras bord d’envie de chattes. Elle me caresse longuement sur tout le corps, puis se saisit à pleine main de ma hampe qu’elle serre entre ses petits doigts. Agnès penche la tête et tel un oiseau de proie, sa bouche grande ouverte se précipite sur mon gland cramoisi. Sa langue brûlante roule de gros patins sur le bout de ma tige. Elle descend maintenant avec lenteur pour m’offrir une gorge profonde comme je n’en ai rarement connue. Tel un boa avalant sa proie, ma verge disparait après quelques reptations de ses mâchoires sur ma hampe comme dans une gaine de velours et bientôt ses lèvres touchent mes couilles.
A suivre…
Sans même réfléchir, je reviens gober cette formidable verge, ma langue tournoyant sur le bout de son gland. Il grimace de plus en plus
Suite : AGNES :Je le regarde droit dans les yeux, sa bite enfoncée dans ma gorge comme la dernière des putes. Mais Sylvie, comme moi, a un feu qui bouillonne dans son ventre brûlant et m’arrache de force pour prendre ma place. S’en suit un jeu de chaises musicales mais Olivier n’en peut plus et pendant que je laisse sa bite ressortir lentement de ma bouche pour reprendre mon souffle, nous voyons sa lance se contracter et tressauter comme douée d’une vie propre.
Olivier attrape ce gourdin sauvage comme pour le domestiquer et dirige son sperme qui gicle avec une telle puissance que j’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche. Un goût âcre et salé excite mes papilles avant de glisser dans ma gorge. Ce premier jet est suivi de beaucoup d’autres, longs et continus, qu’il partage équitablement entre Sylvie et moi. Son sperme liquide relie nos deux bouches, j’avale en femme experte la divine liqueur et me jette sur son membre pour le pomper jusqu’à la dernière goutte et bien lui vider ses couilles pour la deuxième fois. Il finit enfin de couler sur ma langue, mais je le suce tout de même encore un peu avant de sortir son chibre de ma bouche.
Je garde les lèvres fermées couvertes de sperme et déglutis une dernière fois, j’en ai aussi sur les seins mais Sylvie passe par là. Mon cœur bat à cent à l’heure.
Olivier secoue sa bite, remonte slip et pantalon et s’exclame :
-Bien, bien les filles… Rideau pour aujourd’hui… Pour une nouvelle représentation, il faudrait trouver un endroit plus discret, vous ne croyez-pas ?
- Huuummm, grogne de plaisir Sophie. En temps que tes professeurs, on devrait repousser une telle proposition, mais c’était trop bon, hein Agnès ! Olivier, t’es un beau pervers mais c’est si rare de nos jours de trouver un tel étalon, si ça te dis de te taper deux salopes, je te donne mon adresse…-Je ne sais pas qui est le plus pervers, la coupe Olivier. Vous êtes de vraies salopes mais tellement belles, je n’aurais jamais cru que vous puissiez être si chaudes et être intéressées par les petits jeunes.
Nous nous contentons de lui sourire, il est mignon dans son genre, mais là, il se fout carrément de nous. Je lui donne mon adresse quand soudain la sonnerie de la fin de cour résonne, Olivier nous colle une bise à chacune, puis ouvre la porte en nous envoyant :
-Tirez au sort la première que je vais troncher !
Petit con, va ! Mais sa question est à creuser… Sylvie m’interroge :-Alors ? Je ne t’avais pas menti ? Il est très prometteur… Tu avais déjà sucé un gars monté comme un âne ?
Je plisse mes jolis yeux et lui sourie, mes mamelons pointent toujours sous mes habits tellement il m’a chauffée.
- Je veux juste passer une nuit avec toi et lui pour voir s’il va pouvoir assouvir deux couguars !
Deux jours après, une heure avant l’heure prévue avec Olivier, je sonne chez Sylvie, elle m’ouvre et me fait entrer au salon. Cela fait des années que je rêve de la prendre dans mes bras, c’est le moment ou jamais pour la plier à mes désirs. Je lui montre mon Smartphone et lui passe un petit film très explicite de la séance de l’autre jour.
-Ma chère Sylvie, verrais-tu un inconvénient à ce que nous nous échauffions mutuellement en attendant Olivier ?
Elle proteste à peine, son corps déjà soumis. Je soulève sa jupe, descends collant et string en glissant mes doigts inquisiteurs à l’intérieur. Sans protester, Sylvie écarte docilement les cuisses en m’avouant que c’est la première fois qu’elle se fait caresser par une femme. Je l’excite, l’amenant proche de l’orgasme, mais sans jamais la laisser l’atteindre. Mon doigt glisse avec facilité dans son intimité, ma main cajole son clito, la rendant pantelante mais je maîtrise avec maestria les signes annonciateurs de son plaisir.
– Mets-toi à poil. Commence par déboutonner ton chemisier et déshabille-toi, je veux te voir! C’est cela, oui, mais dépêche-toi un peu !
Les mains de Sylvie se dirigent vers les boutons de son chemisier, les faisant sauter l’un après l’autre.
Elle se tient bien droite devant moi, le rouge lui monte aux joues.
-Retire-le, bien, maintenant ton soutien-gorge.
