Cours d’éducation sexuelle des futures courtisanes. 4 ème leçon.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cours d’éducation sexuelle des futures courtisanes. 4 ème leçon.
Cours d’éducation sexuelle des futures courtisanes.
« Le défricheur ». 4ème leçon.
Cela fait un jour que les filles ne parlent plus que de ça. Qui est ce « Maître » dont a parlé Madame Clerc ? Les spéculations vont bon-train.
-Bonjour mesdemoiselles !
- Bonjour Maîtresse !
-Bien. Aujourd’hui et les jours suivants, par groupe de 3, vous allez connaître pour la première fois de votre vie la pénétration du sexe mâle dans votre intimité. Pour cela, un homme que vous appellerai « Maître » va s’occuper de vous à tour de rôle avec comme assistant le N°3 que nous appellerons Paul.
- Vous allez être surprises en le voyant et comprendrez enfin le surnom que lui donnent vos camarades un peu plus âgées.
-Maître, vous pouvez entrer !
La porte s’ouvre et pénètre dans la pièce l’homme tant attendu. Des cris fusent :
- Le Défricheur !!!!
-Mais c’est le jardinier !
-Silence Mesdemoiselles ! Ne manquez pas de respect au Maître ! Martine, Jeanne et Armelle, vous allez suivre le Maître dans la pièce d’à coté, les autres, suivez-moi !
Madame Clerc les emmène dans une alcôve et tire un rideau qui cachait un miroir sans tain.
De nombreux chandeliers et un feu ardent dans une imposante cheminée éclairent une chambre avec un lit immense. Les 3 nymphes et Paul sont alignés contre un mur.
Le Maître prend la parole :
- Paul, déshabille-toi et ensuite fais de même avec ces oies blanches !
Paul s’exécute servilement et tous les 4 se retrouvent complètement nus dans cette pièce surchauffée.
-Mesdemoiselles, à vous de me dévêtir !
Avec empressement et un peu de crainte, elles s’approchent de lui et lui retirent ses habits.
Elles ont un mouvement de recul quand elles dénudent la virilité du Maître.
L’organe a des proportions hors du commun. Des 6 jeunes hommes qu’elles ont connus ces derniers jours, 5 n’atteignaient pas en pleine érection le chibre qui pend entre ses cuisses.
Il n’y a que Paul qui pourrait faire illusion, ce tuyau épais fait bien 2 paumes (2X 7,64 cm).
-Armelle, occupe-toi de Paul et vous deux de moi, mettez-y du cœur à l’ouvrage pour nous mettre au garde-à vous !
Elles ont bien retenu les leçons et s’activent sur les verges offertes. Mais si Paul était déjà long à entrer en érection, le Maître l’est encore plus. Armelle a rempli son devoir et sa bouche aidée de ses mains arrive à ses fins, un sceptre de bonne longueur dresse fièrement devant son visage.
Martine et Jeanne s’activent sur l’organe du Maître, elles font des mouvements de va et vient sur toute la longueur de sa queue, sentant sous leurs doigts les veines pulsées avec force dans cette verge qui n’arrête pas de croître.
-Armelle, viens les aider !
Les trois filles admirent ce magnifique vit. Les trois Gourgandines approchent leurs jolies bouches pulpeuses de cette queue rutilante, la lèchent doucement sur toute sa longueur.
Elles se sont partagé le travail. Une langue s’occupe de la hampe, une autre des bourses, la troisième s’escrime avec difficulté sur l’énorme gland.
L'homme est ravi de cette avalanche de sensations sur sa verge mais n’en laisse rien paraître. Il sent le titillement d'une langue sur ses couilles, et le frottement des dents d'une autre qui raclent le bout de son gland massif.
La colonne de chair grandit et durcit toujours. Martine continue ses va et vient avec sa main qu’elle n’arrive pas à refermer sur la bite du Maître. Les filles dans l’autre pièce sont fascinées par ce spectacle dantesque.
– C'est bien Martine. Maintenant Armelle, à toi de reprendre la fellation. Tu vas prendre mon membre en bouche le plus profond possible. N'oublie pas d'utiliser ta langue autour de mon gland.
Armelle obéit au Maître, ouvre la bouche et y rentre le jonc vigoureux, commençant à le sucer avec appréhension mais ne peut guère n’en goûter que l’extrémité.
Martine et Jeanne se sont positionnées de chaque coté et ont pris la queue imposante dans leur main. Paul s’est approché, se branlant seul. Lui qui était si fier ces derniers jours de son sexe se rend compte qu’à côté du Maître, il ne peut rivaliser.
Le Maître à posé une main sur les têtes de Martine et Jeanne et les encourage :
– Très bien les filles, encore un peu d’efforts et vous y êtes ! Là !!! Ecartez-vous pour laisser vos camarades voir le résultat !
La verge est si lourde qu’elle arrive difficilement à rester à l’horizontale.
Les autres filles derrière la vitre découvrent le sexe énorme.
Madame Clerc reprend la parole dans l’alcôve et leurs explique la suite :
-N’ayez crainte les filles, votre matrice peut s’adapter à toutes les tailles, même celle là.
Il faut dire que le Maître est doté d’une verge exceptionnelle que vous ne reverrez sûrement jamais de votre vie. Pour information, son plantoir mesure un peu moins d’un empan et une paume (20 et 7,64 cm) et la largeur de 2 pouces ¼ (5.7 cm).
-Vous pouvez remarquer aussi que contrairement à Paul qui a une verge d’un diamètre égal sur toute sa longueur, le Maître a un pénis qui rappelle son plantoir de jardinier légèrement conique, le gland n’est guère plus gros que celui de Paul mais la hampe grossit exponentiellement à mesure que vous vous rapprochez de son bas-ventre.
Vous verrez par la suite aussi qu’il a bien d’autres particularités qui le distinguent du simple forniqueur.
- Comme je vous l’ai appris, c’est une verge de chair mais un facteur de 1,8 appliqué sur une base de départ si importante produit immanquablement à un tel monstre. Quand serait-il s’il avait une queue de sang ?
-Un peu de calcul, 2 paumes (2X 7,64 cm) X par un facteur de 2,2 ; quelle serait la longueur obtenue ?
-3 paumes et un pouce, Maîtresse (33 cm) ! S’écrie Josette.
Un « ooohhh » s’élève dans la pièce.
-Quand vous entrerez dans cette chambre à votre tour, vous serez encore pucelle. Quand vous en sortirez, vous serez devenues femmes.
-Maintenant je vais vous laisser admirer le spectacle et aller assister le « DEFRICHEUR » !
Madame Clerc a rejoint la chambre et demande à Paul de la dévêtir :
-Quand tu auras fini, je veux que tu me dévores la moule !
C’est une belle femme bien en chair avec une poitrine lourde, de très longs têtons sont au centre d’immenses aréoles roses, une toison drue entoure une fente charnue aux lèvres proéminentes.
-Applique-toi que diable, je ne suis pas en sucre !
Paul, à genoux devant elle, lui dévore la chatte, mordillant les grandes lèvres, dardant sa langue le plus loin possible, s’aidant de ses doigts pour titiller un clitoris très développé.
-Ah, c’est beaucoup mieux, ouuuiii, continue comme ça !!!
Pendant ce temps, le jardinier endure le meilleur des supplices. Les 3 filles se sont transformées en une véritable Gorgone. Des langues râpeuses, des lèvres suceuses et six mains explorent tous les recoins de ce formidable braquemard.
La peau fine du scrotum réagit à toutes ces caresses buccales. Le plaisir est intense mais une très longue pratique le fait résister aux bouches qui lèchent, aux lèvres qui sucent, aux bouches qui avalent et qui pompent. Pas un carré de peau de son sexe n’échappe à leurs convoitises.
Ca le rend dingue, il voudrait qu'elles cessent et en même temps que ça ne se termine jamais.
Il se soumet totalement à ces 3 pucelles. Soudain, elles arrêtent.
Le Défricheur reprend ses esprits quand elles le basculent sur le lit.
Que vont-elles lui faire à présent ? L'une d'entre elles aura-t-elle l’audace de passer la première sur son axe d’airain ?