Sylvie obtempère, retire son chemisier et dégrafe son soutien-gorge, dévoilant sa poitrine généreuse avec de grosses aréoles au centre de jolis seins fermes et opulents, se retrouvant nue jusqu’à la ceinture.
-La jupe maintenant.
Sans un mot, Sylvie ouvre sa jupe et la laisse glisser sur le sol.
–Maintenant enlève le reste !
Sylvie retire ses collants et sa culotte et se tient maintenant, debout, nue, devant moi, attendant la suite.
– Met tes fesses contre la table et pose tes mains dessus pour faire ressortir ta poitrine.
Je viens admirer le spectacle et lui pince un téton.
-On dirait que ça te plait de t’exhiber, tes tétons sont déjà tout durs.
Elle ne me répond pas, elle ne veut pas l’admettre mais je vois bien que ça l’excite. Je pince plus fort la pointe des seins jusqu’à ce qu’elle gémisse.
- Réponds-moi !
- Non, je ne peux pas dire que je suis folle de ce traitement.
Elle a beau nier, son corps dit le contraire, je la sens excitée par ce traitement et son sexe s’humidifie sous ma main exploratrice.
-Allonge-toi sur la table et ouvre le compas de tes cuisses,Elle m’obéit et s’allonge sur le dos en écartant largement ses cuisses qu’elle tire à elle de ses mains pour les maintenir bien relevées dévoilant ainsi une vulve accueillante et bombée à souhait.
-J’en rêve depuis l’école de te faire jouir…regarde ce que j’ai apporté.
Je sors de mon sac une belle bite vibrante que je graisse avec du gel, je mets l’engin en marche avant de l’enfourner sans façon dans le sexe déjà luisant de Sylvie. Il ne lui faut pas longtemps avant qu’elle ne se trémousse en proie à un orgasme forcé. Elle explose tellement de jouissance que sa mouille dégouline dans la fente de ses fesses agitées de soubresauts. Elle est couverte de sueur, abattue mais comblée, la pointe de ses seins dure comme du granit, une main entre ses cuisses, la belle essaie de prolonger la chose.
Sylvie se redresse et me prend dans ses bras, me murmurant l’oreille en me serrant fort.
-Merci Agnès. Je ne suis pas lesbienne mais j’ai apprécié. Pour moi, ce n’était qu’un fantasme, même si je préfère les hommes.
Je lui souris puis me recule, la regardant droit dans les yeux.
-Je suis contente de ta réaction, je lui rétorque, mes bras entourant sa nuque, tu dois me prendre pour une gouine qui…Sylvie pose un doigt sur mes lèvres :- Plutôt une belle salope, Sylvie, jolie performance, ça promet pour tout à l’heure !
OLIVIER :C’est « Le jour J), je me suis levé super tôt, il devait être 6 heures du matin et je n’avais pas très bien dormi en pensant à ce qui allait se passer ce samedi. J’ai pris une douche pour être propre. Je n’en mène quand même pas large en sonnant à la porte de ma prof. Dans ma tête, je me refais le film de ces deux couguars assoiffées de ma bite, j’en ai déjà des picotements dans mon boxer.
Je sonne et Agnès vient m’ouvrir, me colle une bise et me fait entrer dans le salon où se prélasse Sophie dans un divan, complètement nue… Elle fait tourner une petite culotte en soie dans sa main droite puis me l’envoie en disant d’une manière provocante :
-Respire le parfum de ma choupinette et dis-moi si ça te mets en appétit, tu crois que ta bite pourra éteindre le feu de ma chatte en chaleur?
Agnès rigole, elle porte une mini-jupe, des bas noirs qui contrastent avec un top blanc où pointent déjà ses tétons. Elle vient se coller contre moi, caresse mon cul puis ma verge à travers le pantalon.
-Tu n’es pas encore dur, mais pour que tu assures, je vais passer un collier à Popaul !
Je n’ai même pas le temps de réagir qu’en deux temps, trois mouvements, je me retrouve la bite à l’air, et la salope commente la manip…
-Je vais te passer ce joint en caoutchouc de plomberie de 48 millimètre de diamètre autour de la verge, d’abord une boule, puis la deuxième, ensuite je plie ta queue pour passer le gland dans l’anneau et tout faire passer jusqu’à ce que l’anneau soit glissé le plus loin possible. Maintenant, tu vas bander comme jamais quand je vais sucer ta bite.
Elle y va carrément. Je suis debout, le pantalon baissé à mi-cuisses, avec ma queue qui grossit à une vitesse folle dans la bouche de ma prof qui me pompe avec application, et j’apprécie beaucoup.
Puis elle me déshabille sans se presser. Ma queue est remplie à ras bord d’envie de chattes. Elle me caresse longuement sur tout le corps, puis se saisit à pleine main de ma hampe qu’elle serre entre ses petits doigts. Agnès penche la tête et tel un oiseau de proie, sa bouche grande ouverte se précipite sur mon gland cramoisi. Sa langue brûlante roule de gros patins sur le bout de ma tige. Elle descend maintenant avec lenteur pour m’offrir une gorge profonde comme je n’en ai rarement connue. Tel un boa avalant sa proie, ma verge disparait après quelques reptations de ses mâchoires sur ma hampe comme dans une gaine de velours et bientôt ses lèvres touchent mes couilles.
A suivre…
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