A suivre………….
« Le défricheur ». 4ème leçon.
Cela fait un jour que les filles ne parlent plus que de ça. Qui est ce « Maître » dont a parlé Madame Clerc ? Les spéculations vont bon-train.
-Bonjour mesdemoiselles !
- Bonjour Maîtresse !
-Bien. Aujourd’hui et les jours suivants, par groupe de 3, vous allez connaître pour la première fois de votre vie la pénétration du sexe mâle dans votre intimité. Pour cela, un homme que vous appellerai « Maître » va s’occuper de vous à tour de rôle avec comme assistant le N°3 que nous appellerons Paul.
- Vous allez être surprises en le voyant et comprendrez enfin le surnom que lui donnent vos camarades un peu plus âgées.
-Maître, vous pouvez entrer !
La porte s’ouvre et pénètre dans la pièce l’homme tant attendu. Des cris fusent :
- Le Défricheur !!!!
-Mais c’est le jardinier !
-Silence Mesdemoiselles ! Ne manquez pas de respect au Maître ! Martine, Jeanne et Armelle, vous allez suivre le Maître dans la pièce d’à coté, les autres, suivez-moi !
Madame Clerc les emmène dans une alcôve et tire un rideau qui cachait un miroir sans tain.
De nombreux chandeliers et un feu ardent dans une imposante cheminée éclairent une chambre avec un lit immense. Les 3 nymphes et Paul sont alignés contre un mur.
Le Maître prend la parole :
- Paul, déshabille-toi et ensuite fais de même avec ces oies blanches !
Paul s’exécute servilement et tous les 4 se retrouvent complètement nus dans cette pièce surchauffée.
-Mesdemoiselles, à vous de me dévêtir !
Avec empressement et un peu de crainte, elles s’approchent de lui et lui retirent ses habits.
Elles ont un mouvement de recul quand elles dénudent la virilité du Maître.
L’organe a des proportions hors du commun. Des 6 jeunes hommes qu’elles ont connus ces derniers jours, 5 n’atteignaient pas en pleine érection le chibre qui pend entre ses cuisses.
Il n’y a que Paul qui pourrait faire illusion, ce tuyau épais fait bien 2 paumes (2X 7,64 cm).
-Armelle, occupe-toi de Paul et vous deux de moi, mettez-y du cœur à l’ouvrage pour nous mettre au garde-à vous !
Elles ont bien retenu les leçons et s’activent sur les verges offertes. Mais si Paul était déjà long à entrer en érection, le Maître l’est encore plus. Armelle a rempli son devoir et sa bouche aidée de ses mains arrive à ses fins, un sceptre de bonne longueur dresse fièrement devant son visage.
Martine et Jeanne s’activent sur l’organe du Maître, elles font des mouvements de va et vient sur toute la longueur de sa queue, sentant sous leurs doigts les veines pulsées avec force dans cette verge qui n’arrête pas de croître.
-Armelle, viens les aider !
Les trois filles admirent ce magnifique vit. Les trois Gourgandines approchent leurs jolies bouches pulpeuses de cette queue rutilante, la lèchent doucement sur toute sa longueur.
Elles se sont partagé le travail. Une langue s’occupe de la hampe, une autre des bourses, la troisième s’escrime avec difficulté sur l’énorme gland.
L'homme est ravi de cette avalanche de sensations sur sa verge mais n’en laisse rien paraître. Il sent le titillement d'une langue sur ses couilles, et le frottement des dents d'une autre qui raclent le bout de son gland massif.
La colonne de chair grandit et durcit toujours. Martine continue ses va et vient avec sa main qu’elle n’arrive pas à refermer sur la bite du Maître. Les filles dans l’autre pièce sont fascinées par ce spectacle dantesque.
– C'est bien Martine. Maintenant Armelle, à toi de reprendre la fellation. Tu vas prendre mon membre en bouche le plus profond possible. N'oublie pas d'utiliser ta langue autour de mon gland.
Armelle obéit au Maître, ouvre la bouche et y rentre le jonc vigoureux, commençant à le sucer avec appréhension mais ne peut guère n’en goûter que l’extrémité.
Martine et Jeanne se sont positionnées de chaque coté et ont pris la queue imposante dans leur main. Paul s’est approché, se branlant seul. Lui qui était si fier ces derniers jours de son sexe se rend compte qu’à côté du Maître, il ne peut rivaliser.
Le Maître à posé une main sur les têtes de Martine et Jeanne et les encourage :
– Très bien les filles, encore un peu d’efforts et vous y êtes ! Là !!! Ecartez-vous pour laisser vos camarades voir le résultat !
La verge est si lourde qu’elle arrive difficilement à rester à l’horizontale.
Les autres filles derrière la vitre découvrent le sexe énorme.
Madame Clerc reprend la parole dans l’alcôve et leurs explique la suite :
-N’ayez crainte les filles, votre matrice peut s’adapter à toutes les tailles, même celle là.
Il faut dire que le Maître est doté d’une verge exceptionnelle que vous ne reverrez sûrement jamais de votre vie. Pour information, son plantoir mesure un peu moins d’un empan et une paume (20 et 7,64 cm) et la largeur de 2 pouces ¼ (5.7 cm).
-Vous pouvez remarquer aussi que contrairement à Paul qui a une verge d’un diamètre égal sur toute sa longueur, le Maître a un pénis qui rappelle son plantoir de jardinier légèrement conique, le gland n’est guère plus gros que celui de Paul mais la hampe grossit exponentiellement à mesure que vous vous rapprochez de son bas-ventre.
Vous verrez par la suite aussi qu’il a bien d’autres particularités qui le distinguent du simple forniqueur.
- Comme je vous l’ai appris, c’est une verge de chair mais un facteur de 1,8 appliqué sur une base de départ si importante produit immanquablement à un tel monstre. Quand serait-il s’il avait une queue de sang ?
-Un peu de calcul, 2 paumes (2X 7,64 cm) X par un facteur de 2,2 ; quelle serait la longueur obtenue ?
-3 paumes et un pouce, Maîtresse (33 cm) ! S’écrie Josette.
Un « ooohhh » s’élève dans la pièce.
-Quand vous entrerez dans cette chambre à votre tour, vous serez encore pucelle. Quand vous en sortirez, vous serez devenues femmes.
-Maintenant je vais vous laisser admirer le spectacle et aller assister le « DEFRICHEUR » !
Madame Clerc a rejoint la chambre et demande à Paul de la dévêtir :
-Quand tu auras fini, je veux que tu me dévores la moule !
C’est une belle femme bien en chair avec une poitrine lourde, de très longs têtons sont au centre d’immenses aréoles roses, une toison drue entoure une fente charnue aux lèvres proéminentes.
-Applique-toi que diable, je ne suis pas en sucre !
Paul, à genoux devant elle, lui dévore la chatte, mordillant les grandes lèvres, dardant sa langue le plus loin possible, s’aidant de ses doigts pour titiller un clitoris très développé.
-Ah, c’est beaucoup mieux, ouuuiii, continue comme ça !!!
Pendant ce temps, le jardinier endure le meilleur des supplices. Les 3 filles se sont transformées en une véritable Gorgone. Des langues râpeuses, des lèvres suceuses et six mains explorent tous les recoins de ce formidable braquemard.
La peau fine du scrotum réagit à toutes ces caresses buccales. Le plaisir est intense mais une très longue pratique le fait résister aux bouches qui lèchent, aux lèvres qui sucent, aux bouches qui avalent et qui pompent. Pas un carré de peau de son sexe n’échappe à leurs convoitises.
Ca le rend dingue, il voudrait qu'elles cessent et en même temps que ça ne se termine jamais.
Il se soumet totalement à ces 3 pucelles. Soudain, elles arrêtent.
Le Défricheur reprend ses esprits quand elles le basculent sur le lit.
Que vont-elles lui faire à présent ? L'une d'entre elles aura-t-elle l’audace de passer la première sur son axe d’airain ?
A suivre………….
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Moi aussi, mon petit jardin secret a besoin des soins du beau jardinier
j'inviterais bien le dédricheur dans mon jardin pour éradiquer les mauvaises herbes et utiliser son plantoir